« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Fast and Furious X...que dire, le premier Fast and Furious, Vin Diesel sortait de Pitch Black (un bon film de science-fiction avec un budget de 25 Millions de dollars) ou il était parfait dans le rôle, Paul Walker obtenait un rôle principal et nous découvrions Michelle Rodriguez, bref, une nouvelle génération d'acteurs, le film n'était pas génial, mais c'était correct dans le genre, sachant que le budget était de 40 Millions de dollars, puis surtout il y avait un « semblant » de réalisme sur fond d’enquête policière.
Je suis passé du premier aux x, déjà plein de personnage que je connais pas, rien n'est expliqué, si tu n’as pas vu les films entre, tu comprends pas grand-chose, surtout que tu as des personnages (avec la majorité qui ont tous des bras gros comme des cuisses), c'est plus proche du « clin d'oeil » que vraiment utile à l'histoire, le comble une fois sur deux ils se tapent dessus (sans jamais réellement la moindre marque de coup....tu as même deux filles qui se battent, elles passent par une vitre en verre, une prend à pleine main le verre, pas une seule coupe ou goutte de sang et balance à l'autre, pareille, pas la moindre égratignure...tu as même le fils de Vin Diesel qui tue des gens et ça passe...je parle mêmes par des combats à 2 ou 3 contre 15...). Le film insiste sur « la famille », jusqu'à l’écœurement avec des dialogues d'une niaiserie. Le méchant du film, Jason Momoa est risible (je trouves même qu'il y a un un fond d'homophobie dans le traitement du personnage, le mec très costaud, qui met du vernis, fait des couettes ect mais qui se prends une branler en moins d'une minute par la caricature viriliste interprété par Vin Diesel pourtant tu sens qu'il est plus bouffi que costaud...). Enfin les cascades nanardesques (il y a une notamment une, ils ont trop joué à Rocket League), ça va être dure à battre, jamais j'ai cru une seule fois ce que je voyais à l'écran, combien de fois je me disais « ils vont pas faire ça...ah si...au secours ». J'ai jamais ressentie la moindre émotion, la moindre peur (pour les "héros"), rien est "palpable", tout sonne faux. Et évidement ça fini par un Clffhanger...Quand je pense que le film à coûtait 340 millions de dollars...les producteurs se sont foutu de moi (cynisme quand tu nous tiens), je serais à leur place, j'aurais honte.
Pour rester poli : L'essence même du film bidon.
PS : J'ai voulu accompagner des copines qui voulaient voir le film.
Le top comgnet pour la semaine est arrivé (mais pour avoir les chiffres exacts, il faudra attendre jeudi, le top Famitsu).
250 pt donc 250 000 (en gros) -fourchette entre 200 000 et 300 000-
Attention c'est une approximation des ventes, car je pars sur une "approximation" qui est que 100 pt = 100 000 ventes, c'est généralement dans ces eaux-là, l'ordre du classement n'est pas 100% pareils vu qu'il y a des écarts de "pt" (donc des chiffres approximatifs qui peuvent jouer sur le classement qui arrivera jeudi)
Nous allons avoir un deuxième semestre ou les "exclusivités" vont s'enchainer.
Date : 30 Juin 2023
Date : 21 Juillet 2023
Date : 28 Juillet 2023
Date : 29 Aout 2023 (exclusif console, pas de date pour la version VR)
Date : 15 Septembre 2023
Date : 6 Octobre 2023
Date : 20 Octobre 2023
Date : 3 Novembre 2023
Date 16 Novembre 2023 (Japon uniquement)
Date : 17 Novembre 2023
Date : 1 Décembre 2023
2023 sans date
Certains pensaient que nous aurions la nouvelle console de Nintendo en fin d'année, au vu du planning, je pense que ça sera pas le cas. Je pensais pas que nous aurions un planning comme ça !
