« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Par le développeur de This War of Mine et Frostpunk.
"Our next big thing is still secret and I can tell just a codename – Project 8 because it’s our 8th game. And yes, we’re aiming for PC and consoles and very likely we’re going to hit next-gen consoles. Google Stadia is a different pair of shoes and we’ll see where this is going. We keep hands on the pulse."
"Notre prochaine grande création est toujours secrète et je ne peux dire qu’un nom de code, Project 8, car c’est notre huitième jeux. Oui, nous visons une sortie sur PC et consoles, et nous sommes susceptibles de le sortir sur les consoles next gen. Google Stadia, c'est une autre paire de manches et nous verrons où cela va. Nous allons surveiller."
"When we defined our philosophy of creating meaningful entertainment, our goal was to make games that are addicting, well-done gameplay-wise and at the same time having power to spread a message or provoke to thinking. Both did a great job, getting acclaim from gamers and the industry, winning a ton of awards and prestigious nominations. With the next one, we want to raise the bar even higher not only when it comes to quality but also in terms of ability to be something more than a game."
"Lorsque nous avons défini notre philosophie de création de divertissements profonds, notre objectif était de créer des jeux addictifs, bien conçus du point de vue du gameplay, tout en ayant le pouvoir de diffuser un message ou de provoquer la réflexion. Les deux (This War of Mine et Frostpunk) ont fait un excellent score, ont été salués par les joueurs et l'industrie, remportant une tonne de récompenses et de nominations prestigieuses. Avec le prochain jeu, nous souhaitons encore élever la barre, pas seulement en termes de qualité mais aussi dans en matière de capacité à dépasser le cadre du jeu."
Disco Elysium – 9
Kine – 9
The Outer Worlds – 8
Luigi’s Mansion 3 – 7
Neo Cab – 7
Pilgrims – 7
Destiny 2: Shadowkeep – 7
Indivisible – 6
Inmost – 6
John Wick Hex – 6
Afterparty – 5
Felix The Reaper – 5
The Bradwell Conspiracy – 4
Ghost Recon Breakpoint – 4
Jeux phares des années 2010 selon Edge :
Amnesia : The Dark Descent
Broken Age
Dark Souls
Destiny
DOTA 2
Fortnite
Gone Home
GTA V
Minecraft
Spelunky
The Legend of Zelda: Breath of the Wild
The Walking Dead
Ne vous posez pas la question de savoir si vous êtes prêts pour Death Stranding, car personne ne l'est. Demandez-vous simplement si vous êtes un battant, si chaque victoire doit d'abord passer par un long chemin de croix. Tentez de savoir si vous êtes assez ouverts d'esprit pour analyser une métaphore ou le fond d'une histoire torturée. Il y a beaucoup de chance pour que vous ne compreniez pas (ou même jamais) cette œuvre, Hideo Kojima lui-même ne la comprend pas, et pourtant il l'a créée...
Points positifs
Graphiquement splendide (merci au Decima)...
Scénario torturé
Gameplay inaccessible et pourtant jouissif
Bande son magistrale & doublage français digne d'un film
Un souci du détail jamais atteint auparavant
Points négatifs
...mais relativement vide
Jeu excessivement difficile !
13 heures avant de vraiment commencer l
Arrivé au bout de l'aventure Death Stranding après près de 60 heures de jeu, difficile de ne pas être convaincu que cette fois, ça y est, une nouvelle étape a été franchie pour notre média favori. Difficile également de ne pas y voir l'aboutissement du travail d'Hideo Kojima, avec un titre qui fusionne gameplay, scénario et mise en scène dans un univers cohérent rempli de références vidéoludiques et cinématographiques. Véritable lettre d'amour au jeu vidéo et à ceux qui le pratiquent, DS est un jeu total, parfois maladroit certes, mais qui n'a pas manqué de nous marquer au fer rouge. Une œuvre unique et qui ne nous a surement pas encore révélé tous ses secrets ; nous n'avons désormais qu'une hâte : en débattre, avec tous ceux qui auront la bonne idée d'en faire l'expérience.
