« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
GameInformer 9,5/10
Destructoid 9,5/10
IGN 9/10
GamesRadar+ 9/10
God is a Geek 9/10
Hardcore Gamer 9/10
Attack of the Fanboy 9/10
Gameblog 9/10
Ghost of Tsushima, la dernière "grosse cartouche" de la PS4, propose une formule en monde ouvert à la Horizon Zero Dawn, avec moult activités, plutôt variées, et des combats à l'arme blanche efficaces et prenants, mais un poil basiques. Les phases d'infiltration sont elles aussi réussies, et l'Île de Tsushima est un terrain de chasse bien rempli qui devrait vous tenir occupé assez longtemps. Si la jouabilité peut donc se targuer d'être a minima "très solide", la vraie force de Ghost of Tsushima sera sa direction artistique de très, très haute volée. Les paysages ressemblent à des estampes japonaises animées, on en prend plein les mirettes avec les changements de luminosité et de climat, et chaque petit coin de forêt devient un délice à observer. De plus, l'histoire, qui met aux prises Jin Sakai, un Samouraï devenu Ninja malgré lui, à des Mongols venus imposer leur loi est plutôt agréable à suivre. L'ambiance créée pour l'occasion est de plus soutenue par un aspect technique de très haute volée, ou jamais notre PS4 Pro n'a failli à afficher un rayon de lumière transperçant les arbres d'une foret ou les reflets de la lune sur la lame de notre katana. Indispensable, c'était une évidence dès les premières minutes de jeu en monde ouvert. La note, elle est tombée tout de suite après le générique de fin. Franchement, si vous avez une PS4 chez vous, on vous conseille de jouer à Ghost of Tsushima, tout simplement !
JeuxActu 17/20
Avec Ghost of Tsushima, Sucker Punch a fait le choix de repartir d’une feuille blanche et d’oublier les années inFAMOUS. Un peu comme son héros Jin Sakai – qui a décidé de s’écarter du bushidô pour défendre son île – le studio s’affranchit des codes de l’open-world en demandant aux joueurs de se fier uniquement à leur curiosité. Conçue avec brio, la map du jeu est une découverte permanente, que l’on s’en remette au vent ou à la faune. L’occasion de découvrir tous les charmes qu’elle a à offrir, car si on peut difficilement nier le downgrade graphique, la magnificence de certains endroits est grisante. Lettre posthume à Akira Kurosawa, Ghost of Tsushima va jusqu’à proposer un mode noir et blanc baptisé à son nom, en s’efforçant de coller au mieux aux films de samouraïs. Et c’est justement cette obsession qui fait que le jeu se montre fragile sur des points sensibles tels que l’infiltration, l’I.A., ou encore l’écriture des personnages. Mais la magie est telle que ces carences passent au second plan quand on est dans la peau de Jin Sakai, et que l’on tranche les Mongols avec une classe indescriptible. Alors, Mesdames et Messieurs, ayez la décence de ne pas qualifier l’œuvre de Sucker Punch « d’Assassin’s Creed au Japon » : le costume serait sans doute trop grand pour la licence d’Ubisoft.
JVLive 17/20
Comme avec Days Gone l'année dernière, Ghost of Tsushima ne réinventera en aucun cas la roue, mais il lui arrive pourtant de faire mieux que des grosses machines installées dans le paysage vidéoludique. Trop classique dans le déroulé des missions ou dans l'organisation et l'implémentation des camps, trop lâche dans son infiltration, trop "déjà-vu", le jeu de Sucker Punch sait néanmoins nous transporter. Avec son atmosphère à part où l'on peut prendre le temps de s'imprégner de ce monde aux environnements incroyables, pour tous ceux qui y sont sensibles, sa tentative d'impliquer sans prendre à 100% la main du joueur, son écriture et sa mise en scène bien meilleures que les précédentes productions du studio, son ambiance sonore, ses combats et tout simplement son immersion dans le monde des samouraïs, Ghost of Tsushima est un beau voyage par procuration au Japon à faire pour les possesseurs d'une PS4.
