« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Etrange, ingénieux lorsqu'il le souhaite, souvent drôle, effrayant malgré lui, sciemment ennuyeux par moments : D4 ne laisse pas indifférent. Pensé pour les amateurs de point and click et d'expériences interactives de la trempe des titres de Quantic Dream, le jeu de SWERY nous offre là une bonne dose d'absurdité vidéoludique, marqué par ses défauts mais sauvé par son ambiance, par son accessibilité, et par son confort au Kinect. Une aventure que nous conseillons, surtout aux plus déjantés d'entre vous !
Les plus
Une ambiance absurde et savoureuse
Kinect a (enfin ?) trouvé son genre idéal
Un jeu à expérimenter à plusieurs
Des personnages charismatiques
Une mise en scène au style unique
Des séquences de QTE très dynamiques
Les moins
Peu de rejouabilité (pas d'embranchements dans nos choix)
Réalisation gênante au début (on s'habitue vite)
Ne plaira pas forcément à tout le monde
Format épisodique parfois frustrant (surtout à la fin de l'aventure)
Fans de la franchise, réjouissez-vous : Alien Isolation offre enfin une alternative sérieuse au film de Ridley Scott, en réussissant à capter tout ce qui faisait la puissance de l'oeuvre d'origine, à commencer par la menace permanente qu'incarne la créature. Un prédateur inlassable, quasiment indétectable, devant lequel on préfère bien souvent abandonner plutôt que de lutter. Hélas, aussi inspiré dans ses ambitions qu'archaïque sous certains aspects, voire carrément frustrant par moments, le gameplay manque le coche pour une question d'équilibre, préférant étirer son aventure, ses effets et son intrigue. Tourner en rond dans les mêmes environnements cloisonnés, répéter les mêmes actions ad nauseam et relancer les mêmes sauvegardes faute de pouvoir rivaliser avec l'alien, c'est aussi ça, le début de l'isolement. Une super idée, donc, mais pas forcément un bon jeu.
Les plus
Une DA claustro fantastique
L'ambiance sonore extraordinaire
La bête incroyablement animée
Et terriblement menaçante
C'est tout de même mieux avec un lance-flammes
Une bonne durée de vie...
Les moins
...même si le jeu traîne en longueur
Gameplay vite répétitif
La gestion des points de contrôle
Techniquement pas optimisé
Les fenêtres d'interaction toute pétées
L'interface pas géniale
Une anthologie du déverrouillage de portes
Chanson original du jeu Faral Frame 5
Titre : In This Cage
Chanteuse : Tsukiko Amano
Le site Nintendo Everything ont décidé de traduire le test de ce Project Zero publié dans un numéro du magazine japonais Famitsu. Comme d'habitude, quatre testeurs ont noté le jeu, ce qui nous donne une note globale assez satisfaisante de 33/40 (7, 8, 9 et 9).
Le premier pense que la Camera Obscura, le célèbre objet présent depuis le premier épisode, qui permet de photographier les esprits pour les emprisonner ou les faire retourner dans le bon monde, utilise très bien les capacités du GamePad. Le joueur a l'impression qu'il tient une véritable caméra, ce qui facilite l'immersion. Cependant, les contrôles demeurent toujours aussi lents, mais cela accentue le sentiment de peur si fidèle à cette série d'horreur japonaise. Ce sentiment peut être neutralisé, en quelque sorte, par les costumes obtenus au cours de l'aventure (certains sont originaux, voire très osés). Le fanservice est d'ailleurs bien présent, comme l'affirme le deuxième testeur...
Le deuxième testeur est du même avis que le premier : le GamePad, utilisé comme une caméra ou un appareil photo, a bien été maîtrisé par les développeurs. Le système de combat, passionnant, demande aux joueurs de déplacer et incliner la manette au bon moment afin de capturer les esprits. L'ambiance, fortement influencée par l'eau, est, elle aussi, unique, et on peut même voir à travers les vêtements humides - et souvent sexy, évidemment - des nombreux personnages féminins. Enfin, ce testeur avoue qu'il a été généralement irrité par les contrôles lents du jeu, même si cela contribue à la peur.