Les Plus
Un univers unique et passionnant
Un gameplay atypique et osé qui déboite
Un scénario qui va retourner quelques cerveaux
Les mécaniques en ligne qui poussent à l'entraide, génial
Un casting de rêve
Une OST sélectionnée et intégrée avec soin
Il se paie même le luxe d'être drôle
Absolument sublime
Les moins
Soucis de framerate dans les lieux trop chargés
Quelques textures qui font tâche
Le moteur physique réagit parfois de manière étrange
Death Stranding est une invitation au voyage dont on ressort marqué par une expérience aussi maline qu'atypique. L'univers du jeu, que l'on prend plaisir à découvrir en solitaire et, plus tard, avec d'autres joueurs, offre un terrain escarpé aux panoramas saisissants. On l'affronte, on le parcourt, on le dompte, en progressant à notre rythme, planifiant des routes que d'autres emprunteront. Pour cette audace et ce concept, Death Stranding prouve que tout n'a pas encore été fait. Et si, en plus, le récit y est passionnant et incroyablement bien incarné par des acteurs à la prestance remarquable... Pourquoi s'en priver ? Un chef d'oeuvre, tout simplement...
+Points positifs
Une ambiance hors norme et un univers d’une richesse assez exemplaire
Une expérience multi bien imbriquée au sein du solo
Durée de vie et contenu très généreux
Un excellent scénario à la narration bien dosée
Un gameplay complet et technique, qui arrive à rendre intéressantes et ludiques des quêtes FEDEX
Une OST envoutante
-Points négatifs
Des combats en TPS assez peu intéressants...
Des soucis assez réguliers de collisions...
Death Stranding est un ascenseur émotionnel qui s'amuse avec notre petit cœur du début jusqu'à la fin. Il y a certaines phases où de l'ennui se fait ressentir, où les missions manquent de piquants... Une envie de tout stopper ? Non, car il y a cette frénésie qui nous pousse à continuer, comme si le joueur était directement lié, connecté, à Sam Porter Bridges. En plus d’être spectateurs de cette tragédie, nous sommes un acteur qui a un rôle important à jouer.
La direction artistique, l'histoire, les personnages et l'univers décalé voilent les imperfections pour laisser place à une œuvre vidéoludique captivante. Une fois achevé, nous avons ce besoin d'y retourner pour découvrir les petits secrets éparpillés à droite, à gauche. Le Death Stranding s'empare de nous, notre corps vibre, le cerveau reste connecté. Nous avons là un incontournable à ne pas louper, sans l'ombre d'un doute.
Les plus
Des graphismes époustouflants !
Une histoire qui retourne le cerveau et qui tient en haleine
Un doublage français de qualité, merci !
Des heures et des heures d'exploration
Le côté « connecté » avec les autres joueurs, une idée de génie !
Les moins
Quelques imperfections visuelles
Quelques missions redondantes
La conduite des véhicules, un peu lourdingue
Le début risque d'en fatiguer plus d'un
Aussi sublime dans la forme que dans le fond, Death Stranding est bien l'un des plus grands jeux de cette génération. Singulier et radical dans sa proposition, il offre un autre regard, une autre alternative à ce que l'on peut voir d'habitude. Un titre avec ses forces et ses faiblesses, mais qui a une vision, celle de son auteur qui la défend jusqu'au bout. C'est tout ce que l'on était venu chercher, en croisant les doigts pour que l'aura de son développeur ne se soit pas envolé et ce n'est heureusement pas le cas.
Les plus
Une oeuvre singulière
Des personnages charismatiques
Un scénario et une narration toujours aussi riches
Un nouvel univers qui ne demande qu'à grandir
Mads Mikkelsen et Troy Baker, quelle classe !
