« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Nintendo espérait écouler près de 100 millions de sa dernière console de salon en date. Un léger contraste avec les quelques 13 millions de machines écoulées dans le monde. "A l'occasion d'une réunion impliquant les représentants commerciaux, quelqu'un a projeté 100 millions de Wii U à travers le monde. Le mode de pensée est que si la Wii s'est bien vendue, la Wii U suivrait." a ainsi expliqué Kimishima, avant de poursuivre sur la nécessité de bien expliquer l'intérêt et les atouts de la Wii U justement parce que son aînée a aussi bien fonctionné. Vu comme ça, cela retire un peu de pression des épaules de la NX, dont on ne connait ni le nom, ni les caractéristiques définitives.
C'est que depuis quelques semaines, on commence à doucement rédiger l'épitaphe de la Wii U jusque dans les plus hautes sphères du développeur nippon. Si le soldat Miyamoto réitère sa totale confiance en la console, Eiji Aonuma a lui apposé un premier pieu sur les circuits imprimés de l'objet lors de l'E3 dernier : "nous nous sommes aperçus qu'afficher quelque chose sur le GamePad et multiplier les allers-retours entre le moniteur et la mablette perturbait dans les faits l'expérience de jeu et la concentration du joueur". Avant d'imager un peu le constat : "le GPS est sur le tableau de bord ; s'il est sur vos genoux, vous risquez l'accident".
"C'est vrai que nous avons un peu de mal avec les ventes de Wii U, à cause de son prix ainsi que le fait que les tablettes sont distribuées "gratuitement" dans le marché", remarque de son côté papa de Zelda. "Je pense réellement que la Wii U continue d'être un outil média attrayant qui change la vie dans le salon. Un défi que l'on devra perpétuer avec la NX". Miyamoto reconnait toutefois que la NX doit essuyer l'échec de la U, tout en élevant le niveau des ventes de jeux. "La seule solution est de produire des jeux qui se vendent bien [...] dans un spectre de deux millions de copies [par itération de préférence] dans le monde."
Enfin, le pétillant sexagénaire a aussi évoqué la possibilité pour Nintendo d'étendre ses licences vers des contenus plus audiovisuels, sans en préciser la nature définitive. "Pour éviter tous les malentendus, nous n'avons jamais dit que nous allions produire un film. Nous avons parlé de notre expansion dans la vidéo et d'autres domaines, mais nous ne donnons aucun détail officiel".
Fort et dérangeant.
Une mise en scène solide (dont des scènes de poursuite ne voiture haletante).
Une photographie (de nuit principalement) soigné.
Le sensationnalisme poussé à son paroxysme (toujours plus loin dans le trash et spectaculaire...pour l'éthique et le fond...).
Un des personnages les plus cynique que j'ai pu voir, Jake Gyllenhaal tiens là un de ses meilleurs rôles.
Rene Russo est excellente aussi dans son rôle de "directrice de l'information" sur le déclin.
Et je parle même pas de la conclusion...
le meilleur FF de ces dernières années serait-il sur mobile ?
Après de très nombreuses heures de jeu sur ce Final Fantasy Brave Exvius, un seul et unique constat s’impose : Square-Enix a réalisé là un travail exemplaire. Loin de céder à la facilité en nous livrant un énième ersatz de Final Fantasy calibré pour le mobile, l’éditeur s’est allié à Alim Co., créateur du célèbre Brave Frontier pour proposer un RPG mobile de qualité qui dépasse allégrement les limites habituelles du genre. Si l’on retrouve bien évidemment certains traceurs du free-to-play (jauge d’énergie, inventaire limité, boutique), ces derniers disparaissent face à la pléthore de qualités du titre, à tel point que l’on oublie parfois que l’on se trouve face à un jeu gratuit. Le gameplay, qui utilise comme base les poncifs du genre, s’avère extrêmement profond et plus tactique qu’il n’y paraît, ce qui ne manquera pas de ravir les amateurs de RPG. A l’instar des RPG classiques, ce FF Brave Exvius propose de nombreuses phases d’explorations avec leur lots de combats aléatoires qui donnent une toute autre dimension au jeu. Mieux encore, ces séquences disposent de nombreux secrets et autres quêtes secondaires qui viennent enrichir un titre déjà très complet tout en renforçant l’impression de se trouver face à un vrai RPG. Une prouesse qu’il est important de souligner. Riche, dense et doté d’une réalisation soignée (ce qui ne gâche rien), Final Fantasy Brave Exvius est incontestablement une réussite qui saura trouver sa place dans le cœur de tous les amateurs de RPG japonais. Et si vous êtes réfractaire aux free-to-play, mettez de côté vos préjugés le temps de le tester. Vous verrez, vous ne le regretterez pas.
