« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le réalisateur canadien Norman Jewison, auteur d'une filmographie éclectique à Hollywood, qui comprend notamment les films Dans la chaleur de la nuit et Jesus Christ Superstar, est mort samedi 20 janvier à l'âge de 97 ans. Le cinéaste est "décédé paisiblement", selon un communiqué de son agent Jeff Sanderson, qui annonce que des cérémonies en son honneur auront lieu "ultérieurement à Los Angeles et à Toronto".
Après des débuts à la télévision canadienne, Norman Jewison s'est imposé au cours de sa carrière comme l'un des cinéastes les plus éclectiques d'Hollywood. Ses nombreux films lui ont notamment valu d'être nominé trois fois pour l'Oscar du meilleur réalisateur. Satire politique pour Les Russes arrivent ( 1966 ), film de braquage avec Steve McQueen dans L'Affaire Thomas Crown ( 1968 ), comédie musicale avec Un Violon sur le toit ( 1971 ), son œuvre s'aventure dans des genres très divers.
Mais aux Etats-Unis, son héritage reste surtout celui d'un cinéaste intéressé par la question sociale. Grâce notamment à la marque laissée par Dans la chaleur de la nuit, qui a remporté cinq Oscars en 1967, dont celui du meilleur film. La légende Sidney Poitier, première vedette noire d'Hollywood, y incarne un policier de Philadelphie accusé de meurtre dans le Mississippi, qui doit mener l'enquête avec le shérif blanc local en composant avec le racisme des habitants.
Les films de Norman Jewison ont récolté 46 nominations aux Oscars au total et ont été récompensés 12 fois.
Christophe Pic et Rémi Boutin, respectivement world director et senior game designer sur Prince of Persia: The Lost Crown, ont organisé une petite session de questions/réponses sur Reddit afin d'échanger avec la communauté. Un internaute a ainsi demandé à quelle franchise les deux hommes aimeraient bien avoir accès, et pour faire quel genre de jeu. La réponse de Rémi Boutin vend déjà du rêve :
Personnellement, j'adorerais travailler sur la franchise Zelda. Peut-être un étrange spin-off basé sur Zelda II: The Adventure of Link ? (Et bien sûr Castlevania).
(Zelda II : The Adventure of Link)
Pour un amateur de metroidvania, citer Castlevania est une évidence, mais Zelda, voilà quelque chose de plus atypique. Pour rappel, le second volet des aventures de Link était une sorte d'Action-RPG rajoutant des passages en vue de côté, comme Prince of Persia: The Lost Crown, revisiter un tel opus de nos jours serait particulièrement intéressant.
Le principe général de Palworld est, comme nous l'avons dit, assez similaire à celui de Pokémon, permettant aux joueurs d'explorer le monde et de capturer de petites créatures en chemin. Palworld va cependant plus loin en permettant aux joueurs de faire travailler leurs créatures dans leur base ou bien en offrant même la possibilité de les cuisiner et de les manger une fois qu'elles n'ont plus besoin d'être utilisées. Et si vous pensiez que cela avait l'air épouvantable, accrochez-vous : les joueurs ont découvert qu'il était également possible de capturer des PNJ humains.
Le streamer Coney a été l'un des premiers à s'en rendre compte, ce qui a également été vérifié par IGN. La possibilité de capturer des humains ne semble pas être un hasard non plus. En cas de capture réussie, le joueur reçoit le message suivant : "Un humain capturé. Sur l'île de Palpargos, la capture d'humains dans les Palsphères est considérée comme inhumaine."
Ainsi, même s'il est mal vu de capturer des humains comme on le fait avec des Pals ordinaires, le jeu vous permet tout à fait de le faire. Le pire, c'est qu'un humain capturé peut être contraint de faire à peu près tout ce qu'un Pal peut faire, y compris les corvées au camp et être appelé à se battre pour vous.
Mais il y a pire.
