« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Gameblog 9/10
Les vacances dépaysantes de Luigi's Mansion 3 ressemblent à une comédie fantasmagorique, chaque étage de ce somptueux hôtel donnant lieu à une pièce de théâtre à part entière qui revisite facétieusement les classiques de l'épouvante, suspense trépidant à l'appui. Une oeuvre issue de la fabuleuse imagination de Next Level Games, qu'illustrent les énigmes malicieuses et les ébouriffants face-à-face avec les poltergeists, pour certains d'anthologie. Et ces élucubrations se conjuguent à merveille en duo, a fortiori aux côtés d'un second joueur en chair plus qu'en os, les particularités visqueuses de Gluigi venant à la fois fluidifier et enrichir l'expérience. Dommage que les éléments supplémentaires de la panoplie du chasseur de fantôme s'acquièrent quasiment tous d'emblée, car l'exploration ne demande guère de se glisser dans les coulisses, hormis pour le score. Faire le ménage n'en reste pas moins exaltant, comme le souligne la dimension multijoueur, à l'envergure considérablement élargie. Rehaussée par un surcroît de pièges et d'objets désopilants, l'ascension de la tour s'appuie judicieusement sur l'esprit d'équipe, de façon à hanter éternellement les soirées entre amis dans la joie, et la bonne horreur...
JeuxActu 18/20
Avec autant d’éloges, vous devez certainement vous demander si Luigi’s Mansion 3 est perfectible. Oui, notamment au niveau du multi dont les modes sont loin de faire rêver ; ils font plus office de chips que de véritable prolongement de la campagne solo. Nous n’avons pas eu l’occasion d’essayer le jeu en ligne faute de session disponible au moment de notre test (ça figurait bien au planning de Nintendo, précisons-le), ce qui aurait permis de savoir si le netcode a été amélioré depuis Luigi’s Mansion 2. Malgré tout, le reste est ultra solide avec un moteur physique carré, des graphismes aux petits oignons, la coopération exaltante, le sound design top, l’humour omniprésent, les fantômes mieux incarnés, ou encore le gameplay huilé. Même la visée n’est jamais prise en défaut par les perspectives, et les développeurs se sont permis un petit clin d’œil sympathique au film d’horreur Poltergeist. Que demander de plus, si ce n’est le retour d'autres licences historiques sur Switch avec un tel degré de qualité ?
JVC 18/20
Luigi’s Mansion 3 est clairement le meilleur épisode de la série, reprenant l’ambiance du premier opus et offrant de nombreux moments inoubliables que nous ne voulons pas vous dévoiler. Si vous aimez un tant soit peu l’humour Nintendo et l’exploration, vous ne pouvez en aucun cas être déçu pour ce qui se présente déjà comme un des meilleurs jeux de l’année!
Millenium 9/10
Beau, intelligent, amusant... Difficile de ne pas tomber sous le charme de Luigi's Mansion 3, un titre qui ancre cette série parmi les plus prestigieuses (une de plus) de Nintendo. Jouable entièrement en coopération, LM3 n'a de cesse de surprendre son monde en proposant un level-design aux petits oignons et des épreuves toujours très inventives, et ce tout au long de l'exploration des 17 étages de cette nouvelle bâtisse à exorciser. Peu importe ses petits défauts, qui tiennent davantage du chipotage, le titre de Next Level Games se hisse tout simplement parmi les meilleurs jeux de la Nintendo Switch.
Destructoid 9/10
GamesRadar+ 9/10
Gamergen 17/20
Difficile de reprocher de réels défauts à ce Luigi's Mansion 3, qui est un vrai régal à parcourir. Nintendo propose ici un jeu plein de charmes, avec beaucoup d'humour, une belle ambiance comique et faussement horrifique, le tout porté par des graphismes très mignons.
