« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Si nous regardons par rapport au classement de Comgnet, le jeu pourrait démarrer autour de 300 000 exemplaires (il est à 306 pt, "généralement" 300 c'est autour de 300 000 ventes, 200 c'est autour de 200 000 ventes ect), il n'y a plus qu'a attendre jeudi pour la confirmation par les chiffres Famitsu (Famitsu qui lui a attribué 40/40). https://www.comgnet.com/ranking/
PS : Paper Mario pourrait démarrer autour de 100 000 exemplaires.
Moins de 20€
Monster Boy and the Cursed Kingdom 17,99€ au lieu de 39,99€
Moins de 15€
Aragami : Shadow Edition 14,99€ au lieu de 29,99€
Yooka-Laylee and the Impossible Lair 14,69€ au lieu de 29,99€
The Touryst 13,99 € au lieu de 19,99€
Fast RMX 13,99 € au lieu de 19,99€
Blasphemous 12,49 € au lieu de 24,99€
SteamWorld Quest : Hand of Gilgamech 12,49 € au lieu de 24,99€
My time at Portia 10,19 € au lieu de 29,99€
Moins de 10€
Candleman 9,79€ au lieu de 13,99€
Momodora : Reverie Under the Moonlight 9,79€ au lieu de 13,99€
Yoku's Island Express 6,79€ au lieu de 19,99€
Mechstermination Force 5,99€ au lieu de 11,99€
Moins de 5€
Severed 5,99€ au lieu de 14,99€
Danmaku Unlimited 3 4,49€ au lieu de 8,99€
Flipping Death 3,99€ au lieu de 19,99€
Death Squared 1,25€ au lieu de 12,50€
ect
Le jeu est sortie en 1997 sur PS1.
Développeur : Love-de-Lic.
Il sortira sur Switch, en anglais, pour la première fois.
Il est prévu aussi au USA, Europe et Australie.
Le site officiel ouvrira dans 13 Jours. Site du jeu
En tout cas, les fans s'emballent depuis quelques heures suite à la découverte d'un nouveau compte Twitter caché qui serait cette fois estampillé F-Zero !
Souvenez-vous, déjà il y a deux jours, des fans ont, semble-t-il, mis à jour un compte Twitter officiel pour célébrer les 35 ans de Mario. Un compte que Nintendo aurait créé et caché dans l'attente de la présentation de ses plans à venir... Et donc, apparemment, la société japonaise aurait créé un autre compte Twitter cette fois pour F-Zero. Comme pour celui des 35 ans de Mario, ce compte dont l'adresse serait @FZeroJP, serait pour le moment caché sous un pseudo provisoire et proche de l'autre (genre "aaaaaaa" ) et son adresse de récupération de mot de passe pointerait aussi sur le site Nintendo officiel, là encore comme celui des 35 ans de Mario...
Evidemment, à ce stade, la prudence reste de mise surtout qu'il est très facile aujourd'hui de créer des faux. Cependant, il faut noter que ce compte a, semble-t-il, été créé en mars 2020 (et non il y a quelques heures suite à la news précédente...) Alors cela accrédite-t-il forcément le retour de F-Zero sur Nintendo Switch ? Pas forcément... Même si le compte existe, c'est peut-être simplement Nintendo qui sécurise et réserve l'adresse pour qu'elle ne soit pas utilisée par un tiers.
Encore quelques jours à patienter avant d'en avoir le cœur net.
Alors qu'un compte Twitter pour les 35 ans de Super Mario a, semble-t-il été déniché sur le net, on apprend que Zippo, une sommité dans le petit monde des rumeurs (notamment pour avoir annoncé en premier qu'il n'y aurait pas de Direct cette année en juin...) balancé quelques petites infos aux fans affamés qui se sont jetés dessus comme des chiens enragés qui n'auraient eu quasiment rien à manger depuis janvier. Voici ce qu'il faut en retenir :
D'abord il y aura bien un Nintendo Direct en juillet. Il annonce la date du 20 juillet.
Deux nouveaux titres seront au moins dévoilés à cette occasion
Les portages des jeux Mario 3D seront annoncés à cette occasion
Super Mario 64 bénéficiera d'améliorations et sera donc "légèrement meilleur" que le jeu original et jouable pour la première fois en "écran large"
Par contre Super Mario Sunshine, Super Mario Galaxy et Super Mario Galaxy 2 seront des simples portages en haute résolution.