Au risque de choquer encore plus la communauté, Coney a également noté que vous pouvez... vendre les humains sur le marché noir. Naturellement, cela a contrarié beaucoup de gens.
Palworld, alias "Pokémon avec des guns", est sorti et se trouve déjà en tête de la liste des jeux les plus joués sur Steam. Il est encore tôt, bien sûr, mais on peut d'ores et déjà affirmer que le jeu est un succès. Et les joueurs l'apprécient également. Sur Steam, Palworld bénéficie d'une évaluation "très positive" de la part des utilisateurs.
Mais certains fans de Pokémon ne sont pas très impressionnés, en raison des similitudes évidentes entre Palworld et la franchise familiale 'attrapez-les tous' de Nintendo. Les compagnons de Palworld sont-ils trop semblables à Pokémon ? Sommes-nous sur le terrain du plagiat ?
Alors que Palworld fait parler de lui sur les réseaux sociaux, un débat virulent s'élève autour de cette question. Pour certains fans de Pokémon, Palworld est un clone éhonté, et ils le font savoir sur Internet.
L'action se situe en 1945, nous suivons un pilote kamikaz, Kōichi Shikishim. Il atterrie sur une île, pour soit disant une pane qu'un ingénieur décèle très vite comme une supercherie. Le soir même, la sirène retenti, Godzilla attaque, alors que les soldats en place imaginent être attaqué pour les américains (cette séquence m'a rappelé Jurassic Park), Koichi est poussé à utiliser la mitrailleuse de son avion, mais il n'y arrive pas. Il perd connaissance, le lendemain, ils sont deux survivants, lui et l'ingénieur.
Après cet événement, un an plus tard, il décide de retourner voir sa famille, mais le quartier ou habitait ses parents à été démoli. Il fera la rencontre d'une jeune femme et d'un petit bébé, ça bouleversera tout l'avenir de son existence, il va falloir tout "reconstruire" et pas se tromper de combat.
Deux heures d'un spectacle qui arrive à mélanger moment intime et spectaculaire, je me suis jamais ennuyé, de plus comme il est en VOST, ça t'oblige a bien te concentrer sur les dialogues et ça rend plus immersif l'environnement dans lequel l'action se déroule.
On y croit, c'est ça la force, c'est fait au premier degré, pas de cynisme, la sincérité du projet transparer.
Des séquences font penser au « Dent de la mer » ou encore « la guerre des mondes » (d'ailleurs la séquence que j'ai en tête, m'a troublé, quand on sait ce qui s'est réellement passé au Japon), plusieurs fois j'ai eu l'impression de voir un film de Spielberg.
Les personnages sont développés, le réalisateur a su prendre son temps, les décors sont palpables, les effets spéciaux impressionnants (des explosions qui m'ont rappelé la première fois que j'ai vu la bande annonce de Independance day).
Godzilla est un film malin, car le sujet n'est pas Godzilla, qui est une allégorie de la « monstruosité » de l'arme nucléaire, mais la culpabilité et le sens sacrifice, c'est comme si le film essayé d'humaniser les « kamikazes », une véritable autocritique de ce qui c'est passé au japon durant la second guerre mondial, mais surtout du sens du sacrifice qui peut tourner à l'absurde, sacrifier sa vie, pour gagner la guerre, n'est-ce pas un paradoxe.
Il y a aussi l'idée d'un collectif solidaire, sans avoir un « chef » qui joue les héros (comme le président dans Indépendance day...comme si c'était comme ça dans la réalité...tu parles, c'est souvent les premiers planqués comme souvent avec les « donneurs d'ordre », d'ailleurs le film dénonce plusieurs fois les « autorités »), dont le meilleur exemple c'est toute la partie « reconstruction » fait par des « civiles » en grande partie.
