« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Les DLC seront inclus, ce qui veut dire les personnages supplémentaires et le mode histoire du Persona 4 Arena original.
Date de sortie (mondial) : 17 Mars 2022.
Le prix serait de 29,99€.
La démo est disponible au Japon sur PS4/Switch.
Il a eu 34/40 par Famitsu.
Première semaine au japon (un gros bide...) :
[NSW] Megaton Musashi – 7,730
[PS4] Megaton Musashi – 3,648
Le cinéaste néerlandais retrouvera le scénariste de Robocop et Starship Troopers, Edward Neumeier.
Dans une interview avec MovieMaker, le duo révèle ce que racontera Young Sinner : "Il s'agira d'un thriller politique qui se déroulera à Washington, D.C. Notre héroïne sera une jeune employée qui travaille pour un puissant sénateur, et qui se retrouve entraînée dans un réseau d'intrigues et de dangers internationaux. Bien sûr, il y a aussi un peu de sexe. […] Nous avons consulté un ancien officier du renseignement, Ron Marks, qui essaie de nous tenir au courant de comment ça se passe au Capitole et dans les affaires d'espionnage... Mais la satire semble toujours émerger lorsque Paul et moi travaillons ensemble, alors je suppose que notre nouvelle aventure aura un ton léger..."
Paul Verhoeven renchérit et confesse vouloir innover et surprendre : "Young Sinner, sera une version innovante de films comme Liaison fatale et Basic Instinct. Sans effets spéciaux numériques. Un film aussi intimiste que possible. […] Mais aussi quelque chose de plus explosif, et plus ouvert à un large public."
Première
PS : Young Sinner veut dire "jeune pécheresse" en Français.
En effet, c'est lors de la cérémonie du Ballon d'Or, que le "meilleur" footballeur du monde l'a reproduit assez fidèlement, et sans doute involontairement. De quoi dédouaner Konami ? A vous de juger
JeuxActu 17/20
On l’avait déjà pressenti lors de notre preview il y a deux mois, et c’est désormais une vérité : Astérix & Obélix Baffez-les Tous! est bel et bien la petite pépite que Microids et Mr Nutz Studio nous ont promis. D’une beauté hallucinante (et ce quelle que soit le support choisi, pas de downgrade, même sur Nintendo Switch), le jeu jouit en sus d’un gameplay solide avec un brin de stratégie assez inattendu. Là où les beat’em all récents exigent un sens du combo, Astérix & Obélix : Baffez-les Tous! apporte une touche Musô-like inédite que personne n’a vu venir. Et c’est à travers ce postulat de départ que le gameplay du jeu a été construit, avec des attaques qui stun ou one-shot direct en plus des combos classiques. Ici, il est en effet question de gérer le flux massif d’ennemis qui arrivent de chaque côté de l’écran, pour éviter le game over qui arrive d’ailleurs très souvent. Car contrairement aux a-priori, Astérix & Obélix : Baffez-les Tous! n’est pas un jeu qui se termine aussi facilement qu’on veut bien nous faire croire. C’est certes un jeu grand public, mais il ne sera pas rare de ragequit lors de certains passages bien ardus, sans doute aussi parce que les développeurs ont rendu les items de guérison rares. Il va falloir en effet réfléchir avant de consommer une pomme ou un sanglier rôti, mesurer si c’est le bon moment ou attendre la prochaine vague pour reprendre un peu d’énergie. Dans un monde idéal, on aurait aimé que les persos disposent de furies qui manquent cruellement, que les mini-jeux ne soient pas aussi inintéressants, qu’on puisse profiter de réelles cinématiques animées (laissez Dessoly s’exprimer bon sang, lol) et que les boss ressemblent vraiment à des ennemis de fin de niveau. Difficile cela dit de jeter la pierre à Microids et Mr Nutz Studio quand on voit à quel point ce titre respire la passion de tous les côtés. Quoiqu'il arrive, c'est de la bonne came, vous pouvez y aller.
