« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
La vraie guerre des consoles ne se jouerait pas entre Playstation et Xbox mais plutôt entre Playstation et Nintendo. Dans le cadre des auditions préliminaires liées à l’accord Activision Blizzard bloqué par la FTC (Commission fédérale du commerce des États-Unis), Microsoft déclare qu’Xbox « a perdu la guerre des consoles ».
The Verge a récemment partagé des extraits d’un document utilisé par Microsoft dans le cadre du procès qui oppose la FTC à Microsoft. La Commission a décidé de bloquer l’acquisition d’Activision Blizzard temporairement et un procès concernant une injonction préliminaire est en cours.
Dans le document rédigé par Microsoft, la compagnie reconnaît qu’Xbox a perdu la fameuse guerre des consoles, qui l’oppose constamment aux consoles Playstation, et dit même se trouver à la troisième place de la compétition des constructeurs de consoles modernes ; Nintendo aurait également une longueur d’avance sur Xbox.
Pour attirer la compassion de la FTC, Microsoft n’hésite pas à retracer son histoire dans le monde du jeu vidéo, une histoire peu fructueuse dès ses débuts selon la compagnie. « En 2001, Microsoft s’est placé sur le marché du jeu vidéo en lançant sa première console Xbox, qui est entrée en compétition avec les concurrents de Sony et Nintendo. Sur cette "génération", Sony et Nintendo ont largement vendu plus de consoles qu’Xbox », indique Microsoft dans le
« Dans les 20 années qui ont suivi, Sony, Nintendo et Xbox ont conservé leurs places de constructeurs majeurs et ont pris part à ce que l’industrie appelle "la guerre des consoles". […] Playstation, pendant plus de deux décennies et à travers cinq générations [de consoles], a été la marque dominante dans le monde et aux États-Unis », poursuit Microsoft.
La compagnie liste des données qui n’ont pas encore été rendues publiques concernant la taille de l’influence de Playstation comparé à Xbox, avant de poursuivre son admission de faiblesse. « Les consoles d’Xbox ont toujours été à la troisième place des ventes derrière celles de Playstation et de Nintendo », admet Microsoft. Selon la compagnie, seulement 16% de consoles vendues auraient été des consoles Xbox en 2021.
« Les consoles d’Xbox ont toujours été à la troisième place des ventes derrière celles de Playstation et de Nintendo »
Microsoft mise sur sa supposée « faiblesse » pour convaincre les autorités du commerce du monde entier d'autoriser la mise à exécution de son accord avec Activision Blizzard. La compagnie avait annoncé l'achat du développeur-éditeur en janvier 2022 ; la décision a très vite été contestée par Sony et les institutions économiques du monde, qui estiment que l'accord nuirait à la compétitivité dans le monde du jeu vidéo.
Hier, Jim Ryan, président de Sony Interactive Entertainment et de Playstation, témoignait à l’encontre de cet accord, qui impacterait négativement les relations entre Activision et Sony. Le constructeur ne serait pas enclin à fournir des informations à propos de ses futurs consoles au développeur si le rachat d’Activision Blizzard par Microsoft est finalement autorisé.
Pour la fin de l'année nous avons le retour en force de deux mascottes qui sont encore aujoud'hui des références en 2D et qui pourrait même confirmer encore plus leur statut culte.
Que de chemins parcourus, qui aurait pu dire à l'époque de la guerre en entre Sega et Nintendo, que Nintendo mettrait en avant dans un Nintendo Direct un jeu Sonic plateforme en 2D.
Pour moi la différence durant des années entre Sonic et Mario, c'était que Sonic misait sur la vitesse, la ou Mario c'était plus à "tâtons" que tu abordais le monde, deux approches différentes de la plateforme 2D, mais là Mario a reprit une mécanique de Sonic dans le fait que l'on puisse "rider", ça donne un coté plus "dynamique" au gameplay et Sonic a reprit des petits chose de Mario comme le fait que Sonic peut remonter le ruisseau et le mode "joueurs"
Les deux jeux ont l'ait de tourner en 60FPS, ça permet d'avoir une meilleur lisibilité, Sonic y gagne en lisibilité et Mario y gagne en dynamisme.