Le gameplay est très simple à prendre en main, et pourtant, le titre met à disposition du joueur plusieurs mécaniques intéressantes, notamment grâce à un Ectoblast GL-U très complet, avec différents flashs et surtout la possibilité d'invoquer Gluigi, qui ne se fait pas souvent respecter. Rajoutez à cela des énigmes et combats de boss qui ne demandent pas beaucoup d'expérience, et vous avez là un jeu d'aventure très facile d'accès, pour petits et grands, comme sait si bien le faire Nintendo.
JVLive 17/20
Les fans de Luigi qui attendaient une nouvelle aventure sur console de salon ne seront pas déçus. Ce Luigi's Mansion 3 rejoint la liste des jeux incontournables sur Switch grâce au savoir faire de Nintendo. Avec ses nouvelles mécaniques de gameplay, le jeu ne cesse de proposer des nouvelles situations tout en variant les lieux et les ambiances tout au long de l'aventure.
GameInformer 8,5/10
Luigi's Mansion 3 is a fun ghost-hunting adventure regardless of your experience with the franchise.
Luigi's Mansion 3 est une aventure de chasse aux fantômes amusante, quelle que soit votre expérience avec la franchise.
God is a Geek 8,5/10
Gamekult 8/10
Presque aussi vieux que son frère, Luigi a grandi en popularité auprès de la communauté des adeptes de Nintendo. Aujourd’hui, pas loin de 20 ans après le lancement de sa série bien à lui, le petit frère vert reçoit tout autant de soin que son ainé pour Luigi's Mansion 3. Toujours plus imaginatif à mesure que l'on s'élève dans les étages de son hôtel, ce troisième volet surclasse ses deux prédécesseurs en y piochant toutes leurs bonne idées, revisitées et magnifiées. Bien plus long et inventif que le premier, bien plus agréable et plus complet que le suivant, il permet à cette licence mineure dans l'univers de Mario de prendre enfin de la valeur.
IGN 8,3/10
Luigi's first ghost-filled adventure on Switch offers up another satisfying blend of exploration and puzzle-solving.
Luigi's Mansion 3 est tellement amusant, charmant et intelligemment conçu que j'espère que nous en aurons plus de trois tout les 20 ans.
VideoGamer 8/10
SpazioGames 8/10
USgamer 8/10
Gamespot 8/10
Luigi's first ghost-filled adventure on Switch offers up another satisfying blend of exploration and puzzle-solving.
La première aventure de Luigi remplie de fantômes sur Switch offre un autre mélange satisfaisant d'exploration et de résolution de casse-tête.
Gameblog 10/10
Disco Elysium a le même souffle, certes un peu plus alcoolisé, que des monuments du CRPG comme Planescape Torment ou les deux premiers Fallout. Ce n'est pas dans la représentation isométrique de son univers diesel punk ô combien léché visuellement que cela se passe. Mais dans une écriture, parfaite, fleuve, n'ayant peur d'aborder aucun sujet, qui sert une sensation de liberté grisante. Le joueur un tantinet intéressé et investi a ici l'opportunité de vivre une enquête pas comme les autres, tour à tour drôle, surréaliste, touchant, noir, dramatique, qui vous donne vraiment cette impression de s'adapter à chaque choix, chaque envie. Avec son intrigue passionnante de bout en bout, son atmosphère particulière, sa galerie de personnages délicieuse et son insolente profondeur, Disco Elysium, c'est certain, est un des meilleurs RPG jamais conçus. Et il va être impossible à oublier.
JeuxActu 19/20
On se doutait bien qu'un jeu de rôle proposant un inventaire de pensées et des compétences capables de discuter avec le personnage principal ne pouvait pas être mauvais. Mais on ne s'attendait tout de même pas à une telle réussite. Disco Elysium entre directement au panthéon des RPG cultes, où il trouvera tout naturellement sa place aux côtés de Planescape Torment. Déjà encensé par ses premiers joueurs, le titre de ZA/UM mérite définitivement toute votre attention si jamais il ne l'a pas encore. A l'heure où Bioware et Bethesda partent clairement en vrille et où les premiers Fallout et autres Baldur's Gate ne sont plus qu'un lointain souvenir, les amateurs de véritables jeux de rôle ont enfin de quoi se réjouir. Disco Elysium réussit l'exploit d'être à la fois extrêmement original dans le paysage vidéoludique actuel, et totalement fidèle aux principes fondateurs des jeux de rôle papier. A ne surtout pas louper !
