C'est l'histoire d'un couple (Josh et Iris) qui semble a première vu parfait, dès leur rencontre, il y eu un “coup de foudre” (c'est d'ailleurs la scène d'intro), qui vont aller un week-end dans une maison isolée près d'un lac et d'une forêt, rejoindre un couple d'ami homo et une autre amie de Josh.
Un événement va bousculer ce séjour, lorsque Iris se défend face au “copain” insistant de l'amie de Josh, nous allons découvrir à ce moment là que Iris est le robot sexuel de Josh, elle était programmé d'une certaine manière, mais parfois nous pensons tout contrôler, mais avec les “robots” ont peut être surpris.
En fait ce film fait penser un peu à la série “Black Mirror” et à ses films qui viennent de Corée du sud qui adore mélanger les genres, dans le cas présent, huit-clos, thriller, fantastique, horreur avec ce qu'il faut d'humour noir.
La mise en scène est réussi, le rythme qui est bon, les acteurs (qui font parti de la nouvelle génération) sont convaincant surtout qu'ils ont des rôles qui sont plus ambiguë que l'on pourrait croire aux premiers abords.
C'est une sorte de "fable" féministe, avec l'idée de la "femme objet" qui pourrait, si elle prends conscience de ce qu'elle "est", arriver à s'émanciper d'une certaine approche du "couple".
Mon seul regret, c'est que la fin est prévisible, d'ailleurs, c'est dit dès le début par Iris ce qui va se passer, mais l’intérêt réside dans le “pourquoi” et “comment” c'est arrivé, comme pour "Titanic".