Un bon équilibrage
Une bande sonore monstrueuse (y compris le mixage)
Les moins
Une IA décevante en normal
Un framerate qui a pu s'écrouler à un moment
Encore un manque de naturel pour les animations des visages
Les allers-retours directs forcés
Quel exercice difficile que celui d’analyser ce Death Stranding tant convoité, tant redouté ! Hideo Kojima n’avait déjà plus grand-chose à prouver et le voici de nouveau à l’œuvre, réalisant un tour de force absolument remarquable en établissant ni plus ni moins qu’un style de jeu unique à la frontière des genres. Pleine d’audace tant dans sa volonté d’apporter quelque chose de neuf qu’en édifiant un univers monstrueux et tangible, cette aventure au casting brillamment honoré ne laisse pas indifférent. Pour autant, certains défauts de rythme et de gameplay ou, même, ce concept tellement atypique risquent de lui valoir l’incompréhension et la division de sa communauté : ici, le studio nippon livre une pépite totalement originale à ne pas forcément mettre en toutes les mains, exigeant une véritable sensibilité artistique et une implication personnelle de tous les instants. Death Stranding, c’est un grand oui pour son parti pris, son ambiance, son récit puissant et sa force de conviction indéniable qui le placent d’avance parmi les jeux vidéo les plus insolents de la génération. Et bien que l’on y ait toujours quelques reproches, le cran de l’illustre développeur et de son équipe leur vaut des éloges de la plus grande légitimité.
Les plus
Un concept réellement osé et novateur
Une ambiance absolument délicieuse
Un univers justifié de bout en bout et incroyablement étonnant
Un sacré scénario (par contre, il va falloir s'accrocher)
L'aspect communautaire épatant
Un jeu d'acteur puissant
Quelques panoramas photoréalistes
Un parti pris tellement intrépide !
Une OST poétique et finement sélectionnée
Des scènes émouvantes placées au bon moment
Les moins
C'est atypique et donc à ne pas mettre en toutes les mains
Des passages à vide possiblement ennuyeux
Des problèmes de collision et d'animation
Des combats beaucoup trop simples
Parfois un manque à gagner dans l'écriture et la mise en scène in-game
Death Stranding est un jeu rare, une oeuvre qui ne ressemble à aucune autre. Parce qu’il a le courage d’avoir une vision et de la respecter jusqu’au bout, parce qu’il est encore trop exceptionnel de voir les moyens du triple-A au service d’une identité si particulière. Alors oui, le dernier né de Kojima Productions ne fait aucun compromis : ni sur son univers, ni sur sa proposition, ni sur son message. Et ce faisant, il prend le risque de laisser certains joueurs sur le carreau. Mais c’est justement cette approche absolue qui en fait un objet vidéoludique unique et brillant. Nouvelle leçon de mise en scène et d’écriture de la part du créateur de Metal Gear, Death Stranding est un voyage marquant à plus d’un titre. Une machine à souvenirs.
+Un univers chiadé, exotique, crédible et unique
+L’adéquation parfaite du fond et de la forme
+Une réinterprétation de l’open-world majeure
+Ce multi asynchrone pertinent à tous les niveaux
+Sa faculté à lier le contenu principal et le contenu annexe
+Une claque de mise en scène et d’écriture
+Le casting qui apporte véritablement quelque chose
+Un jeu qui prend des risques et qui les assume
+Une proposition de gameplay renversante
+Encore une atmosphère qui va laisser des marques...