Finalement, le portage le plus intéressant sera celui de Super Mario 3D World. En effet, ce Super Mario 3D Switch pourrait cacher pas mal d'améliorations...
Gameblog 9/10
Si l'héritage de Paper Mario plane encore sur The Origami King, point ici de syndrome de la page blanche, pliée sens dessus dessous grâce à la faramineuse imagination de la mise en scène et du récit, résolument audacieux. L'inventivité d'Intelligent Systems se déploie également à travers l'architecture ingénieuse de cet univers et la dimension stratégique des combats, qui deviennent ainsi de véritables casse-tête. Un tel surcroît de profondeur aussi bien martelé ne donne toutefois jamais la migraine, la quête principale résidant dans la découverte de l'ensemble des richesses du royaume champignon, de sorte que ce RPG moustachu s'affirme comme le souverain incontestable en son propre domaine.
GameSpot 8/10
Destructoid 8/10
Game Informer 7,75/10
JeuxActu 16/20
Grâce à son humour sans faille, son univers Mario légèrement "twisté", et son système de combats réellement original, The Origami King se place parmi les meilleurs Paper Mario ayant vu le jour jusqu'à maintenant. Cet opus papetier peut même rivaliser sans trop de peine avec certaines aventures principales du plombier italo-japonais. Son seul véritable gros défaut provient de la répétitivité des combats, qui auraient gagné à être un peu moins nombreux ou un peu plus variés. Mais ce problème est loin de venir gâcher la fête. Il suffit de faire une pause de temps en temps, et on repart à l'aventure avec grand plaisir à chaque fois qu'on se pose à nouveau devant notre écran ou qu'on reprend la console dans les mains.
Millenium 7,5/10
Au demeurant fort sympathique, Paper Mario The Origami King reste malheureusement, et justement, un peu plat. Ses dialogues drôlatiques et sa direction artistique originale parviennent à maintenir l'attention du joueur, mais tout le reste contribue à installer ce dernier dans une routine loin d'être palpitante. Il reste cependant une excellente initiation aux combats tour par tour pour les plus jeunes, mais l'on pourrait finalement dire la même chose de tous les épisodes récents de la licence.
JVC 14/20
Paper Mario : The Origami King n’est peut-être pas le meilleur jeu de la série, mais il reste une aventure d’assez bonne facture grâce à des scènes drôles, une réalisation propre et des situations diverses et variées. Il parvient à nous occuper pendant toute l’expérience, même si on regrettera un système de combat très plat et quelques moments lassants dans les phases d’exploration. S’il est plus un jeu d’aventure qu’un RPG, il n’en reste pas moins efficace pour nous voler quelques sourires, et c’est déjà ça.
Depuis la création du magazine, 26 jeux ont reçu la note de 40/40 :
The Legend of Zelda : Ocarina of Time
SoulCalibur
Vagrant Story
The Legend of Zelda : The Wind Waker
Nintendogs
Final Fantasy XII
Super Smash Bros Brawl
Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots
428 : The World Doesn't Change Even So
Dragon Quest IX
Monster Hunter Tri
Bayonetta
New Super Mario Bros. Wii
Metal Gear Solid : Peace Walker
Pokémon Version Noire et Version Blanche
The Legend of Zelda : Skyward Sword
The Elder Scrolls V
Final Fantasy XIII
Kid Icarus : Uprising
Yakuza
JoJo's Bizarre Adventure: All Star Battle
Grand Theft Auto V
Metal Gear Solid V : The Phantom Pain
The Legend of Zelda : Breath of the Wild
Dragon Quest XI
Death Stranding
GameInformer 9,5/10
Destructoid 9,5/10
IGN 9/10
GamesRadar+ 9/10
God is a Geek 9/10
Hardcore Gamer 9/10
Attack of the Fanboy 9/10
Gameblog 9/10
Ghost of Tsushima, la dernière "grosse cartouche" de la PS4, propose une formule en monde ouvert à la Horizon Zero Dawn, avec moult activités, plutôt variées, et des combats à l'arme blanche efficaces et prenants, mais un poil basiques. Les phases d'infiltration sont elles aussi réussies, et l'Île de Tsushima est un terrain de chasse bien rempli qui devrait vous tenir occupé assez longtemps. Si la jouabilité peut donc se targuer d'être a minima "très solide", la vraie force de Ghost of Tsushima sera sa direction artistique de très, très haute volée. Les paysages ressemblent à des estampes japonaises animées, on en prend plein les mirettes avec les changements de luminosité et de climat, et chaque petit coin de forêt devient un délice à observer. De plus, l'histoire, qui met aux prises Jin Sakai, un Samouraï devenu Ninja malgré lui, à des Mongols venus imposer leur loi est plutôt agréable à suivre. L'ambiance créée pour l'occasion est de plus soutenue par un aspect technique de très haute volée, ou jamais notre PS4 Pro n'a failli à afficher un rayon de lumière transperçant les arbres d'une foret ou les reflets de la lune sur la lame de notre katana. Indispensable, c'était une évidence dès les premières minutes de jeu en monde ouvert. La note, elle est tombée tout de suite après le générique de fin. Franchement, si vous avez une PS4 chez vous, on vous conseille de jouer à Ghost of Tsushima, tout simplement !