Millenium 8,2/10
Avec son gameplay satisfaisant et sa durée de vie solide (30 à 40h environ), Ghost of Tsushima est une exclusivité supplémentaire de qualité pour la PS4. Il sait réutiliser les mécanismes et les fondations établies par d'autres licences, et leur donner sa touche personnelle. Et quelle touche, ce n'est pas juste un Assassin's Creed au Japon du temps des samouraïs, il a un code visuel propre quasi-cinématographique, une ambiance à couper au katana, et la sublime l'île de Tsushima qui remplace naturellement une partie des éléments de l’interface qui ne manqueront probablement pas d'inspirer à son tour, même s'ils auraient pu aller plus loin. Le tout teinté de poésie, ce qui est plutôt osé pour un titre grand public. On regrette néanmoins qu'il ait de grosses faiblesses sur quelques points fondamentaux, avec un gros manque de variété dans les points d'intérêt, les combats et surtout les duels, ce qui, combiné a une difficulté mal ajustée, nous a lassé sur la fin. Cela reste néanmoins une très bonne expérience et un jeu plein de personnalité.
VideoGamer 8/10
Game Revolution 8/10
USgamer 8/10
JVC 15/20
Alors, qu'est-ce qu'elle a dans le ventre la dernière exclusivité majeure PS4 ? Le résultat est plutôt mitigé. D'un côté le titre, visuellement solide, transpire le dépaysement à tous les étages et ses environnements ne demande qu'à être exploré. Le tout est de plus soutenu par un système GPS guidé par le vent qui, s'il n'est pas sans défaut, a le mérite de faire regarder le joueur devant soi plutôt qu'une mini-map. Mais c'est après quelques heures que l'on ressent quelque chose de bancal. Déjà au niveau des combats dont certains choix surprenants, comme l'impossibilité de voir le nombre de munitions de certaines armes en un coup d'oeil, alourdissent l'ensemble. Surtout que les combats, ils sont un peu beaucoup trop au coeur de Ghost of Tsushima. La quasi-intégralité des missions, quelles soient secondaires ou principales, demandent de faire le ménage dans un camp, ce que le joueur aura déjà largement l'occasion de faire au cours de ses balades. Le tout n'est pas aidé par l'écriture, assez pauvre et mécanique, qui contient quand même quelques fulgurances (notamment en ce qui concerne la lente transformation de Jin, le héros). Bref, on fait très souvent la même chose et ce qu'on nous y raconte n'est pas passionnant. S'en dégage un léger goût amer, qui s'estompe lorsque le titre nous laisse les mains libres mais qui revient quand on retombe sur une quête ou un énième campement à nettoyer. Le jeu de Sucker Puch n'en reste pas moins agréable à parcourir et complet (15h en ligne droite pour la quête principale). Mais ce n'est pas une claque. Plutôt une main tendue vers le Japon féodal que l'on acceptera volontiers.
Gamergen 14/20
Malgré les défauts techniques et les problèmes d’écriture, cela reste tout de même un bon jeu qui fait passer le temps, mais qui ne va pas forcément marquer les esprits. Nul doute que Sucker Punch va prendre en compte les retours des joueurs pour peaufiner sa production au fil des semaines. Alors oui, si vous cherchez une aventure à monde ouvert dans un Japon atypique, Ghost of Tsushima fait un minimum le café. Simplement, ne vous attendez pas à un périple qui va vous retourner le cerveau.
Gamespot 7/10
Gamekult 6/10
Drôle de lame donc que ce Ghost of Tsushima, sorte d’archétype de l’open-world à activités des années 2010 trempé dans un bain de poésie et de solennité dans l’espoir de solidifier sa différence en toute fin de génération. Derrière ses oripeaux de jeu fasciné par l’éphémère, derrière cette contemplation de la nature qui voudrait vous faire croire à la valeur de chaque instant, il y a cependant un monde ouvert tout à fait routinier, machinal parfois, non seulement adepte de la liste de courses mais aussi particulièrement doué dans l’exercice - comme en témoigne son talent naturel pour l’équipement, l’artisanat et les bonus cosmétiques. De ce titre qui jongle entre exploration, action et infiltration sans jamais vraiment exceller dans un exercice ou dans l’autre, on retient surtout des gimmicks, des tentatives d’innover malheureusement trop superficielles pour tenir la distance. Reste au bout du chemin l’un de ces jeux-cartes-postales tout à fait envisageables pour partir au bout du monde sans quitter votre logis, mais aussi un titre globalement sous-réalisé, assez loin du dernier grand jeu PS4 espéré par certains.