+Maîtrisé aussi bien techniquement qu’artistiquement
+Des grands moments à la pelle
-Les combats qui passent à côté de leur sujet
-L’aspect visuel du multi, qui brise un peu l’immersion
-Il manque un minuscule quelque chose émotionnellement…
-Des menus un peu envahissants et qui auraient pu être peut-être plus ergonomiques
Avant d'être le premier jeu de Kojima Productions, une oeuvre baroque au possible ou même un objet de débats éternels sur la personne de son créateur, Death Stranding est d'abord un jeu bourré d'idées, souvent judicieuses. En nous plaçant dans les bottes usées d'un porteur solitaire chargé de relier entre eux les survivants d'un monde en perdition, Hideo Kojima nous invite à explorer un monde dense, riche de découvertes et de situations sans cesse renouvelées, qui dévoile toute sa portée passée une première partie très sage. En obligeant naturellement les joueurs à collaborer intelligemment sans pour autant jamais se rencontrer en cours de partie, Death Stranding invente ses propres règles, et innove, grâce à un level design solide et une technique irréprochable. Mais pour goûter à l'ivresse d'une aventure pas comme les autres, il faudra composer avec de véritables longueurs, une mise en scène parfois tire-larmes pour rien, et une intrigue qui ne cesse de s'enfoncer dans une épaisse mélasse, quitte basculer sans retenue dans le ridicule. Mais une fois les tunnels narratifs et les accrocs de maniabilité digérés, il reste là un immense bac à sable toujours plaisant à découvrir, qui invite constamment à partir explorer le monde pour simplement avoir connaissance de ce qui peut bien se cacher un peu plus loin. À moins de pester face à sa dimension contemplative et son rythme résolument posé, il y a fort à parier que les joueurs de Death Stranding garderont un souvenir particulier de ce périple coast to coast d'un nouveau genre.
+ On aime
Une zone de jeu immense et variée, que l'on s'approprie petit à petit.
Quelques personnages très réussis...
Une aventure contemplative et organique qui prend son temps...
La collaboration décalée, une idée astucieuse qui créé un véritable cercle vertueux.
Une bande-son indie pop que l'on réécoutera volontiers une fois le jeu terminé.
Techniquement solide, même sur PS4 classique.
Une durée de vie très honorable qui donne quand même envie d'y revenir après le générique.
Des quêtes annexes avec de véritables récompenses à la clé.
Le souci du détail de Yoji Shinkawa.
- On n'aime pas
Une écriture lourdingue qui se perd dans sa propre complexité.
...qui nagent au-milieu d'un cast très cliché.
...sans doute un peu trop : impatients, passez votre chemin.
Like, like, like on te dit !
Une prise en mains parfois crispante.
Des menus souvent abscons, qui auraient mérité plus de clarté.
Rien ne semble arrêter Joker, qui conserve la première place du box-office pour la troisième semaine consécutive. Avec 1 million de spectateurs supplémentaire au compteur, le long métrage de Todd Phillips porté par Joaquin Phoenix approche désormais des 4 millions d'entrées. Il devient ainsi le plus grand succès en France pour un film de l'écurie DC Comics, et le cinquième plus grand succès de l'année 2019.
Le long métrage de Todd Phillips porté par Joaquin Phoenix poursuit son impressionnante carrière à l'international. En rassemblant plus de 788 millions de dollars au box-office mondial, Joker passe ainsi devant les 785 millions de Deadpool 2 et devient donc le plus grand succès de l'histoire pour un film R-Rated (c'est-à-dire interdit à tout mineur de moins de 17 ans non accompagné par un adulte). Un score d'autant plus remarquable que selon Variety, le film n'a coûté que 62,5 millions de dollars à Warner Bros.
Développeur : GoodFeel
Genre : Jeu de tir/ Action
Date de sortie : 7 Novembre 2019 (eShop)
Langues : Anglais / Japonais / Espagnol / Français / Allemand / Italien / Portugais/ Russe / Coréen / Chinois.
Prix : 14,99€
Par le développeur de Wario Land : The Shake Dimension et des derniers Yoshi.
-Jouable en solo / 32 niveaux (Story mode)
-98 types d'armes différentes.
-Singe contre Singe : Matchs en ligne avec jusqu'à 6 joueurs.
Il s'agit de l'adaptation du roman Docteur Sleep de Stephen King (2013), qui fait lui-même suite à son roman Shining, l'enfant lumière ainsi qu'à l'adaptation cinématographique de ce dernier, Shining (1980).
