« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
-Le mode "Rythm Game" est le plus classique et se contente de proposer à un joueur de sélectionner le titre qu'il veut, tout en essayant de réaliser le meilleur score.
-Le mode "Showdown" vous pourrez vous affronter à deux joueurs en local, sur une même console. Le perdant doit réaliser un gage dans le monde réel, décidé par un système de roue à tourner. Si faire un meilleur score que votre adversaire ne vous suffit pas, vous préférerez peut-être le défier dans l'un des trois mini-jeux proposés mais qui, admettons-le, ne sont pas des plus palpitants. Tout juste retiendra-t-on celui dans lequel une batte de baseball remplace votre maracas. Elle vous sert alors à renvoyer des balles envoyées par un PNJ particulièrement fourbe.
-Le mode "StreamiGo" vous demande de mieux bouger que votre adversaire sur le dancefloor afin de récolter plus de "followers" que lui.
-Le mode "Love checker". Celui-ci permet de jauger votre synchronicité avec un second joueur, idéalement votre moitié. Plus vous gardez le rythme, plus votre score sera élevé.
-Le mode "Online". Très classique, il vous permet de vous confronter à d'autres joueurs du monde, afin de monter dans les classements en ligne.
-Le mode "World Party". Concrètement, il s'agit d'une sorte de Battle Royale. Jusqu'à 8 joueurs et des bots s'affrontent en ligne sur une succession de chansons. Le joueur qui réalise le moins bon score est éliminé. A la fin, il n'en restera qu'un. Chacun de ces modes vous permet de gagner de l'argent in-game et d'augmenter de niveau. Cela vous permet de débloquer de nombreux éléments cosmétiques pour votre personnage.
Chaque musique dispose en effet d'une difficulté à dix crans, ainsi qu'une sélection de (4) modes.
A présent, les joy-con répondent au doigt et à l'œil ! Il est très simple de viser l'une des six directions possibles (sur les côtés et dans les quatre diagonales). Peut-être un peu trop, d'ailleurs.
"Drôle de jeu ou pour gagner il ne faut pas jouer.
Si on faisait une petite partie d'échec"
Faut-il avoir peur de l’intelligence artificielle ?
"Pour un peu, on se dit qu’il faudrait demander à l’intelligence artificielle d’aider nos pauvres intelligences pour réussir à la stopper." FranceCulture
Haaa celui là ça faisait pas mal de temps que je voulais en parler... vous avez sous doute déjà entendu parler d'un sois disant totem d'immunité favorable à Nintendo ?
Qu'est-ce que ça veut dire ? Est-ce crédible ? Hé bien on va voir tout ça !
PS : Je mets cette vidéo qui date de Décembre 2022, car comme souvent, dès qu'un jeu Nintendo a des bonnes critiques, nous avons droit à Totem d'immunité, dernièrement avec The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom.
Si ça vous intéresse, un article très complet sur le jeu :
"il convient de rappeler que Master Detective Archives : RAIN CODE est le fruit d’une alliance entre Too Kyo Games et l’éditeur Spike Chunsoft, avec à sa tête l’équipe créative derrière la série Danganronpa.
Le scénario est écrit par Kazutaka Kodaka (qui a donc imaginé la saga des Danganronpa, mais aussi certaines histoires de Jake Hunter, le jeu en FMV Death Come True et l’anime Akudama Drive, et qui était également directeur créatif de World’s End Club)
Les musiques sont composées par Masafumi Takada (The Silver Case, Flower, Sun, and Rain, killer7, No More Heroes, Super Smash Bros. Brawl, for Wii U & 3DS et Ultimate, Kid Icarus : Uprising, Digimon Story Cyber Sleuth, Zangeki no Reginleiv, Project Zero : Le Masque de l’Éclipse Lunaire, Infinite Space, Vanquish, The Evil Within, Danganronpa, Earth Defense Force 5, Master Detective Archives : RAIN CODE…).
Rui Komatsuzaki s’occupe du character design (comme ce fut le cas pour Danganronpa, mais aussi Akudama Drive et Tribe Nine, ainsi que pour les personnages Edmond Dantès et Cleopatra dans Fate/Grand Order)." NintendoDiffrence
Yuma et Shinigami collaborent avec les Maîtres Détectives de l'Organisation Mondiale des Détectives, un groupe spécialisé dans la résolution d'affaires.
