« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Dans la baie du Maryland, une bactérie non identifiée contamine le lac et ceux qui s’en approchent…
C'est un film (et non un documentaire, même si il reprends les "codes") d'horreur, mais qui s’appuie sur des choses scientifiques "réaliste", c'est ça qui fait flipper.
le film est par moment vraiment gore.
La force du film, aucun temps morts (mais c'est pas un film d'action).
Personne est épargné...
Un programme a été dévoilé cette semaine, avec les premiers détails sur les mises à jour à paraître, dont deux qui sont considérées comme majeures.
Tout d'abord, avec la mise à jour (gratuite) disponible dès le 10 octobre, il sera possible de profiter d'un mode bataille en un contre un ou en deux contre deux. Il y aura également un système de classement (prime) qui permettra d'obtenir diverses récompenses.
Ensuite, début novembre, trois collaborations uniques seront disponibles. Pour le moment, nous savons simplement qu'il s'agira des collaborations numéros 1, 2 et 3, qu'elles permettront d'obtenir des Arsenaux (mechas) spéciaux et des costumes en lien avec des licences populaires. On imagine que parmi elles, il y aura Gundam.
Fin novembre, les développeurs sortiront une mise à jour majeure qui ajoutera de nouvelles missions en coop, de nouveaux boss ainsi que de nouvelles armes et armures.
Enfin, une autre mise à jour majeure sera disponible en décembre et ajoutera des missions inédites en coop avec une nouvelle règle ainsi que des armes et armures inédites. D'autres éléments sont aussi à l'étude actuellement pour cette mise à jour, et nul doute que Marvelous partagera plus d'informations dans les jours à venir.
Monster Boy and the Cursed Kingdom 29,99€ au lieu de 39,99€
CupHead 15,99€ au lieu de 19,99€
Mark of the Ninja: Remastered 11,99€ au lieu de 19,99€
Celeste 11,99€ au lieu de 19,99€
-Chapitre 9 disponible-
Wargroove 10,19€ au lieu de 16,99€
Hollow Knight 8,99€ au lieu de 14,99€
Dead Cells 19,99 € au leiu de 24,99€
What Remains of Edith Finch 15,99€ au lieu de 19,99€
Inside 13,39€ au lieu de19,99 €
Blazing Chrome 11,89€ au lieu de 16,99€
Gorogoa 7,49€ au lieu de 14,99€
Limbo 6,69€ au lieu de 9,99€
Transistor 3,35€ au lieu de 16,79€
Bastion 2,49€ au lieu de 12,49€
Et encore plein d'autres...
Cette dernière prend du retard, mais selon le studio, c'est pour la bonne cause. En effet, la version Nintendo Switch de Bloodstained : Ritual of the Night va recevoir une importante mise à jour qui mettra l'accent sur quatre domaines : "les graphismes, les temps de chargement, les effets de particules et le lag". Les développeurs précisent alors que les arrières-plans des environnements vont être modifiés pour offrir des images plus nettes, que les temps de chargement ont été "grandement améliorés" et que des centaines d'effets de particules vont être remplacés. D'ailleurs, il semblerait que ces particules soient justement la cause des nombreuses baisses de performances de cette version.
La mise à jour sera déployée en deux parties et arrivera fin novembre. Il faudra donc se montrer patient.
Le réalisateur Thomas Mahler chez Moon Studios a également confié quelques détails sur des améliorations qui ont été réalisées sur la version Switch du jeu. En effet, il a précisé que, les animations des sprites d'Ori ont été améliorées. Désormais, les animations des sprites sont à 60 images par seconde, contre 30 pour les autres versions. Si les développeurs ont pu effectuer cette amélioration, c'est grâce à leur travail sur le moteur utilisé par le studio depuis une dizaine d'années. Il a aussi précisé que beaucoup d'optimisations faites pour Ori and the Will of the Wisps ont été également effectuées pour la version Switch du premier jeu. Si vous avez donc joué à Ori and the Blind Forest sur PC et / ou Xbox One, puis que vous y rejouez sur Switch, et que vous remarquez que les animations d'Ori sont plus fluides, ce sera donc tout à fait normal.
D'après l'institut (Media Create), la Nintendo Switch Lite se serait écoulé à 114 000 exemplaires au cours de ses trois premiers jours de commercialisation sur l'Archipel.
Dans le même temps, la Nintendo Switch standard s'écoulait à 64 000 unités sachant que la semaine d'avant c'était 52 000 exemplaires ce qui veut dire que non seulement la sortie du nouveau modèle n' a pas entamé mais ventes de "l'ancien" mais au contraire même, elles l'ont reboosté !
Et vous ?
1 ) Le Wi-Fi ou La Wi-Fi
2 ) Super Smash Bros ou Mario Party
3 ) Carapuce ou Salamèche ou Bulbizarre
4 ) Chiots ou Chatons
5 ) Minecraft ou La vraie Vie
6 ) Jeux Indépendants ou Triple A
7 ) Rambo ou Rimbaud
8 ) Resident Evil ou Silent Hill
9 ) Twitch ou Mixer
10 ) Tetris ou Snake
11 ) South Park ou Les Simpsons
12 ) Street Fighter ou Mortal Kombat
13 ) Link ou Cloud
14 ) Kebab ou Tacos
15 ) Cyberpunk 2077 ou The last of US II
16 ) Le seigneur des anneaux ou Star Wars
17 ) Rage Quitter ou Accuser le lag
18 ) Le jeu vidéo rassemble ou Le jeu vidéo isole
Hardcore Gamer 7/10
In the end, anyone wanting a return to the glory of 2D Contra won’t find it here, but removing expectations of what Contra should be will find a great deal of entertainment. The intro mission establishes that this is a title that doesn’t take itself seriously; it’s simple, over the top dumb fun with nonstop carnage and some dark humor. The characters, enemies and scenarios are all ridiculous but that is what makes the game so enjoyable.