Synopsis : Encore profondément marqué par le traumatisme qu'il a vécu, enfant, à l'Overlook Hotel, Dan Torrance a dû se battre pour tenter de trouver un semblant de sérénité. Mais quand il rencontre Abra, courageuse adolescente aux dons extrasensoriels, ses vieux démons resurgissent. Car la jeune fille, consciente que Dan a les mêmes pouvoirs qu'elle, a besoin de son aide : elle cherche à lutter contre la redoutable Rose Claque et sa tribu du Nœud Vrai qui se nourrissent des dons d'innocents comme elle pour conquérir l'immortalité. Formant une alliance inattendue, Dan et Abra s'engagent dans un combat sans merci contre Rose. Face à l'innocence de la jeune fille et à sa manière d'accepter son don, Dan n'a d'autre choix que de mobiliser ses propres pouvoirs, même s'il doit affronter ses peurs et réveiller les fantômes du passé…
Moyenne presse 3,7/5 (pour l'instant).
20 Minutes 4/5
On frissonne joyeusement en consultant ce Doctor Sleep.
CinemaTeaser 4/5
Mike Flanagan honore ses écrasants tuteurs – King et Kubrick – tout en réussissant l’exploit d’insuffler toute sa personnalité.
Le Parisien 4/5
Doctor Sleep emprunte le même chemin, tout en divergeant sur plusieurs moments clés du livre. En dire plus serait criminel, mais on peut tout de même applaudir le réalisateur, Mike Flanagan, d'avoir privilégié une fin plus radicale. Mais aussi pour le choix de ses acteurs.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Sans atteindre la perfection, Mike Flanagan réussit l’impensable : réconcilier les deux Shining, le littéraire et le cinématographique.
Les Inrockuptibles 4/5
"Doctor Sleep" se veut plus comme un insolent crossover entre les obsessions de Flanagan et le film de Kubrick que comme un pieux travail de prolongation de l'oeuvre du maître. S'il aspire les dernières vapeurs de film de Kubrick, c'est pour mieux y mettre le feu.
Marianne 4/5
[...] le film trouve tout son intérêt dans une mise en scène onirique et une tension qui envoûte plus qu'elle ne fait frémir.
Première 4/5
Avec Doctor Sleep, Mike Flanagan a trouvé cet équilibre cher aux fans d’une oeuvre originale avec une adaptation relativement fidèle tout en sachant y mettre sa patte.
Le Figaro 2/5
Reconstitution de scènes iconiques et faux Jack Nicholson ne convainquent pas : on préfère de loin l’hommage ludique de Steven Spielberg dans Ready Player One.
Gameblog 9/10
Les vacances dépaysantes de Luigi's Mansion 3 ressemblent à une comédie fantasmagorique, chaque étage de ce somptueux hôtel donnant lieu à une pièce de théâtre à part entière qui revisite facétieusement les classiques de l'épouvante, suspense trépidant à l'appui. Une oeuvre issue de la fabuleuse imagination de Next Level Games, qu'illustrent les énigmes malicieuses et les ébouriffants face-à-face avec les poltergeists, pour certains d'anthologie. Et ces élucubrations se conjuguent à merveille en duo, a fortiori aux côtés d'un second joueur en chair plus qu'en os, les particularités visqueuses de Gluigi venant à la fois fluidifier et enrichir l'expérience. Dommage que les éléments supplémentaires de la panoplie du chasseur de fantôme s'acquièrent quasiment tous d'emblée, car l'exploration ne demande guère de se glisser dans les coulisses, hormis pour le score. Faire le ménage n'en reste pas moins exaltant, comme le souligne la dimension multijoueur, à l'envergure considérablement élargie. Rehaussée par un surcroît de pièges et d'objets désopilants, l'ascension de la tour s'appuie judicieusement sur l'esprit d'équipe, de façon à hanter éternellement les soirées entre amis dans la joie, et la bonne horreur...