Et je pense qu'il y aura pas de nouvelle console avant la fin de l'année fiscal au Japon (Mars 2024), car il y a encore un nouveau Professeur Layton / un nouveau Princesse Peach / Otogi Katsugeki Mameda no Bakeru : Oracle Saitarou no Sainan!! / Natsu-Mon! 20th Century Summer Vacation / Luigi's mansion 2 remaster et à mon avis c'est pas fini...
La vraie guerre des consoles ne se jouerait pas entre Playstation et Xbox mais plutôt entre Playstation et Nintendo. Dans le cadre des auditions préliminaires liées à l’accord Activision Blizzard bloqué par la FTC (Commission fédérale du commerce des États-Unis), Microsoft déclare qu’Xbox « a perdu la guerre des consoles ».
The Verge a récemment partagé des extraits d’un document utilisé par Microsoft dans le cadre du procès qui oppose la FTC à Microsoft. La Commission a décidé de bloquer l’acquisition d’Activision Blizzard temporairement et un procès concernant une injonction préliminaire est en cours.
Dans le document rédigé par Microsoft, la compagnie reconnaît qu’Xbox a perdu la fameuse guerre des consoles, qui l’oppose constamment aux consoles Playstation, et dit même se trouver à la troisième place de la compétition des constructeurs de consoles modernes ; Nintendo aurait également une longueur d’avance sur Xbox.
Pour attirer la compassion de la FTC, Microsoft n’hésite pas à retracer son histoire dans le monde du jeu vidéo, une histoire peu fructueuse dès ses débuts selon la compagnie. « En 2001, Microsoft s’est placé sur le marché du jeu vidéo en lançant sa première console Xbox, qui est entrée en compétition avec les concurrents de Sony et Nintendo. Sur cette "génération", Sony et Nintendo ont largement vendu plus de consoles qu’Xbox », indique Microsoft dans le
« Dans les 20 années qui ont suivi, Sony, Nintendo et Xbox ont conservé leurs places de constructeurs majeurs et ont pris part à ce que l’industrie appelle "la guerre des consoles". […] Playstation, pendant plus de deux décennies et à travers cinq générations [de consoles], a été la marque dominante dans le monde et aux États-Unis », poursuit Microsoft.
La compagnie liste des données qui n’ont pas encore été rendues publiques concernant la taille de l’influence de Playstation comparé à Xbox, avant de poursuivre son admission de faiblesse. « Les consoles d’Xbox ont toujours été à la troisième place des ventes derrière celles de Playstation et de Nintendo », admet Microsoft. Selon la compagnie, seulement 16% de consoles vendues auraient été des consoles Xbox en 2021.
« Les consoles d’Xbox ont toujours été à la troisième place des ventes derrière celles de Playstation et de Nintendo »
Microsoft mise sur sa supposée « faiblesse » pour convaincre les autorités du commerce du monde entier d'autoriser la mise à exécution de son accord avec Activision Blizzard. La compagnie avait annoncé l'achat du développeur-éditeur en janvier 2022 ; la décision a très vite été contestée par Sony et les institutions économiques du monde, qui estiment que l'accord nuirait à la compétitivité dans le monde du jeu vidéo.
Hier, Jim Ryan, président de Sony Interactive Entertainment et de Playstation, témoignait à l’encontre de cet accord, qui impacterait négativement les relations entre Activision et Sony. Le constructeur ne serait pas enclin à fournir des informations à propos de ses futurs consoles au développeur si le rachat d’Activision Blizzard par Microsoft est finalement autorisé.
Pour la fin de l'année nous avons le retour en force de deux mascottes qui sont encore aujoud'hui des références en 2D et qui pourrait même confirmer encore plus leur statut culte.
Que de chemins parcourus, qui aurait pu dire à l'époque de la guerre en entre Sega et Nintendo, que Nintendo mettrait en avant dans un Nintendo Direct un jeu Sonic plateforme en 2D.