En fin de compte, tous ceux qui souhaitent retrouver la gloire de 2D Contra ne le trouveront pas ici, mais supprimer les attentes de ce que devrait être Contra sera très divertissant. La mission d’intro établit que c’est un titre qui ne se prend pas au sérieux; c’est simple, amusez-vous avec du carnage sans arrêt et de l’humour noir. Les personnages, les ennemis et les scénarios sont tous ridicules, mais c’est ce qui rend le jeu si agréable.
JVC 9/20
En plus de prendre les fans à contre-pied en proposant un shoot'em up au lieu d'un run and gun efficace comme autrefois, Contra : Rogue Corps, le titre de Konami loupe le tir sur de (trop) nombreux points. Les mécaniques proposées, tout comme les graphismes ou le sound-design semblent venir d'une tout autre décennie. On conseille donc, même aux fans les plus assidus, de passer leur chemin et d'économiser la somme s'élevant tout de même à quarante euros. Le titre avait pourtant toutes les cartes en mains pour réussir, en s'inspirant par exemple des dernières productions du genre qui ne manquent pas dans le milieu indépendant. Malheureusement, Contra : Rogue Corps se cantonne à rester fidèle aux épisodes (décevants pour la plupart) sortis sur la première PlayStation ou encore sur PlayStation 2.
IGN 4/10
Another opportunity to revive one of gaming’s most iconic franchises goes down as more of a disappointing whimper. If Konami hadn’t slapped the Contra name on Rogue Corps no one would’ve guessed it was supposed to be part of the series, but since it’s there it will serve only to disappoint long-term fans. It lacks the franchise’s identifiable gameplay, fumbles the tone and atmosphere, and simply isn’t a good enough twin-stick shooter to stand on its own. If you’re looking for something more like the classic Contra games of old, you should check out the Contra Anniversary Collection or indie gem Blazing Chrome instead.
Une autre occasion de relancer l’une des franchises les plus emblématiques du monde du jeu devient un gémissement décevant. Si Konami n’avait pas griffé le nom de Contra sur Rogue Corps, personne n’aurait deviné qu’il était supposé faire partie de la série, mais comme il est là, il ne servira à décevoir que les fans à long terme. Il manque le gameplay identifiable de la franchise, échappe au ton et à l’atmosphère, et n’est tout simplement pas un assez bon twin-stick shooter pour se débrouiller seul. Si vous recherchez quelque chose qui ressemble davantage aux jeux classiques de Contra, vous devriez plutôt consulter la collection Contra Anniversary Collection ou le bijou indépendant Blazing Chrome.
L'aventure est prenante et amusante, mais pas mal de joueurs ont remarqué une chose qui fait légèrement grincer des dents, des ralentissements sont présents.
Que faut-il retenir de tout cela ? Que nous avons affaire à une résolution dynamique.
En d'autres termes, en mode TV, le jeu tourne en 720p dans l'ensemble.
Dans certains bâtiments, en intérieur donc, le titre affiche du 972p.
En mode Portable, le 720p est roi lorsque nous sommes cloîtrés entre quatre murs, pour le reste, c'est le 576p qui règne.
Et le framerate dans tout cela ? Globalement, The Legend of Zelda: Link’s Awakening tourne en 60 fps, mais s'affole et tombe dans les 30 fps lors des « transitions » entre les différents domaines, selon les lieux et ce qui est affiché à l'écran.
Une vidéo publiée par le YouTubeur Doctre81 (le même qui avait dévoilé des preuves de l’arrivée de The Witcher 3 sur Switch avant son annonce) insinue qu’Alan Wake, titre sorti sur Xbox 360 en 2012, pourrait être porté sur la console de Nintendo. Pour cela, il se base sur deux éléments : en premier lieu, Remedy a récupéré les droits de la licence en payant 2,5 millions de dollars à Microsoft au début du mois de juillet, acquisition qui s’est suivie d’une déclaration mystérieuse d’un porte-parole du studio à Eurogamer :
La seule chose que nous tenons à clarifier, maintenant que Remedy possède les droits de publication, est que nous pourrions amener Alan Wake sur d’autres plateformes si nous le voulions. Nous n’avons rien à annoncer pour le moment. Nous sommes entièrement concentrés sur la sortie de Control le 27 août.
Enfin, le deuxième élément en faveur de l’arrivée d’Alan Wake sur Switch est une annonce postée sur LinkedIn par Virtuos, une société de sous-traitance sino-française dans le domaine des jeux vidéo, qui en connaît un rayon en portages Switch (ayant œuvré, par exemple, sur ceux de Starlink: Battle for Atlas ou Dark Souls Remastered, et travaillant actuellement sur celui de The Outer Worlds). Cette entreprise a, de plus, des liens avec Remedy : elle a aidé le studio pour le développement de Quantum Break. Cette annonce, donc, stipule que Virtuos rechercherait un ingénieur logiciel pour travailler sur “un remake d’un jeu d’action-aventure triple A non-annoncé” contenant des “éléments destructibles“.