« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le jeu Nintendo Switch Sports, qui sortira le 29 avril prochain, pourrait bénéficier d’une prise en charge de l’AMD FSR (FidelityFX Super Resolution) afin d’améliorer les performances. Pour l’instant, les contours de la mise en œuvre restent flous : elle pourrait permettre d’améliorer la fréquence de rafraîchissement en mode portable (720p), en mode TV (1080p), voire les deux.
Rappelons que la Nintendo Switch embarque une puce NVIDIA, en l’occurrence un SoC Tegra X1 (quatre cœurs CPU Arm Cortex-A57 associé à un GPU NVIDIA Maxwell avec 256 cœurs CUDA). Ce SoC n’est plus tout jeune : il a fait ses débuts en 2015. Il octroie à une la Nintendo Switch une puissance théorique FP32 de 393,2 GFLOPS.
Ainsi, le coup de pouce attendu serait finalement donné par le FSR d’AMD plutôt que le DLSS. Contrairement à la solution de NVIDIA, celle d’AMD est open source. L’entreprise précise qu’elle « s’étend à un large éventail d’anciens et de nouveaux produits », y compris les cartes graphiques de NVIDIA. Le SoC Tegra ne figure toutefois pas encore dans la liste du matériel pris en charge.
Nous pourrions être rapidement fixés, puisque Nintendo Switch Sport sera jouable via une bêta les 19 et 20 février.
Les amateurs d’animation japonaise disposent d’un nouveau moyen pour profiter n’importe où de leurs programmes avec la nouvelle application Crunchyroll lancée aujourd'hui à travers le monde sur Nintendo Switch. En combinant la meilleure des expériences, tant dans son salon que sur mobile, les utilisateurs peuvent profiter en France de plus de 700 séries et quelques 12 000 épisodes sur l'application Crunchyroll, notamment Demon Slayer: Kimetsu no Yaiba et One Piece. Via leur console Nintendo Switch, qu'elle soit connectée chez soi à la maison ou transportée à l’extérieur, ils peuvent poursuivre l’expérience grâce à la prise en charge complète du mode hors-ligne.
Crunchyroll est ainsi la première application de streaming à proposer le visionnage hors-ligne sur Nintendo Switch™ et l’une des rares applications SVOD disponibles sur la console de jeu. Par le biais de son abonnement Crunchyroll, l’utilisateur peut accéder à l'application Crunchyroll et ainsi profiter d'un nombre illimité d’épisodes sans publicité, avec des séries en simulcast le jour même que leur diffusion au Japon.
Fonctionnant avec la technologie Unreal Engine d'Epic Games, l'application permet aux utilisateurs de profiter de leurs anime directement sur leur écran TV, avec leur console connectée et branchée sur un téléviseur, en Mode sur Table, permettant aux fans de partager leurs programmes avec d'autres personnes, ou en mode portable, à prendre en main avec les manettes Joy-Co.
Un portail regroupant des informations sur le lore de Resident Evil, Resident Evil 2, Resident Evil 3: Nemesis et Resident Evil 0.
Mais, c'est pas fini, il tease une mise à jour pour le 22 Février 2022.
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Et un autre teaser, pour les 35 ans de Street Fighter
Il faudra attendre le 21 Février 2022 à 7H00, pour connaitre la révélation. https://www.capcom-games.com/countdown/
La version PS4 offre l'upgrade vers la version PS5 au tarif de 69.99 euros
La version PS5 quant à elle coûte 79.99 euros, soit 10 euros de plus.
Pour rappel, PlayStation avait annoncé que l'upgrade vers la version PS5 coûterait 10 euros de plus, avant de se rétracter devant la gronde des joueurs.
IGN France 4/5
Uncharted s'en sort véritablement bien, pour un film de type Indiana Jones doublé d'une adaptation de jeu vidéo. Il y a une tonne de points sur lesquels pinailler et le reste de cette critique est là pour ça, mais globalement, c'est pas si mal, tout simplement.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Si on reste sur un film d’aventure somme toute classique, Uncharted remplit le cahier des charges du blockbuster avec un certain talent.
Le journal du geek 4/5
Sans véritablement révolutionner le genre, Uncharted s’impose comme un divertissement à l’état pur. Une relecture plutôt réjouissante des jeux vidéo à succès, qui en oublie néanmoins d’être une fable de personnages.
