« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Synopsis : Au XIVe siècle dans le royaume de France, le chevalier Jean de Carrouges, de retour après une expédition militaire, retrouve son épouse, Marguerite de Thibouville. Celle-ci accuse l'écuyer Jacques Le Gris, vieil ami du chevalier, de l'avoir violée. L'homme se dit innocent. Un « procès par le combat » est décidé entre le chevalier et l'écuyer, pour déterminer la vérité. Si le mari perd le duel, la femme sera également brûlée vive pour fausse accusation.
Moyenne presse 3,9/5 (pour l'instant).
Le Figaro 5/5
Véritable tour de force, le film est à la fois épique et fin, d’une ampleur indiscutable tout en étant une expérience visuelle viscérale. Et, grâce au dispositif narratif en miroir, il remet l’histoire en perspective en y instillant un point de vue féminin, loin de toute misogynie. Il était temps.
Le parisien 5/5
Au final, on est subjugué par ce procédé aussi original que surprenant, ébloui par les scènes d’action, et secoué par la nature du drame qui se joue et par la manière dont Scott en tire un film militant, aux résonances très contemporaines. Du grand art.
Les Fiches du Cinéma 5/5
À travers le récit du dernier duel judiciaire reconnu en France, Ridley Scott livre une impressionnante peinture du Moyen-Âge, aussi spectaculaire qu’intimiste, tout en étudiant les rouages d’une société ultra patriarcale et la place qu’elle pouvait accorder aux femmes.
20 Minutes 4/5
Une fresque médiévale passionnante sur la notion de consentement.
L'Humanité 4/5
Cet impressionnant film en costumes prend une ampleur inattendue en conjuguant la critique sociale d’une noblesse belliqueuse et avide à la dénonciation d’une glorification de la virilité. Et se mue en pamphlet féministe. Ridley Scott avait su renouveler le péplum avec son immense Gladiator. Le Dernier Duel régénère le drame historique par la grâce d’un personnage féminin d’avant-garde, puissant et déterminé.
Libération 4/5
Non seulement la mécanique fonctionne sans heurts mais elle souligne aussi deux des plus gros atouts de l’affaire : un crescendo dramatique parfait de tempo et surtout des nuances de ton et d’interprétation d’une étonnante finesse chez les trois protagonistes, là où l’on craignait une exécution en grande pompe de la Passion selon Saint-Pathos.
Première 4/5
Le Dernier duel a beau être classique, c'est un film au présent, dont l'explosion de violence finale n'exorcise rien, ne guérit rien, ne réjouit même pas. Seul reste le pouvoir des hommes. Et un film définitivement immense, qui semble contenir toute la violence du monde.
Télérama 4/5
S’inspirant d’une histoire vraie, le vétéran Ridley Scott signe un drame subtil à grand spectacle.
Cahiers du Cinéma 2/5
Les rares batailles et le duel final de ce film (teasé en ouverture en un flash-forward pataud) s'éclipsent derrière un versant presque montypythonesque qui semble amuser les scénaristes-acteurs.
Le Monde 2/5
Construit comme un récit fonctionnant à la Rashomon, qui ne s'avère pas franchement déterminant, le film, comme on dit, fait le travail, les acteurs non moins, mais rien n'y bouleverse pour autant.
Il y a peu de temps a été montré une bande-annonce (je profite de mettre le retour du trailer par un youtubeur, il dit "Est-ce que la direction artistique ne serait pas toute pourrave...c'est cheap, c'est trop fake...la photo à l'air dégueulasse, le chien à l'air dégueulasse, les zombies ont l'air dégueulasses...les costumes quand ils sont dégueulasses ont dit que ça fait cosplay, là c'est le décor qui fait cosplay"...oui, c'est plus fidèle, mais au niveau des ambitions, au niveau du budget, c'est plus étriqué...comme moi vous pensez que c'est la grosse honte et que ça à l'air bien pourrave...").
Quelques modification, dont des plans inédits et une lumière un peu retouché.
Super Mario Eclipse fait partie de la restauration bêta, de l'amélioration partielle, du mod d'origine du port et de tous les services de fans. Avec des dizaines et des dizaines de nouvelles missions, des mondes entièrement personnalisés, des parcours secrets stimulants et une île Delfino interconnectée pour démarrer, c'est l' expérience Super Mario Sunshine que vous avez toujours voulue - et plus encore ! Isle Delfino cache tous les nouveaux secrets qui ne demandent qu'à être découverts, et avec plusieurs personnages jouables à vos côtés, il n'y a rien que vous ne puissiez faire. Présentant une toute nouvelle histoire élargie, de nouveaux gadgets fous, de nouveaux mouvements et capacités passionnants et des références à vos jeux Mario préférés de l'ère Gamecube, préparez-vous aux efforts de collaboration de toute la communauté de modding Sunshine pour enfin se réunir et vous apporter quelque chose de spécial ! Le mod Super Mario Sunshine est sûr d' éclipser le reste !
Éditeur : Rogue Games
Développeur : Picomy
Genre : Plate-forme
Disponible sur Mobile
Date de sortie : 21 Octobre 2021 (Switch)
Langues : Allemand/Anglais/Espagnol/Français/Italien/Japonais/Coréen/Néerlandais/Portugais/Russe/Chinois.
Un grand concours de musique oppose les animaux DJ du monde ! À l'aide de votre canne à pêche et de votre prise, aidez-les à attraper les Monomal qui rôdent en eau profonde et composez votre propre musique dans le MonoMaker !
Deathloop – 9
Bonfire Peaks – 9 (indé)
Tales of Arise – 8
WarioWare : Get It Together ! – 8
Jett : The Far Shore – 8 (indé)
Life is Strange : True Colors – 7
Sable – 7 (indé)
The Artful Escape – 7 (indé)
Eastward – 7 (indé)
Kena : Bridge of Spirits – 6
Lake – 6 (indé)
Lost In Random – 6 (indé)
20 Minutes 4/5
Cet anime, découvert au Festival d’Annecy, mêle suspense et solidarité à un tableau passionnant de la jeunesse japonaise.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Un film formidable, brouillant ses thèmes pour mieux les éclairer.
Ouest France 4/5
Un film d'animation nippon où aventure et discours sociétal se complètent à merveille.
Télérama 4/5
L’adaptation réussie d’un classique de la littérature jeunesse japonaise.
Le Journal du Dimanche 3/5
Une fable initiatique qui surprend sans arrêt, débordant d’énergie et de bienveillance.
Le Nouvel Observateur 3/5
L’ampleur du dessin, des cadres et la maîtrise du montage offrent un souffle épique et narquois à cette histoire qui promeut l’engagement humaniste et la désobéissance.
Paris Match 3/5
Cette adaptation d'un roman de Soda Osamu donne un relief très politique aux aventures buissonnières d'écoliers nippons romantiques.
Première 3/5
Bon, ce n'est sûrement pas pour son animation -propre mais désespérément banale- que 7 jours retient l'intérêt, mais pour son sujet et son écriture : cet éloge de la liberté et de l'accueil de l'autre résonne très fortement en notre époque, euh, compliquée là-dessus.
Le Monde 2/5
Le film met en scène la rupture entre la jeune génération et celle de ses parents, autour de beaucoup trop de thèmes (...).
Libération 1/5
Bluette sans danger, 7 jours est une rom-com façon ZAD Instagram.