« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
JVC 14/20
Certes Gear.Club Unlimited n'est pas très joli, mais il a bien d'autres qualités. Vendu à petit prix, le titre d'Eden Games ravira les propriétaires de Switch à la recherche d'un jeu de course arcade accessible, complet et très adaptés aux courtes sessions de jeu. Plutôt simpliste en apparence, Gear.Club Unlimited surprend constamment par sa richesse et son authenticité, qui nous rappelle le meilleur du jeu de course arcade tel qu'on le connaissait à la fin des années 90. http://www.jeuxvideo.com/test/749063/gear-club-unlimited-le-jeu-de-course-dans-la-poche.htm
Gamergen 14/20
Soyons francs, nous n'attendions absolument rien de Gear.Club Unlimited, et au final, nous avons passé un bon moment en sa compagnie. Alors oui, ce n'est pas très beau, des bugs sont présents et il manque deux, trois choses pour que ce soit parfait, mais l'univers, très Arcade, est assez prenant et le mode Carrière amusant.
Les sensations de vitesse sont là, la prise en main est bonne, le mode multijoueur en local est délirant, vous l'aurez compris, il y a tout de même de quoi faire, sans se prendre la tête. Gear.Club Unlimited arrive à distraire et à satisfaire sans grande difficulté, espérons simplement que le titre soit bonifié dans le temps par Eden Games. https://www.gamergen.com/tests/test-gear-club-unlimited-ca-pulse-mais-sans-trop-pousser-non-plus-287318-4
Gameblog 7/10
Gear.Club est une belle arrivée pour la Switch. On est loin de jeux qui ont le charisme d'un Forza ou d'un Gran Turismo, ou encore le fun d'un Mario Kart (pour rester dans le style quatre roues), mais la proposition est plus que décente et parfaitement en harmonie avec la machine sur laquelle elle est faite. Le titre d'Eden Games s'avère donc une belle façon de satisfaire les amateurs de courses de voiture, pour peu que l'on cherche à se divertir de façon sporadique dans la durée et non à mener une véritable carrière de pilote. http://www.gameblog.fr/tests/2902-gear-club-unlimited-switch
Jeuactu 9/20
Faut-il vraiment en remettre une couche alors que tout a été dit ? Réalisation moche, gameplay bancal, sound design pitoyable, jeu en ligne anecdotique, I.A. aux fraises, courses fades, interface austère, framerate au bout du rouleau ; on pourrait continuer longtemps comme ça. En clair, Gear.Club Unlimited n’aurait jamais dû voir le jour sur Nintendo Switch. Rares sont les jeux à donner l’impression de nous avoir fait perdre notre temps, et il aura fallu qu’Eden Games se lance dans un portage opportuniste et aucunement adapté au format console pour que le miracle ait lieu. Et même si la richesse du contenu est appréciable, c’est beaucoup trop maigre pour occulter tout le reste. A oublier. http://www.jeuxactu.com/test-gearclub-unlimited-le-plus-mauvais-jeu-de-course-de-la-switch-111718.htm
Patch 1
- Correction de quelques bugs mineurs
- A la fin de la course lors de la relecture, la roue ne tourne plus
- Ajout de la précommande DLC - 370Z Nismo
- Ajout de la précommande DLC - 50ème anniversaire de Camaro
Patch 2 (début janvier)
- Ajout d'un mode Championnat au multijoueur local
- Amélioration de l'écran de sélection de la voiture (en particulier en multijoueur local)
- Magasin de performance: les joueurs pourront avoir 10 voitures dans leur magasin de performance au lieu de 4
- Ajout d'une nouvelle caméra de recul
- Navigation sur la boutique de performance améliorée
J'ai des rides et des poches sous les yeux
Les cheveux poivre et sel et l'arthrose m'en veut
À chaque check-up ça n'va pas mieux
J'ai la carte vermeil et la retraite, j'suis vieux
Les blouses blanches analysent ma pisse
Testent ma prostate, me parlent d'hospice
Les gosses dans le bus me cèdent leur place
Ah, ah, et quand j'me casse
Ils parlent en verlan style "tema l'ieuv"
Si les mots sont pioches c'est ma tombe qu'ils creusent
Mais je dois rester droit malgré mon dos
Ma scoliose et c'salaud de lumbago
J'étais une sommité, la qualité
J'ai bien travaillé, j'étais respecté
De juvénile, à pré-retraite
Je n'ai pas profité, ma vie j'ai raté
Maintenant quoi ? Tu veux que je fasse du jogging ?