Chaque Maître Détective est doté d'un pouvoir surnaturel appelé Aptitude criminalistique. Grâce à ces facultés, ils sont capables de rassembler des faits et des indices hors de portée des personnes ordinaires.
Imiter l'apparence et la voix d'autrui avec Déguisement. Détecter les battements cardiaques et les murmures avec Ouïe fine. Être témoin de scènes de crime passées avec Rétrocognition.
Yuma peut bénéficier de ces effets lorsque les conditions sont réunies. Utilisez-les pour vous rapprocher de la vérité.
Amaterasu Corporation
Amaterasu Corporation est une corporation tentaculaire qui contrôle Kanai Ward. Pour elle, l'Organisation Mondiale des Détectives est une menace.
Fortement impliquée dans les affaires non élucidées, cette société joue de son influence énorme pour fabriquer des faits ou les dissimuler quand ils ne vont pas dans son sens. Elle érige des obstacles pour éviter que la vérité ne soit révélée.
Une nouvelle expérience de résolution de mystères : le Labyrinthe des mystères
À un certain stade de l'enquête, un passage s'ouvrira vers une autre dimension menant à la vérité : celle du Labyrinthe des mystères.
À l'intérieur, vous ferez face à divers pièges et énigmes. Progressez dans ce dédale en constante évolution pour venir à bout de l'affaire.
Les spectres des mystères essaieront de vous empêcher de découvrir la vérité. Esquivez leurs affirmations et tranchez leurs propos contradictoires à l'aide de la lame solution !
Le film vient d'être projeté à Cannes, les journalistes ont donné leur premier avis.
Libération : "Etourdissant cinquième opus de la saga, le film de James Mangold sort son héros de la retraite pour affronter une menace venue du passé. Avec Harrison Ford, en bonne vieille star comme on en fait plus."
Le Figaro : "Ce cinquième et dernier film, vif et enlevé, clôt de brillante manière une saga légendaire entamée il y a 42 ans avec Les Aventuriers de l'arche perdue, que signaient le duo créatif George Lucas et Steven Spielberg."
Le Monde : "A 300 millions de dollars (contre 18 pour le premier épisode), Mangold aurait pu se permettre de rater l’enterrement, mais il s’en sort avec les honneurs."
Le Parisien : "On a vu le nouvel Indiana Jones… et on a adoré. Spectaculaire, drôle et très enlevé, il nous a fait chavirer."
20 Minutes : "L’histoire et l’Histoire s’entremêlent de façon très amusante et les scènes d’action superbes cèdent souvent la place à de jolis moments entre les personnages. On a même essuyé une petite larme de temps en temps."
Première : "Si le film n'atteint jamais les sommets des trois premiers de Steven Spielberg sur les terrains de l'action et du timing comique, James Mangold s'approprie élégamment Indiana Jones, entre grand spectacle et modernisation très astucieuse de la légende."
Le Point : "Le 5e film de la saga rachète en partie la déception du précédent et le mythe vieillissant retrouve des couleurs."
La Voix du Nord : "Crédible ou pas, c’est jubilatoire. (...) Seulement, cette générosité possède aussi son revers. Une litanie de références à la saga qui vire à l’autocitation, voire à la copie."
Sud Ouest : "Spectaculaire, drôle... Un adieu parfois invraisemblable mais qui a du panache."
Cinemateaser : "James Mangold esquisse un beau film hanté par le vieillissement et la marche de l’Histoire, malheureusement écrasé par un spectacle lambda."
LCI : "Est-ce Indiana Jones ou Harrison Ford ? On ne sait pas très bien. Et à la manière de Tom Cruise retrouvant le cuir de Maverick il y a peu, c’est une mise en abîme savoureuse qui ravira les spectateurs plus âgés."
Variety : "Une suite qui sert la nostalgie sans le frisson. L'épopée d'action de James Mangold est réalisée dans le style de Steven Spielberg, mais l'euphorie n'est plus là".
The Hollywood Reporter : "C'est un grand film explosif qui passe par les images mais ne procure jamais beaucoup de joie dans le processus."
Deadline : "Quelle que soit l'action qui tourbillonne à la surface de ce genre de film, ses fondations sont construites sur une nostalgie rassurante. (...) C'est plaisant, c'est farfelu, Ça marche."
