« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
"Quelque chose que je souhaite faire comprendre au public, c'est que nous ne tournons pas le dos aux nouvelles technologies – nous sommes constamment en train de faire de la recherche et du développement. Nos équipes de développement hardware évaluent toute sorte de nouvelle technologie disponible à date et en parle avec les développeurs de jeux vidéo. S'ils déterminent qu'une technologie peut être utilisée dans un jeu, alors ils vont l'utiliser. On ne va pas changer cette approche fondamentale dans un futur proche."
En ce qui concerne la RA, c'est clairement un des nombreux domaines qui nous intéressent. Nous faisons actuellement de la recherche pour trouver des façons intéressantes de l'utiliser.
...sur la liberté de conception des développeurs
"Notre équipe de développement travaille extrêmement dur pour proposer des façons de jouer qui permettent aux joueurs d'apprécier nos jeux. C'est d'une importance capitale pour moi de maintenir une ambiance où ils peuvent travailler sans restriction, alors que je gère l'entreprise."
"Je ne m'intéresse pas à leurs propres process, je ne suis pas directeur en charge du développement ni de ses équipes, je ne vois donc aucune valeur ajoutée à mettre mon grain de sel personnellement. Je fais toujours confiance aux professionnels qui savent comment mieux gérer ces situation que je ne saurai le faire moi-même."
....sur Le cloud gaming
"Il est possible que le cloud gaming puisse susciter l'intérêt du public dans une dizaine d'années à compter d'aujourd'hui, mais à ce stade je ne pense qu'une console dédiée soit vouée à disparaître. La route sera longue avant qu'on en connaisse l'issue. Ceci étant dit, il serait dommage de se concentrer uniquement sur des méthodes de jeu qui ne puissent être faites que sur des consoles dédiées. Quand votre public commence à dire qu'ils jouent sur d'autres consoles ou sur des smartphones, vous êtes fini !"
En attendant la prise d'un rendez-vous pour nous faire saliver, les joueurs scrutent la Toile pour trouver diverses informations sur cette future machine.
C'est le cas de nos amis de chez Let's Go Digital qui ont découvert un brevet intrigant et intéressant concernant une DualShock. Premier constat, de nouveaux boutons feront leur apparition au dos de la manette ; deux gros et deux petits. Ensuite et pour finir, le bouton PlayStation a disparu et la pavé tactile semble légèrement plus petit...
Metro Redux comprend à la fois Metro 2033 Redux et Metro Last Light Redux, et a été lancé dans un premier temps sur PlayStation 4, XOne et PC (page Steam) en août 2014. Une version Switch n'a pas encore été annoncée officiellement, mais un détaillant portugais GamingReplay a récemment répertorié le jeu sur Switch qui a depuis été supprimée, mais qui maintenant a été repéré via PEGI.
Void Bastards est un FPS stratégique inspiré de BioShock et System Shock 2, il été donc en exclusivité temporaire sur XOne et PC (Steam) en mai 2019. Une version PlayStation 4 n'avait pas été encore annoncé, mais qui dorénavant vient d'être "annoncé" via PEGI.
Deux petites collections qui grandissent doucement ^^
Mes achats de Noel 2019
je me suis fait un petit plaisir pour passer les fêtes (et patienter en début d'année).
God Of War 15€ Neuf
Ori and the Blind Forest : Definitive Edition 13,99€
Luigi's Mansion 3 : 45€ Neuf
Prochain Achat : The Last Guardian / Astral Chain / Zelda : Link's Awakening -Remake- / Nioh / Devil May Cry 5 déjà sortie
Jeux 2020 : Nioh 2 / Ghost of Tsushima / Resident evil 3 -Remake- / The Last of Us Part II / Babylon's Fall / Xenoblade Chronicles : Definitive Edition / Zelda breath of the Wild 2 et Bayonetta 3 -que j'espère en 2020- et évidement quelques jeux "indé"
PS : Je suis à deux doigt de prendre (car l'impression que l'on est pas prêt de le voir en Europe en boite, surtout à 30€ ou 40€ Maxi) : Monster Boy et le Royaume Maudit surtout à 20€.
Code Ami Switch (pour les deux du fond que ça pourrait intéresser) : SW-3081-0664-7334
Synopsis : Une femme, victime d’un kidnapping, contacte les urgences de la police. La ligne est coupée brutalement. Pour la retrouver, le policier qui a reçu l’appel ne peut compter que sur son intuition, son imagination et son téléphone.