JVC 18/20
Il y aurait encore tant à dire sur Disco Elysium. À bien des égards, il est un jeu brillant. Doté d'une écriture tout simplement époustouflante, d'une direction artistique de haute volée et d'un principe, hérité des fondations mêmes du jeu de rôle papier, terriblement atypique, le titre de ZA/UM est une expérience incroyable qui laissera cependant sur le carreau les réfractaires aux jeux verbeux où les combats se règlent à coup de jets de dés, mais également, et c'est malheureux, le public n'ayant pas de solides bases d'anglais. Mais les autres, biberonnés aux Planescape Torment et autres Fallout vieille école trouveront là un RPG moderne, en aucun cas anachronique, intelligent, d'une densité assez inédite, où prendre de mauvaises décisions ou tout simplement échouer reste également une manière valable de mener l'enquête. Disco Elysium est assurément incontournable dans la niche dans laquelle il évolue et procure un sentiment d'incarnation grisant. Nous pourrions bien être en train d'assister à la naissance d'un futur très grand studio.
Millenium 8,8/10
Disco Elysium est une franche réussite, du moins dans son genre. L'écriture est intelligente et recherchée, offrant une histoire haletante et des dialogues savoureux à parcourir. Les différents choix proposés via le système de compétences permettent à n'importe quel joueur d'avoir une partie complètement différente suivant son arbre de talents, donnant une rejouabilité infinie. Le tout est habillé d'une direction artistique et d'une musique aux multiples inspirations qui devraient faire passer un très bon moment à n'importe quel fan du genre. En revanche, on le déconseille fortement aux anglophobes, le jeu faisant usage d'un vocabulaire complexe n'étant pas du tout traduit. Sans les comprendre, vous y perdriez tout l'intérêt du jeu. On mettra en garde aussi ceux qui veulent du gameplay, ce dernier étant globalement réduit à un simple Point'n Click.
PS : "un jeu d'exception, un RPG déjà culte, et si c'était lui le GOTY 2019 ?" JeuxActu
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PS : Personne ne vous obligent à le faire, mais si vous le faite, c'est cool
Le jeu est disponible aussi en Europe.
Langues : Anglais / Japonais / Chinois.
Le jeu possède dorénavant une démo US (PS4 -PStore-/Switch -eShop-).
Spike Chunsoft a confirmé qu'une démo européenne va prochainement arriver.
Joker est un film nécessaire car il explique des choses sur le cynisme de notre société surtout face aux marginaux (la scène avec le « Joker » face à Murray Franklin, je me disais « une scène similaire pourrait arriver entre un candidat de télé réalité et un producteur de ses programmes cynique, je serais malheureusement même pas étonné »).
En voyant le film j'ai pensé à cette citation "On reconnaît une société à la façon dont elle traite ses fous". Dans le cas de Arthur Fleck (Le futur « Joker »), nous voyions qu'il a un soucis psychologique, mais toute la question est pourquoi, au fur et à mesure nous comprenons d’où vient cette souffrance, son rire fonctionne un peu comme les personnes atteintes de bégaiement suite à un traumatisme.
Je pense que c'est le "joker", le plus humain que j'ai pu voir au cinéma, c'est pour ça que j'ai pour lui une certaine empathie (je trouve même qu'il y a des moments où il est "beau", il a la grâce), c'est ça qui est encore plus terrifiant quand il pète un plomb, car tu comprends même pourquoi tout en étant effrayé.
C'est une véritable trégie/comédie que vie Joker (une des scènes qui résument le mieux cette forme de dualité, c'est celle ou c'est anciens collègues lui rendent visite), comme le dit à un moment « avant je me disais que la vie était une tragédie, je me rends compte que c'est une comédie », ça me rappel cette citation «l'humour est la politesse du désespoir», dans le cas du film, le désespoir social.