Pour moi la différence durant des années entre Sonic et Mario, c'était que Sonic misait sur la vitesse, la ou Mario c'était plus à "tâtons" que tu abordais le monde, deux approches différentes de la plateforme 2D, mais là Mario a reprit une mécanique de Sonic dans le fait que l'on puisse "rider", ça donne un coté plus "dynamique" au gameplay et Sonic a reprit des petits chose de Mario comme le fait que Sonic peut remonter le ruisseau et le mode "joueurs"
Les deux jeux ont l'ait de tourner en 60FPS, ça permet d'avoir une meilleur lisibilité, Sonic y gagne en lisibilité et Mario y gagne en dynamisme.
Conclusion, c'est depuis longtemps une des premières fois que j'ai autant d'envie de jouer aux deux jeux !
La troisième chanson (Chasser le naturel, il revient écolo) est disponible maintenant sur You tube
Elle est aussi disponible en Streaming (Spotify, Deezer, Amazon Music, Apple Music, iTunes ect)
Titre : Chasser le Naturel, il revient écolo
Je me prélasse
Dans ce pré vert
Au fond de moi
J’ai le vers solitaire
Plante vivace
Mur couvert de lierre
Plus le temps passe
Reste un jardin dit vert
Refrain
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature humaine
Parque même les zoos
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature m’aime
L’homme est cabot
Des que l’été le permet
Je roule dès juin
A travers les bosquets
J’hume les parfums
Plante des pieds
Le long des chemins
La vigne a changé
L’eau en vain
Refrain
Je fonce tête bêchée
Je prends des râteaux
Une envie de draguer
Les plates bandes, du ruisseau
Plante là
Ta petite graine
Mère nature rage
Désirant que l’on sème
Refrain
Je remonte aux racines
Je descends d’une branche
Une quête infinie
Une genèse inconsciente
Plante ça
Au creux de mon hêtre
Des lettres gravées
D’un amour mutuel
Refrain
La deuxième chanson (L'air du temps) est disponible sur les plateformes Streaming et aussi sur Youtube
La première (Le gout des langues étrangères) est disponible sur les plateformes Streaming et aussi sur Youtube.
Toutes mes chansons sont écrites, composées, jouées et interprétées par moi ^^
Bonne écoute, si ça vous intéresse et bonne fête de la musique, enfin j'espère ^^
PS : La quatrième arrive normalement Août/Septembre (donc pas d'article avant Aout, je dis ça comme ça).
20 Minutes 4/5
Cette nouvelle production Pixar est aussi drôle que tendre.
La Voix du Nord 4/5
Voilà la grande qualité d’Élémentaire : une comédie romantique en bonne et due forme, visible dès 6 ans, mais qui parle de déterminisme, de tolérance, de différences culturelles et du besoin de les dépasser. L’amour est une réaction chimique. Élémentaire en est la parfaite illustration.
Le Figaro 4/5
Voilà un très bon Pixar, divertissant et profond.
Le Parisien 4/5
Mais c’est surtout par son graphisme qu’il sidère : le studio innove encore avec un procédé révolutionnaire qui fait s’animer des personnages de façon constante : bluffant, et tellement beau !
Les Echos 4/5
Un conte familial flamboyant sur fond d'humanisme et de déracinement.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Sans être un grand Pixar, Élémentaire, visuellement bluffant, distille sa petite magie et réussit à émouvoir avec une très belle histoire d’amour. Il manque toutefois un peu de l’audace à laquelle les studios d’Emeryville nous avaient habitués.
Paris Match 4/5
Le nouveau dessin animé des studios Pixar est dans la lignée de « Vice-versa », rencontre entre le feu et l’eau sur fond d’acceptation de la différence. Moins échevelé, plus tendre et toujours aussi novateur visuellement.
L'Obs 3/5
Il y a quinze ans, avec une idée comme celle d’« Elementaire », Pixar épatait tout le monde. Aujourd’hui, il impressionne les plus jeunes et les coachs en développement personnel.
