« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Buichi Terasawa avait débuté sa carrière dans les années 1970 auprès d'Osamu Tezuka, considéré dans l'archipel nippon comme le dieu du manga. Terasawa est son assistant sur des œuvres mythiques comme Black Jack, Phénix ou La Vie de Bouddha.
En 1977, Buichi Terasawa lance Cobra, qui fait de lui l'un des mangakas les plus célèbres de sa génération. Pour le physique de son héros, un aventurier de l'espace gouailleur dont le bras gauche dissimule une arme, le "rayon Delta", il s'inspire de Jean-Paul Belmondo.
Le manga, qui s'écoule à plus de 50 millions d'exemplaires, donne lieu à une série animée qui rencontre un immense succès dans le monde. L'auteur revisitera souvent par la suite Cobra et livrera même une version coloriée par ordinateur de son célèbre manga.
Buichi Terasawa enchaîne ensuite avec d'autres titres - Midnight Eye Goku (1987), Kabuto (1987) - et propose également à la même époque Black Knight BAT (1985), le premier manga en couleur sur ordinateur.
En 1989, la mort de son maître Osamu Tezuka est un choc immense. Il ne dessine pas pendant une année et se lance à son retour dans le tout-numérique avec Takeru (1992), premier manga entièrement conçu sur ordinateur.
Il avait réduit par la suite progressivement ses activités, se consacrant notamment à une suite de Cobra, Over the Rainbow (2019). Atteint d'une tumeur au cerveau, il avait été opéré à plusieurs reprises et souffrait depuis d'une paralysie du côté gauche de son corps.
Buichi Terasawa avait apporté dès ses débuts son soutien à Hirohiko Araki, le créateur de JoJo's Bizarre Adventure. Et il lui avait inspiré le personnage de Hol Horse dans la troisième partie du manga, Stardust Crusaders.
J'ai retrouvé chez moi un ticket de cinéma qui date de 1997. J'ai 9 ans à l'époque.
Petite anecdote, je ne pensais pas que des années après, je serais durant quelques années projectionniste.
C'est un tarif réduit, mais c'est bien écrit 18Francs.
Le SMIC (c'était pas le nom à l'époque) était de 40Francs de l'heure (en gros).
PS : J’enlèverais l'article à un moment donné, car c'est juste pour rigoler ^^
On dit depuis longtemps que Le Garçon et le Héron, le nouveau film du Studio Ghibli par légendaire réalisateur Hayao Miyazaki, serait également son dernier… mais ce n'est peut-être pas le cas finalement.
S'exprimant sur le tapis rouge du Festival international du film de Toronto, où Le Garçon et le Héron a fait son lancement très attendus pour le territoire de l'Amérique du Nord, Junichi Nishioka, directeur du Studio Ghibli, a déclaré à CBC News que le cinéaste de 82 ans se rend toujours au bureau avec beaucoup d'idées en tête.
"Certaines personnes disent que c'est peut-être son dernier film, mais ce n'est pas la manière dont il voit cela", a déclaré Nishioka au média par l'intermédiaire d'un traducteur. "Il travaille actuellement sur des idées pour un nouveau film. Il vient tous les jours dans son bureau et s'en occupe. Cette fois, il n'annoncera pas du tout sa retraite. Il continue de travailler comme il l'a toujours fait."
Si ça vous intéresse, j'aimerais faire un questionnaire pour mieux vous connaitre, un peu de la même manière que ça avait été fait sur Gamekyo, il y a quelques temps.
Il y aura des questions "personnels" (par exemple "Pourquoi avoir choisi cet avatar ?") et surtout des questions sur votre "approche" du jeu vidéo.
Si donc ça vous intéresse, je prépare un questionnaire, une fois fini, je vous demanderais si vous voulez participer, je vous confirais les questions en MP (Message privé), je laisserais un certain temps pour vous laissez répondre et pour moi de tout regroupé, puis je mettrais les questionnaires avec leurs réponses, par exemple le mercredi et samedi de chaque membre.
Si ça n'intéresse personne, l'idée du questionnaire sera abandonné, c'est pas grave.
Dans la première vidéo, l'impression de m'entendre, il exprime ce qui ne va pas du tout dans cette adaptation (je suis gentil d'appeler ça un adaptation...) de One Piece par Netflix
Pour avoir dit son point de vue, certes, il y va pas avec le dos de la cuillère, il a reçu plein de commentaires, il a répondu aux commentaires par une deuxième vidéo, je suis d'accord avec ce qu'il dit dans l'ensemble, je trouves les exemples qu'ils donnent pertinent.
Rappel : La troisième chanson
Titre : Chasser le naturel, Il revient écolo
de Nicolas Leneau
Elle est disponible sur les plateformes Streaming et aussi, elle, sur Youtube.