Rattraper les années avec du bodybuilding ?
Mettre de l'anti-rides à la graisse porcine ?
Passe clean avec peeling et lifting
Ça sonne faux, je veux le feu, la forme
Déformer le monde monotone et morne
Comme chaque printemps me pousse vers l'automne
Vers le sonotone, j'perds le sonotone
J'perds le sonotone (x16)
J'suis prêt à appeler les forces des ténèbres
Dévertébrer le verbe de toutes mes lèvres
Pour devenir celui qui gambadait dans l'herbe
J'lève la main gauche et déclare avec verve
Être prêt, pour la face ou l'envers
Pacte avec Dieu ou pacte avec l'enfer
J'veux ... l’élixir, la luxure
Le luxe d'être permanent comme le clan Klux Klux
Toi,
Viens à moi
Tu deviendras
Explosif comme l’Etna
Agenouille-toi
Et regarde vers le bas
(Agenouille-toi et regarde vers le bas)
Vers le sonotone, j'perds le sonotone
J'perds le sonotone (x16)
Qu'est-ce qui s'passe ? J'me sens revivre
De vieux papillon je passe à chrysalide
J'étais impotent, maintenant ma peau s'tend
Comme à 20 ans, j'ai avalé le printemps
Jeune, fun, j'brille comme un gun neuf
J'ai du sang neuf, je veux mille meufs
Plus mille potes de Bangkok à Elbeuf
Le tout si possible arrosé de mille teufs
Car tout est vicié, cercle vicieux
Là-bas la vessie, ici la calvitie
À toi merci, j'ai les preuves de ton oeuvre
La jeunesse éternelle pour réécrire mon oeuvre
Résurrection, retour de l’érection
De l'action quand avant c'était fiction
Retour de la libido, des nuits brèves
Des alibis bidon pour réécrire le rêve
Elle
Belle ..
Citadelle assiégée
Par une armée rebelle
Moi
En émoi ...
Escaladant la pierre
Pour finir dans ses bras
J'peux l'faire, j'ai le feu, la forme
Transform' mon monde monotone et morne
Avaler le printemps, recracher l'automne
Parce que rien n'se perd et tout se transforme
Parce que rien n'se perd et tout se transforme
Vers le sonotone
J'perds le sonotone (x16)
(J'aurais voulu te dire ...)
J'aurais voulu te dire que je m'en vais
(J'aurais voulu te dire que je m'en vais, que je m'en vais ...)
J'aurais voulu te dire que je m'en vais
Mojang avait indiqué travailler sur une mise à jour d'importance, la Super Duper Graphics, devant tirer vers le haut le rendu général : de meilleurs effets de lumières, des textures plus fines. Mais cela prend un peu plus de temps sur la Switch (on se rappellera que les développeurs avaient connu quelques petits soucis au départ pour gérer le basculement 1080p docké / 720p portable) mais promis, nous l'aurons sur la Switch en 2018. Il reste juste pas mal de travail.
Et si cette mise à jour est très attendue également, c'est par l'apport du multiplateforme (la possibilité de jouer avec des collègues Xbox ou PC, ces derniers peuvent déjà le faire depuis la mise à jour Better Totheger en septembre dernier.).
"La communauté Nintendo Switch recevra bien la nouvelle version de Minecraft avec le mode multi-plateforme, mais pas avant 2018. Nintendo a été un excellent partenaire et nous sommes vraiment ravis d'intégrer complètement la communauté Switch dans notre univers. Cependant, nous devons nous assurer de fournir la meilleure expérience possible. La nouvelle version de Minecraft sera donc disponible sur Nintendo Switch l'année prochaine. Les joueurs Xbox One, PC, mobile et Nintendo Switch, pourront tous jouer en multijoueur ensemble en 2018 - je commence à en avoir les larmes aux yeux rien que d'y penser..."
JVC 15/20
Rocket League sur Nintendo Switch est toujours aussi fun, gardant la profondeur de gameplay de la version originale sans toucher à la fluidité. Toutefois, visuellement, le 576p variable pique vraiment les yeux et l'aliasing est tellement présent qu'il es impossible de ne pas le remarquer. Vous ne raterez pas de ballon à cause de ça, mais au moins, vous savez où vous mettez les pieds. Rocket League reste une bonne affaire et il y a peu de chance que vous vous y ennuyez.