La Croix 3/5
Si sympathique soit-il, Élémentaire n’est toutefois pas le feu d’artifice d’idées originales et de trouvailles visuelles auquel nous a habitués Pixar. Et son esthétique disgracieuse aux tonalités fluorescentes ne l’aide assurément pas !
Le Dauphiné Libéré 3/5
Ce que l’on retient le plus de ce long-métrage, ce sont ses effets visuels. Les artistes ont réussi à créer un univers cinétique où chaque élément trouve sa place et fait partie intégrante du décor.
Le Journal du Dimanche 3/5
Le récit minimaliste s’adresse à un public plus jeune et ne possède pas la puissance émotionnelle des précédents films d’animation de Pixar. Mais on est emporté par son romantisme, son imaginaire foisonnant et son graphisme singulier.
Le Monde 3/5
Les voilà jetés dans la grande ville, où, en dépit d’un univers visuel toujours créatif, ils rejoueront les grandes lignes d’une plate « rom com ».
Les Inrockuptibles 3/5
Le sortilège Pixar n’a pas disparu : il s’est réduit à l’état d’étincelle indicible. On sait, devant Élémentaire, qu’on est devant un Pixar, par l’empathie particulière que le film soulève en nous, par sa désobéissance aux formats de son temps, sa foi inébranlable en ses ressources figuratives, son absence d’ironie.
Première 3/5
Alors, oui, il y a des flottements. Certes, la rom com n’atteint pas toujours le rythme et la pureté des classiques dont ils s’inspirent (Indiscrétions de Cukor ou le New-York Miami de Capra). Mais pendant quelques instants, quelques scènes, on se dit que Pixar est revenu à son grand niveau. Et ça n’a pas de prix.
Télérama 3/5
Sans atteindre les sommets de “Vice-versa”, la production Pixar de saison est convaincante, avec une histoire sur l’immigration, le racisme et les joies du melting-pot à l’américaine.
Cahiers du Cinéma 2/5
Si le comique de la situation est le plus souvent exploité astucieusement [...], le film souffre d’un déséquilibre qui met à mal la générosité de ses intentions : l’impensable union de l’eau et du feu tient davantage à l’incompatibilité des deux éléments qu’à la réprobation sociétale.
Cahiers du Cinéma 5/5
Asteroid City est certainement l’un des films les plus émouvants de son auteur. Et c’est encore au principe de verticalité qui le gouverne qu’il doit ce sentiment diffus d’accablement qui semble étreindre tous ses personnages [...] Toujours mutique et contenue, cette émotion sourde se déploie dans un mouvement du haut vers le bas dont le film fait son axe unique.
20 Minutes 4/5
Explosions nucléaires, théâtre délirant, idylles naissantes et secrets d’État sont au menu d’une œuvre douce-amère sur laquelle le cinéaste a apposé sa patte inimitable.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
L'Obs 4/5
Allergiques à son style poupées russes, proche du cinéma d’animation, passez votre chemin. Les autres, ne ratez pas cette fantaisie triste, « pastellisée » : vous ne trouverez plus beau fantasme de confinement que les scènes de pudique séduction entre Steenbeck et sa voisine, star de ciné (Scarlett Johansson, divine).
Le Dauphiné Libéré 4/5
Avec Asteroid City, Wes Anderson signe une fantaisie vintage colorée sur la mort, l’amour, l’art, la science, le cosmos, dans un film gigogne où une émission de télévision ouvre sur une pièce de théâtre qui ouvre sur un film. Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Le Figaro 4/5
Avec une pléiade de stars, Wes Anderson réinvente un désert pour livrer une fantaisie rétro-futuriste. Un film similaire à ses précédents, mais en mieux.
Le Monde 4/5
Porté par un casting faramineux comprenant notamment Jason Schwartzman, Scarlett Johansson et Tom Hanks, le long-métrage de Wes Anderson, burlesque et rêveur, évoque le monde du théâtre, la question de l’acteur et de l’incarnation.
