« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le réalisateur Thomas Mahler chez Moon Studios a également confié quelques détails sur des améliorations qui ont été réalisées sur la version Switch du jeu. En effet, il a précisé que, les animations des sprites d'Ori ont été améliorées. Désormais, les animations des sprites sont à 60 images par seconde, contre 30 pour les autres versions. Si les développeurs ont pu effectuer cette amélioration, c'est grâce à leur travail sur le moteur utilisé par le studio depuis une dizaine d'années. Il a aussi précisé que beaucoup d'optimisations faites pour Ori and the Will of the Wisps ont été également effectuées pour la version Switch du premier jeu. Si vous avez donc joué à Ori and the Blind Forest sur PC et / ou Xbox One, puis que vous y rejouez sur Switch, et que vous remarquez que les animations d'Ori sont plus fluides, ce sera donc tout à fait normal.
D'après l'institut (Media Create), la Nintendo Switch Lite se serait écoulé à 114 000 exemplaires au cours de ses trois premiers jours de commercialisation sur l'Archipel.
Dans le même temps, la Nintendo Switch standard s'écoulait à 64 000 unités sachant que la semaine d'avant c'était 52 000 exemplaires ce qui veut dire que non seulement la sortie du nouveau modèle n' a pas entamé mais ventes de "l'ancien" mais au contraire même, elles l'ont reboosté !
Et vous ?
1 ) Le Wi-Fi ou La Wi-Fi
2 ) Super Smash Bros ou Mario Party
3 ) Carapuce ou Salamèche ou Bulbizarre
4 ) Chiots ou Chatons
5 ) Minecraft ou La vraie Vie
6 ) Jeux Indépendants ou Triple A
7 ) Rambo ou Rimbaud
8 ) Resident Evil ou Silent Hill
9 ) Twitch ou Mixer
10 ) Tetris ou Snake
11 ) South Park ou Les Simpsons
12 ) Street Fighter ou Mortal Kombat
13 ) Link ou Cloud
14 ) Kebab ou Tacos
15 ) Cyberpunk 2077 ou The last of US II
16 ) Le seigneur des anneaux ou Star Wars
17 ) Rage Quitter ou Accuser le lag
18 ) Le jeu vidéo rassemble ou Le jeu vidéo isole
Hardcore Gamer 7/10
In the end, anyone wanting a return to the glory of 2D Contra won’t find it here, but removing expectations of what Contra should be will find a great deal of entertainment. The intro mission establishes that this is a title that doesn’t take itself seriously; it’s simple, over the top dumb fun with nonstop carnage and some dark humor. The characters, enemies and scenarios are all ridiculous but that is what makes the game so enjoyable.
En fin de compte, tous ceux qui souhaitent retrouver la gloire de 2D Contra ne le trouveront pas ici, mais supprimer les attentes de ce que devrait être Contra sera très divertissant. La mission d’intro établit que c’est un titre qui ne se prend pas au sérieux; c’est simple, amusez-vous avec du carnage sans arrêt et de l’humour noir. Les personnages, les ennemis et les scénarios sont tous ridicules, mais c’est ce qui rend le jeu si agréable.
JVC 9/20
En plus de prendre les fans à contre-pied en proposant un shoot'em up au lieu d'un run and gun efficace comme autrefois, Contra : Rogue Corps, le titre de Konami loupe le tir sur de (trop) nombreux points. Les mécaniques proposées, tout comme les graphismes ou le sound-design semblent venir d'une tout autre décennie. On conseille donc, même aux fans les plus assidus, de passer leur chemin et d'économiser la somme s'élevant tout de même à quarante euros. Le titre avait pourtant toutes les cartes en mains pour réussir, en s'inspirant par exemple des dernières productions du genre qui ne manquent pas dans le milieu indépendant. Malheureusement, Contra : Rogue Corps se cantonne à rester fidèle aux épisodes (décevants pour la plupart) sortis sur la première PlayStation ou encore sur PlayStation 2.
IGN 4/10
Another opportunity to revive one of gaming’s most iconic franchises goes down as more of a disappointing whimper. If Konami hadn’t slapped the Contra name on Rogue Corps no one would’ve guessed it was supposed to be part of the series, but since it’s there it will serve only to disappoint long-term fans. It lacks the franchise’s identifiable gameplay, fumbles the tone and atmosphere, and simply isn’t a good enough twin-stick shooter to stand on its own. If you’re looking for something more like the classic Contra games of old, you should check out the Contra Anniversary Collection or indie gem Blazing Chrome instead.