Conclusion, c'est depuis longtemps une des premières fois que j'ai autant d'envie de jouer aux deux jeux !
La troisième chanson (Chasser le naturel, il revient écolo) est disponible maintenant sur You tube
Elle est aussi disponible en Streaming (Spotify, Deezer, Amazon Music, Apple Music, iTunes ect)
Titre : Chasser le Naturel, il revient écolo
Je me prélasse
Dans ce pré vert
Au fond de moi
J’ai le vers solitaire
Plante vivace
Mur couvert de lierre
Plus le temps passe
Reste un jardin dit vert
Refrain
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature humaine
Parque même les zoos
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature m’aime
L’homme est cabot
Des que l’été le permet
Je roule dès juin
A travers les bosquets
J’hume les parfums
Plante des pieds
Le long des chemins
La vigne a changé
L’eau en vain
Refrain
Je fonce tête bêchée
Je prends des râteaux
Une envie de draguer
Les plates bandes, du ruisseau
Plante là
Ta petite graine
Mère nature rage
Désirant que l’on sème
Refrain
Je remonte aux racines
Je descends d’une branche
Une quête infinie
Une genèse inconsciente
Plante ça
Au creux de mon hêtre
Des lettres gravées
D’un amour mutuel
Refrain
La deuxième chanson (L'air du temps) est disponible sur les plateformes Streaming et aussi sur Youtube
La première (Le gout des langues étrangères) est disponible sur les plateformes Streaming et aussi sur Youtube.
Toutes mes chansons sont écrites, composées, jouées et interprétées par moi ^^
Bonne écoute, si ça vous intéresse et bonne fête de la musique, enfin j'espère ^^
PS : La quatrième arrive normalement Août/Septembre (donc pas d'article avant Aout, je dis ça comme ça).
20 Minutes 4/5
Cette nouvelle production Pixar est aussi drôle que tendre.
La Voix du Nord 4/5
Voilà la grande qualité d’Élémentaire : une comédie romantique en bonne et due forme, visible dès 6 ans, mais qui parle de déterminisme, de tolérance, de différences culturelles et du besoin de les dépasser. L’amour est une réaction chimique. Élémentaire en est la parfaite illustration.
Le Figaro 4/5
Voilà un très bon Pixar, divertissant et profond.
Le Parisien 4/5
Mais c’est surtout par son graphisme qu’il sidère : le studio innove encore avec un procédé révolutionnaire qui fait s’animer des personnages de façon constante : bluffant, et tellement beau !
Les Echos 4/5
Un conte familial flamboyant sur fond d'humanisme et de déracinement.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Sans être un grand Pixar, Élémentaire, visuellement bluffant, distille sa petite magie et réussit à émouvoir avec une très belle histoire d’amour. Il manque toutefois un peu de l’audace à laquelle les studios d’Emeryville nous avaient habitués.
Paris Match 4/5
Le nouveau dessin animé des studios Pixar est dans la lignée de « Vice-versa », rencontre entre le feu et l’eau sur fond d’acceptation de la différence. Moins échevelé, plus tendre et toujours aussi novateur visuellement.
L'Obs 3/5
Il y a quinze ans, avec une idée comme celle d’« Elementaire », Pixar épatait tout le monde. Aujourd’hui, il impressionne les plus jeunes et les coachs en développement personnel.
La Croix 3/5
Si sympathique soit-il, Élémentaire n’est toutefois pas le feu d’artifice d’idées originales et de trouvailles visuelles auquel nous a habitués Pixar. Et son esthétique disgracieuse aux tonalités fluorescentes ne l’aide assurément pas !
Le Dauphiné Libéré 3/5
Ce que l’on retient le plus de ce long-métrage, ce sont ses effets visuels. Les artistes ont réussi à créer un univers cinétique où chaque élément trouve sa place et fait partie intégrante du décor.