Le troisième testeur insiste également sur le fait que le jeu fait un très bon usage du GamePad, puisqu'il représente à la fois la carte et la Camera Obscura. Le joueur ratera souvent ses photos, puisqu'il faut toujours les prendre au bon moment, et cela correspond très bien à l'atmosphère et l'histoire de cet épisode. Pour rendre le tout moins effrayant, les fans de films d'horreur (et les autres) peuvent apprécier le fait de voir les protagonistes féminins dans des positions très sexy et des expressions réalistes (on peut même incarner Ayane de Dead or Alive et Ninja Gaiden au cours d'une histoire spéciale à débloquer après avoir terminé le jeu une première fois...).
Le sentiment d'avoir une vraie caméra dans les mains grâce au GamePad est aussi partagé par le quatrième testeur. Les combats deviennent plus réalistes et il y a une abondance d'éléments effrayants, ce qui amène régulièrement le joueur à être surpris, à sursauter. Bien sûr, le testeur conseille fortement aux joueurs d'utiliser un casque, et si possible de jouer dans le noir en étant bien concentré sur le GamePad, afin de vivre une aventure passionnante.
PS : La mauvaise nouvelle au sujet de l'Occident, dévoilée discrètement dans cette news, concerne la sortie occidentale du titre... qui n'est donc pas prévue, puisque d'après le compte Twitter officiel de Koei Tecmo Europe, qui a décidé de réagir face au hashtag "#WeWantFatalFrame" (Fatal Frame étant le titre de la série aux États-Unis, le titre Project Zero est celui de l'Europe), a indiqué que le jeu était exclusif au Japon, sans en dire plus.
Crimes and Punishments pourrait être présenté comme le Sherlock Holmes total tant il nous donne l’impression de mener des enquêtes dans la peau du célèbre détective. Que ce soit grâce à la succession d’enquêtes et au nouveau tableau de déduction ou à des éléments plus anecdotiques comme l’armoire de déguisement qui nous permet à loisir de revêtir un costume vert pour visiter les serres ou un complet discret pour passer inaperçu dans les ruelles mal famées de Whitechapel, on ne se sera jamais autant senti habitant du 221b Baker Street. Mais cette force est aussi sa faiblesse, ceux qui aimaient les enquêtes aux ramifications démesurées des précédents auront du mal à retrouver leurs marques... tout comme ceux qui aiment suivre une histoire en étant très guidés. Reste que ce nouvel épisode constitue une très bonne introduction pour ceux qui ne connaissent pas la licence et une tournure intéressante pour les amateurs.
Les plus
Six enquêtes aux conclusions parfois surprenantes
Très peu dirigiste
Puzzles et énigmes variés
Les coutumiers clins d’œil aux épisodes précédents
Un vrai charme dans les décors
Très bonne durée de vie (une quinzaine d’heures)
Excellent doublage...
Les moins
... uniquement en anglais (mais sous titrage intégral)
Assez de murs invisibles pour débuter une carrière de mime
Lieux ouverts délimités de manière assez maladroite
Maniabilité clavier/souris plus qu’étrange
Alors que le jeu de genre "beat'em all", Bayonetta 2, vient de sortir au Japon le 20 septembre dernier et qu'il se prépare à sortir en Europe et en Amérique du Nord le 24 octobre prochain, Hideki Kamiya - le concepteur à l'origine du projet - s'est étendu sur la création de la suite de Bayonetta.
"Je pense en avoir parlé beaucoup de fois, mais allons-y... Premièrement, nous [PlatinumGames] sommes des développeurs et nous recevons le soutien des éditeurs en faisant des jeux qu'ils demandent ou qu'ils suggèrent de faire.
Ainsi, pour Bayonetta, nous avons développé le jeu après avoir signé un deal avec SEGA. Plus tard, nous avons décidé de développer également une suite, et c'est alors que nous avons commencé à travailler sur Bayonetta 2.
Quand le développement a progressé jusqu'à un certain point, SEGA a commencé à penser que ce n'était pas une très bonne idée, donc le développement s'est temporairement arrêté.