Une autre occasion de relancer l’une des franchises les plus emblématiques du monde du jeu devient un gémissement décevant. Si Konami n’avait pas griffé le nom de Contra sur Rogue Corps, personne n’aurait deviné qu’il était supposé faire partie de la série, mais comme il est là, il ne servira à décevoir que les fans à long terme. Il manque le gameplay identifiable de la franchise, échappe au ton et à l’atmosphère, et n’est tout simplement pas un assez bon twin-stick shooter pour se débrouiller seul. Si vous recherchez quelque chose qui ressemble davantage aux jeux classiques de Contra, vous devriez plutôt consulter la collection Contra Anniversary Collection ou le bijou indépendant Blazing Chrome.
L'aventure est prenante et amusante, mais pas mal de joueurs ont remarqué une chose qui fait légèrement grincer des dents, des ralentissements sont présents.
Que faut-il retenir de tout cela ? Que nous avons affaire à une résolution dynamique.
En d'autres termes, en mode TV, le jeu tourne en 720p dans l'ensemble.
Dans certains bâtiments, en intérieur donc, le titre affiche du 972p.
En mode Portable, le 720p est roi lorsque nous sommes cloîtrés entre quatre murs, pour le reste, c'est le 576p qui règne.
Et le framerate dans tout cela ? Globalement, The Legend of Zelda: Link’s Awakening tourne en 60 fps, mais s'affole et tombe dans les 30 fps lors des « transitions » entre les différents domaines, selon les lieux et ce qui est affiché à l'écran.
Une vidéo publiée par le YouTubeur Doctre81 (le même qui avait dévoilé des preuves de l’arrivée de The Witcher 3 sur Switch avant son annonce) insinue qu’Alan Wake, titre sorti sur Xbox 360 en 2012, pourrait être porté sur la console de Nintendo. Pour cela, il se base sur deux éléments : en premier lieu, Remedy a récupéré les droits de la licence en payant 2,5 millions de dollars à Microsoft au début du mois de juillet, acquisition qui s’est suivie d’une déclaration mystérieuse d’un porte-parole du studio à Eurogamer :
La seule chose que nous tenons à clarifier, maintenant que Remedy possède les droits de publication, est que nous pourrions amener Alan Wake sur d’autres plateformes si nous le voulions. Nous n’avons rien à annoncer pour le moment. Nous sommes entièrement concentrés sur la sortie de Control le 27 août.
Enfin, le deuxième élément en faveur de l’arrivée d’Alan Wake sur Switch est une annonce postée sur LinkedIn par Virtuos, une société de sous-traitance sino-française dans le domaine des jeux vidéo, qui en connaît un rayon en portages Switch (ayant œuvré, par exemple, sur ceux de Starlink: Battle for Atlas ou Dark Souls Remastered, et travaillant actuellement sur celui de The Outer Worlds). Cette entreprise a, de plus, des liens avec Remedy : elle a aidé le studio pour le développement de Quantum Break. Cette annonce, donc, stipule que Virtuos rechercherait un ingénieur logiciel pour travailler sur “un remake d’un jeu d’action-aventure triple A non-annoncé” contenant des “éléments destructibles“.
JVLive 19/20
The Legend of Zelda : Link's Awakening est la promesse de (re)vivre un chef d'oeuvre intemporel qui a su marquer les esprits à son époque. Modernisé et sublimé, ce remake vous offrira à coup sûr une inoubliable épopée onirique sur la mystérieuse île de Cocolint, aux cotés du vaillant Link. Un indispensable de plus sur Nintendo Switch.
Gameblog 9/10
Avec The Legend of Zelda : Link's Awakening sur Switch, on tient la preuve que le classique de 1993 se maintient toujours au sommet. La progression et le contenu quasiment inchangés, il fait encore figure de monument au sein d'une saga qui ne manque pourtant pas d'ambassadeurs brillants. Son ravalement de façade - qui s'accompagne malheureusement par moment de chutes de frame rate - et ses mélodies remises au goût du jour, qui ne peuvent laisser insensibles, lui permettent de faire fructifier son héritage et lui offrent une seconde jeunesse totalement méritée. À (re)découvrir absolument.