Je me prélasse
Dans ce pré vert
Au fond de moi
J’ai le vers solitaire
Plante vivace
Mur couvert de lierre
Plus le temps passe
Reste un jardin dit vert
Refrain
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature humaine
Parque même les zoos
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature m’aime
L’homme est cabot
Des que l’été le permet
Je roule dès juin
A travers les bosquets
J’hume les parfums
Plante des pieds
Le long des chemins
La vigne a changé
L’eau en vain
Refrain
Je fonce tête bêchée
Je prends des râteaux
Une envie de draguer
Les plates bandes, du ruisseau
Plante là
Ta petite graine
Mère nature rage
Désirant que l’on sème
Refrain
Je remonte aux racines
Je descends d’une branche
Une quête infinie
Une genèse inconsciente
Plante ça
Au creux de mon hêtre
Des lettres gravées
D’un amour mutuel
Rappel : La deuxième chanson
Titre : L'Air du temps
de Nicolas Leneau
Elle est disponible sur les plateformes Streaming et aussi, elle, sur Youtube.
Face aux temps qui passe
Prendre toute la mesure
Les uns passent, d'autre ruent
Sur les souvenirs qui perdurent
Face aux temps qui passe
Au de la des mesures
Les soupirs, les silences, s'effacent
A travers les champs et les blessures
Refrain
De fil, d'harmonie
De rêve, d'espoir,des modes, et
Au rythme d'une vie
A s'accorder à s'apporter
Face au temps qui reste
Prendre toute la mesure
Les uns citent, d'autre thèse
La petite musique qui rassure
Face au temps qui reste
Au delà de toutes démesures
Les bémols, ses chœurs et s'orchestre
A travers les voies que l'on sent...sur
Refrain
De fil, d'harmonie
De rêve, d'espoir,des modes, et
Au rythme d'une vie
A s'accorder à s'apporter
Face au temps qui lasse
Face au temps qui laisse
Trop de crasse
Si peu de tendresse
Face au temps qui trace
Face au temps qui stresse
Trop de strate
Si peu de sagesse
Refrain
De fil, d'harmonie
De rêve, d'espoir,des modes, et
Au rythme d'une vie
A s'accorder à s'apporter
Rappel : La première chanson
Titre : Le gout des langues étrangères
de Nicolas Leneau
Elle est disponible sur les plateformes Streaming et aussi, elle, sur Youtube.
Le gout des langues étrangères
J'avoue je ne suis pas étranger
J'aime le tout de cette matière
De tous les aspects, je veux étudier
Une mise en bouche, je l'espère
Mes papilles en reste bouche bée
J'aimerais saisir sur les lèvres
Mais je n'ose me mouiller
Refrain
Trouver les mots
Dépasser la frontière
Tout le sel
De cet univers
Au-delà des mots
Au-delà de la frontière
Tout se scelle
En cet univers
J'apprends à chaque instant
L' intuition de déguster
En dedans trois mouvements
Les langues vont se délier
Au cours du soir, apparemment
Un cheveu sur la langue trouvé
Sur les dents, à ce moment
J'y vois un entretien régulier
Refrain
Telle une langue de vipère
La peur de me faire piquer
Je me sers et me resserre
Envenimer par certain coté
Langue de bois, un enfer
A bucher, pour me chauffer
Imbriqué, comme nécessaire
Fini toujours pas s'embraser
Refrain
Langues des signes, le critère
D'une bonne main, intentionnée
De toucher et de relief
D'un geste, d'être effleurée
Langue de vie, va de paire
D'un bouche à bouche, réalisé
Espéranto ou tard, satisfaire
Le plaisir de se conjuguer
-Si ça vous intéresse, une autre arrivera en Novembre-
PS : Quatrième arrivera normalement plus tard sur YouTube (vers le 28 Septembre).
Les Inrockuptibles 5/5
La beauté du film tient dans cette veine naturaliste qui, petit à petit, explose ses coutures pour laisser jaillir une avalanche de révélations.
La voix du Nord 4/5
Ce film d’animation dénonce le phénomène du harcèlement avec un symbolisme appuyé, mais pas sans émotion.
Le Figaro 4/5
On se prend d’amour pour les personnages et le dénouement, doux-amer, nous arrache quelques larmes.
Première 4/5
Et le film de nous frapper en plein cœur, pas par sa technique (classique) mais bien par sa charge émotionnelle.
L'Obs 3/5
Tiré d’un roman et d’une série de BD très populaires au Japon, le film recèle suffisamment de richesses et de sensibilité pour que l’on outrepasse son style trop standard.
La Croix 3/5
Alors que la lutte contre le harcèlement scolaire est devenue prioritaire en France, ce film analyse avec finesse toutes les nuances du problème, tout en essayant d’apporter un message d’espoir, en misant sur l’écoute et l’entraide.