Si cette société ne retrouve pas l'esprit de bienveillance (en y mettant des moyens humains et financier), qui cherche donc plutôt à inclure qu'à exclure, alors face à des personnes désarmé de patience mais armée (surtout si les armes sont accessible "facilement") d'une révolte, un retour de flamme pourrait malheureusement arriver...est-ce que nous sommes prêt à changer...je dirais « Joker »...
En sortant du film nous comprenons mieux les relations entre le « joker » et la famille Wayne, mais surtout « Batman est-il vraiment pour la justice ?»
Personnellement j'aimerais que Todd Phillips face lui même un film Batman avec ce Joker là.
Gameblog 8/10
Le travail réalisé est de belle qualité et n'oubliez que nous ne notons pas vraiment ici le matériau de base mais le remake/remaster. Et force est de constater qu'un beau travail de recréation et ravalement a été fait avec MediEvil. Aussi bien en termes graphiques que sonores, avec une très jolie réorchestration de la musique et de nouveaux doublages. On aurait pu penser que l'esprit mûrissant et vieillissant, on se retrouverait en face d'une madeleine de Proust sentant la naphtaline, mais ce n'est pas du tout le cas. C'est au contraire un plaisir plein de nostalgie qui fonctionne encore malgré son âge avancé.
Game Rant 8/10
GameOver.gr 8/10
GameSpew 8/10
JVLive 15/20
Le retour de Sir Daniel Fortesque s’avère globalement réussi. Le remake sur la génération actuelle fait son effet et on prend plaisir à découvrir le royaume de Gallowmere sous un nouveau jour. S’il dispose assurément de quelques défauts, ces derniers ne doivent absolument pas être considérés comme un frein à l’achat. MediEvil est avant tout une aventure magique, servie par un doublage de qualité qui vous fera vivre une magnifique expérience vidéoludique intergénérationnelle.
3DJuegos 7,5/10
Everyeye.it 7,5/10
God is a Geek 7,5/10
Destructoid 7,5/10
HardcoreGamer 7/10
It shows its age in some spots but for the most part it’s enjoyable. People with fond memories of it would probably enjoy this update over the original if for no other reason than the visual facelift. Its style has as much to do with its legacy as the gameplay but this is one of the more memorable titles to grace the original PlayStation. In spite of the areas where this title has not aged well, MediEvil is still fun and darkly charming adventure, and like Sir Daniel this HD remake still shows there’s life left in this corpse.
Il montre son âge à certains endroits, mais pour le reste, il est agréable. Les personnes qui en garderaient de bons souvenirs apprécieront sans doute cette mise à jour par rapport à l’original, sans autre raison que le lifting visuel. Son style a autant à voir avec son héritage que le gameplay, mais il s’agit de l’un des titres les plus mémorables de la PlayStation originale. Malgré les zones où ce titre n’a pas bien vieilli, MediEvil reste une aventure amusante et au charme sombre, et, comme Sir Daniel, ce remake HD montre toujours qu’il reste encore de la vie dans ce corps.
VideoGamer 7/10
An accomplished, excellent remake hampered only by some dated game design, MediEvil is a marvellously macabre medley of mayhem and mirth.
Un remake accompli, excellent, gêné seulement par une conception de jeu datée, MediEvil est un mélange merveilleusement macabre de chaos et de joie.
Gamergen 14/20
Si en tant que joueurs, nous avons pris un plaisir nostalgique à arpenter de nouveau Gallowmere aux commandes de Sir Daniel Fortesque, il faut bien avouer que ce MediEvil 2019 manque cruellement de nouveautés et d'une véritable prise de risque. Il se contente de rendre accessible à la génération de joueurs actuelle ce titre incontournable de la ludothèque PlayStation avec un rendu plus moderne, tout en conservant certains soucis d'antan en termes de maniabilité. Si vous n'avez jamais eu l'occasion de vivre cette aventure, vous en aurez tout de même pour votre argent.