Le Parisien 4/5
Et puis il y a ces répliques très drôles, lancées par un ahurissant défilé de comédiens, si nombreux qu’on ne peut pas tous les citer : Tom Hanks, Adrien Brody, Margot Robbie, Jeffrey Wright, Bryan Cranston, Matt Dillon…
Le Point 4/5
Les idées fusent, les cocasseries aussi, et Anderson fait, encore une fois, des étincelles.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Wes Anderson en grande forme, très mélancolique, livre une réflexion puissante sur le pouvoir de l’artificialité et du jeu.
Télérama 4/5
POUR : Il y a toujours chez lui, derrière les afféteries et le mutisme, un projet tendre et moral : présumant que nous sommes tous déjà abîmés par les jours et les amours empêchées, et qu’après une parenthèse aux allures de petit théâtre nous disparaîtrons dans l’horizon, Wes Anderson nous encourage à faire société, avec, comme seul bagage, le sourire léger de l’alien coincé au creux des lèvres.
La Croix 3/5
Dans son dernier film, Asteroid City, présenté mercredi 24 mai en compétition officielle au Festival de Cannes, Wes Anderson emboîte ses histoires comme des poupées gigognes pour mieux brouiller la frontière entre réel et fiction et redire la nécessité de rêver sa vie afin d’en sublimer les drames.
La Voix du Nord 3/5
Tout a du sens, même si rien n’est supérieurement prégnant, c’est le hic. Et comme d’habitude chez Anderson, le casting est démentiel, avec des stars cantonnées au rang de figurants. Étonnant Anderson.
Le Journal du Dimanche 3/5
C’est un nouvel ovni cinématographique que concocte le réalisateur américain avec les mésaventures fantasques de personnages lunaires dans un univers (un peu trop) décalé.
Les Echos 3/5
Un film raffiné et amusant qui ne surprend ni ne déçoit.
Les Inrockuptibles 3/5
Par-delà la malice mi-mélancolique, mi-cruelle propre au cinéaste américain, s’installe, dans cette douloureuse interrogation, l’une des clés de voûte qui structurent et surplombent les personnages andersoniens : faire l’expérience d’un état d’abandon et tenter d’y survivre.
Paris Match 3/5
Chronique post-Covid ou pamphlet politique ou sociétal, difficile de voir où Wes Anderson veut en venir. Ou serait-ce alors un film sur l’incompréhension mutuelle ?
Ouest France 2/5
Une beauté un peu vaine.
Sud Ouest 2/5
Dans ce monde si magistralement agencé, l’émotion perce difficilement, comme si une forme de timidité retenait cet immense styliste d’aller au bout de sa mélancolie.
Télérama 2/5
CONTRE : Dans cette précieuse brocante (si peu) humaine, Wes Anderson a l’ambition de brasser de grandes questions métaphysiques — le deuil, la mort, l’infini… Pour finir par tout figer sous le glacis d’un perfectionnisme esthétique qui n’existe que pour se servir lui-même.
Marianne 1/5
Avec « Asteroid City », Wes Anderson, tel un marionnettiste auto-satisfait, manipule des personnages d’une vacuité abyssale et déploie une intrigue si dépourvue d’enjeux qu’un ennui profond nous engourdit après dix minutes de spectacle.
Première 1/5
Pire, en revisitant l'histoire du cinéma et du théâtre américain des années 50, Anderson s'enferme dans des références et des échos aussi obscures qu'indéchiffrables et laisse le spectateur définitivement sur le bord de la route.
Un Showcase consacré aux indés de la part de Microsoft.