Voici un huit clos surprenant, c'est un trhiller psychologique, qui montre que c'est pas la taille du budget qui compte, mais la façon de mener l'histoire, car l'important ce que l'on y croit.
Le film se passe intégralement dans un même lieu, pratiquement dans une même pièce, celle d'un centre d'appel téléphonique.
Le plus réussi, c'est la bande-son, car nous sommes toujours du côté du policer qui prends les appels et nous comprenons à quel point, tout est une question de point de vue et d'imagination.
La réalisation est minimaliste, mais efficace (il n'y a aucune scène d'action montré).
Durant 1h30, vous serez surpris aussi bien pour le personnage du policier que celui de la femme au bout du fil.
Le film m'a fait penser à une sorte de mixe entre "Blow Out" et "Phone game".
Réalise par : J.J. Abrams
(Mission impossible 3 / Super 8 / Star Trek / Star Wars VII)
Synopsis : La conclusion de la saga Skywalker. De nouvelles légendes vont naître dans cette bataille épique pour la liberté.
Moyenne presse 3,1/5 (pour l'instant).
20 Minutes 4/5
J.J. Abrams a réuni tous les ingrédients pour satisfaire les fans de la première heure comme les néophytes.
CNews 4/5
L’épopée intergalactique, à la fidélité assumée à la trilogie d’origine, n’en demeure pas moins une belle conclusion – certes convenue – faisant la part belle aux combats aériens, aux duels au sabre laser et au recours à la force.
La Voix du Nord 4/5
Narration fluide, savoureux bestiaire, séquence finale épique, quelques révélations (dont une qui concurrence le fameux « Je suis ton père »)… Bref, du grand spectacle.
Le Figaro 4/5
En digne héritier de George Lucas, J.J. Abrams apporte à la saga une rapidité qui colle à l’époque, une profondeur inhabituelle, qui donne envie de revoir une nouvelle fois cet ultime volet au final réussi.
Le Journal du Dimanche 4/5
Les personnages de Rey et de Kylo Ren, en quête d’identité et de rédemption, prennent une ampleur inégalée dans ce récit qui fait l'apologie de la solidarité.
Le Parisien 4/5
Surtout, J.J. Abrams a eu des idées épatantes pour multiplier les surprises : « l'Ascension de Skywalker » est un film qui fait mourir les vivants et revivre les morts. Des résurrections qui ne concernent pas seulement certains personnages, mais aussi leurs droïdes, leurs sabres laser, leurs combats et alliances passées. Quelle émotion !
Les fiches du cinéma 4/5
Désormais sans Luke, Rey poursuit sa formation. J.J. Abrams revient aux commandes de ce neuvième volet de la saga Skywalker, pour livrer une conclusion sincèrement émouvante, mais un peu hâtive et qui revient maladroitement sur les idées des Derniers Jedi.
Ouest France 4/5
Un divertissement d'aventures spatiales extrêmement mouvementées, souvent très inspirées, rendant hommage aux dernières légendes Star Wars.
Paris Match 4/5
L’ascension de Skywalker en devient un space opéra certes traditionnel mais forcément passionnant, doublé d’un mise en scène autrement ample et solide qui s’illustre dans quelques séquences échevelées et visuellement magnifiques.
Rolling Stone 4/5
N’y allons pas par quatre chemins, c’est un très beau feu d’artifice final. Sous le coup de l’enthousiasme, on se laisserait volontiers aller jusqu’à dire que ce Star Wars IX retrouve parfois et même souvent la fougue de la première trilogie.
Ecran Large 3/5
Reboot inavoué et cynique d'une trilogie désormais fondamentalement incohérente, "L'Ascension de Skywalker" n'a pour lui que l'énergie déployée par J.J. Abrams et la fantastique direction artistique dont Lucasfilm a le secret, tant cet épisode d'une platitude extrême préfère se complaire en facilités et reprises confortables plutôt que de raconter quelque chose.
La Croix 3/5
Le neuvième épisode de « La guerre des étoiles » est à la hauteur des attentes. « L’Ascension de Skywalker » conclut la plus passionnante des sagas de cinéma, dans un déluge d’action et de grands sentiments.