JVC 13/20
S’engouffrant dans cette vague de remakes qui sévit depuis plusieurs années, MediEvil opte, à l’inverse de Resident Evil 2, pour une approche qui se veut la plus fidèle possible à l’original. On sera donc ravi de retrouver cette délicieuse ambiance gothique et notre chevalier décharné. A contrario, on sera un peu plus surpris par le fait que les développeurs n’aient pas amélioré certains éléments qui posaient déjà problèmes en 1998. Rien d’insurpassable mais suffisamment agaçant pour nous faire soupirer face à certains sauts peu précis et autres passages maladroits. Reste toutefois un classique ayant profité d’un lifting réussi et d’une aventure certes courte et sans véritable challenge mais parvenant encore aujourd’hui à nous donner envie de replonger dans cet univers pour profiter de ce mélange d’horreur cartoonesque et d’humour anglais.
IGN 6,5/10
MediEvil successfully brings Daniel Fortesque’s tale back from the dead yet again, but not nearly enough was done to modernize the mechanics of this remake.
MediEvil ramène avec succès Daniel Fortesque à la mémoire des morts, mais les efforts nécessaires pour moderniser les mécanismes de ce remake ont été insuffisants.
USGamer 4/10
With the remake of 1998's MediEvil, Other Ocean has done great work bringing the PlayStation title in 2019. Visually, this game is a winner. The problem is the decision to keep the gameplay largely the same. MediEvil's combat is muddy and its level design lacks any sense of exploration. This needed to be a more extensive remake. As it stands, it's only for those with heavy nostalgia for the property.
Avec le remake de MediEvil de 1998, Other Ocean a réalisé un travail remarquable en portant le titre PlayStation en 2019. Sur le plan visuel, ce jeu est un gagnant. Le problème est la décision de garder le gameplay essentiellement identique. Les combats de MediEvil sont boueux et sa conception de niveau manque d'un sens de l'exploration. Cela aurait du être un remake plus complet. Dans l'état actuel des choses, ce n'est que pour ceux qui ont une grande nostalgie de la licence.
La Nintendo Switch Lite se vent-elle moins que prévue en France ? D'après le site japonais Switchoku, qui cite un représentant d'une des plus grandes enseignes de distribution de jeu en France, les ventes de Nintendo Switch Lite seraient décevantes par rapport aux prévisions et aux ventes du modèle au Japon... Apparemment le distributeur n'aurait vendu que très peu de Nintendo Switch Lite et il n'y aurait aucun engouement de la part des "consommateurs"... Alors, évidemment on attendra les chiffres officiels avant de se faire un avis définitif surtout qu'avec les fêtes qui se rapprochent, la tendance peut, peut-être s'inverser...
Synopsis : De nos jours à Mexico. Dani Ramos, 21 ans, travaille sur une chaîne de montage dans une usine automobile. Celle-ci voit sa vie bouleversée quand elle se retrouve soudainement confrontée à 2 inconnus : d’un côté Gabriel, une machine Terminator des plus évoluées, indestructible et protéiforme, un « Rev-9 », venue du futur pour la tuer ; de l’autre Grace, un super-soldat génétiquement augmenté, envoyée pour la protéger. Embarquées dans une haletante course-poursuite à travers la ville, Dani et Grace ne doivent leur salut qu’à l’intervention de la redoutable Sarah Connor, qui, avec l’aide d’une source mystérieuse, traque les Terminators depuis des décennies. Déterminées à rejoindre cet allié inconnu au Texas, elles se mettent en route, mais le Terminator Rev-9 les poursuit sans relâche, de même que la police, les drones et les patrouilles frontalières… L’enjeu est d’autant plus grand que sauver Dani, c’est sauver l’avenir de l’humanité.
Moyenne presse 3/5 (pour l'instant).