JeuxActu 18/20
En dehors de ses regrettables problèmes techniques en mode téléviseur, The Legend of Zelda : Link's Awakening porte la marque des grands remakes. Cette version Switch, qui tombe à point nommé pour la sortie de la Switch Lite, plaira aussi bien aux nostalgiques ayant connu l'une des versions Gameboy qu'aux nouveaux joueurs, qui découvriront directement l'aventure dans sa meilleure version. En effet, si le fond se montre totalement et délicieusement fidèle à l’œuvre originale, la forme a été brillamment remise au goût du jour. Non seulement nous avons droit à des graphismes 3D modernes, mais la direction artistique se permet même une fantaisie rarement vue ailleurs : l'effet tilt-shift qui donne l'impression d'observer un monde miniature. Plus mignon que jamais, Link prouve une fois de plus qu'il est intemporel. Enfin tant qu'on joue en mode portable...
Gamergen 17/20
Cette adaptation de The Legend of Zelda : Link's Awakening est vraiment très bonne, une fois lancé, il est difficile de décrocher ; surtout après avoir vu l'introduction qui est d'une beauté sans nom. Les nouveaux joueurs, la relève, découvrent dans de bonnes conditions une œuvre vidéoludique qui a su marquer toute une génération. Les autres replongent dans un titre qui les a bercés dans leur jeunesse.
Dans le coin des nouveautés, c'est vraiment dommage pour la Cabane d'Igor, car l’idée est excellente, mais il manque cette partie sur la Toile pour satisfaire. Et si le cœur vous en dit, sachez que vous pouvez commencer le jeu en mode Héroïque. En gros, les dégâts sont doublés, les cœurs n'apparaissent plus, bref, c'est réservé aux guerriers qui n'ont pas peur de la mort ; de quoi contenter les hardcore gamers ! Après, notez-le bien, il s'agit de la même expérience que dans les années 90, mais avec un rendu pétant, une bande-son dantesque, et une prise en main plus agréable. Cette folie... Cette ambiance malsaine est toujours d'actualité malgré le côté mignon qui en ressort. Et pour cause, le titre nous laisse avec un trouble profond, une humeur maussade. Finalement, et si c'était nous le méchant de cette histoire ? Le générique se termine, des questions continuent de tourner dans nos têtes, vous l'aurez compris, nous avons là une production totalement absorbante
Gamekult 8/10
Fichtre, que c'est chou. Quand bien même la seule véritable nouveauté de ce remake (l'éditeur de donjons) s'avère être moins intéressante que prévue, l'île de Cocolint n'a rien perdu de sa magie en vingt-six ans. Le remodelage du jeu est une véritable réussite et permet de découvrir l'un des meilleurs épisodes de la série avec un regard nouveau, en s'attardant sur des choses qui nous auraient échappé à l'époque ou en s'émerveillant des nouveaux arrangements musicaux qui rythment notre ascension vers le Poisson-Rêve. Les rares ajustements opérés et les améliorations liées à l'ergonomie rendent l'expérience plus confortable qu'auparavant, tandis que le matériau de base a été religieusement préservé. Link's Awakening est toujours un petit bijou, un concentré de joie et l'un des épisodes les plus solides de la série, et ce remake constitue aujourd'hui la meilleure façon d'explorer Cocolint. Ou constituera, une fois que les petits soucis de performances seront corrigés.
JVC 15/20
The Legend of Zelda : Link’s Awakening remet aux goûts du jour les premières aventures portables de Link pour les réfractaires au pixel art. La direction artistique est magnifique et c’est un plaisir de découvrir ou redécouvrir les personnages et moments iconiques d’un des meilleurs épisodes de la série. Nous aurions aimé voir Grezzo améliorer ou approfondir un peu plus l’expérience en termes d’ajouts et de contenus et il faudra faire avec une durée de vie « d’époque » et quelques concepts archaïque, mais cela n’enlève rien au charme inné de cet opus, que l’on vous conseille avec hâte. Toutefois, il est à noter que le framerate n’en fait parfois qu’à sa tête, alors vous voilà prévenu.
Nous voyions à travers cette vidéo, l'instabilité du framerate (qui est désagréable quand il oscille trop, voir par moment rendre le jeu limite injouable, pas sur ce jeu précisément, mais de manière "général"). Nintendo a du vouloir viser le 60FPS, c'est louable, mais quand tu ne peux avoir quelque chose de stable, mieux vaut par exemple, atteindre le 30FPS stable.