Le Journal du Dimanche 3/5
Le récit minimaliste s’adresse à un public plus jeune et ne possède pas la puissance émotionnelle des précédents films d’animation de Pixar. Mais on est emporté par son romantisme, son imaginaire foisonnant et son graphisme singulier.
Le Monde 3/5
Les voilà jetés dans la grande ville, où, en dépit d’un univers visuel toujours créatif, ils rejoueront les grandes lignes d’une plate « rom com ».
Les Inrockuptibles 3/5
Le sortilège Pixar n’a pas disparu : il s’est réduit à l’état d’étincelle indicible. On sait, devant Élémentaire, qu’on est devant un Pixar, par l’empathie particulière que le film soulève en nous, par sa désobéissance aux formats de son temps, sa foi inébranlable en ses ressources figuratives, son absence d’ironie.
Première 3/5
Alors, oui, il y a des flottements. Certes, la rom com n’atteint pas toujours le rythme et la pureté des classiques dont ils s’inspirent (Indiscrétions de Cukor ou le New-York Miami de Capra). Mais pendant quelques instants, quelques scènes, on se dit que Pixar est revenu à son grand niveau. Et ça n’a pas de prix.
Télérama 3/5
Sans atteindre les sommets de “Vice-versa”, la production Pixar de saison est convaincante, avec une histoire sur l’immigration, le racisme et les joies du melting-pot à l’américaine.
Cahiers du Cinéma 2/5
Si le comique de la situation est le plus souvent exploité astucieusement [...], le film souffre d’un déséquilibre qui met à mal la générosité de ses intentions : l’impensable union de l’eau et du feu tient davantage à l’incompatibilité des deux éléments qu’à la réprobation sociétale.
Cahiers du Cinéma 5/5
Asteroid City est certainement l’un des films les plus émouvants de son auteur. Et c’est encore au principe de verticalité qui le gouverne qu’il doit ce sentiment diffus d’accablement qui semble étreindre tous ses personnages [...] Toujours mutique et contenue, cette émotion sourde se déploie dans un mouvement du haut vers le bas dont le film fait son axe unique.
20 Minutes 4/5
Explosions nucléaires, théâtre délirant, idylles naissantes et secrets d’État sont au menu d’une œuvre douce-amère sur laquelle le cinéaste a apposé sa patte inimitable.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
L'Obs 4/5
Allergiques à son style poupées russes, proche du cinéma d’animation, passez votre chemin. Les autres, ne ratez pas cette fantaisie triste, « pastellisée » : vous ne trouverez plus beau fantasme de confinement que les scènes de pudique séduction entre Steenbeck et sa voisine, star de ciné (Scarlett Johansson, divine).
Le Dauphiné Libéré 4/5
Avec Asteroid City, Wes Anderson signe une fantaisie vintage colorée sur la mort, l’amour, l’art, la science, le cosmos, dans un film gigogne où une émission de télévision ouvre sur une pièce de théâtre qui ouvre sur un film. Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Le Figaro 4/5
Avec une pléiade de stars, Wes Anderson réinvente un désert pour livrer une fantaisie rétro-futuriste. Un film similaire à ses précédents, mais en mieux.
Le Monde 4/5
Porté par un casting faramineux comprenant notamment Jason Schwartzman, Scarlett Johansson et Tom Hanks, le long-métrage de Wes Anderson, burlesque et rêveur, évoque le monde du théâtre, la question de l’acteur et de l’incarnation.
Le Parisien 4/5
Et puis il y a ces répliques très drôles, lancées par un ahurissant défilé de comédiens, si nombreux qu’on ne peut pas tous les citer : Tom Hanks, Adrien Brody, Margot Robbie, Jeffrey Wright, Bryan Cranston, Matt Dillon…
Le Point 4/5
Les idées fusent, les cocasseries aussi, et Anderson fait, encore une fois, des étincelles.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Wes Anderson en grande forme, très mélancolique, livre une réflexion puissante sur le pouvoir de l’artificialité et du jeu.
