Moyenne presse 2,4/5 (pour l’instant)
20 Minutes 4/5
Les dinosaures sont évidemment les stars du film avec leurs bonnes grosses dents acérées et leur appétit dévorant. (...) C’est ce qui fait le charme du film : le suspense est renforcé par le fait que les grosses bêtes menacent des héros sympathiques auxquels le spectateur s’est attaché.
L'Ecran Fantastique 4/5
En développant intelligemment les arches narratives de tous les personnages, y compris celle de Blue, le raptor femelle avec lequel Owen/Chris Pratt avait tissé des liens privilégiés, Trevorrow conclut en beauté cette histoire qui nous est racontée depuis 1993.
Le Figaro 4/5
Surtout, sans jamais vouloir rivaliser avec le premier film de Spielberg (aujourd’hui culte), ce sixième long-métrage sait rester à sa place. Il se contente d’être un spectaculaire divertissement sans autre prétention philosophique.
Le Journal du Dimanche 4/5
En dépit de quelques longueurs, ce troisième volet remplit son cahier des charges, orchestrant l’action dans des pays exotiques, et assumant sa dimension féministe et militante. Un blockbuster avec une conscience.
Le Parisien 4/5
Mais les vraies stars, ce sont bien entendu les grosses bébêtes. Et, encore une fois, les créateurs se sont surpassés, entre un colossal monstre marin, un belliqueux prédateur à plumes, ou encore un ptérosaure géant appréciant peu de voir un avion contester son espace aérien…
L'Obs 3/5
Le spectacle vaut le coup d’œil, malgré son invraisemblable longueur.
GQ 2/5
Avant de se changer en un blockbuster dévitalisé, ce nouvel opus de la deuxième trilogie imaginée à partir du film de Steven Spielberg ressemble d'abord à une très jolie coquille vide.
Le Dauphiné Libéré 2/5
Mais Le Monde d’après est à la peine pour porter son message de respect de la nature et de sauvetage de la Terre, avec elle de l’humanité : intrigue grossière ; rebondissements improbables ; dialogues inconsistants ; personnages plats ; acteurs majeurs sous-utilisés.
Le Monde 2/5
Reconnaissons le travail des comédiens, tous convaincants, qui tiennent ce film aux mille rebondissements (...). Mais ce sixième volet souffre d’un récit surchargé, pas toujours lisible, au point de reléguer presque au second plan les batailles de « dinos », – pourtant longues et roboratives –, mêlant animatroniques et créatures numériques.
Les Inrockuptibles 2/5
Trop de directions, trop de personnages, trop de styles hétérogènes, et aucun parti pris clair : le film est assez disgracieux dans sa volonté de tout récapituler et tout comprendre.
Sud Ouest 2/5
Le réalisateur Colin Trevorrow clôt la saga « Jurassic » avec un volet plan-plan qui recycle et rassemble les générations (...).
Télérama 2/5
Un opus peu innovant, qui reste spectaculaire grâce à des effets spéciaux perfectionnés.
Ecran Large 1/5
Trahissant rapidement sa promesse d'orgasme jurassique, le blockbuster de Colin Trevorrow enferme son intrigue idiote dans un énième enclos à concepts, qui l'autorise à rejouer le film originel, orchestré avec une incompétence quasi-miraculeuse. Et cette entreprise techniquement inégale de s'égarer dans les égouts du fan service, qui dévore l'entreprise à la manière du nuage de sauterelles qui vampirise son synopsis.
La Voix du Nord 1/5
Les vraies bonnes idées ? Mal exploitées. L’émerveillement ? En voie d’extinction. Le raptor ? Guère plus dangereux qu’une marmotte dans une forêt enneigée. Le T-rex ? Un second rôle indigne. Souvenez-vous donc de ce que ces animaux incarnaient jadis. Et pleurez.
Le Point 1/5
Tristement médiocre, le film de Colin Trevorrow n'est que le nouvel avatar d'une pop culture mémorielle sans saveur ni talent, qui tôt ou tard s'éteindra par tant de paresse mais persiste à l'ignorer.
Libération 1/5
Rien à dire, rien à montrer, l’humanité pleine d’hubris est encore et toujours bien attrapée, mais c’est surtout Hollywood qui se piège à se croire plus malin en dévouant des trilogies de films super dispendieux pour commenter leur propre inanité.
Ouest France 1/5
Un feu d'artifice final qui fait pschitt.
Première 1/5
Parfois dans le monde d’avant, une suite parvenait soit à rebattre les cartes soit à conclure une saga en embrassant sa mythologie. Ce monde a disparu. Perdu. Le Monde d’après, suite/reboot/remake sans autre horizon que son propre vide, n’a plus qu’à se cannibaliser elle-même.