« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Réalisé par James Gray
(The Lost City of Z / Two Lovers / La Nuit nous appartient / The Yards)
Synopsis : L’astronaute Roy McBride s’aventure jusqu’aux confins du système solaire à la recherche de son père disparu et pour résoudre un mystère qui menace la survie de notre planète. Lors de son voyage, il sera confronté à des révélations mettant en cause la nature même de l’existence humaine, et notre place dans l’univers.
Moyenne presse 4,3/5 (pour l'instant).
20 Minutes 5/5
Aidé par la performance de Brad Pitt, le réalisateur marche sur les traces de Stanley Kubrick avec son conte spatial, Ad Astra.
CinemaTeaser 5/5
Sublime et unique.
Ecran Large 5/5
Malgré de menues imperfections et un tournant expérimental qui divisera, James Gray livre avec "Ad Astra" une aventure spatiale d'une ambition folle doublée d'une sublime réflexion existentielle sur la solitude et l'Humanité.
Le Figaro 5/5
Un film spectaculaire qui donne une nouvelle dimension à la filmographie du cinéaste.
Les Inrockuptibles 5/5
Avec son septième film, le réalisateur américain réussit une œuvre aussi ample qu’intimiste. Un chef-d’œuvre.
Libération 5/5
Sans se défaire de l’élégance et de la mélancolie qui teintent ses précédents films, James Gray poursuit son exploration des relations familiales dans une quête sidérale sidérante.
Marianne 5/5
Gray maîtrise en orfèvre l'art du scénario et de la mise en scène.
Première 5/5
C’est un film superbe et funambule, triste et flamboyant, une prise de risques magnifique. Et si, plutôt qu’une nouvelle variation sur Apocalypse Now, James Gray venait de signer son Coup de coeur ? Dans notre bouche, c’est un compliment.
La Croix 4/5
James Gray, avec son perfectionnisme visuel, nous offre ainsi une odyssée spatiale somptueuse de beauté et d’étrangeté.
Le Journal du Dimanche 4/5
Au plaisir de se laisser surprendre par des images grandioses et des scènes vertigineuses dans une ambiance planante (musique de Max Richter), s’ajoute celui de suivre le parcours psychique tendu d’un héros affrontant son destin. Même lesté d’un scaphandre, Brad Pitt assure.
Le Nouvel Observateur 4/5
Ce film est le double inversé de « 2001 », avec la même puissance et un Brad Pitt réellement inspiré. Il faut se laisser aller à cette contemplation planante, à cet opéra des cieux, à cette quête spirituelle d’une humanité illusoire. C’est beau à voir.
Le Parisien 4/5
Le film impressionne par sa façon de plonger le spectateur dans l'espace et par ses scènes d'action spectaculaires. On n'a jamais filmé aussi bien l'intérieur des vaisseaux spatiaux, la beauté des planètes et de la galaxie…
Le Point 4/5
Pour cette escapade dans la science-fiction, James Gray n'a pas oublié l'élégance ni le classicisme de ses précédents films.
Télérama 4/5
Par son refus du spectaculaire, par sa réflexion sur le legs paternel parfois trop explicite, le film prend le risque de décevoir. Il n’empêche que l’odyssée, visuellement inspirée et servie par un Brad Pitt fascinant, témoigne d’une singularité poétique dans sa manière d’illustrer le long chemin menant de la fusion à la séparation.
Le Monde 3/5
C’est donc d’une émotion plus conceptuelle, plus cérébrale, que le film saisira le spectateur. Le sentiment d’intelligence formelle, par exemple, entre la ouate sensorielle qui enveloppe son long voyage et l’engourdissement mental d’un héros qui s’est fermé au monde et est devenu comme étranger à lui-même.
J'y vais ce soir du coup, les places sont réservées.
Je n'ai pas écrit de critique depuis le dernier Tarantino qui m'avait donné envie de prendre une pause cinéma. Ce film a tous les ingrédients pour me redonner le feu sacré.
C’est donc d’une émotion plus conceptuelle, plus cérébrale, que le film saisira le spectateur. Le sentiment d’intelligence formelle, par exemple, entre la ouate sensorielle qui enveloppe son long voyage et l’engourdissement mental d’un héros qui s’est fermé au monde et est devenu comme étranger à lui-même.
Je n'ai pas écrit de critique depuis le dernier Tarantino qui m'avait donné envie de prendre une pause cinéma. Ce film a tous les ingrédients pour me redonner le feu sacré.
Ils ont vraiment le don de se compliquer ...
Quelqu'un à compris quelque chose la ?