« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le jeu est sortie en 1997 sur PS1.
Développeur : Love-de-Lic.
Vous incarnerez un petit garçon jouant à un J-RPG classique en adoptant tous les comportements stéréotypés que nous reproduisons tous (attaquer tous les monstres, zapper les boîtes de dialogues qui racontent une histoire d’héroïc-fantasy très complexe…), mais qui va se retrouver aspiré dans sa télévision et débarquer dans cet univers qu’il croyait virtuel, et dans lequel il va se rendre compte des dégâts qu’il a provoqué. Vous allez donc, plutôt que de tuer des monstres, devoir sauver leurs âmes et, par là-même, l’univers tout entier, en récoltant de l’amour, que vous amasserez en aidant les habitants.
Il est sortie sur Switch, en anglais, pour la première fois le 27 Aout 2020, il sortira sur PC ( Steam ) et PS5/PS4.
"Pour le personnage de Cobra, Buichi Terasawa s'est inspiré de Jean-Paul Belmondo. Le dessinateur, étant un fan de l'acteur français, n'a pas seulement prêté les traits physiques de Bébel à Cobra. Il a aussi donné à son personnage certains traits de son caractère dans ses films : charmeur, toujours prêt à emballer une jolie fille, garde toujours un sang-froid teinté d'ironie dans toute situation, un peu grande gueule aussi. Quant à l'apparence de Cobra avant sa chirurgie, elle est basée sur le visage d'Alain Delon." Wikipedia
PS : Mon hommage, car c'est un des animes marquant de mon enfance.
Les joueurs de Baldo : The Guardian Owls signalent un bug majeur du jeu qui semble entraîner une perte de progression et qui s’applique à toutes les plateformes.
Nous avons rapporté comment le jeu reçoit des critiques négatives sur Steam. La plupart des plaintes semblent être centrées sur le portage PC peu reluisant. Il y a également un fil de discussion sur Steam qui parle d’un bug majeur qui effacerait la progression dans le jeu. Les développeurs ont répondu à ce fil de discussion et ont confirmé qu’ils étaient au courant de ce problème.
Au début, on pensait que ce problème était spécifique au PC, mais il s’avère qu’il peut également se produire sur la Nintendo Switch. Il y a un fil de discussion sur reddit qui mentionne le même bug se produisant sur la Nintendo Switch.
Les développeurs avaient reconnu le problème sur le fil de discussion Steam, mais leur réponse suggère qu’ils ne le considèrent pas comme un gros problème. « Nous sommes conscients du bug et nous le corrigeons, cependant, bien que ce soit frustrant, cela n’affecte pas lourdement le gameplay. »
L’utilisateur sur Steam mentionne en outre que ce bug pourrait être lié à la sauvegarde du jeu lorsqu’on quitte le jeu, ce qui est la façon dont il se déclenche. Si vous y jouez en ce moment, il est préférable d’éviter de sauvegarder lorsque vous quittez le jeu.
Le développeur peut patcher le jeu à une date ultérieure, mais en l’état actuel, ce bug existe sur PC et Nintendo Switch, et pourrait éventuellement se produire sur la PS4 aussi.
Attendu par beaucoup d’entre vous grâce à ses graphismes inspirés des productions du studio Ghibli et son gameplay qui invoque The Legend of Zelda, Baldo s’est fait désirer mais est enfin arrivé sur nos consoles. Cette information pourra sans doute vous surprendre, car très peu de tests du jeu sont sortis pour le moment : la raison ? Le fait qu’aucun code n’ait été distribué en amont, mais aussi l’état déplorable dans lequel le titre a été sorti, qui pousse certains médias à temporiser en attendant de voir si ceux-ci seront réglés, comme le dit NintendoLife :
Au cours de notre partie toujours en cours, nous avons rencontré des problèmes et des bugs nous empêchant de progresser. Nous avons finalement réussi à franchir une porte qui ne fonctionnait pas (merci, reddit), mais on ne peut pas dire que la version actuelle soit agréable à parcourir.
De tels problèmes semblent très communs au vu du subreddit dédié à Baldo, qui ressemble à un bureau des plaintes (avec quelques bugs rigolos qui nous rappellent la sortie de Cyberpunk 2077). L’équipe de Naps Team semble consciente de certains des soucis rencontrés par les joueurs et de nombreux patchs sont en chemin, mais nous ne pouvons que vous aviser de ne pas acheter le jeu en l’état sous peine d’une grande déception.