JeuxActu 18/20
Avec autant d’éloges, vous devez certainement vous demander si Luigi’s Mansion 3 est perfectible. Oui, notamment au niveau du multi dont les modes sont loin de faire rêver ; ils font plus office de chips que de véritable prolongement de la campagne solo. Nous n’avons pas eu l’occasion d’essayer le jeu en ligne faute de session disponible au moment de notre test (ça figurait bien au planning de Nintendo, précisons-le), ce qui aurait permis de savoir si le netcode a été amélioré depuis Luigi’s Mansion 2. Malgré tout, le reste est ultra solide avec un moteur physique carré, des graphismes aux petits oignons, la coopération exaltante, le sound design top, l’humour omniprésent, les fantômes mieux incarnés, ou encore le gameplay huilé. Même la visée n’est jamais prise en défaut par les perspectives, et les développeurs se sont permis un petit clin d’œil sympathique au film d’horreur Poltergeist. Que demander de plus, si ce n’est le retour d'autres licences historiques sur Switch avec un tel degré de qualité ?
JVC 18/20
Luigi’s Mansion 3 est clairement le meilleur épisode de la série, reprenant l’ambiance du premier opus et offrant de nombreux moments inoubliables que nous ne voulons pas vous dévoiler. Si vous aimez un tant soit peu l’humour Nintendo et l’exploration, vous ne pouvez en aucun cas être déçu pour ce qui se présente déjà comme un des meilleurs jeux de l’année!
Millenium 9/10
Beau, intelligent, amusant... Difficile de ne pas tomber sous le charme de Luigi's Mansion 3, un titre qui ancre cette série parmi les plus prestigieuses (une de plus) de Nintendo. Jouable entièrement en coopération, LM3 n'a de cesse de surprendre son monde en proposant un level-design aux petits oignons et des épreuves toujours très inventives, et ce tout au long de l'exploration des 17 étages de cette nouvelle bâtisse à exorciser. Peu importe ses petits défauts, qui tiennent davantage du chipotage, le titre de Next Level Games se hisse tout simplement parmi les meilleurs jeux de la Nintendo Switch.
Destructoid 9/10
GamesRadar+ 9/10
Gamergen 17/20
Difficile de reprocher de réels défauts à ce Luigi's Mansion 3, qui est un vrai régal à parcourir. Nintendo propose ici un jeu plein de charmes, avec beaucoup d'humour, une belle ambiance comique et faussement horrifique, le tout porté par des graphismes très mignons.
Le gameplay est très simple à prendre en main, et pourtant, le titre met à disposition du joueur plusieurs mécaniques intéressantes, notamment grâce à un Ectoblast GL-U très complet, avec différents flashs et surtout la possibilité d'invoquer Gluigi, qui ne se fait pas souvent respecter. Rajoutez à cela des énigmes et combats de boss qui ne demandent pas beaucoup d'expérience, et vous avez là un jeu d'aventure très facile d'accès, pour petits et grands, comme sait si bien le faire Nintendo.
JVLive 17/20
Les fans de Luigi qui attendaient une nouvelle aventure sur console de salon ne seront pas déçus. Ce Luigi's Mansion 3 rejoint la liste des jeux incontournables sur Switch grâce au savoir faire de Nintendo. Avec ses nouvelles mécaniques de gameplay, le jeu ne cesse de proposer des nouvelles situations tout en variant les lieux et les ambiances tout au long de l'aventure.
GameInformer 8,5/10
Luigi's Mansion 3 is a fun ghost-hunting adventure regardless of your experience with the franchise.
Luigi's Mansion 3 est une aventure de chasse aux fantômes amusante, quelle que soit votre expérience avec la franchise.