Les Inrockuptibles 3/5
J.J. Abrams certes donne le change : le programme n'a sans doute jamais été aussi copieux, varié en tons, en goûts, en émotions. Mais il loupe son rendez-vous avec la transcendance. Harangués par un tel titre ascensionnel et christique, on est en droit de s'en plaindre.
L'Express 3/5
On ne peut nier le talent de J.J. Abrams à la mise en scène de ce barnum. [...] Mais bon. On ne fonde pas un scénario sur des clins d'oeil, mais sur des surprises, des ressorts narratifs originaux. Ce qui est loin d'être le cas ici.
Première 3/5
Plutôt que de se brûler les ailes, Abrams calme clairement le jeu, et livre un Star Wars dans les clous, fournissant le fan service comme il faut, sans chercher à se frotter au mythe de face.
Le Monde 2/5
Rien n’a changé, mais tout est plus coloré, plus rapide, plus bruyant, plus compliqué aussi (...) parfois sans autre raison d’être que de faire durer encore un peu plus le film. Celui-ci finit, pourtant, laissant une impression d’épuisement qui n’augure pas grand-chose de bon quant au futur de la saga.
Le Nouvel Observateur 2/5
La variété des décors, la générosité visuelle, l’ambition picaresque du film qui, dans un premier temps, tente de renouer avec le charme des serials dans lesquels George Lucas a puisés, tournent court.
Le Point 2/5
De retour aux commandes, J. J. Abrams fait table rase de l'excès d'audace des « Derniers Jedi ». Mais la force de la saga, elle, sort affaiblie de ces atermoiements.
Libération 2/5
Presque malfaisant dans sa volonté de faire revenir tout le monde, vieilles carnes et morts compris, et de nous ramener sur les mêmes lieux - en ruines - de ces films «du bon vieux temps» qu’il est supposé conclure et ramasser dans un même mouvement, l’Ascension de Skywalker conclut moins la saga qu’il nous enjoint à retourner illico à son canon, dont il sait - il nous le raconterait presque - qu’il ne fera jamais partie, faute de la nécessaire étincelle d’une idée neuve.
Sud Ouest 2/5
« L’Ascension de Skywalker » trouvera son public sans trop d’efforts. Mais reste une production au ton bien plus policé qu’il n’y paraît, à la morale en accord avec celle de la première trilogie, mais aussi et surtout à celle de son nouveau propriétaire, la maison Disney.
Télérama 2/5
Malgré des moments très réussis, l’inventivité n’est pas au rendez-vous de cet ultime opus qu’on voulait forcément exceptionnel, et qui lorgne du côté de "Game of Thrones".
DLC prévu le 23/12/2019 (Gratuit)
-Un nouveau donjon à explorer en multijoueur, qui sera accessible via une nouvelle mission.
-Une nouvelle amélioration du corps pour les Outers, cette nouvelle amélioration permettra de planer dans les airs sans être dans votre Arsenal.
Éditeur de l’année / Nintendo
Déception de l’année / Anthem
Plaisir coupable / Pokémon Épée
Prix "Juste un Doigt" du jeu mobile / WHAT THE GOLF?
Médaille de Réalité Virtuelle / No Man's Sky
Prix (de groupe) du jeu ultime de l’apéro / Heave Ho
Meilleur jeu multijoueur / Tetris 99
Meilleur suivi sur un jeu sorti / No Man's Sky
Meilleure conception sonore / A Plague Tale : Innocence
Disque d’Or et de Platine de la bande originale / Death Stranding
Prix du concept original / Baba is You
Meilleur espoir 2019 / Disco Elysium
Meilleur(s) personnage(s) / Untitled Goose Game
Jeu le Plus Mieux Ecrit / Disco Elysium
Stéphane Plaza d’Or du level design / Sekiro : Shadows Die Twice
Choc artistique de l’année / Death Stranding
Prix "8K HDR+" de la baffe technique / Death Stranding
Plateforme de l’année / Nintendo Switch
Découvrez les vraies raisons pour lesquelles Octavo a envahi Hyrule dans "Ode à Octavo", un nouveau scénario disponible dès maintenant dans #CadenceofHyrule via une mise à jour gratuite ! Twitter
En plus (toujours Gratuit), un nouveau mode de jeu, le mode Donjon. Ce mode permet de tester nos compétences en nous mettant face à des ennemis de plus en plus redoutables.