Ainsi lorsque l'on apprend (via le site Switch Brasil)que le géant US GameStop, vient d'ajouter de nouvelles entrées mystérieuses dans son catalogue Nintendo Switch (en fait des "SKU" pour "stock-keeping unit" que l'on peut traduire en français par "unité de gestion des stocks") l'excitation monte... Et encore plus en apprenant qu'une maintenance est prévue justement pour intégrer les jeux Nintendo Switch au catalogue, le 14 juillet prochain soit dans trois jours...
Nintendo Master
HS : Je ne pourrais pas exceptionnellement faire des articles "indé" jusqu'à mardi soir (sachant qu'il y a pourtant un live Devolver Digital ce soir...), désolé d'avance.
Le jeu surprise développé par WayForward qui a été présenté dans le Nintendo Treehouse : Live était donc un nouveau jeu Bakugan, franchise sur laquelle le studio a donc travaillé pour la toute première fois. Intitulé Bakugan : Champons of Vestroia, il s'agira donc d'un action RPG exclusif à la Switch et sortira le 4 novembre prochain en Europe (le 3 novembre aux États-Unis) via Warner Bros. Interactive Entertainment. Il faut d'ailleurs savoir que Bakugan est une série de la société Spin Master... que Reggie Fils-Aimé a rejoint en tant que directeur en mai dernier. Il est d'ailleurs très heureux d'avoir assisté à l'annonce du nouveau jeu.
Gameblog
A l'image de l'origami, le monde de ce Paper Mario dévoile une grande richesse à mesure qu'il se déploie, son système de combat gagnant ici encore en épaisseur. Cet intérêt subsiste-t-il de bout en bout, sans complexifier inutilement son propos ? Réponse très bientôt dans le test, mais si certains craignaient un repli de la saga, la fibre d'originalité de Paper Mario : The Origami King pourrait le ramener jusqu'à son trône, en digne souverain du RPG moustachu...
Gamergen
Vous l'aurez compris, avec cette notion de temps et ce côté puzzle, les affrontements sont assez palpitants, en plus d'être bien rythmés musicalement. Quant au reste, à savoir l'exploration, l'aspect scénaristique, la partie visuelle et sonore ou encore la durée de vie, nous y reviendrons dans notre test complet. Sans rentrer dans les détails, disons simplement que l'aventure est prenante, sait nous faire esquisser quelques sourires et arrive à nous mettre des étoiles dans les yeux. Vous l'aurez compris, Paper Mario: The Origami King a toutes les qualités d'un futur incontournable de la Switch... sur le papier pour le moment.
Millenium
Avec sa direction artistique aussi rafraichissante qu'une brise d'été, ses combats "sur disque" originaux et son écriture bien fendard, Paper Mario & the Origami King a tout ce qu'il faut pour devenir LE jeu familial de l'été sur Nintendo Switch. Reste maintenant à déterminer si ses idées réussissent suffisamment à se renouveler pour nous tenir en haleine tout au long de l'aventure.
Les fans de Nintendo le savent bien, cela fait longtemps que la marque n'a pas diffusé de véritable Nintendo Direct, afin de dévoiler à sa clientèle ce que l'avenir réserve à la Switch. En effet, le dernier véritable Direct date de septembre 2019, Big N ayant depuis décidé de diffuser des Directs Mini focalisés sur un seul jeu, qu'il s'agisse de Smash Bros ou d'Animal Crossing. De plus, la traditionnelle vidéo de juin (pour l'E3) n'a pas eu lieu cette année, tout comme le célèbre Nintendo TreeHouse, lui aussi annulé. Mais selon l'insider Kelios, les choses pourraient bien changer.
Connu pour avoir déjà fait fuiter plusieurs fois les dates de ces fameuses diffusions (dont celle du Direct Mini de mars dernier), l'homme affirme sur Resetera que Nintendo s'adressera aux fans via un véritable Direct prévu pour le 20 juillet.
JeuxActu
PS : Si la date est exact, ça serait la même semaine que le live de Bandai Namco et de Microsoft (23 Juillet).
Résumé : Ils vivent en bande et en marge de la société. Comme tous les délinquants qui se respectent, ils sont prêts à tout pour défendre leur territoire face aux intrus, et ne refusent jamais une bonne baston. Mais ces durs-à-cuire ne sont pas tout à fait comme vous l'imaginez... Ce sont des chats de gouttière bien teigneux ! Tout juste débarqué à Nekonaki, Ryûsei, un chat balafré, part en quête d'un boss tricolore... Et c'est tout un quartier qui va s'embraser !