JVC 16/20
Avec Astérix & Obélix : Baffez les tous, Microids ouvre un tout nouveau livre. Habitué aux adaptations de l'univers de Goscinny et Uderzo, l'éditeur a changé son cheval de bataille pour revenir aux sources. Et ça marche ! Avec son style rétro (que ce soit au niveau de la forme comme du fond), ce nouveau jeu parvient à rendre l'hommage que cette oeuvre mérite. Le principe colle parfaitement à l’univers et l'expérience est équilibrée sur tous les points. De là à dire qu'Astérix & Obélix : Baffez les tous est la meilleure adaptation, il n'y a qu'un pas que certains ne manqueront pas de franchir. Une chose est sûre, ce beat'em up est le fruit du travail de véritables passionnés et cela se ressent en jeu.
Gameblog 7/10
Aussi familial et accessible que la bande dessinée d'Uderzo et Goscinny, Astérix et Obélix Baffez-les Tous s'entend comme un beat'em all grand public original à plus d'un titre. Cette aventure résolument narrative s'éloigne des canons du genre pour proposer un récit qui emprunte sa trame à de nombreuses aventures, et n'hésite pas à remplir l'écran d'ennemis à maltraiter pour se rapprocher des grandes joutes physiques et verbales auxquelles nous sommes habitués. Si le tabassage en règles des troupes romaines et autres pirates d'eau douce reste un sympathique défouloir visuellement charmant, les amateurs du genre toucheront trop vite les limites du gameplay pour lui pardonner ses longueurs, redites, et autres maladresses de mises en scène. Les joueurs solo et les potes de canapé y trouveront évidemment leur compte et profiteront durant quelques heures d'un doublage sympathique et de (très) bons mots, mais au vu de sa répétitivité et de sa faible replay-value (en dehors des quelques modes de difficulté), Astérix et Obélix Baffez-les Tous n'est pas forcément la claque annoncée. Mais avant de jeter les armes aux pieds de César et de festoyer comme il se doit, les français de Mr. Nutz Studio pourront tout de même se féliciter d'avoir offert à la série sa plus jolie déclinaison vidéoludique.
ActuGaming 7/10
Astérix & Obélix : Baffez-les Tous ! constitue un retour gagnant de la part des deux gaulois. Engageante dès son annonce en vidéo, la tendance beat’em up 2D old school opérée par Mr. Nutz Studio et Microids nous enthousiasme bel et bien manette en main. Les développeurs nous propose une œuvre fortement basée sur l’esprit de la bande dessinée, qui se ressent dans chaque aspect du titre. De son concept à sa narration en passant par sa direction artistique ou ses agréables compositions, le titre joue sur la fibre nostalgique. Cependant, aussi sympathique soit-elle, l’expérience ne dure que quelques heures, et une fois le mode Aventure terminé, on peine à distinguer les raisons d’y retourner. Astérix & Obélix : Baffez-les Tous ! nous donne souvent l’impression que, à tellement vouloir se tenir aux fondements d’une formule intéressante, les développeurs n’ont pris que trop peu de risques pour y donner de l’épaisseur et de la profondeur. Un certain goût d’inachevé subsiste alors, mais nul doute que les amoureux du petit gaulois passeront un bon moment.
JVFrance 7/10
Astérix & Obélix – Baffez-les Tous nous a tout simplement bluffé par sa réalisation technique et nous a fait retomber tout droit en enfance lorsque nous lisions les livres originaux. Toujours fluide, même avec de l’animation à l’écran (sur la version PS4), le titre en 2D style bande-dessiné est artistiquement une madeleine de Proust. On regrettera toutefois un manque de variété concernant les environnements du jeu (et notamment le bateau pirate qu’on aura coulé une dizaine de fois). Retraçant six histoires bien connues des amateurs de la série, nous avons pris du plaisir à les parcourir malgré une certaine répétitivité et une absence de variété dans les combos proposés pour le genre Beat’em All. Mieux vaut être prévenu, si vous n’aimez pas faire la même chose pendant environ 6 heures, soit la durée de vie totale du jeu, nous vous conseillons de passer votre chemin. Toutefois, si la répétition des actions ne vous effraie pas et que vous êtes un admirateur de la série, il peut s’agir d’un achat pertinent pour les fêtes de fin d’année.