God is a Geek 8,5/10
Gamekult 8/10
Presque aussi vieux que son frère, Luigi a grandi en popularité auprès de la communauté des adeptes de Nintendo. Aujourd’hui, pas loin de 20 ans après le lancement de sa série bien à lui, le petit frère vert reçoit tout autant de soin que son ainé pour Luigi's Mansion 3. Toujours plus imaginatif à mesure que l'on s'élève dans les étages de son hôtel, ce troisième volet surclasse ses deux prédécesseurs en y piochant toutes leurs bonne idées, revisitées et magnifiées. Bien plus long et inventif que le premier, bien plus agréable et plus complet que le suivant, il permet à cette licence mineure dans l'univers de Mario de prendre enfin de la valeur.
IGN 8,3/10
Luigi's first ghost-filled adventure on Switch offers up another satisfying blend of exploration and puzzle-solving.
Luigi's Mansion 3 est tellement amusant, charmant et intelligemment conçu que j'espère que nous en aurons plus de trois tout les 20 ans.
VideoGamer 8/10
SpazioGames 8/10
USgamer 8/10
Gamespot 8/10
Luigi's first ghost-filled adventure on Switch offers up another satisfying blend of exploration and puzzle-solving.
La première aventure de Luigi remplie de fantômes sur Switch offre un autre mélange satisfaisant d'exploration et de résolution de casse-tête.
Gameblog 10/10
Disco Elysium a le même souffle, certes un peu plus alcoolisé, que des monuments du CRPG comme Planescape Torment ou les deux premiers Fallout. Ce n'est pas dans la représentation isométrique de son univers diesel punk ô combien léché visuellement que cela se passe. Mais dans une écriture, parfaite, fleuve, n'ayant peur d'aborder aucun sujet, qui sert une sensation de liberté grisante. Le joueur un tantinet intéressé et investi a ici l'opportunité de vivre une enquête pas comme les autres, tour à tour drôle, surréaliste, touchant, noir, dramatique, qui vous donne vraiment cette impression de s'adapter à chaque choix, chaque envie. Avec son intrigue passionnante de bout en bout, son atmosphère particulière, sa galerie de personnages délicieuse et son insolente profondeur, Disco Elysium, c'est certain, est un des meilleurs RPG jamais conçus. Et il va être impossible à oublier.
JeuxActu 19/20
On se doutait bien qu'un jeu de rôle proposant un inventaire de pensées et des compétences capables de discuter avec le personnage principal ne pouvait pas être mauvais. Mais on ne s'attendait tout de même pas à une telle réussite. Disco Elysium entre directement au panthéon des RPG cultes, où il trouvera tout naturellement sa place aux côtés de Planescape Torment. Déjà encensé par ses premiers joueurs, le titre de ZA/UM mérite définitivement toute votre attention si jamais il ne l'a pas encore. A l'heure où Bioware et Bethesda partent clairement en vrille et où les premiers Fallout et autres Baldur's Gate ne sont plus qu'un lointain souvenir, les amateurs de véritables jeux de rôle ont enfin de quoi se réjouir. Disco Elysium réussit l'exploit d'être à la fois extrêmement original dans le paysage vidéoludique actuel, et totalement fidèle aux principes fondateurs des jeux de rôle papier. A ne surtout pas louper !
JVC 18/20
Il y aurait encore tant à dire sur Disco Elysium. À bien des égards, il est un jeu brillant. Doté d'une écriture tout simplement époustouflante, d'une direction artistique de haute volée et d'un principe, hérité des fondations mêmes du jeu de rôle papier, terriblement atypique, le titre de ZA/UM est une expérience incroyable qui laissera cependant sur le carreau les réfractaires aux jeux verbeux où les combats se règlent à coup de jets de dés, mais également, et c'est malheureux, le public n'ayant pas de solides bases d'anglais. Mais les autres, biberonnés aux Planescape Torment et autres Fallout vieille école trouveront là un RPG moderne, en aucun cas anachronique, intelligent, d'une densité assez inédite, où prendre de mauvaises décisions ou tout simplement échouer reste également une manière valable de mener l'enquête. Disco Elysium est assurément incontournable dans la niche dans laquelle il évolue et procure un sentiment d'incarnation grisant. Nous pourrions bien être en train d'assister à la naissance d'un futur très grand studio.
