« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
1) Mario Kart 8 Deluxe (Nintendo Switch) / +2
2) Call of Duty Black Ops 4 (PS4) / -1
3) Super Mario Bros. U Deluxe (Nintendo Switch) / +1
4) Days Gone (PS4) / -2
5) Super Smash Bros. Ultimate (Nintendo Switch) / Retour
Décidément, les choses semblent s'accélérer à quelques heures de la conférence de Microsoft et à la surprise générale, c'est du côté de Sony que nos regards se tournent. Bien que le constructeur japonais fasse l'impasse sur l'édition 2019 de l'E3, nous constatons aujourd'hui que le teasing pour le prochain épisode de God of War bat son plein et qu'une annonce surprise pourrait peut-être surgir prochainement.
En regardant de près le fil Twitter de Cory Barlog, directeur créatif du studio SIE Santa Monica, nous pouvons découvrir un message caché en reprenant chaque première lettre de ses posts. Pour vous éviter une recherche fastidieuse, voici le message obtenu :
RAGNAROK IS COMING
Vous l'aurez compris, la suite des aventures de God of War est bel et bien en préparation et ce subtil teasing pourrait même laisser sous-entendre que Sony souhaite courcircuiter la conférence de son concurrent avec un premier teasing vidéo dans les prochaines heures. JVLive
Un insider à l'origine de nombreuses fuites en ce qui concerne l'univers Nintendo nous annonce sur Twitter que le constructeur japonais pourrait combler les fans de RPG en annonçant un portage de The Last Remnant lors de l'E3 2019.
Sabi explique que le jeu sera annoncé dans les heures qui viennent et qu'il ne sera pas nécessaire d'attendre le Nintendo Direct de mardi pour apprendre la bonne nouvelle.
Pour le moment, cette annonce est à prendre avec des pincettes, mais Sabi a déjà su prouver son sérieux dans le passé et il y a de fortes chances que ses déclarations se vérifient dans la soirée. JVLive
A savoir : le remaster sortie sur PS4 est un remaster de la version Xbox 360 sortie en 2008, avec tous les ajouts apportés par la version PC. Il utilise un nouveau moteur de jeu et des graphismes en haute définition.
Pour la petite histoire, John Melchior raconte que son équipe et lui voulaient initialement que le jeu s'appelle "Ghostbusters 3" et qu'il ait un logo reflétant cette numérotation. Dan "Ray Stantz" Aykroyd et Harold "Egon Spengler" Ramis voyaient ce jeu comme la suite du deuxième film et étaient d'accord pour qu'il s'appelle comme ça. C'est Sony Pictures qui a dit non car ils ne voulaient pas se fermer de porte vis-à-vis de la mise en chantier d'un "vrai" Ghostbusters 3. Pour les deux co-créateurs de la licence, le jeu était bel et bien Ghostbusters 3.
Dans le jeu, le joueur incarne une nouvelle recrue (qui avait l'apparence d'un des développeurs du titre). Mais à la base, l'équipe du jeu souhaitait que le héros soit Louis Tully, personnage incarné par Rick Moranis. Ce dernier, envoyé un long message à l'équipe dans lequel il expliquait que même s'il aurait beaucoup aimé participer au projet, il avait promis à sa famille de rester à la retraite.
John Melchior révèle qu'ils ont ensuite envisagé de donner l'apparence de John Belushi (comédien proche de Dan Aykroyd disparu au début des années 80 et avec qui ce même Dan Aykroyd envisageait initialement de tourner le premier Ghostbusters). Ils ont même contacté la famille de ce dernier pour demander l'autorisation d'utiliser son image avant de se raviser car ils se sont dits que donner au protagoniste l'apparence de John Belushi détournerait trop l'attention d'éléments plus importants.
Sur les plates-formes permettant cet affichage, le jeu tourne actuellement en 4K, 60 fps. Le responsable de Saber explique qu'ils planchent actuellement à la réduction de la taille de la cartouche Switch.
Pour ce qui est de la sortie de cette remasterisation, Matt McKnight confirme qu'elle est prévue pour 2019 avant de lâcher à demi-mot que le jeu devrait sortir en novembre prochain. En ce qui concerne son prix de vente, le vice-président de Saber Interactive n'a pas voulu donner de prix précis. Il s'est contenté d'indiquer qu'il sera vendu "entre 20 et 40 dollars."
Ils ont pris la décision de développer un tout nouveau mode multijoueur.
Ils ne sont cependant pas encore certains de la forme que prendra ce dernier (la possibilité de jouer en coop en local a par exemple été évoquée parmi les possibilités envisagées). Par conséquent, ce nouveau mode multijoueur ne sera pas présent dans le jeu lors de sa sortie. Il sera proposé par la suite (sans plus de précisions quant à la temporalité de l'arrivée de ce mode).
Saber Interactive n'est pas contre l'idée de proposer du contenu supprimé du jeu original.
Au total, il affirme que "6 ou 7 niveaux dont les dialogues avaient été enregistrés" n'ont finalement pas figuré dans le jeu final. Il y a donc potentiellement de quoi faire. Matt McKnight affirme qu'ils ne sont pas contre le fait d'ajouter le niveau de la parade Thanksgiving (contenu supprimé le plus connu) mais qu'ils n'ont pas les assets de ce niveau dans les archives qu'ils ont récupérées. S'ils finissent par la trouver, ils aimeraient la finir pour l'intégrer au jeu.