20 Minutes 4/5
Ajouter un sixième volet à la saga « Terminator » ne semblait pas indispensable depuis que James Camerons’était fait remplacer à la réalisation. Et pourtant, Terminator, Dark Fate de Tim Miller constitue une excellente surprise !
Le Parisien 4/5
Un faux remake, aux scènes d'action spectaculaires et affichant des effets spéciaux toujours aussi dingues.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération 4/5
Produit par James Cameron et conçu comme la fin de sa trilogie initiale, le film est un honnête reboot parfois très inspiré.
Mad Movies 4/5
Socialement, politiquement et même philosophiquement engagé, "Terminator : Dark Fate" n’est évidemment pas film à sacrifier le spectacle dans le seul but de délivrer des messages. Au contraire, le spectacle les porte.
Le Journal du Dimanche 3/5
Amusant.
Le Monde 3/5
C’est ici, bien sûr, que l’impertinence de Tim Miller allège un film par ailleurs assez routinier, en poussant le personnage de Sarah Connor aux confins d’une Madame Foldingue et en conférant au T800 une famille, un métier (drapier) et une passion avouée pour la décoration d’intérieur.
Le Point 3/5
Sans rien révolutionner, ce 6e Terminator déploie assez d'énergie et de respect du spectateur pour remplir sa mission et racheter en partie une franchise en perdition.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Sixième volet de la franchise, "Dark Fate" opère l'effacement pur et simple des trois opus précédents. Ce que le film gagne en fidélité à l'esprit initié par James Cameron - ici producteur et coscénariste -, il le perd en ludisme, en invention et en charge théorique.
L'Express 3/5
Bref, rien de très nouveau dans le futur, si ce n'est une jolie tendance girl power, quelques astuces (faciles) de scénario, un peu de mise en scène dans les séquences d'action, un bon gros kif lors du retour d'Arnold...
Première 3/5
Divertissement plus qu’honnête, le sixième Terminator, mené par Linda Hamilton et Mackenzie Davis, déploie beaucoup d’efforts pour ressembler au Jugement dernier (le film, pas l’événement).
Rolling Stone 3/5
Si les ongles enfoncés dans les accoudoirs et le pop corn dans la bouche on ne s’ennuie pas un instant, on ne peut finalement pas passer outre la vacuité de ce sixième volet.
Télérama 3/5
Ce retour gagnant de Terminator est surtout assuré par un scénario qui respecte le principe simple et imparable des origines : taper sans fin sur une machine qui ne s’arrête jamais
Le Nouvel Observateur 2/5
Le pire, c’est que ce sixième « Terminator » n’est pas mauvais. (...) Mais ni les chemises de bûcheron de la star ni les rides de Linda Hamilton ne suffisent à gripper cette machine à recycler aux scènes d’action sans âme, symptomatique de ce qu’est devenu le divertissement selon Hollywood.
Les Inrockuptibles 2/5
Avec ses scènes d’action trop (et pas très bien) découpées (à rebours des plans-séquences ahurissants de "Gemini Man"), son robot labile qui recycle sans aucun apport tous les tours du vieux T-1000 de 1991, le film est bien en peine de susciter ce petit ébahissement devant des prodiges formels, préalable contractuel de la franchise.
Ouest France 2/5
Le principal intérêt du film ? Linda Hamilton, de retour dans la peau de Sarah Connor.
Le Figaro 1/5
James Cameron et Arnold Schwarzenegger sont de retour pour Terminator: Dark Fate, un nouvel épisode réalisé par Tim Miller. Mais la veine semble à bout de souffle.
Éditeur : Kadokawa Games / PQube
Genre : Aventure/Visual Novel
Prévu sur PS4/Switch
Date de sortie : Printemps 2020 (Japon)
Pour Root Film, Kadokawa Games a décidé de s'associer à plusieurs personnalités renommées dans divers domaines, à commencer par Hifumi Kono, le directeur général de la société Nude Maker (à qui l'on doit la série Clock Tower, Steel Battalion, Infinite Space, Terror of the Stratus ou encore NightCry, qui réalise le jeu et écrit son histoire. Comme ce fut le cas pour Root Letter, les personnages sont conçus par l'artiste Mino Taro (Love Plus, Exist Archive : The Other Side of the Sky, Seifuku Robinson, Megami Meguri, God Wars, LoveR...), et le titre est toujours produit par Yoshimi Yasuda, créateur de la série.