Millenium 8,8/10
Disco Elysium est une franche réussite, du moins dans son genre. L'écriture est intelligente et recherchée, offrant une histoire haletante et des dialogues savoureux à parcourir. Les différents choix proposés via le système de compétences permettent à n'importe quel joueur d'avoir une partie complètement différente suivant son arbre de talents, donnant une rejouabilité infinie. Le tout est habillé d'une direction artistique et d'une musique aux multiples inspirations qui devraient faire passer un très bon moment à n'importe quel fan du genre. En revanche, on le déconseille fortement aux anglophobes, le jeu faisant usage d'un vocabulaire complexe n'étant pas du tout traduit. Sans les comprendre, vous y perdriez tout l'intérêt du jeu. On mettra en garde aussi ceux qui veulent du gameplay, ce dernier étant globalement réduit à un simple Point'n Click.
PS : "un jeu d'exception, un RPG déjà culte, et si c'était lui le GOTY 2019 ?" JeuxActu
1 ) Point Positif (ce que j'aime)
2 ) Point Négatif (ce que j'aime pas)
3 ) Votre Conclusion
4 ) Votre Note
J’enlèverai tout commentaire qui n'a rien à voir avec les questions posés.
J’enlèverai tout commentaire qui commente les critiques.
Merci d'avance de votre compréhension.
PS : Personne ne vous obligent à le faire, mais si vous le faite, c'est cool
Le jeu est disponible aussi en Europe.
Langues : Anglais / Japonais / Chinois.
Le jeu possède dorénavant une démo US (PS4 -PStore-/Switch -eShop-).
Spike Chunsoft a confirmé qu'une démo européenne va prochainement arriver.
Joker est un film nécessaire car il explique des choses sur le cynisme de notre société surtout face aux marginaux (la scène avec le « Joker » face à Murray Franklin, je me disais « une scène similaire pourrait arriver entre un candidat de télé réalité et un producteur de ses programmes cynique, je serais malheureusement même pas étonné »).
En voyant le film j'ai pensé à cette citation "On reconnaît une société à la façon dont elle traite ses fous". Dans le cas de Arthur Fleck (Le futur « Joker »), nous voyions qu'il a un soucis psychologique, mais toute la question est pourquoi, au fur et à mesure nous comprenons d’où vient cette souffrance, son rire fonctionne un peu comme les personnes atteintes de bégaiement suite à un traumatisme.
Je pense que c'est le "joker", le plus humain que j'ai pu voir au cinéma, c'est pour ça que j'ai pour lui une certaine empathie (je trouve même qu'il y a des moments où il est "beau", il a la grâce), c'est ça qui est encore plus terrifiant quand il pète un plomb, car tu comprends même pourquoi tout en étant effrayé.
C'est une véritable trégie/comédie que vie Joker (une des scènes qui résument le mieux cette forme de dualité, c'est celle ou c'est anciens collègues lui rendent visite), comme le dit à un moment « avant je me disais que la vie était une tragédie, je me rends compte que c'est une comédie », ça me rappel cette citation «l'humour est la politesse du désespoir», dans le cas du film, le désespoir social.
Si cette société ne retrouve pas l'esprit de bienveillance (en y mettant des moyens humains et financier), qui cherche donc plutôt à inclure qu'à exclure, alors face à des personnes désarmé de patience mais armée (surtout si les armes sont accessible "facilement") d'une révolte, un retour de flamme pourrait malheureusement arriver...est-ce que nous sommes prêt à changer...je dirais « Joker »...
En sortant du film nous comprenons mieux les relations entre le « joker » et la famille Wayne, mais surtout « Batman est-il vraiment pour la justice ?»
Personnellement j'aimerais que Todd Phillips face lui même un film Batman avec ce Joker là.