Le journal du Dimanche 3/5
Ce film d’animation japonais a le courage d’aborder un sujet difficile : les ravages psychologiques du harcèlement scolaire, l’impossibilité de s’intégrer à une communauté.
Le Parisien 3/5
Avec son univers fantastique, contemplatif, un imaginaire riche, le dessin animé nippon installe, dès le début, un rythme lent. Tellement, qu’on s’ennuie, même si l’on est touché par cette histoire malheureusement trop d’actualité.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Keiichi Hara (Miss Hokusai) adapte le roman phénomène de Mizuki Tsujimura et signe une nouvelle déclinaison poétique autour du spleen adolescent. Nonobstant quelques longueurs et répétitions, le résultat, entre réalisme et magie, est un ravissement visuel.
Télérama 3/5
Le film, visuellement très riche, nous sème parfois dans des allers-retours éreintants entre le monde réel et ce château cathartique. Mais demeure d’utilité publique tant ce fléau mine le Japon, où un ou deux enfants par classe se suicident chaque année.
Le Monde 2/5
Keiichi Hara se range ainsi dans une tendance lourde de l’animation japonaise, mise à contribution pour sensibiliser le public adolescent : celle du scénario traumatique où l’imaginaire n’occupe plus qu’une fonction résiliente – on peut aussi voir là un singulier amenuisement de ses puissances.
Le crunch et les mauvaises conditions de travail ? Nintendo semble y échapper.
Aujourd’hui, une nouvelle donnée le prouve : chez le papa de Mario et Zelda, le taux de rétention des nouveaux employés (qui sont là depuis trois ans ou moins) est de 98,8%, contre 70% dans le reste du Japon… Autrement dit, sur 100 nouvelles têtes, une seule opterait pour la sortie. C’est le Biz Journal qui l’affirme ce 31 août, se basant sur des chiffres observés entre avril 2019-2022. Le compte Tokyo Game Life en fait l’écho.
Pour en savoir plus sur le pourquoi du comment, le Biz Journal est allé interroger Keitake Okamoto, PDG d’UZUZ.Co, une société spécialisée dans l’aide à l’emploi : “D’une, les grandes entreprises ont tendance à avoir des salaires élevés et de bons avantages sociaux, ils ont donc tendance à avoir un taux de rétention élevé”, affirme l’homme. Il est bon de noter qu’au Japon, Nintendo n’est pas le plus gros payeur du secteur du jeu vidéo. 9,8 millions de yens par an en moyenne l’année dernière contre 14 millions chez Square Enix et 11 millions chez Bandai Namco. “Mais en ce qui concerne le taux de rétention des derniers salariés, je ne pense pas qu'il existe une autre entreprise du secteur qui ait les mêmes chiffres que Nintendo”, note Keitake Okamoto. Alors, comment expliquer un aussi bon taux ?
Le PDG avance plusieurs raisons : peu de créneaux de recrutement, un bon service de garderie, ou encore un “système de points unique” pour acquérir des jeux, des livres, même des voyages. Surtout, l’homme cite une "entreprise populaire" qui représente le Japon : “Je crois que motiver les salariés à atteindre leurs objectifs a abouti à un gros taux de rétention”. De toute évidence, Nintendo mettrait en place une façon vertueuse de déléguer | faciliter le travail.
JV
PS : les congés payés ont un taux élevé (d'après Nintendo master)
Pour commencer, j'aime le manga, dès qu'il est apparu j'ai sauté dessus, le coté "pirate" et "baroque" m'a plu et surtout il me rappelait un de mes films préféré de Terry Gilliam : Les Aventures du baron de Münchausen.
C'est l'un des mangas que je recommande le plus.
Quand nous avons eu l'annonce d'une adaptation par Netflix, j'étais mitigé, j'aurais préféré que ce soit un film (en plusieurs partie, pas de soucis, d'ailleurs avant que Pirates des Caraïbes arrivent, j'imaginais déjà une adaptation du manga au cinéma, il avait tout pour ça, spectaculaire, baroque, bourré d'effets spéciaux, drôle et parfait pour le dépaysement).
Déjà le "final trailer" m'enthousiasmait pas, mais là, rien que les deux premiers épisode...
J'ai voulu voir quand même, c'est encore pire que ce je pensais, surtout sur la forme.
Rien ne va, les costumes et les armes sont trop "propres" et "lisses" (plus d'une fois, c'est comme si il venait de sortir d'une machine à laver et tout juste repassé), l'impression de voir des cosplayeurs jouait dans un décor en carton-pâte (c'est comme si c’était tourné dans un parc d’attraction).