Gamekult 7/10
Rocket League partout avec soi au prix d'un portage un peu crado ? L'arbitrage se fera en fonction de votre appétit pour les expériences multijoueur de qualité, quitte à faire abstraction des concessions graphiques. Les développeurs ont fait de la fluidité leur priorité n°1, quitte à activer les guirlandes de Noël partout sur le terrain et sur les caisses ; tout ça pour dire que sur la télé, l'aliasing pique les yeux, surtout si vous aviez pris l'habitude d'afficher le jeu en 4K. L'agression visuelle se calme un peu une fois en mode nomade, pour profiter peinard d'un des meilleurs jeux multi de la décennie passée, avec l'intégralité des DLC en prime et une communauté déjà en place grâce au cross play.
Gamekyo 7/10
Le pari était risqué mais Psyonix est tout de même parvenu à lâcher une très sympathique version Switch pour son Rocket League, incluant la totalité du contenu sans compromis et du cross-play pour déjà trouver du monde en ligne. Si la question ne se pose pas trop pour ceux qui ne possèdent que l'hybride de Nintendo, elle reste légitime pour les autres : sur TV, c'est forcément moins bon que sur les autres supports, et en nomade, c'est quand même assez cradasse coté rendu, alors que cette configuration était l'argument premier de cette édition. Un bon gros patch d'optimisation peut changer les choses, et cette version gagnera sans problème un point sur la note finale si le miracle arrive.
L’année dernière le premier épisode m’avait bien plus, enfin une nouvelle série de chez Capcom, on ne reviendra pas sur la polémique sur l’exclusivité sur Gamecube, que cache cette suite, que peut elle nous apporter de plus, car le gameplay du premier était déjà excellent, l’effet de surprise n’étant plus là (comme souvent avec les jeux à suite).
Sylvia et Joe font très cartoon, tout est tellement bien animé, les Boss toujours aussi timbrer, on voit vraiment bien la décomposition des mouvements lors de ralentir ou lors des accélérer.1.5/2
Tout est ultra fluide, ce qui est génial dans cette série c’est que l’animation dans le décor change lors des utilisations des pouvoirs Vfx (ralentissement et accélération pour ceux qui n’ont pas suivi). 2/2
Le style graphique est unique, c’est ce qui en fait sa force, mélange de cartons patte pour les décors (un côté très théâtre), personnage en 2D avec animation de 3D, la profondeur de champ est plus poussé que dans le premier, et bien plus interactive aussi.1.5/2
De ce côté les effets ont été améliorer, notamment les effets de chaleur, si vous utiliser les pouvoir Vifx, ajouter à cela les effets de vos adversaires, effet de fumer, électrique, ou encore d’explosion sur les ralentis, en un mot on en prend plein les yeux. 1,5/2
Toute la manette est utilisée, L pour les ralentis, R pour l’accélération, le zoom avec le stick c (jaune) ça marche pour les deux héros, la nouveauté Sylvia peut faire un Replay avec R, en gros vous donner un coup, il se répète trois fois, par contre si vous vous prenez un coup en Replay ça vous inflige un dégât trois fois plus gros. il n'y a pas mal de subtilité, des attaques combinées à deux, Joe peut attraper et balancer un adversaire et faire des esquives (qu’il fait avec classe d’ailleurs), Sylvia peut cibler plusieurs personnes avec son pistolet. 2/2
Les combats sont excellents, par contre les phases en véhicules moins évidents (en même temps il y en a très très peu), l’ergonomie n’est pas mauvais, mais il y a certaines combinaisons, ou il faut bien connaître les mouvements pour les enchaîner, (je vous invite à observer les mains des joueurs lors des combats face au Boss pour vous rendre contre qu'il faut avoir l’habitude du jeu pour s’en sortir).1,5/2
Il y a déjà l’aventure principal, ou Joe et Sylvia, sont a la recherche de 7 Oscars au couleur de l’arc en ciel, face a vous l’empereur black qui essaye de vous mettre des bâtons dans les roues, chaque Oscars représentes des niveaux (montagne, Pyramide ou encore Préhistoire, ancienne ville japonaise (un niveau de fou, vous vous battez quand même un moment contre Bouddha), je vous laisse découvrir les autres environnements. Le jeu avoisine les 8-10 heures, ajouter a cela mode des 36 chambres, ou l’on se défoule a fond, car il faut enchaîner des combats en un certain temps ou des mini épreuves. 3/4