Sans financement, nous n'avons pas eu la possibilité de poursuivre le développement, mais nous voulions faire en sorte que ce Bayonetta 2 partiellement développé soit disponible pour le public d'une manière ou d'une autre. Donc, nous en avons parlé à plusieurs éditeurs, mais comme c'est un grand titre, nous n'arrivions pas à trouver un partenaire. Finalement, le développement de Bayonetta 2 allait s'arrêter complètement quand...
Nintendo est venu et nous a tendu une main, et nous étions capable de recommencer le développement que nous avions tant désiré. Enfin, le jeu a été publié la semaine dernière, donc en cinq ans, nous avons été capable de faire Bayonetta 2 et de le sortir au public.
Connaissant ces circonstances, si quelqu'un est toujours en colère contre Nintendo, je me demande quelle est la raison pour cela, ne voulez-vous pas me le dire de façon compréhensible ?
Comme je l'ai dit précédemment, si vous voulez Bayonetta 2 sur PS4 ou Xbox One, que pensez-vous d'en parler à Nintendo ? Si Nintendo ne réponds pas "oui", cela n'arrivera pas. Et puisque vous y êtes, essayez de leur demander pour Mario et Zelda..."
Il existe le Pack Master Quest
Epona
5 scénarios : Mode Histoire
Une nouvelle carte : Mode Aventure (Nouveauté : se soigner et utiliser des objets)
Vous pourrez incarner : Cya, Volga et Iscerro.
Mais...
Au japon vous pouvez choisir d'avoir que Epona a télécharger pour 500 yens (environ 3,6 euros).
Les personnages des studios Ghibli s'exposent grandeur nature en Corée.
Une série de dioramas plus ou moins grandeur nature (difficile de faire rentrer le château ambulant dans un musée), les visiteurs à la possibilité de redécouvrir les plus grand chef-d'oeuvres des studios Ghibli avec un regard totalement différent. On retrouve ainsi certaines scènes reconstituées de Mon Voisin Totoro, Porco Rosso, Pompoko, Princesses Mononoké, Le Voyage de Chihiro et Le Château Ambulant.
Une vidéo de onze minutes dans laquelle Shinji Mikami (créateur de "Resident Evil") donne son point de vue sur le genre survival horror. Des ennemis aux armes en passant par le soin à apporter à l'ambiance tous les éléments sont passés en revue.
A noter que la vidéo est en version originale, mais que vous pouvez accéder au sous-titres français via l'interface de configuration du lecteur youtube.
Il ne reste maintenant plus qu'à savoir si la vision du monsieur suffira pour faire de The Evil Within le survival horror tant attendu. Réponse le 17 octobre sur PC, Xbox One, Xbox 360, PlayStation 3 et PlayStation 4.
Vous pensiez que Super Smash Bros. for 3DS ne serait qu'un vulgaire palliatif en attendant la version Wii U ? Vous vous êtes lourdement trompé. Vous voici bel et bien devant un nouvel épisode ultra complet, addictif et fun qui va bien au-delà de nos espérances. Avec sa multitude de modes de jeu, sa pléthore de personnages et de trophées à débloquer et la possibilité d'y jouer jusqu'à quatre en local ou en ligne, en coop ou non selon les modes, ce volet préparé par Sora Ltd. et Namco Bandai frappe fort. Une expérience à ne pas rater pour tous les possesseurs de la console de Nintendo, et même pour ceux qui cherchaient une raison pour l'acheter.
Les plus
Un gameplay affiné, plus vif que celui de Brawl
Bien plus technique qu'il n'y paraît
Des matchs dantesques et fun
Le contenu hallucinant
Les nombreuses possibilités en multi
Le mode Aventure Smash
Le mode Classique, qui réserve des surprises
Très joli
Une bande-son de grande qualité
L'aspect personnalisation, notamment les Mii
49 personnages jouables (dont 13 déblocables)
L'aspect collection
L'aspect scoring
Une IA perfectible
L'annonceur français, en deçà de ses homologues américains et japonais
Il aurait fallu d'autres niveaux pour le mode Aventure Smash
On n'aurait pas craché sur un mode un poil scénarisé
Absence de quelques combattants qui avaient leurs fans (Ice Climbers, Mewtwo, Pichu)