Télérama 4/5
POUR : Il y a toujours chez lui, derrière les afféteries et le mutisme, un projet tendre et moral : présumant que nous sommes tous déjà abîmés par les jours et les amours empêchées, et qu’après une parenthèse aux allures de petit théâtre nous disparaîtrons dans l’horizon, Wes Anderson nous encourage à faire société, avec, comme seul bagage, le sourire léger de l’alien coincé au creux des lèvres.
La Croix 3/5
Dans son dernier film, Asteroid City, présenté mercredi 24 mai en compétition officielle au Festival de Cannes, Wes Anderson emboîte ses histoires comme des poupées gigognes pour mieux brouiller la frontière entre réel et fiction et redire la nécessité de rêver sa vie afin d’en sublimer les drames.
La Voix du Nord 3/5
Tout a du sens, même si rien n’est supérieurement prégnant, c’est le hic. Et comme d’habitude chez Anderson, le casting est démentiel, avec des stars cantonnées au rang de figurants. Étonnant Anderson.
Le Journal du Dimanche 3/5
C’est un nouvel ovni cinématographique que concocte le réalisateur américain avec les mésaventures fantasques de personnages lunaires dans un univers (un peu trop) décalé.
Les Echos 3/5
Un film raffiné et amusant qui ne surprend ni ne déçoit.
Les Inrockuptibles 3/5
Par-delà la malice mi-mélancolique, mi-cruelle propre au cinéaste américain, s’installe, dans cette douloureuse interrogation, l’une des clés de voûte qui structurent et surplombent les personnages andersoniens : faire l’expérience d’un état d’abandon et tenter d’y survivre.
Paris Match 3/5
Chronique post-Covid ou pamphlet politique ou sociétal, difficile de voir où Wes Anderson veut en venir. Ou serait-ce alors un film sur l’incompréhension mutuelle ?
Ouest France 2/5
Une beauté un peu vaine.
Sud Ouest 2/5
Dans ce monde si magistralement agencé, l’émotion perce difficilement, comme si une forme de timidité retenait cet immense styliste d’aller au bout de sa mélancolie.
Télérama 2/5
CONTRE : Dans cette précieuse brocante (si peu) humaine, Wes Anderson a l’ambition de brasser de grandes questions métaphysiques — le deuil, la mort, l’infini… Pour finir par tout figer sous le glacis d’un perfectionnisme esthétique qui n’existe que pour se servir lui-même.
Marianne 1/5
Avec « Asteroid City », Wes Anderson, tel un marionnettiste auto-satisfait, manipule des personnages d’une vacuité abyssale et déploie une intrigue si dépourvue d’enjeux qu’un ennui profond nous engourdit après dix minutes de spectacle.
Première 1/5
Pire, en revisitant l'histoire du cinéma et du théâtre américain des années 50, Anderson s'enferme dans des références et des échos aussi obscures qu'indéchiffrables et laisse le spectateur définitivement sur le bord de la route.
Un Showcase consacré aux indés de la part de Microsoft.
ID_Xbox et IGN unissent leurs forces pour présenter en exclusivité le prochain ID@Xbox Showcase le 11 juillet. Découvrez en avant-première quelques nouveaux jeux, dont des bandes-annonces, du gameplay, des révélations et bien plus encore ! Twitter / IGN
Une mise à jour récente fait référence à une version Nintendo Switch de Crash Team Rumble, suscitant chez les fans l’espoir qu’un portage serait en préparation. Les afficionados de Crash Bandicoot qui espéraient le prochain lancement de Crash Team Rumble sur la Switch pourraient avoir de quoi s’enthousiasmer : Activision a en effet peut-être divulgué une version pour la console portable de Nintendo. Le jeu multijoueur devrait actuellement être lancé sur presque toutes les autres plateformes modernes. On a déjà eu l’occasion de voir une des maps disponibles au cours de la bêta fermée.