Les voix de nos héros sont bien cool, mention spéciale a Oncle jet (projectionniste dans le jeu) et A-t-rex, mon personnage préférer dans les boss rencontrer, les coups de poing et pied sont bien percutants, lors des pouvoirs les effets sonores réagissent à ce pouvoir (hélice qu’on entend ralentir, ou encore détonation plus longue), du bon boulot. 2/2
Musique assez anecdotique, sympa mais sans plus, il y a quelque thème délirant, mais on en va pas garder un souvenir impérissable, juste ce qu’il faut.1/2
Comme vous pouvez le constater, j’ai vraiment apprécié cette suite, Sylvia est vraiment complémentaire à Joe, elle n’est pas la commune bouche-trou, on revoit des personnages du premier, dans des apparitions bien délirantes, si vous voulez passer un bon moment sans vous prendre la tête, avec un jeu bien barrer qui ne se prend pas au sérieux, ce jeu est fait pour vous. Voilà le type même de jeu dont je me lasse pas (plus c’est con, plus j’adore). Un seul petit regret où est passé le mode Deux joueurs.16/20
PS : Je trouve plus le test du premier Viewtiful joe (un de mes jeux préférés -dans le top 10- de tous les jeux qui j'ai pu jouer jusqu’à aujourd'hui)
Quand j'ai vu l'article sur Kamiya, j'ai pensé à ça ^^
Petite précision :
Profitez du prix exceptionnel de 449€ pour le pack console PS4 pro + Horizon Zero Dawn Complete Edition + Gran Turismo Sports + WipeOut Omega + Uncharted the Lost Legacy !
Le cel-shading est un type particulier de graphisme. Le jeu vidéo utilisant cette technique prendra l'aspect d'un cartoon. Les personnages et objets sont dessinés de la même manière que dans une bande-dessinée, avec une mise en relief des objets par l'ajout d'ombres très marquées.
Quelques jeux en Cel-Shading :
Jet Set Radio / The Legend of Zelda: The Wind Waker / XIII / Viewtiful Joe / Killer7 / Ōkami / Dragon Quest : L'Odyssée du roi maudit / Zack et Wiki / Eternal Sonata / Tales of Vesperia / Street Fighter IV / MadWorld / Punch-Out !! / Ni no Kuni : La Vengeance de la sorcière céleste / Gravity Rush / The Legend of Zelda: Skyward Sword / Catherine / Rage / Street Fighter V / Overwatch / Zelda : Breath of The Wild / licence Sly raccoon / licence Borderland / ect
Quel est votre top 5 (ou 5 jeux les plus marquants) des jeux en Cel-chading ?
JVC 18/20
Non, cette version Switch de Skyrim n’a pas pris une flèche dans le genou ! La petite cartouche contient des centaines d’heures de quêtes, d'exploration de donjons, de Fus Ro Dah dans une expérience riche à emporter partout avec soi. Selon nous plus intéressant à envisager en mode portable qu’en mode TV, ce portage très réussi est une fois de plus la preuve que bien utilisé, le hardware de la Switch est capable de nous délivrer de belles expériences nomades. Toujours fluide et plus agréable à jouer que sur les les versions consoles de la précédente génération, c’est une version aux reins solides que nous propose ici Bethesda Game Studio. Certes, le jeu ne prétend pas concurrencer graphiquement ses homologues PC ou Definitive édition, mais l'expérience s’en tire avec les honneurs. Bref, il n’y a pas plus à dire sur le titre que tout ce qui a déjà écrit à son sujet depuis sa sortie en 2011, mais il serait dommage de passer à côté de cette version si l’idée de jouer au RPG culte de Bethesda en mode nomade vous a déjà traversé l'esprit.
Gamergen 17/20
Pas besoin de tergiverser plus longtemps, vous l'avez compris, The Elder Scrolls V: Skyrim sur Nintendo Switch, c'est vraiment du bonheur. Bethesda a clairement soigné la partie technique (ce qui n'était pas bien compliqué vu que le jeu de rôle est maintenant bien âgé) pour un confort de jeu idéal. Les nouveautés, comme la tenue ou la détection des mouvements, apportent un petit plus négligeable, même si cela fait toujours plaisir, mais surtout, Skyrim reste Skyrim, et c'est un vrai rêve devenu réalité que d'explorer Bordeciel n'importe où et n'importe quand sur Nintendo Switch. La seule chose qui peut faire pester le joueur, c'est la durée de vie de la batterie, parce qu'une session de seulement deux heures sur Skyrim, c'est ultra frustrant. Vive les batteries externes.