Le Parisien 4/5
Atout majeur, Tom Holland, aussi agile que dans « Spider-Man » et se livrant ici à quelques cascades mouvementées. Manque le petit zeste de génie pour faire du film l’égal d’un Indiana Jones, on reste ici plutôt au niveau de « Tomb Raide »r ou « Benjamin Gates », et c’est déjà très bien.
20 Minutes 3/5
On passe un bon moment avec ce divertissement qui n’a pas d’autre ambition que de dépayser sans prise de tête.
Écran Large 3/5
Anodin mais divertissant, superficiel mais jamais lourd, Uncharted est un blockbuster qui a la politesse de ne jamais ennuyer son spectateur et d'épouser par instant l'énergie tourbillonnante de son héros, à défaut de proposer quoi que ce soit de neuf ou de marquant.
Télé Loisirs 3/5
Ce film d'aventures aux influences assumées – entre Indiana Jones et James Bond –, mais au scénario parfois brouillon, offre à Tom Holland un joli plateau de jeu côté cascades, avec des scènes de voltige intenses.
Filmsactu 2/5
Ni convaincant en tant que blockbuster d’aventure épique, ni réussi en tant qu’adaptation d’un jeu culte, Uncharted loupe le coche et c’est bien dommage pour celles et ceux qui attendaient la relève d’Indy.
Le journal du Dimanche 2/5
Le scénario est sommaire et parfaitement invraisemblable. Mais ce divertissement remplit son cahier des charges grâce au charisme et à la dextérité de Tom Holland.
Le Nouvel Observateur 2/5
Effets spéciaux, explosions, bagarres, on sort de là la tête farcie et les oreilles malaxées. C’est au cinéma ce qu’un cheval de course soviétique était au sport hippique : un chameau décabossé.
Libération 2/5
Mais au terme des deux heures de ce spectacle mollasson qui transforme le petit chapardeur archéologue amateur Nathan Drake (Tom «Tintin» Holland) en chasseur de trésor, comment ne pas y voir l’incapacité d’un certain cinéma, les blockbusters de studio dans lesquels le réalisateur est un exécutant comme un autre, à rivaliser avec les plus grosses productions de l’industrie ludique.
Le Figaro 1/5
Holland ne lâche pas son gentil sourire, Wahlberg roule des mécaniques sans trop y croire. Inspiré d'une franchise de jeux vidéo, ce film à 120 millions de dollars pourrait être le début d'une nouvelle saga. Prochaine mission : trouver un scénario.
Le Monde 1/5
Le film se prend les pieds dans son ambition aberrante : adapter un jeu vidéo inspiré du cinéma.
Première 1/5
Conclusion ? Le film Uncharted possède bien moins de cinéma que les jeux qu’il promeut.
Le Gamepass (ça pourrait être un autre service d'abonnement du même type), c'est devenu l'argument principal chez Microsoft, le nombre d'abonnés le montre.
Voici mon ressentie, je précise, je n'ai pas le Gamepass, mais je vais expliquer mon ressentie (après c'est que mon avis) à travers une anecdote.
J'ai travaillé dans un magasin de jeux vidéo, par conscience professionnelle, pour vendre/conseiller, j'essayais les jeux, je pouvais me permettre, c'était accessible pour moi (même les nouveautés), mais le souci, je ne pouvais pas jouer le jeu entièrement, donc je commençais, mais ne finissais pas dans la majorité des cas, car déjà je n'avais pas le temps et en plus j'avais l'impression d’être encore au boulot, de plus, j'essayais plein de jeux (même ceux qui au premier abord, me disaient rien, mais c'est encore mieux quand vous essayez pour vous faire votre propre avis), à un moment j'en étais dégouté, le trop-plein (limite "écœuré"), il m'a fallut du temps pour de nouveaux apprécier les jeux.
J'avais un ami à l'époque qui venait me voir, il aimait aussi les jeux vidéo, je lui disais que s'il voulait, il pouvait choisir les jeux qu'il voulait essayer, je me souviens qu'au début il me disait "trop bien, je vais pouvoir essayer plein de jeu gratuitement", même pas 2 mois après, il regardait les boîtes, de semaine en semaine, le nombre de jeux qu'ils me demandaient d'essayer diminuait, il même dit un jour "je sais même pas à quoi jouer, j'ai fait le tour de ce que je voulais essayer"...
Quand j'ai travaillé comme projectionniste, il m'est arrivé la même chose.