Crash Team Rumble sur Switch ?
Crash Bandicoot a connu une certaine résurgence ces dernières années, avec le remake de la trilogie originale Crash Bandicoot N. Sane et le lancement de Crash Bandicoot 4 : It’s About Time. À la fin de l’année dernière, des nouvelles de Crash Team Rumble ont été données. Malheureusement pour les fans du party game, la maison de Super Mario Party n’avait livré aucune indication laissant entrevoir que le jeu sera lancé pour le Switch, jusqu’à présent.
La fuite a été repérée sur le site Web d’Activision (bien qu’il ne soit pas établi à ce stade qu’il s’agisse d’une fuite volontaire ou d’une simple erreur). Sur la page d’assistance d’Activision pour Crash Team Rumble, l’éditeur a suggéré aux joueurs de maintenir leurs systèmes à jour avant d’installer le jeu. Si ces conseils ont été prodigués pour les versions PlayStation et Xbox, la fuite comprenait également des instructions sur la façon de mettre à jour son système… sur la Nintendo Switch.
(Mimic / L'Échine du Diable / Blade 2 / Hellboy / Le Labyrinthe de Pan / Hellboy 2 : Les Légions d'or maudites / Pacific Rim / Crimson Peak / La Forme de l'eau / Nightmare Alley)
co-réalisateur du Film d'animation : Pinocchio
“Il y a encore quelques films en live-action que je voudrais faire, mais pas tant que cela. Après ça, je ne veux créer que des films d’animation. C’est le plan”
“Je pense que l’on peut créer un drame fantastique avec la stop-motion et émouvoir le public. À vrai dire, je pense que cette technique peut atteindre directement nos émotions, d’une manière qu’aucun autre médium n’est capable de reproduire”
“Pour moi, l’animation est l’art le plus pur, et il a été kidnappé par un tas de voyous. Nous devons le sauver, et je pense qu’il est encore temps de glisser un cheval de Troie dans ce milieu”
“Spider-Verse, Teenage Mutant Ninja Turtles et Mario Bros font bouger les choses, et permettent plus de latitude, même s’il reste encore beaucoup à faire”.
Son prochain film, The Buried Giant, est actuellement en préparation pour une sortie sur Netflix courant 2024. Adapté du roman de Kazuo Ishiguro, il sera également réalisé avec cette technique (stop-motion), et contera l’histoire d’un couple du Moyen Âge, vivant dans une Grande-Bretagne fictive où personne ne peut conserver de souvenirs à long terme. Guillermo del Toro porte le projet en tant que réalisateur, producteur, et écrit le scénario en duo avec le créateur de Matilda, Dennis Kelly.
La première fois que j'ai vu One Piece, j'ai directement pensé au film : Les aventures du baron de Munchausen.
Un film poétique, démesuré, drôle...un vrai souffle épique.
D'ailleurs One piece a des références directement inspiré du film.
Gol D. Roger Vs Baron Munchausen
Van Auger Vs Adolphus
La référence au boulet de canon (Kizaru)
bref ça méritait mieux que cette adaptation complètement cheap, si je me réfère à la bande annonce.
Tu peux même confier la réalisation d'un film à George Miller (la licence Mad Max / Trois Mille ans à t'attendre).
Deux aventures en une
Faites la course contre la montre dans Guardian of Light pour débloquer les secrets du Miroir de Fumée et emprisonnez Xolotl, le dieu aztèque de la lumière et de la mort, avant qu’il ne plonge le monde dans les ténèbres éternelles.
Dans Temple of Osiris, progressez parmi d’anciens tombeaux égyptiens pour réunir les Fragments d’Osiris et empêcher Seth, le dieu du mal, d’asservir l’humanité tout entière.
2 À 4 Joueurs en Multi
Faites équipe avec un ami — ou deux, ou trois — pour vaincre des vagues d’ennemis, piller les tombes, récupérer les trésors, les artefacts, et remporter tous les honneurs.