ID_Xbox et IGN unissent leurs forces pour présenter en exclusivité le prochain ID@Xbox Showcase le 11 juillet. Découvrez en avant-première quelques nouveaux jeux, dont des bandes-annonces, du gameplay, des révélations et bien plus encore ! Twitter / IGN
Une mise à jour récente fait référence à une version Nintendo Switch de Crash Team Rumble, suscitant chez les fans l’espoir qu’un portage serait en préparation. Les afficionados de Crash Bandicoot qui espéraient le prochain lancement de Crash Team Rumble sur la Switch pourraient avoir de quoi s’enthousiasmer : Activision a en effet peut-être divulgué une version pour la console portable de Nintendo. Le jeu multijoueur devrait actuellement être lancé sur presque toutes les autres plateformes modernes. On a déjà eu l’occasion de voir une des maps disponibles au cours de la bêta fermée.
Crash Team Rumble sur Switch ?
Crash Bandicoot a connu une certaine résurgence ces dernières années, avec le remake de la trilogie originale Crash Bandicoot N. Sane et le lancement de Crash Bandicoot 4 : It’s About Time. À la fin de l’année dernière, des nouvelles de Crash Team Rumble ont été données. Malheureusement pour les fans du party game, la maison de Super Mario Party n’avait livré aucune indication laissant entrevoir que le jeu sera lancé pour le Switch, jusqu’à présent.
La fuite a été repérée sur le site Web d’Activision (bien qu’il ne soit pas établi à ce stade qu’il s’agisse d’une fuite volontaire ou d’une simple erreur). Sur la page d’assistance d’Activision pour Crash Team Rumble, l’éditeur a suggéré aux joueurs de maintenir leurs systèmes à jour avant d’installer le jeu. Si ces conseils ont été prodigués pour les versions PlayStation et Xbox, la fuite comprenait également des instructions sur la façon de mettre à jour son système… sur la Nintendo Switch.
(Mimic / L'Échine du Diable / Blade 2 / Hellboy / Le Labyrinthe de Pan / Hellboy 2 : Les Légions d'or maudites / Pacific Rim / Crimson Peak / La Forme de l'eau / Nightmare Alley)
co-réalisateur du Film d'animation : Pinocchio
“Il y a encore quelques films en live-action que je voudrais faire, mais pas tant que cela. Après ça, je ne veux créer que des films d’animation. C’est le plan”
“Je pense que l’on peut créer un drame fantastique avec la stop-motion et émouvoir le public. À vrai dire, je pense que cette technique peut atteindre directement nos émotions, d’une manière qu’aucun autre médium n’est capable de reproduire”
“Pour moi, l’animation est l’art le plus pur, et il a été kidnappé par un tas de voyous. Nous devons le sauver, et je pense qu’il est encore temps de glisser un cheval de Troie dans ce milieu”
“Spider-Verse, Teenage Mutant Ninja Turtles et Mario Bros font bouger les choses, et permettent plus de latitude, même s’il reste encore beaucoup à faire”.
Son prochain film, The Buried Giant, est actuellement en préparation pour une sortie sur Netflix courant 2024. Adapté du roman de Kazuo Ishiguro, il sera également réalisé avec cette technique (stop-motion), et contera l’histoire d’un couple du Moyen Âge, vivant dans une Grande-Bretagne fictive où personne ne peut conserver de souvenirs à long terme. Guillermo del Toro porte le projet en tant que réalisateur, producteur, et écrit le scénario en duo avec le créateur de Matilda, Dennis Kelly.
La première fois que j'ai vu One Piece, j'ai directement pensé au film : Les aventures du baron de Munchausen.
Un film poétique, démesuré, drôle...un vrai souffle épique.
D'ailleurs One piece a des références directement inspiré du film.
Gol D. Roger Vs Baron Munchausen
Van Auger Vs Adolphus
La référence au boulet de canon (Kizaru)
bref ça méritait mieux que cette adaptation complètement cheap, si je me réfère à la bande annonce.
Tu peux même confier la réalisation d'un film à George Miller (la licence Mad Max / Trois Mille ans à t'attendre).