L'histoire se Root Film se concentre sur une série télévisée / drama du nom de Shimane Mystery Drama Project, qui avait été annulée pour une raison obscure il y a 10 ans alors que le pilote venait d'être filmé. Ce drama devait se dérouler à Shimane, et aurait dû également servir de promotion touristique pour la préfecture. Afin de relancer le projet, trois équipes composées d'un réalisateur et d'une actrice ont été choisies, dont Rintaro Yagumo, un homme âgé de 23 ans, et la jeune actrice Riho, les protagonistes du jeu. C'est alors qu'une compétition entre les trois équipes débute, les deux autres étant constituées de réalisateurs célèbres. Très enthousiasmé par l'opportunité incroyable de relancer ce projet, le jeune réalisateur oublie vite son emballement lorsqu'un meurtre horrible se produit alors que les membres du personnel partent à la recherche d'un lieu de repérage...
Synopsis : A Paris, Naoufel tombe amoureux de Gabrielle. Un peu plus loin dans la ville, une main coupée s’échappe d’un labo, bien décidée à retrouver son corps. S’engage alors une cavale vertigineuse à travers la ville, semée d’embûches et des souvenirs de sa vie jusqu’au terrible accident. Naoufel, la main, Gabrielle, tous trois retrouveront, d’une façon poétique et inattendue, le fil de leur histoire...
Sans parler de trahision nationale, le fait est que Nintendo reconnaît avoir commis deux impairs auprès du public japonais. Le premier est de ne jamais avoir indiqué que Tokyo Mirage Sessions #FE Encore est basé sur l'édition occidentale de Tokyo Mirage Sessions #FE, laquelle avait fait l'objet d'un certain nombre de retouches de nature cosmétique pour ne pas s'attirer trop de problèmes au regard de l'exposition des héroïnes mineures du jeu. Le public japonais pouvait d'autant moins s'en douter que l'une des captures utilisées par Nintendo pour promouvoir Tokyo Mirage Sessions #FE Encore sur son site officiel était clairement extraite de la version Wii U japonaise. Cette dernière est la seule dans laquelle Tsubasa et ses copines s'affichent en bikini, comme on peut le voir dans ce comparatif Japon/Occident.
Les images incorrectes ont été modifiées le 10 octobre, et c'est une semaine plus tard que Nintendo a clarifié la situation en expliquant que la version japonaise de Tokyo Mirage Sessions #FE Encore est donc sujette aux mêmes modifications que Tokyo Mirage Sessions #FE en Occident. Nintendo reconnaît avoir manqué de clarté dans sa communication et propose ainsi aux joueurs de rembourser leur précommande, y compris celle effectuée sur le Nintendo eShop, ce qui constitue l'air de rien un cas de figure assez exceptionnel. Nintendo communiquera ultérieurement sur le processus d'annulation de la précommande.
En localisant le RPG d'Atlus pour l'Occident en juin 2016, Nintendo avait non seulement retouché certaines tenues mais aussi modifié l'âge des personnages de façon à leur donner une année de plus (la protagoniste Tsubasa devenant ainsi majeure avant l'heure) et censuré la visibilité lors de certains angles de caméra un peu trop audacieux. Le plus gros changement était intervenu dans le cadre du troisième donjon du jeu, dont le thème original reposait sur le mannequinat et plus spécifiquement sur une gravure idol dont le travail est de poser de façon suggestive en sous-vêtements et autres maillots de bain. Dans la version occidentale, il n'était soudainement plus question de bikini mais de vêtements urbains nettement moins risqués, comme le détaillait la chaîne Censored Gaming.