A l’occasion des Plays Days du Summer Game Fest, nous avons pu assister à une démo (jouée en direct par un QA testeur de chez Remedy) de 40 minutes en compagnie du tout nouveau personnage qui partagera la vedette avec Alan Wake pour cette suite : Saga Anderson. Autant dire que le jeu s’annonce canon.
Il faut d’abord savoir que cette démo tournait sur un devkit PS5 et malgré quelques imperfections visibles (le jeu étant toujours en développement), on peut d’ores et déjà affirmer qu’Alan Wake 2 offrira une grosse claque graphique sur consoles, mais comme pour le premier, c’est surtout dans ses ambiances qu’il marque le plus.
Dans Alan Wake 2, notre écrivain du même nom ne sera pas le seul à pouvoir être contrôlé et cette démo s’est d’ailleurs exclusivement attardée sur le nouveau personnage jouable du nom de Saga Anderson (joué par l’actrice Mélanie Liburd). Il s’agit d’un agent du FBI accompli qui enquête – avec son coéquipier Alex Casey (joué par Sam Lake) – sur une affaire de meurtres liés à un culte étrange dans la ville de Bright Falls. La mission qui a été montrée se déroulait durant le chapitre 2 du jeu, appelé « Le Cœur ». On nous a précisé que l’on commencera d’abord avec Saga avant de passer à Alan Wake. En effet, à la toute fin de la démo, nous retrouvons ce cher Alan échoué sur une plage et l’on apprend du même coup que celui-ci a disparu durant 15 ans. Nous n’en saurons pas plus sur ce cliffanger assez frustrant.
On nous a alors précisé, sans rentrer dans les détails, que les phases avec l’écrivain seront beaucoup plus sombres et situées dans des lieux cauchemardesques de la « Dark Place » (il s’agit d’une sorte de représentation psychique des cauchemars d’Alan dans un New York issu de l’un de ses romans) tandis que les parties avec Saga se concentreront plus sur de l’enquête.On pourra apparemment suivre le fil des deux personnages comme bon nous semble et changer à tout moment pour contrôler l’un ou l’autre.On comprend donc que l’on pourra effectuer l’aventure complète de Saga sans forcément avancer avec Alan et vice-versa. Bien que Saga soit une enquêtrice hors pair, cela ne l’empêche pas d’être mêlée à des évènements surnaturels qui viendront ponctuer son investigation. Dans le cas ici présent, elle enquêtait sur le meurtre de Rober Nightingale. Durant des évènements antérieurs, celui-ci serait visiblement revenu à la vie. Elle va ainsi le traquer et tenter de comprendre ce qu’elle a lu à propos d’un concept appelé « Overlap ».
On ne sait pas encore si l’on va retrouver le même gameplay pour notre homme torturé, mais la prise en main avec Saga donne une sacrée sensation de Resident Evil sur l’ensemble. En dehors des éléments récurrents du survival horror comme les énigmes diverses et variées, cela se voit surtout dans la gestion des ressources (Saga a un inventaire avec des emplacements limités), un système de sauvegarde limité qui se fait via les thermos présents dans des salles de pause un peu partout, et des gunfights stratégiques contre des ennemis surnaturels. L’inspiration de la licence de Capcom est forte mais Remedy parvient tout de même à y apposer sa patte avec des mécaniques uniques.
On retrouve bien entendu la lumière de votre lampe torche pour briser la protection des ennemis, mais aussi un système de combat plus dynamique où l’on doit fuir et attaquer au bon timing. En tant qu’enquêtrice, Saga peut instantanément entrer dans une sorte de palais mental (« Mind Place ») afin de placer les indices qu’elle a trouvés et les recouper pour progresser dans son affaire. A noter que grâce au SSD de la console, le passage de la réalité au palais mental, et inversement, est instantané. Par contre, la mécanique est cohérente puisque le temps continue de s’écouler normalement lorsqu’elle s’y trouve. Cela ne peut vous servir de refuge durant un combat. On sent tout de même que Remedy veut garder un minimum d’accessibilité et ne pas trop effrayer les foules. Ainsi, durant les affrontements, vous pourrez vous réfugier dans des zones éclairées qui vous rendront invisible aux yeux des ennemis.