PS : J'ai découvert le manga dans ma médiathèque, je me suis dit que ça pourrait plaire, je sais que des membres de Gamekyo adorent les chats
Gameblog 5/10
Deadly Premonition 2 : A Blessing In Disguise est une suite light du très culte Deadly Premonition. On y revient sur une vieille affaire de Francis York Morgan, à Le Carré, dans la nouvelle Orléans. L'histoire est une fois encore très plaisante, l'ambiance toujours aussi décalée, le casting de PNJ haut en couleurs, mais le tout souffre du format du jeu, plus court. L'histoire monte très vite, est très vite résolue, et il y a moins de rebondissements, malgré une petite surprise, révélée dès le début. Franchement, on ne boude pas notre plaisir de retrouver cet univers, de façon un peu inattendue.
Question gameplay, on est toujours sur quelque chose de très austère : combats insipides, déplacements fastidieux en skateboard, longueurs en pagaille, objectifs de quête tout sauf clairs, mécaniques de routines de PNJ souvent embêtantes, et on fait même pire sur certains points, comme les donjons par exemple. Au nombre de trois, ils sont linéaires et ne proposent que du combat. Adieu Raincoat Killer. Techniquement parlant, si le tout est un peu plus beau, ça reste bien bancal. Le framerate chute souvent, la profondeur de champ limitée, le popping envahissant... Les bugs sont aussi de la partie, et on a eu environ un "retour menu" par chapitre.
Franchement, au vu de ce tableau mi-figue de luxe mi-raisin pourri, difficile de conseiller à un nouveau venu l'univers ce second épisode, inférieur à son modèle. Commencez plutôt par celui de 2010, lui aussi disponible sur Switch. Du coup, ce Deadly Premonition 2, il est à réserver aux fans, et uniquement à eux.
Eux seuls seront capables d'endurer ce voyage ludiquement infernal dans le simple but de découvrir le dénouement de l'intrigue.
Quand à la note... Sévère ou clémente, Zach, à toi de voir !
JVC 9/20
Du haut de son intrigue aussi sinueuse que les méandres des bayous, Deadly Premonition 2 est sûrement le meilleur mauvais jeu de ces dernières années. À l'image de la jeune Lise Clarkson trouvée au début de l’histoire découpée dans un bloc de glace, le soft de SWERY est déjà un vestige du passé, dont les différents morceaux qui composent son aventure sont inégaux, meurtris, mais aussi profondément humains. David Lynch lui-même avait compris, en faisant revenir Twin Peaks 26 ans après le clap de fin, qu’il ne fallait surtout pas livrer la même tambouille au téléspectateur. Si Deadly Premonition apportait quelque chose de nouveau en 2010 malgré sa technique cassée, ce nouvel épisode se contente de refaire du Deadly Premonition. Avec ses réelles qualités, mais aussi, et surtout, ses gros vilains défauts. Du sentiment au ressentiment, il n’y a qu’un pas que nous ne franchissons pas : le fan averti trouvera sans doute des qualités à cette préquelle qui fait également office de conclusion touchante.
Dans une interview accordée par Marty Stratton et Hugo Martin du studio Id Software à Gamereactor, on apprend que des nouvelles de la version Switch de Doom Eternal seront données dans un futur proche et que la date de sortie sera évoquée très prochainement. Marty Stratton semble très confiant quant à cette version, qu'il estime aussi bonne que Doom, voire plus, puisque les développeurs utilisent ce qu'ils ont appris durant le premier portage. Ainsi, Doom 2016 sur Switch faisait office d'expérience, tandis qu'avec Doom Eternal, Panic Button est en terrain connu, permettant d'optimiser le travail.
Doom 2016 (...) était déjà fantastique sur cette plate-forme, donc je pense que nous allons faire un autre pas en avant avec Doom Eternal, qui sort parce que la licence s'est en quelque sorte imposée comme quelque chose qui fonctionne vraiment sur Switch, (...) et c'est un jeu fantastique. Nous n'allons pas du tout en diluer le contenu. Les gens peuvent donc s'attendre à une expérience complète, indique Stratton.
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