Godzilla c'est le pire de ce que peut engendrer l'humain, l'envie de tout casser, tout exploser, au nom d'un patriotisme décérébrés et que le meilleur moyen de pas tomber dans la monstruosité c'est de pas se tromper de combat, la paix intérieure commence à partir du moment où on n'oublie pas que la vie est trop précieuse pour oublier que la guerre c'est surtout de l’endoctrinement absurde, dont les premiers perdants sont les "civiles".
Amplitude Studios, reconnu pour son expertise dans les jeux de type 4X, offre une opportunité à ne pas manquer : le très apprécié Endless Legend sera disponible gratuitement le 18 janvier à partir de 16 heures. Pour en profiter, rendez-vous sur la plateforme Games2Gether d’Amplitude Studios. Une fois sur la page des récompenses, cliquez sur ‘Redeem’ et associez votre compte Steam. Le jeu s’ajoutera alors automatiquement à votre bibliothèque Steam. Ne tardez pas trop étant donné que les quantités seront limitées.
Le contenu complet inclus dans ACE COMBAT 7 : SKIES UNKNOWN DELUXE EDITION :
- ACE COMBAT 7: SKIES UNKNOWN base game
- Downloadable content " Three original aircraft sets" + "Three SP missions"
- Part 1 “ACE COMBAT 7: SKIES UNKNOWN – ADF-11F Raven Set”
- Part 2 “ACE COMBAT 7: SKIES UNKNOWN – ADF-01 FALKEN Set”
- Part 3 “ACE COMBAT 7: SKIES UNKNOWN – ADFX-01 Morgan Set”
- Part 4 “ACE COMBAT 7: SKIES UNKNOWN – Unexpected Visitor”
- Part 5 “ACE COMBAT 7: SKIES UNKNOWN – Anchorhead Raid”
- Part 6 “ACE COMBAT 7: SKIES UNKNOWN – Ten Million Relief Plan”
- Bonus “Music Player Mode”
- Playable Aircraft F-104C -Avril-
- Playable Aircraft F-4E Phantom II
- Three popular aircraft skins from the past series
- 8 popular emblems of the past series
Frostpunk est un jeu de gestion et de survie développé par 11 bit studios, il eu une belle réception critique (OpenCritic 86%), voici la suite.
Découvrez un jeu de survie en ville, 30 ans après qu'un blizzard apocalyptique a ravagé la Terre, transformant notre monde en un désert glacial et hostile.
Dans Frostpunk 2, vous devez faire face à une nouvelle menace mortelle : la nature humaine et sa soif insatiable de pouvoir.
Le jeu sortira en 2024 sur PC/PS5/XSX
(Directement dans le Gamepass à sa sortie)
Le Waxing Moon Ritual, (la bataille pour le Waxing Moon, capable d'exaucer n'importe quel vœu) est sur le point de commencer. Les sept individus désireux de remporter cette ultime récompense, les Masters, sont les acteurs du Ritual. Les sept Heroic Spirits, ou Servants, sont invoqués en ce monde par leurs Masters. Le rideau se lève sur le combat entre les sept Masters, accompagnés de leurs sept Servants.
Parcourez la ville d'Edo et devenez l'ultime vainqueur du Waxing Moon Ritual.
Les données sont collectées par Games Sales Data (GSD).
Il y a la combinaison des ventes "boite" et "numérique" pour tous les supports, sauf pour la Switch, les ventes "numériques" ne sont pas comptabilisées.
Les jeux « Alan Wake 2 » et « Baldur's Gate 3 » ne sont pas inclus, car les éditeurs respectifs ne participent pas actuellement au GSD.
Pour commencer, j'aime bien cette licence et j'ai bien aimé le dernier Metroid (on va pas se mentir, un des premiers jeux qui viennent en tête quand tu vois se nouveau POP, c'est Metroid Dread, pour le coup, il y a pire comme référence).
Quand j'ai vu la bande annonce, j'ai tout de suite aimé le "feeling" que dégageait le jeu, alors quand tu peux avoir accès à une démo (qui est généreuse pour le coup), ça fait plaisir de voir qu'il n'y a pas tromperie sur la marchandise.