Si on ne sait pas encore la forme que prendra le DLC du jeu, le vice-président de Saber affirme d'ores et déjà qu'il ne sera pas payant.
Saber Interactive veut continuer d'apporter du contenu au jeu après sa sortie mais ils ne sont pas contre l'idée de développer une suite. Matt McKnight évoque par exemple la possibilité d'utiliser le moteur de World War Z pour créer cette suite. Il explique par ailleurs qu'il ne rejette pas l'idée de pitcher un tel jeu à Sony. Gameblog
Bonus : Info sur le prochain film au cinéma Gameblog
Avant que l'E3 ne commence, différents développeurs ont pu se rendre au BitSummit 7 Spirits de Tokyo, un salon voué à la scène vidéoludique indépendante. PlatinumGames et le site japonais Gematsu ont fait le déplacement et se sont rencontrés pour une petite discussion animée.
Parmi les interrogations du média nippon, la question brûlante du portage de The Wonderful 101 sur Switch a refait surface, mais cette fois-ci, la réponse se veut plus encourageante :
Gematsu : Vous avez évoqué à plusieurs reprises la possibilité de porter The Wonderful 101 sur Switch. Qu'est-ce que les fans doivent faire pour que ça arrive ?
Atsushi Inaba : Oui, je crois que je l'ai dit à de multiples occasions. Et je suis content de l'avoir fait. Donc si vous pouviez être patient, ce serait super !
Le jeu est déjà disponible sur mobile et PC
Date de sortie : Été 2019 (Switch)
-Jusqu’à 8 joueurs en ligne.
-Jusqu'à 4 joueurs en écran partagé.
-Jusqu’à 3 adversaires en local.
-42 circuits.
Plus d'informations sur la collection Grandia HD pour Switch, ainsi que sur Grandia HD Remaster et Grandia II HD Remaster pour PC seront annoncées à l'E3 2019.
A savoir :
Grandia et Grandia II
-Amélioration des détails de l'interface, des sprites et des textures
-Cinématiques originales bénéficiant d'améliorations visuelles
-Audio : Japonais / Anglais
-Texte : Anglais / Japonais / Français / Allemand
Réalisé par Bong Joon Ho
(Memories of Murde / The Host / Mother / Snowpiercer, Le Transperceneige / Okja)
Synopsis : Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit à se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne...
Note 4,8/5
Cahiers du Cinéma 5/5
Parasite, à l’image des chefs-d’œuvre Memories of Murder, The Host et Mother, est un grand film d’angoisse, imprévisible, agité par les névroses et troué d’incertitudes.
CinemaTeaser 5/5
Être si humain, si universel, avec un film d’intérieur comme un huis clos, c’est toucher du doigt le pouvoir absolu du cinéma.
Ecran Large 5/5
Une nouvelle fois, le cinéaste vise juste, et avec la Palme d'Or qui l'honore, se paie le luxe d'offrir au 7e Art ainsi qu'à Cannes un ambassadeur aussi exigeant qu'accessible, jubilatoire que redoutable.
La Voix du Nord 5/5
Bong Joon-ho multiplie les scènes d’anthologie en brossant le portrait d’une frange de la société qui vit « en dessous », qui s’agite la nuit, se nourrit en cachette, dégage une odeur insupportable pour les nantis qui peuplent la surface.
Le Nouvel Observateur 5/5
Le septième long-métrage du Coréen Bong Joon-Ho, tragi-comédie palpitante et sans appel sur les rapports de classes, a dépassé toutes nos attentes, et elles étaient grandes.
Le Point 5/5
Un 7ème film éblouissant pour Bong Joon-ho.
Les Fiches du Cinéma 5/5
Retour au sommet pour Bong Joon Ho qui, avec cette farce tragique rejouant la lutte des classes en milieu domestique, n'a pas volé sa Palme d'or.
L'Humanité 5/5
Le réalisateur coréen a concocté une implosion cinématographique magistrale à la superbe d’opéra. Parasite est un film politique drôle et noir foncé placé haut dans notre palmarès.
Marianne 5/5
Aussi puissant sur le fond, d’une lucidité extrême, que sur la forme, constamment inventive, un grand film (...).
Paris Match 5/5
Le film passe de la comédie sociale à la comédie noire, de la comédie noire au film d’horreur, du film d’horreur au film catastrophe, avec une maitrise et une fluidité incroyable et des scènes vouées à devenir cultes.
Première 5/5
Bong Joon-ho revient au thriller explosif et en Corée pour une nouvelle satire politique et sociale imparable. Drôle, violent, baroque, maîtrisé : une Palme d'Or imparable.
Télérama 5/5
Drôle, hargneux, inquiétant… Le cinéaste orchestre d’une main de maître l’affrontement de deux familles que tout oppose. Une grande Palme d’or, populaire et réjouissante.
Le Figaro 4/5
Parasite confirme ce talent fou à jouer avec les codes et à se réinventer à chaque fois.
Le Monde 4/5
En véritable cinéaste politique, le Coréen s’inscrit dans la tradition des récits de domesticité, tout en restant fidèle à son style virtuose.
Les Inrockuptibles 4/5
Un peu à la manière d’Hitchcock ou de Chabrol, à qui le cinéaste sud-coréen a eu le bon goût de rendre hommage en recevant son prix, Bong Joon-ho réussit avec "Parasite" une sorte de tour de force : un film totalement limpide et, en même temps, complexe et mystérieux.