Le palais mental vous permet également de découvrir de nouvelles pages de manuscrit, d’améliorer les armes de Saga, de revoir des cinématiques ou encore de consulter les cartes des environs. On demande quand même à en voir un peu plus sur cette façon de placer les indices sur un tableau à la manière des séries policières américaines. On doute un petit peu de la pertinence d’un tel procédé étant donné le caractère assez scripté et linéaire de genre de titre. On espère vraiment que cette façon de faire n’est pas juste là pour faire joli et que l’on devra vraiment réfléchir à la manière de gérer les indices. Même chose pour le profilage de certains personnages que Saga peut faire pour effectuer des avancées significatives dans ses enquêtes. Elle peut ainsi voir ce qu’ils ont vu et ce qu’ils ont ressenti.
Si ça vous intéresse, un article très complet sur le jeu :
"il convient de rappeler que Master Detective Archives : RAIN CODE est le fruit d’une alliance entre Too Kyo Games et l’éditeur Spike Chunsoft, avec à sa tête l’équipe créative derrière la série Danganronpa.
Le scénario est écrit par Kazutaka Kodaka (qui a donc imaginé la saga des Danganronpa, mais aussi certaines histoires de Jake Hunter, le jeu en FMV Death Come True et l’anime Akudama Drive, et qui était également directeur créatif de World’s End Club)
Les musiques sont composées par Masafumi Takada (The Silver Case, Flower, Sun, and Rain, killer7, No More Heroes, Super Smash Bros. Brawl, for Wii U & 3DS et Ultimate, Kid Icarus : Uprising, Digimon Story Cyber Sleuth, Zangeki no Reginleiv, Project Zero : Le Masque de l’Éclipse Lunaire, Infinite Space, Vanquish, The Evil Within, Danganronpa, Earth Defense Force 5, Master Detective Archives : RAIN CODE…).
Rui Komatsuzaki s’occupe du character design (comme ce fut le cas pour Danganronpa, mais aussi Akudama Drive et Tribe Nine, ainsi que pour les personnages Edmond Dantès et Cleopatra dans Fate/Grand Order)." NintendoDiffrence
Yuma et Shinigami collaborent avec les Maîtres Détectives de l'Organisation Mondiale des Détectives, un groupe spécialisé dans la résolution d'affaires.
Chaque Maître Détective est doté d'un pouvoir surnaturel appelé Aptitude criminalistique. Grâce à ces facultés, ils sont capables de rassembler des faits et des indices hors de portée des personnes ordinaires.
Imiter l'apparence et la voix d'autrui avec Déguisement. Détecter les battements cardiaques et les murmures avec Ouïe fine. Être témoin de scènes de crime passées avec Rétrocognition.
Yuma peut bénéficier de ces effets lorsque les conditions sont réunies. Utilisez-les pour vous rapprocher de la vérité.
Amaterasu Corporation
Amaterasu Corporation est une corporation tentaculaire qui contrôle Kanai Ward. Pour elle, l'Organisation Mondiale des Détectives est une menace.
Fortement impliquée dans les affaires non élucidées, cette société joue de son influence énorme pour fabriquer des faits ou les dissimuler quand ils ne vont pas dans son sens. Elle érige des obstacles pour éviter que la vérité ne soit révélée.
Une nouvelle expérience de résolution de mystères : le Labyrinthe des mystères
À un certain stade de l'enquête, un passage s'ouvrira vers une autre dimension menant à la vérité : celle du Labyrinthe des mystères.
À l'intérieur, vous ferez face à divers pièges et énigmes. Progressez dans ce dédale en constante évolution pour venir à bout de l'affaire.
Les spectres des mystères essaieront de vous empêcher de découvrir la vérité. Esquivez leurs affirmations et tranchez leurs propos contradictoires à l'aide de la lame solution !