D'autant plus lors de la sortie de la Switch Lite qui est une version uniquement portable, si la personne achète juste cette version, avec un Zelda instable (par son framerate), je ne suis pas sur que ça soit vendeur.
Évidement, la qualité d'un jeu ne se résume pas uniquement à son framerate, mais étant donné que nous avons des vidéos qui montrent le framerate des jeux (exemple le site Digital Foundry), nos yeux se sont habitués à desceller encore plus qu'avant, l'instabilité ou la stabilité du framerate (c'était rare les vidéos qui montraient le framerate d'un jeu auparavant).
Nintendo a choisi le 30FPS pour Luigi's Mansion 3, il faut savoir être raisonnable.
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Une des solutions faire comme GRID Autosport (ou comme Rocket League avant lui), choisir entre :
Quality VS Performance.
Réalisé par James Gray
(The Lost City of Z / Two Lovers / La Nuit nous appartient / The Yards)
Synopsis : L’astronaute Roy McBride s’aventure jusqu’aux confins du système solaire à la recherche de son père disparu et pour résoudre un mystère qui menace la survie de notre planète. Lors de son voyage, il sera confronté à des révélations mettant en cause la nature même de l’existence humaine, et notre place dans l’univers.
Moyenne presse 4,3/5 (pour l'instant).
20 Minutes 5/5
Aidé par la performance de Brad Pitt, le réalisateur marche sur les traces de Stanley Kubrick avec son conte spatial, Ad Astra.
CinemaTeaser 5/5
Sublime et unique.
Ecran Large 5/5
Malgré de menues imperfections et un tournant expérimental qui divisera, James Gray livre avec "Ad Astra" une aventure spatiale d'une ambition folle doublée d'une sublime réflexion existentielle sur la solitude et l'Humanité.
Le Figaro 5/5
Un film spectaculaire qui donne une nouvelle dimension à la filmographie du cinéaste.
Les Inrockuptibles 5/5
Avec son septième film, le réalisateur américain réussit une œuvre aussi ample qu’intimiste. Un chef-d’œuvre.
Libération 5/5
Sans se défaire de l’élégance et de la mélancolie qui teintent ses précédents films, James Gray poursuit son exploration des relations familiales dans une quête sidérale sidérante.
Marianne 5/5
Gray maîtrise en orfèvre l'art du scénario et de la mise en scène.
Première 5/5
C’est un film superbe et funambule, triste et flamboyant, une prise de risques magnifique. Et si, plutôt qu’une nouvelle variation sur Apocalypse Now, James Gray venait de signer son Coup de coeur ? Dans notre bouche, c’est un compliment.
La Croix 4/5
James Gray, avec son perfectionnisme visuel, nous offre ainsi une odyssée spatiale somptueuse de beauté et d’étrangeté.
Le Journal du Dimanche 4/5
Au plaisir de se laisser surprendre par des images grandioses et des scènes vertigineuses dans une ambiance planante (musique de Max Richter), s’ajoute celui de suivre le parcours psychique tendu d’un héros affrontant son destin. Même lesté d’un scaphandre, Brad Pitt assure.
Le Nouvel Observateur 4/5
Ce film est le double inversé de « 2001 », avec la même puissance et un Brad Pitt réellement inspiré. Il faut se laisser aller à cette contemplation planante, à cet opéra des cieux, à cette quête spirituelle d’une humanité illusoire. C’est beau à voir.
Le Parisien 4/5
Le film impressionne par sa façon de plonger le spectateur dans l'espace et par ses scènes d'action spectaculaires. On n'a jamais filmé aussi bien l'intérieur des vaisseaux spatiaux, la beauté des planètes et de la galaxie…
Le Point 4/5
Pour cette escapade dans la science-fiction, James Gray n'a pas oublié l'élégance ni le classicisme de ses précédents films.
Télérama 4/5
Par son refus du spectaculaire, par sa réflexion sur le legs paternel parfois trop explicite, le film prend le risque de décevoir. Il n’empêche que l’odyssée, visuellement inspirée et servie par un Brad Pitt fascinant, témoigne d’une singularité poétique dans sa manière d’illustrer le long chemin menant de la fusion à la séparation.
Le Monde 3/5
C’est donc d’une émotion plus conceptuelle, plus cérébrale, que le film saisira le spectateur. Le sentiment d’intelligence formelle, par exemple, entre la ouate sensorielle qui enveloppe son long voyage et l’engourdissement mental d’un héros qui s’est fermé au monde et est devenu comme étranger à lui-même.