Les gros plan et les plans en contre plongé sont moches, en plus le metteur en scène en abuse.
Nombre de plan qui ne servent à rien (la caméra à l'épaule c'est pas possible de faire comme ça, ça souligne encore plus le coté "amateur") et d'autres mal choisie.
La lumière est dégueulasse (tu devines les emplacements des spots, donc aucune subtilité).
L'image est trop "numérique", encore une fois, ça donne un coté "lisse", ça manque de "grain".
Les acteurs surjouent (surtout les méchants) ou jouent mal (les gentils dans l'ensemble), ça ne va pas.
Beaucoup de décors font vide et encore une fois trop "lisse".
Les objets comme la carte est trop "propre" (pour donner une idée), pas une seule salissure pour donner un exemple.
Les maquillages font "cheap" (les coiffures je penses que c'est le pire...stop la teinture...je parles même pas de l'effet "perruque" que ça donne par moment).
Les effets spéciaux ne sont pas très beaux et fonctionnent pas, rien que les membres qui s'allongent de Luffy, il est trop "lisse" et "propre" pour que ça donne l'impression d'un vrai bras ou d'une vrai jambe et c'est comme ça pour nombre d'effets.
Sur la forme, j'ai trouvé ça plus malaisant qu'autre chose, surtout quand tu combines dans une même scène : cosplayeurs avec des coiffures qui ressemblent à rien dans un décor vident en carton-pâte filmé en gros plan ou plan en contre plongé moche, d'autres plans mal choisi avec une lumière dégueulasse avec des acteurs mal dirigés, tu rajoutes des effets spéciaux cheap et la chorégraphie du combat toute mole (que ce soit dans la scène du bar du premier épisode ou la scène de la paillote du deuxième épisode)...tout sonne faux, rien n'est tangible, sur la forme (j'insiste bien), je trouve que c'est raté comme adaptation.
Nous allons attaquer la fin du troisième trimestre avec Septembre
-Chants of Sennaar (PC/PS4/XOne/Switch) / 5 Septembre
-Starfield (PC/XSX) / 6 Septembre
-Super Bomberman R 2 (PC/PS5/PS4/XSX/XOne/Switch) / 13 Septembre
-Mortal Kombat 1 (PC/XSX/PS5/Switch) / 14 Septembre
-Baten Kaitos I & II HD Remaster (PC/Switch) / 14 Septembre
-Payday 3 (PC/XSX/PS5) / 18 Septembre
-Lies of P (PC/PS5/PS/XSX/XOne) / 19 Septembre
-Infinity Strash : DRAGON QUEST The Adventure of Dai (PC/PS5/PS4/XSX/Switch) / 28 Septembre
-Cocoon (PC/PS5/PS4/XSX/XOne/Switch) / 29 Septembre
-Fate/Samurai Remnant (PC/PS5/PS4/Switch) / 29 Septembre
1. [PS5] Armored Core VI: Fires of Rubicon – 115,393 / NEW 2. [PS4] Armored Core VI: Fires of Rubicon – 47,949 / NEW
3. [NSW] Pikmin 4 – 31,312 / 752,593
4. [NSW] Mario Kart 8 Deluxe – 10,200 / 5,453,841
5. [NSW] Zelda: Tears of the Kingdom – 7,656 / 1,840,742
6. [NSW] Minecraft – 7,486 / 3,243,441
7. [NSW] Ring Fit Adventure – 5,797 / 3,447,789
8. [NSW] Pokemon Scarlet / Violet – 5,450 / 5,106,417
9. [NSW] Super Smash Bros. Ultimate – 5,037 / 5,270,870
10. [NSW] Splatoon 3 – 4,768 / 4,097,939
Switch OLED – 52,125
PS5 – 38,217
Switch Lite – 10,597
Switch – 8,980
PS5 Digital Edition – 4,513
Xbox Series X – 2,869
PS4 – 672
Xbox Series S – 571
New 2DS LL – 59
Réalisé par David Fincher
( Seven / The Game / Fight Club / Panic Room / Zodiac / L'Étrange Histoire de Benjamin Button / The Social Network / Millénium : Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes / Gone Girl)
Scénario adapté par Andrew Kevin Walker (d’après la BD : Le Tueur)
(Seven / Sleepy Hollow : La Légende du cavalier sans tête)
Michael Fassbender
(Hunger / Inglourious Basterds / Shame / Prometheus / Twelve Years a Slave / Steve Jobs)
Un tueur à gages, solitaire et froid, tue ses victimes méthodiquement, sans scrupules ni remords. Un jour, il va cependant remettre toute son existence en question. Après une catastrophe évitée de justesse, un tueur se bat contre ses employeurs (et lui-même) dans une chasse à l'homme à travers le monde qui, dit-il, n'a rien de personnel.