+ Points positifs
Mécaniques de jeu profondes et extrêmement maîtrisées
Contenu gigantesque
Modèle free to play présent, mais très discret
L’exploration, une nouveauté pour ce genre de jeux
Réalisation technique très propre
- Points négatifs
Limitations d’inventaires un poil pénibles
Quelques soucis d’ergonomie
RNG parfois injuste
[...]es filiales de Nintendo, qui appartiennent à 100% à Nintendo :
- Nintendo Japon : 2 009 salariés
- Nintendo of America – 1,257 salariés
- Nintendo of Europe (toutes filiales dont Nintendo France) : 868 salariés
- Nintendo of Australia : 75 salariés
- iQue (filiale chinoise) : nombre inconnu
- Mario Club (debugging) : 305 salariés
- ND Cube : nombre de salariés inconnu
- Nintendo European Research & Development : plus de 30 salariés
- Nintendo Network Service Database (filiale gérant le Nintendo Network) : nombre de salariés inconnu
- Nintendo Technology Development : + de 30 salariés
- Nintendo Software Technology : + de 50 salariés
- Retro Studios : + de 70 salariés
- Monolith Soft : 109 salariés
- 1-Up Studio : 30 salariés
- NES Merchandising (filiale de Nintendo of Amrica) : inconnu
[...]sociétés desquelles Nintendo est actionnaire, ou celles dont Nintendo possède les licences :
- The Pokémon Company : 400 salariés
- HAL Laboratory : 149 salariés
- Intelligent Systems : 134 salariés
- SRD : 107 salariés
- Creatures : 84 salariés
- Genius Sonority : 22 salariés
- Pux : inconnu
- Warpstar (gère l'anime Kirby et les droits Kirby) : inconnu
[...]filiales de Nintendo avec une liste des sociétés dans lesquelles Nintendo possède une part du capital minoritaire, à l'instar de DeNA par exemple :
- GameFreak – 108 Employees
- DeNa
- Alpha Dream
- Vanpool
- Hatena
- Grezzo
- Next Level Games
- Headstrong Games
- Indies Zero
- Camelot Software
- Digipen Studios
- First Avenue Entertainment (Seattle Mariners)
Que les plus sceptiques se rassurent : Inside est supérieur en quasiment tous points à Limbo, que ce soit au niveau de la prise en main, du moteur physique, de la lisibilité ou de la profondeur thématique, pour prendre les exemples les plus pertinents. Malgré le sérieux et la noirceur des idées évoquées de manière subtile tout au long d'une histoire sans mots, on reste happé jusqu'à la dernière minute par le propos inquiétant comme par le gameplay habilement rythmé. Aucune séquence ou énigme n'est laissée au hasard, l'attention aux détails est admirable et on a une bonne raison un peu cachée de refaire le jeu dans la foulée, si ce n'est pas juste pour le plaisir. Une franche réussite qui mérite de figurer en très bonne place dans votre ludothèque.
Les plus
Réalisation très élégante
Un rythme parfaitement ciselé
Sound design captivant
L'équilibre exploration/énigmes
Prise en main et animations au poil
Des thèmes forts
Un final inoubliable
Les moins
Mini soucis techniques occasionnels
Et c'est tout !