TotalFilm : "Un formidable voyage à sensations fortes. Avec un Ford en pleine forme, la dernière bataille d'Indy est un mélange très satisfaisant d'action, d'humour et d'émotion."
The Independent : "Le film est une série de courses-poursuites et de combats liés par des rebondissements encore plus improbables. L'action est souvent mise en scène de manière très inventive. James Mangold, qui a remplacé Steven Spielberg, impose un rythme effréné"
Empire : "Le dernier rendez-vous d'Indy avec le destin propose un final dingue qui pourrait diviser le public, mais si vous le rejoignez pleinement pour le voyage, l'adieu du pilleur de tombes préféré du cinéma semble approprié."
The Guardian : "Ce volet-là a l'entrain, le fun, l'ingéniosité narrative et les MacGuffin un peu fous que le dernier, Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, n'avait vraiment pas."
The Irish Times : "Aucune personne dotée d'un cerveau ne comparera favorablement le Cadran de la Destinée aux trois premiers films. On sent tout du long que le projet lutte pour supporter le poids de son histoire. Mais Mangold, réalisateur de Logan et de 3 h 10 pour Yuma, sait garder le pied sur la pédale. Les reconstitutions des panoramas des années 1960 sont magnifiques. Les caméos agréables affluent."
ScreenDaily : "Cet archéologue iconique a passé sa vie à creuser les trésors du passé, malheureusement, le Cadran de la Destinée fait la même chose, pillant nos tendres souvenirs collectifs d'une franchise autrefois grandiose."
IndieWire : "Non seulement Indiana Jones et le Cadran de la Destinée est une perte de temps presque complète, mais il nous rabâche également que certaines reliques feraient mieux de ne pas être déterrées. Si seulement les volets précédents de cette saga n'avaient pas pris grand soin de le pointer."
Wizard of Legend II annoncé sur PC
Supraland Six Inches Under disponible sur PS5/PS4XSX/XOne et été 2023 Switch
Bo: Path of the Teal Lotus annoncé sur PC
Cataclismo annoncé sur PC
Lost Skies annoncé sur PC
1. [NSW] Zelda : Tears of the Kingdom – 1,119,502 / NEW
2. [NSW] Mario Kart 8 Deluxe – 9,794 / 5,293,478
3. [NSW] Zelda : Breath of the Wild – 7,335 / 2,182,171
4. [NSW] Kirby’s Return to Dream Land Deluxe – 6,819 / 426,789
5. [NSW] Pokemon Scarlet / Violet – 6,420 / 5,028,722
6. [PS4] Hogwarts Legacy – 6,384 / 38,302
7. [NSW] Minecraft – 5,704 / 3,135,953
8. [NSW] Super Smash Bros. Ultimate – 5,061 / 5,190,681
9. [NSW] Splatoon 3 – 4,856 / 4,014,693
10. [NSW] Mario Party Superstars – 3,746 / 1,230,382
Switch OLED – 65,628
PS5 – 35,899
Switch – 11,395
Switch Lite – 6,029
PS5 Digital Edition – 5,545
PS4 – 787
Xbox Series X – 167
Xbox Series S – 108
New 2DS LL – 51
En trois jours, The Legend of Zelda : TearsOfTheKingdom s'est vendu à plus de 10 millions d'exemplaires à travers le monde, marquant ainsi le meilleur démarrage dans l'histoire de la série.
Merci à toutes celles et ceux qui accompagnent Link dans sa nouvelle aventure ! Twitter
-Rappel : France : 500.000 ventes en seulement deux jours-
Rappel : The Legend of Zelda : Breath of the Wild est à environ 30 Millions d'exemplaires.
The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom (Switch) – 10/10/10/10 [40/40]
C'est le 5ème Zelda qui a obtenu 40/40 par Famitsu
Les 4 autres sont :
The Legend of Zelda : Ocarina of Time
The Legend of Zelda : The Wind Waker
The Legend of Zelda : Skyward Sword
The Legend of Zelda : Breath of the Wild
C'est le 28ème jeu qui a obtenu 40/40 par Famitsu
C'est le 10ème jeu édité par Nintendo qui a obtenu 40/40 par Famitsu