PS : Attendons d'avoir d'autres tests pour voir si ça se confirme comme une vrai bonne surprise.
Synopsis : Une mère célibataire et ses deux enfants s'installent dans une petite ville et découvrent peu à peu leur relation avec les chasseurs de fantômes et l'héritage légué par leur grand-père.
Moyenne presse 3/5 (pour l'instant).
20 Minutes 4/5
Mêler l’ancien au nouveau est l’ingrédient principal de ce film bourré de références à la saga. De quoi satisfaire les fans toujours avides de les dénicher, mais aussi les néophytes qui n’ont pas été oubliés.
FilmActu 4/5
Une extension intelligente de l’univers qui servait de toile de fond à SOS Fantômes, et qui met au premier plan les aspects mythologiques qui avaient été à peine effleurés jusqu’ici sur grand écran.
Le parisien 4/5
Jouissif, enlevé et très drôle, « SOS Fantômes : l’héritage » réjouit — après une succession plus ou moins calamiteuse de suites depuis 35 ans — en jouant à la fois à fond sur la nostalgie tout en modernisant un concept devenu culte dans le monde entier.
Cahiers du Cinéma 3/5
Le film assume ainsi ses airs de revival participant de la même nostalgie eighties que Stranger Things, mais avec une intention contraire : au lieu de dévoiler ce que les fantaisies adolescentes avaient de monstrueux et sinistre, il s’agit de les passer à nouveau au tamis rassurant de la comédie « à partir de 10 ans ».
Ecran Large 3/5
S.O.S. Fantômes : L'Héritage, alias S.O.S. Nostalgie, est le dernier cadavre réanimé dans le cimetière des Star Wars, Terminator et compagnie. Il retombe finalement dans les mêmes écueils de recyclage paresseux et poussif, mais évite le crash total grâce à quelques jolies idées, un casting très solide, et surtout une candeur un peu magique.
La Voix du Nord 3/5
Avec son imagerie à la Goonies et son action rigolote à l’ancienne, le film plaira aussi aux quinquas nostalgiques, d’autant que les chasseurs de fantômes d’origine pointent le bout de leur laser.
Le Journal du Dimanche 3/5
Cette suite est une belle surprise, qui respecte la mythologie tout en la réinventant, une comédie fantastique intelligente, généreuse et émouvante.
Les Inrockuptibles 3/5
Le film travaille à recoller les morceaux avec le matériau d’origine d’une façon un peu moins cynique et paresseuse, mais en se creusant la tête pour trousser un petit scénario de passation intergénérationnelle “strangerthingsoïde”.
Ouest France 3/5
Parfois touchant et rigolo, l'héritage n'est que très rarement à la hauteur des ambitions. Mais les plus jeunes devraient y trouver leur compte.
Télérama 3/5
Si elles n’égalent pas tout à fait l’humour et le rythme du premier SOS fantômes, les retrouvailles sont bien plus divertissantes et réussies que les précédentes tentatives de relancement.
Le Monde 2/5
Plongée nostalgique donc, mais pas si désagréable dans l'Americana des eighties où l'on chasse les fantômes sans passer aucun message.
Première 2/5
Des forces contraires qui font jaillir des motifs très personnels du fils Reitman (la rancoeur, la famille dysfonctionnelle), enrobés de nostalgie et d’un humour un rien forcé. Pas un Ghostbusters grand cru, mais fascinant à ausculter sous l’angle de la figure du père.
Libération 1/5
S’il y a bien là un embryon de film, tout n’est en réalité prétexte qu’à un cinéma de connivence, à la fois suite canonique, remake (façon nouvelle trilogie Star Wars) et mash-up.
Kazutaka Kodaka est le créateur et scénariste de la licence Danganronpa.
Pour la musique c'est Masafumi Takada et au design Rui Komatsuzaki qui ont œuvré sur la licence Danganronpa