Déjà pour moi, le jeu est réussi car le Gameplay est bon (bouton bien agencé, subtilité pas mal du tout, notamment avec l'arc et la toupie, ça réponds bien) et le level design est bien pensé (donc la base est là), le level design se voit encore plus avec ce genre là "metroidvania" et en vue de "coté".
La fluidité est au rendez-vous (déjà sur Switch c'est bien, alors sur PS5 ou XSX par exemple, ça doit être encore plus agréable) sur Switch.
J'aime bien le look du personnage principal, il a une certaine classe je trouve.
L'animation est bonne, que ce soit la façon de grimper au "anneau" accroché au mur, la façon de s'accrocher au différent "bout de bois" pour grimper en tournoyant autour, la façon dont le héros glisse sous les personnages, la façon dont il passe en mode "rage" ect
La direction artistique fait le job, parfois ça peut paraître "vide" mais ça permet une fluidité, c'est pas plus mal, que d'avoir des jeux "surchargé" c'est beau mais ça "rame", dans ce genre de jeu, ça peut te faire péter un plomb, là tu sens qu'ils ont voulu que l'on se repère très vite et que tout paraisse "évident", donc c'est simple mais efficace, de plus les arrières plan sont plutôt sympa (de plus ce n'est que le premier niveau, donc par la suite ça devrait être encore plus s'enrichir)
Les combats sont agéable, ce qui fait que l'on passe des moments de plateforme et des moments de "combats" avec un même plaisir.
Quand je lis certains qui se plaignent de la D.A., personnellement, le jeu a plein d'atout qui compense largement cette direction artistique, certes pas "incroyable" (nous sommes pas devant "Ori" par exemple) mais moi ça me va, (car parfois l’esbroufe d'une direction artistique cache un gameplay "pauvre" et dans ce cas, ça me tombe des mains à un moment donné) car le plaisir du jeu est là, c'est tout ce que je demande, bravo Ubisoft pour avoir lancer de bonne manière l'année 2024.
Je trouve que c'est un jeu parfait pour jouer en "portable" sur la Switch (voir Steamdeck), d'ailleurs pour le support, l'impression que c'est un des plus beaux jeux, bien plus qu'en version "salon".
Avec cette entrée en matière grâce à cette démo, Il fait partie maintenant des jeux (j'ai une longue liste, mais un petit portefeuille) qui me donnent envie de m'y plonger, mais ceux qui ont le jeu, je me dis qu'ils ont bien de la chance, bon jeu à eux.
Dans une interview pour un média polonais, Piotr Babieno, président de Bloober Team, a fourni une petite mise à jour en affirmant que la promotion de Silent Hill 2 Remake devrait réellement démarrer très prochainement. « Konami est en train de mettre en place une campagne promotionnelle. Et nous pensons qu'elle va débuter très bientôt » (via Bankier). Très prochainement... comme en février par exemple ? Peut-être... Si l'on pense à cette période, c'est par rapport à une rumeur toute chaude.
Je viens de découvrir grâce à un you tubeur une série (qui vient de Corée du sud) qui m'a l'air excellente dans son concept, c'est tiré d'un manhwa (Bande dessiné coréenne), IMDB 8,9/10.
Il est sans emploi depuis toujours, son ex-petite amie est passée à autre chose, et il vient de perdre toutes ses économies à cause d’une arnaque au bitcoin. Accablé par les pressions sociétales, Choi Yi Jae décide de se suicider. Insulté par son attitude désinvolte envers la mort, Death le punit : il doit revivre la mort encore et encore à travers 13 autres vies. Mais s’il parvient à trouver un moyen de survivre à la mort imminente durant l'une de ces autres vies, il pourra la vivre jusqu'au bout. Sa vie a été un fiasco... qu’en sera-t-il de ces autres vies ?
C'est diffusé sur Amazone Prime, c'est disponible uniquement pour l'instant en VOST, 2 saisons de 8 épisodes.