Moyenne presse 2,9/5 (pour l’instant)
20 Minutes 4/5
Sonic 2 parodie les films de superhéros avec bonne humeur en retrouvant l’énergie des jeux vidéos qui ont révélé le personnage.
Le Figaro 4/5
Survitaminé, joyeux, attendrissant, ce divertissement ne manque pas… de piquant.
Le Parisien 4/5
Un cocktail visuel explosif, un rien criard, mais on ne s’ennuie pas.
Dernières Nouvelles d'Alsace 3/5
[...] un scénario d’antagonisme et d’alliance sans grande surprise [...].
IGN France 3/5
Quelque part entre le correct et le gênant, Sonic 2 reste un film de fan, pour les fans. Il ne réveillera pas la flamme, mais elle l'attise le temps d'un - long - film, si on oublie ces affreux réflexes de comédie américaine de seconde zone.
Les Fiches du Cinéma 3/5
À défaut de raconter quelque chose, le film fait gentiment le show.
Ecran Large 3/5
En choisissant de mettre de côté le (léger) cœur émotionnel du premier film, Sonic 2 tombe dans les travers du blockbuster débile et fainéant, qui accumule les scènes d’action poussives et les effets spéciaux pourris avec cynisme.
Le Monde 2/5
[Le] surplus de personnages, d’actions et d’éléments iconiques du jeu ayant pour but d’accélérer le rythme et de divertir au maximum [...] est néanmoins insuffisant pour faire passer le prosaïsme des dialogues, de l’esthétique et de l’intrigue.
Le Nouvel Observateur 2/5
Dans le registre spectacle du grand n’importe quoi déjanté (avec une savoureuse dose de dialogues pétris de second degré), le film finit par faire ce qu’on attend de lui : distraire et décoiffer.
Le Journal du Dimanche 1/5
De l’intrigue paresseuse, les enfants ne sortiront pas plus intelligents ; leurs parents, sans doute un peu abrutis par l’avalanche de péripéties pendant deux heures…
Allociné
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Moyenne presse 2,3/5 (pour l'instant)
Le Parisien 4/5
C’est Jared Leto le principal atout de cette fiction, les autres acteurs étant ici réduit au simple rôle de faire-valoir [...]. Si le paquet a été mis sur les effets spéciaux, qui tentent d’être originaux notamment pour symboliser la vitesse de ces créatures surnaturelles, le scénario se révèle, lui, très traditionnel et sans surprise.
20 Minutes 3/5
Jared Leto est au top de sa performance, notamment quand Morbius est affaibli par sa maladie et peine à se déplacer.
Le Figaro 3/5
Assez habilement, le film respire le romantisme discret, en misant sur la noirceur attirante du personnage, ainsi qu'à un sous-texte érotique… assez insolite chez Marvel.
Le Monde 3/5
Deux vertus s’attachent à ce film. La première consiste à rabattre le genre sur un autre genre, plus classique : le film de vampire. [...] L’autre vertu est l’indéniable beauté du film, tout particulièrement dans les scènes d’action.
Télé Loisirs 3/5
Crépusculaire et spectaculaire, ce premier film consacré à l'antihéros de l'écurie Marvel vaut pour son atmosphère lugubre et l'abattage des comédiens, Jared Leto en tête, épatant sous les traits du vampire vivant.
Le Journal du Geek 2/5
Morbius devait montrer les crocs avec son premier long-métrage chez Sony, on a à peine eu droit à une molaire. Le vampire de Marvel fait grise mine, et même Jared Leto ne parviendra pas le sauver. Sans être un ratage complet, comme Venom 2 a pu l’être, Morbius ne s’imposera sans doute pas dans la légende. Un long-métrage loin d’être immortel.
Les Fiches du Cinéma 2/5
Médiocre et sans grand intérêt, ce nouveau projet anti-héroïque confirme l’incapacité d’une industrie à imposer des antagonistes complexes.
Les Inrockuptibles 2/5
La panoplie d’effets spéciaux et la direction artistique sont de l’ordre du très disgracieux et du très ringard, dans une réminiscence du gothisme vampirique grand public des années 2000.
Ecran Large 1/5
Saturation totale face à Morbius, abime de nullité, tellement vide et insipide qu'il n'y a même plus de mot pour le définir. Après Venom, Sony construit en tout cas le plus grand des édifices hollywoodiens du néant cinématographique.
IGN France 1/5
C'est comme si on avait absorbé toute la substance vitale du film avant de le projeter en salle. Morbius est une oeuvre vampirisée, une goule à qui il ne reste rien.
Libération 1/5
Morbius de Daniel Espinosa est nullissime par quelque bout qu’on le prenne.
Allociné