Gamekyo 8/10
Face à des éditeurs parfois un peu opportunistes, nous avions quelques craintes à l'annonce de ce nouveau portage de Skyrim mais Bethesda s'en sort avec tous les honneurs possibles, sauf peut-être sur le prix (40€ aurait déjà été plus acceptable). Forcément d'intérêt moindre en dock, cette version brille en revanche de mille-feux en mode nomade car jamais une console portable n'aura jusque là proposé un RPG occidental d'une telle prestance, fourni avec un rendu tout à fait correct et l'intégralité de son contenu. Tant pis pour la batterie.
Gameblog 8/10
Il est clair que The Elder Scrolls V : Skyrim n'est pas le jeu pour lequel vous devez acheter une Switch. Mais si vous en possédez une et que vous avez dans l'idée de vous lancer dans un RPG bien fichu, prenant et dodu, il ne faut pas trop se poser de questions. Il s'agit d'un portage propre, sans accrocs inattendus en dehors des "classics from Bethesda" et, en termes de contenu, il a toujours de quoi occuper et boucher les trous de votre emploi du temps ou le dévorer. Et absolument partout.
JeuActu 15/20
En nous proposant des graphismes modernes basés sur ceux de l'édition spéciale, et un contenu conséquent grâce à l'intégration des trois extensions officielles, la version Switch de Skyrim tient ses promesses. Le jeu est fluide, maniable et il bénéficie de quelques atouts spécifiques à la console de Nintendo, qu'ils soient anecdotiques (détection de mouvements, compatibilité Amiibo…) ou plus conséquents (possibilité de jouer en mode portable). Reste que dépenser 60 euros pour un jeu qui a six ans, c'est un peu fort de café, surtout quand le support des mods est absent et que les autres versions sont trouvables pour beaucoup moins cher. Mais si vous n'avez qu'une Switch sous la main, voici l'occasion rêvée pour découvrir un jeu majeur.
Gamekult 6/10
A l'occasion de sa première sortie portable, la série Elder Scrolls fait le bon choix et brandit l'étendard du confort, traduit en jeu par un framerate stable et jamais pris en défaut, quelle que soit votre destination. Pour tenir sa promesse sur le matos modeste de la console, Skyrim n'a pas trente-six solutions : il faut couper, couper beaucoup, mais surtout couper intelligemment. Ce qu'on obtient en bout de course, c'est un jeu comme une version mobile++ de la Special Edition de l'an dernier, parfaitement adapté à la pratique portable où il sait surprendre, mais très difficile à défendre une fois docké sur la télé du salon. On pourra râler sur le prix, hurler à l'interface inchangée, aux bugs d'époque et au manque de fonctions tactiles. On pourra mouliner du poing face à ce parti pris portable comme une flèche dans le genou des engagements hybrides pris par Nintendo. Reste que le jeu est désormais jouable partout, par sessions courtes et au gyroscope pour les adeptes du carquois, ce qui en fait probablement la version console la plus sympathique à prendre en main depuis la toute première sortie du jeu.
(il y a un indice dans l'image, pour la note du jeu)
Ca fait bien longtemps qu'on n'a pas vu pareille croûte testée sur Gamekult, et rien que pour ça on peut être redevable à Bubsy : The Woolies Strike Back. Le jeu d'Accolade nous rappelle qu'entre plusieurs AA(A) plus ou moins homogènes niveau finition, il existe encore une fosse pleine de daubes à l'ancienne qu'on voudrait vous refourguer à des tarifs indécents. 28 € pour une heure de blagues pourries, même le cinéma français n'oserait pas, c'est dire si l'on touche le fond avec cet appeau à rétro-gogos, si tant est qu'il y eût une forme de nostalgie autour de la licence Bubsy... ou alors un peu mêlée de honte, comme ces photos "full survêt'" de 5ème qu'on rechigne encore à brûler. Laid, court, imprécis, ponctué de non-mélodies et de voix digitalisées crispantes, The Woolies Strike Back paie surtout pour son intérêt au ras des pâquerettes et son clonage en règle du précédent jeu de Black Forest, mais sans la direction artistique. A moins de vouloir collectionner quelques milliers de pelotes pour le simple plaisir de tester les limites des collisions et de votre patience, ce nouveau Bubsy ne mérite pas la moindre caresse.
Les Plus
Un soupçon de level design
Les Moins
Durée de vie famélique
La roulade elliptique assez imprécise
Un clone éhonté d'un autre jeu
D'une laideur assez rare
Pas toujours lisible graphiquement parlant
Hitboxes aléatoires
Intérêt zéro
Musiques et bruitages atroces