En résumé, l'impression d'un jeu sortie (le 27 Aout 2021) "précipitamment", car il y a des gros soucis de "bug" (dont le plus embêtant "un bug majeur du jeu qui semble entraîner une perte de progression", ce qui fait que pour faire un test complet ça devient difficile, car "normalement" la critique concerne l'ensemble du jeu, donc de jouer entièrement au jeu de plus pour que les tests arrivent le jour de la sortie, il y a des codes de distribués en amont, ce qui n'a pas été le cas pour ce jeu visiblement).
20 Minutes 4/5
Mais quelle idée et quel beau film d’animation ! Ride Your Wave de Masaaki Yuasa, découvert au Festival d'Annecy, est une merveille de poésie.
IGNFrance 4/5
À la fois lumineux et crépusculaire, Masaaki Yuasa signe un film d'un terre-à-à-terre presque confondante pour le bonhomme, et ça lui réussit : drame et fantaisie cohabitent, script et bilan technique sont largement au niveau dans ce film sincère et émouvant.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Entre romantisme et onirisme, un film magnifique sur le deuil et l’épanouissement de soi.
Quest France 4/5
Un nouveau sommet d'animation nippone.
Première 4/5
Voilà donc un ride qui est -comme on appelle une grosse vague dans le langage du surf- une vraie bombe.
Le Monde 3/5
Un pur "trip" qui se conjugue par sa propre émancipation.
Le Nouvel Observateur 3/5
Certes, le scénario frôle parfois la mièvrerie, mais un délicat sens de l’humour et un récit riche en rebondissements rectifient le tir. De même qu’une animation qui met en scène les éléments (le feu, la mer…) et la lumière avec maestria.
Le Parisien 3/5
Plein de rebondissements, un peu guimauve mais résolument optimiste, le film devrait plaire à son public…
Libération 3/5
Une œuvre mineure mais attachante qui prend la forme instable d’une comédie romantique funeste et ensoleillée.
Imaginé par le légendaire Eugene Jarvis et son équipe, Cruis'n Blast est, surprise, un jeu de course de type Arcade. Il est ici question de traverser à toute vitesse une trentaine de pistes au "volant" de 23 véhicules. Si l'on emploie des guillemets, c'est parce que le joueur n'a pas accès qu'à des bolides classiques. En effet, il est ici également possible de piloter un requin ou encore une licorne. Ça ne s'invente pas.
À noter au passage que ce même Eugene Jarvis a récemment déclaré qu'il a d'autres plans pour la licence Cruis'n sur Switch. Dans une interview accordée à Nintendo Life, il a en effet évoqué la possibilité de proposer une remasterisation de la trilogie Cruis'n originale. Selon lui, elle pourrait bénéficier de graphismes réhaussés en HD et d'un framerate en 60 fps. Affaire à suivre donc.
Pour rappel, le dernier Cruis'n sorti sur console est le Cruis'n sorti sur Wii en 2007. Malheureusement pour les fans de la série, ce dernier était tout simplement catastrophique.
Alors, poseur ou punk hardcore ? Vous l’aurez certainement compris à la lecture de ce qui précède, derrière ses fanfaronnades, No More Heroes 3 est un fort en gueule en pantoufles. Onze ans après No More Heroes 2, comment ne pas être exaspéré par ces archaïsmes, pour la plupart déjà relevés par la critique et les joueurs sur les deux premiers jeux ? Ce monde ouvert sans vie, sans but, sans aucune consistance technique. Ces mini-jeux qui ne font même pas l’effort de se renouveler un minimum. Ou cette structure d’airain, avec laquelle le jeu ne transige pas une seule fois, alors qu’on attendait de lui qu’il nous prenne à contre pied, qu’il subvertisse ses propres règles et mette ainsi en pratique la devise placardée sur le fronton du studio. Tel un funambule, No More Heroes 3 marche sur la corde raide, au-dessus du précipice, et parvient miraculeusement à tenir debout. Et cette performance, il la doit à quelques bons choix de design densifiant l’action, un système de combat considérablement enrichi, un bestiaire sacrément coriace, ses combats de boss toujours aussi inventifs et une classe de chaque instant. De sa direction artistique audacieuse à ses clins d’oeil en pagaille, en passant par sa bande-son tonitruante ou ses dialogues ciselés, No More Heroes 3 est un charmeur qui manie à merveille l’art de la distraction pour nous éviter l’accablement de la routine. Allez, ça passe pour cette fois, mais qu’on ne t’y reprenne plus, sale gosse. Il s’agirait de grandir, maintenant.
Gamekult
PS : Si vous avez la conclusion, ça serait intéressant ^^
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