JeuxActu 17/20
Avec Ghost of Tsushima, Sucker Punch a fait le choix de repartir d’une feuille blanche et d’oublier les années inFAMOUS. Un peu comme son héros Jin Sakai – qui a décidé de s’écarter du bushidô pour défendre son île – le studio s’affranchit des codes de l’open-world en demandant aux joueurs de se fier uniquement à leur curiosité. Conçue avec brio, la map du jeu est une découverte permanente, que l’on s’en remette au vent ou à la faune. L’occasion de découvrir tous les charmes qu’elle a à offrir, car si on peut difficilement nier le downgrade graphique, la magnificence de certains endroits est grisante. Lettre posthume à Akira Kurosawa, Ghost of Tsushima va jusqu’à proposer un mode noir et blanc baptisé à son nom, en s’efforçant de coller au mieux aux films de samouraïs. Et c’est justement cette obsession qui fait que le jeu se montre fragile sur des points sensibles tels que l’infiltration, l’I.A., ou encore l’écriture des personnages. Mais la magie est telle que ces carences passent au second plan quand on est dans la peau de Jin Sakai, et que l’on tranche les Mongols avec une classe indescriptible. Alors, Mesdames et Messieurs, ayez la décence de ne pas qualifier l’œuvre de Sucker Punch « d’Assassin’s Creed au Japon » : le costume serait sans doute trop grand pour la licence d’Ubisoft.
JVLive 17/20
Comme avec Days Gone l'année dernière, Ghost of Tsushima ne réinventera en aucun cas la roue, mais il lui arrive pourtant de faire mieux que des grosses machines installées dans le paysage vidéoludique. Trop classique dans le déroulé des missions ou dans l'organisation et l'implémentation des camps, trop lâche dans son infiltration, trop "déjà-vu", le jeu de Sucker Punch sait néanmoins nous transporter. Avec son atmosphère à part où l'on peut prendre le temps de s'imprégner de ce monde aux environnements incroyables, pour tous ceux qui y sont sensibles, sa tentative d'impliquer sans prendre à 100% la main du joueur, son écriture et sa mise en scène bien meilleures que les précédentes productions du studio, son ambiance sonore, ses combats et tout simplement son immersion dans le monde des samouraïs, Ghost of Tsushima est un beau voyage par procuration au Japon à faire pour les possesseurs d'une PS4.
Millenium 8,2/10
Avec son gameplay satisfaisant et sa durée de vie solide (30 à 40h environ), Ghost of Tsushima est une exclusivité supplémentaire de qualité pour la PS4. Il sait réutiliser les mécanismes et les fondations établies par d'autres licences, et leur donner sa touche personnelle. Et quelle touche, ce n'est pas juste un Assassin's Creed au Japon du temps des samouraïs, il a un code visuel propre quasi-cinématographique, une ambiance à couper au katana, et la sublime l'île de Tsushima qui remplace naturellement une partie des éléments de l’interface qui ne manqueront probablement pas d'inspirer à son tour, même s'ils auraient pu aller plus loin. Le tout teinté de poésie, ce qui est plutôt osé pour un titre grand public. On regrette néanmoins qu'il ait de grosses faiblesses sur quelques points fondamentaux, avec un gros manque de variété dans les points d'intérêt, les combats et surtout les duels, ce qui, combiné a une difficulté mal ajustée, nous a lassé sur la fin. Cela reste néanmoins une très bonne expérience et un jeu plein de personnalité.