Je pense que pour apprécier un jeu ou un film, il faut le voir (ou y jouer) entièrement, dans des bonnes conditions (donc sans pression, en gros) et surtout quand tu l'as réellement sélectionné et non "subis".
Quand tu travailles dans un domaine comme ça, tu vois le nombre de jeux, film ect que "normalement" tu aurais même pas eu l'idée d'essayer (ou voir) et tu te rends encore plus compte du temps qu'il y a entre deux jeux que tu estimes réellement "intéressant" (disons qui te parles).
Est-ce que vous avez le même ressentie que moi ou pas du tout ?
L'une des annonces les plus marquantes du dernier NIntendo Direct est Mario Strikers : Battle League Football, mais nous savions pas qui développe le jeu. NintendoWorldReport nous révèle que c'est tout simplement Next Level Games (le jeu est co-développé avec Nintendo).
Ils ont déjà développé Mario Smash Football sur Gamecube et Mario Strikers Charged Football sur Wii.
Verdict
Crossfire X souffle le chaud, mais surtout le froid. La partie en ligne est indigne d’une production 2022 et pour bien des raisons à commencer par un contenu trop faible et surtout trop fermé. Le manque de finition et stabilité pose la question des contrôles qualité validant la mise en ligne d’un jeu, la situation ne donnant pas du tout envie de jouer dans ces conditions. C’est dommage, car visuellement, Crossfire X reste agréable pour un portage d’un titre de plus de 15 ans et Remedy rehausse fortement le tout avec une campagne qui semble tout d’un coup solide quand on sort d’une session multi. La partie free to play souffre de bien trop de défauts rédhibitoires pour prétendre se créer une communauté aujourd’hui et j’aurais tendance à vous le déconseiller malgré sa gratuité. Le solo, pourquoi pas, mais sachez que cela vous en coutera une 30aine d’euros pour 4-5 heures.
Passable
On pourrait résumer Crossfire X en très peu de mots : non optimisé, sans contenu, avec un shop trop présent. Heureusement que Remedy offre une campagne un minimum intéressante. Sans cela on n'entendrait bientôt plus parler du FPS de Smilegate, hormis drama.
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God is a Geek 4/10
CrossfireX has some interesting ideas in Remedy's dual campaigns, but everything else feels dated and generic.
CrossfireX a quelques idées intéressantes dans les doubles campagnes de Remedy, mais tout le reste semble daté et générique. IGN 3/10
CrossfireX's pair of single-player shooter campaigns are sloppy, soulless, and mercifully brief.
Les deux campagnes solo de CrossfireX sont bâclées, sans âme et heureusement brèves.
Né en Tchécoslovaquie après la Seconde Guerre mondiale, Ivan Reitman débarque au Canada à l'âge de 4 ans avec sa famille. Pendant ses études, il réalise et produit plusieurs courts-métrages, avant de fonder une société de distribution spécialisée dans le cinéma non commercial.
Il entre peu de temps après à la télévision en tant que producteur. C'est là qu'il fait la connaissance de Dan Aykroyd, qui sera à l'affiche de certains de ses films, à qui il confie la présentation d'une émission, Greed. C'est également grâce à la télévision qu'il fera la rencontre de deux acteurs qui collaboreront avec lui par la suite, Bill Murray et John Belushi. Les trois participent à la création de la série satirique The National Lampoon Show.
Après ce début de carrière dédié au petit écran, Ivan Reitman se lance dans la réalisation de son premier long-métrage en 1971, Foxy Lady, qu'il produit également. Accumulant les fonctions de producteur et de réalisateur, il ne rencontre son premier succès qu'en tant que producteur avec American College, réalisé en 1977 par John Landis.
Spécialiste de la comédie, il donne son premier contre-emploi à Arnold Schwarzenegger avec Jumeaux, film dans lequel l'ancien Monsieur muscle joue le rôle du jumeau de Danny DeVito. Le tandem Arnold Schwarzenegger-Ivan Reitman se reformera à deux reprises avec Un flic à la maternelle et Junior.
En 1989, cinq ans après le premier volet, l'équipe de S.O.S. Fantômes se réunit pour une suite qui connaitra également un vif succès. Tout comme Président d'un jour avec Kevin Kline et Sigourney Weaver.
Egalement producteur, il avait produit In the Air de son fils Jason Reitman, qui lui avait valu une nomination à l'Oscar.