VideoGamer 8/10
Game Revolution 8/10
USgamer 8/10
JVC 15/20
Alors, qu'est-ce qu'elle a dans le ventre la dernière exclusivité majeure PS4 ? Le résultat est plutôt mitigé. D'un côté le titre, visuellement solide, transpire le dépaysement à tous les étages et ses environnements ne demande qu'à être exploré. Le tout est de plus soutenu par un système GPS guidé par le vent qui, s'il n'est pas sans défaut, a le mérite de faire regarder le joueur devant soi plutôt qu'une mini-map. Mais c'est après quelques heures que l'on ressent quelque chose de bancal. Déjà au niveau des combats dont certains choix surprenants, comme l'impossibilité de voir le nombre de munitions de certaines armes en un coup d'oeil, alourdissent l'ensemble. Surtout que les combats, ils sont un peu beaucoup trop au coeur de Ghost of Tsushima. La quasi-intégralité des missions, quelles soient secondaires ou principales, demandent de faire le ménage dans un camp, ce que le joueur aura déjà largement l'occasion de faire au cours de ses balades. Le tout n'est pas aidé par l'écriture, assez pauvre et mécanique, qui contient quand même quelques fulgurances (notamment en ce qui concerne la lente transformation de Jin, le héros). Bref, on fait très souvent la même chose et ce qu'on nous y raconte n'est pas passionnant. S'en dégage un léger goût amer, qui s'estompe lorsque le titre nous laisse les mains libres mais qui revient quand on retombe sur une quête ou un énième campement à nettoyer. Le jeu de Sucker Puch n'en reste pas moins agréable à parcourir et complet (15h en ligne droite pour la quête principale). Mais ce n'est pas une claque. Plutôt une main tendue vers le Japon féodal que l'on acceptera volontiers.
Gamergen 14/20
Malgré les défauts techniques et les problèmes d’écriture, cela reste tout de même un bon jeu qui fait passer le temps, mais qui ne va pas forcément marquer les esprits. Nul doute que Sucker Punch va prendre en compte les retours des joueurs pour peaufiner sa production au fil des semaines. Alors oui, si vous cherchez une aventure à monde ouvert dans un Japon atypique, Ghost of Tsushima fait un minimum le café. Simplement, ne vous attendez pas à un périple qui va vous retourner le cerveau.
Gamespot 7/10
Gamekult 6/10
Drôle de lame donc que ce Ghost of Tsushima, sorte d’archétype de l’open-world à activités des années 2010 trempé dans un bain de poésie et de solennité dans l’espoir de solidifier sa différence en toute fin de génération. Derrière ses oripeaux de jeu fasciné par l’éphémère, derrière cette contemplation de la nature qui voudrait vous faire croire à la valeur de chaque instant, il y a cependant un monde ouvert tout à fait routinier, machinal parfois, non seulement adepte de la liste de courses mais aussi particulièrement doué dans l’exercice - comme en témoigne son talent naturel pour l’équipement, l’artisanat et les bonus cosmétiques. De ce titre qui jongle entre exploration, action et infiltration sans jamais vraiment exceller dans un exercice ou dans l’autre, on retient surtout des gimmicks, des tentatives d’innover malheureusement trop superficielles pour tenir la distance. Reste au bout du chemin l’un de ces jeux-cartes-postales tout à fait envisageables pour partir au bout du monde sans quitter votre logis, mais aussi un titre globalement sous-réalisé, assez loin du dernier grand jeu PS4 espéré par certains.
Ainsi lorsque l'on apprend (via le site Switch Brasil)que le géant US GameStop, vient d'ajouter de nouvelles entrées mystérieuses dans son catalogue Nintendo Switch (en fait des "SKU" pour "stock-keeping unit" que l'on peut traduire en français par "unité de gestion des stocks") l'excitation monte... Et encore plus en apprenant qu'une maintenance est prévue justement pour intégrer les jeux Nintendo Switch au catalogue, le 14 juillet prochain soit dans trois jours...
Nintendo Master
HS : Je ne pourrais pas exceptionnellement faire des articles "indé" jusqu'à mardi soir (sachant qu'il y a pourtant un live Devolver Digital ce soir...), désolé d'avance.