« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
[...]on apprend aujourd'hui grâce à l'indispensable forum Neogaf que Nintendo a déposé mardi dernier, aux Etats-Unis, une demande pour renouveler ses droits sur la marque. Il faut noter que le dépôt (publié vendredi) comporte quelques légères différences avec le précédent et qu'il est noté "1B" ce qui signifie que Nintendo compte utiliser sa licence... Pour autant, pour le moment, impossible de savoir si Nintendo prépare un nouveau jeu Eternal Darkness ou un remaster HD d'Eternal Darkness : Sanity's Requiem. A moins qu'il ne s'agisse d'une version console virtuelle ou tout simplement que Nintendo ne veut pas perdre cette licence culte...Peut-être que la présentation de la Nintendo Switch du 13 janvier nous en apprendra plus ?
Qui sont les membres qui ont le jeu ?
1
Point Positif
2
Point Négatif
3
Votre Conclusion
4
Votre Note
Personne ne vous obligent à le faire, évidement.
J’enlèverai tout commentaire qui n'a rien à voir avec les questions posés, merci d'avance de votre compréhension.
PS : j'espère que l'année prochaine je pourrais passer à la nouvelle génération avec la PS4 (pour "The Last Guardian" en priorité) et bien sur la Nintendo Switch.
Jules César se fait assassiner, ça tout le monde connaît l’histoire, mais quand vous êtes au centre de la tourmente, les choses sont différentes, car vous interprétez, Agrippa, le fils de Vispanus l’homme accusé du soi-disant meurtre et comme sentence votre mère se fait tuer sous vos yeux par le général Decius. A vos coté pour vous aider dans votre quête de la vérité se trouve le noble Octavien, qui cherche la vérité de l’intérieur en essayant de s’infiltrer au sénat, pour trouver le moindre indice sur le véritable coupable. Sur votre route vous rencontrez la belle Claudia et Sextus qui vous mettra dans la peau d’un gladiateur, car Mécene, le secrétaire d’Antoine (fidèle et partisan de César), a décider que l’homme qui sera vainqueur du tournoi de gladiateur aura le privilège de s’occuper des derniers instants de Vispanus.
Les personnages sont un peu carrés, on dirait des Rugbymen, donc un peu lourd à se bouger, le bon point c’est que chaque arme est bien retranscrite. Lors des combats on peut esquiver, se rouler par terre, monter au échelle ou sur des caisses, et si il est trop loin lui balancer l’arme et la récupérer, ça c’est pour Agrippa, en ce qui concerne Octavien il se plaque contre les murs, se cache dans les tonneaux, prend les apparences de c’est adversaire, en les ayant assommé avant. 1,5/2
Le jeu tourne bien, même si lors des cinématiques temps réels, il manque une certaine fluidité. Le top se sont les courses de char qui vont vite et sont très spectaculaire à faire et à voir. 1,5/2
Les décors romain sont vraiment beau (comme quand je les voyait en cours d’histoire), avec ses colonnes, les zones marchandes, le colissée, le sénat, le forum, les prisons ou encore le centre des gladiateurs, avec des arènes vraiment vivante, on si croirait. Il y a comme souvent sur PS2 un peu d’aliasing, sa brille un peu, des couleurs un peu ternes et des décors parfois un peu vide de monde. 1,5/2
Lors des combats, tout se déchaîne, quand vous faites appel a la foule un effets de flou vraiment bien amener, des effets vraiment spectaculaire d’hémoglobines sur le sol, les têtes et les bras qui giclent, certaines armes en les maniant soulève la poussière.1,5/2
Les deux personnages principaux ont chacun leur aptitude, les deux sont ambidextre, on appuie sur le rond pour attraper n’importe qu’elles armes qui traînent, pour Agrippa c’est souvent des armes blanches, pour Octavien c’est plutôt des objets du décor. Subtilité Octavien peut cacher ses armes derrière le dos et peut, en se mettant accroupi ,près d’une serrure voir a travers le trou (l’influence Splinter cell), quand a Agrippa, il peut en un bouton désarçonner son adversaire et utiliser son arme contre lui.2/2
Les boutons sont bien placés, surtout qu’il y a pas mal de subtilité de jeu et d’approche de l’ennemi. Une bonne chose quand vous vous cacher vous prouver bouger la caméra pour mieux aprècier le champs de vision, surtout quand vous vous cacher (dans les jarres par exemple).2/2
Le jeu alterne moment d’action pur, avec moment de bravoure, moment d’émotion et d’infiltration, il se divise en chapitre, comme un roman, avec rappel de fait historique, le thème du complot bien amené, les ficelles sont grosses, mais on se laisse prendre au jeu. Compter une quinzaine d’heures de jeu. 3/4
Les bruitages des armes qui tapent sur les ennemis, sont bien dégueux, sa craque et sa coupe de partout, le public lors des affrontements se fait bien ressentir. Par contre les voix américaine, en pleine période romaine, plutôt spécial (enfin je dis ça). 1/2
Les musiques font très péplum et chaque moment fort est accentué. Les moments d’infiltration la musique est bien soutenus. 1,5/2
Ce jeu est bon pour une raison tout simple c’est qu’il reprend une époque, et la retransmet parfaitement comme si on y était, avec en plus deux personnages aux approches différentes, une en bourrin à la manière de Maximo et l’autre plus subtile à la manière de Metal gear, bref deux recettes bien rodé, qui en font un bon investissement, et qui montre qu’on peut mélanger les genres, y mettre de l’historique, sens qu’on s’ennuie une seconde. C’est le genre même de jeu qui est fait pour montrer ce que les prochaines générations de consoles peuvent faire en matière de jeu spectacle.16/20
PS : oui je sais, le jeu est sortie depuis longtemps...je redécouvre des choses sur mes anciens disque dur (et c'est amusant de voir ce que l'on disait dans un certain contexte).
Super Mario Run est un très bon runner qu'un positionnement-prix trop restrictif risque de freiner dans son élan. Sans surprise, les fans de Nintendo finiront par croquer dans la pomme, trop heureux de retrouver sur iOS un jeu qui ne prend pas la philosophie de la série par-dessus la jambe, en offrant plusieurs degrés de lecture dans les différents niveaux. Comme dans tout bon runner, il faudra vraiment faire preuve de par coeur et d'une bonne dose de timing pour récupérer toutes les variantes de pièces sur l'ensemble des niveaux. En revanche, tous ceux qui consomment leurs applis comme un double Whopper risquent de tiquer sur le tarif à l'entrée. 9,99 € les vingt niveaux additionnels et le multi complet, ça reste chaud à justifier dans un écosystème aussi compétitif, surtout quand la barrière vient aussi vite, sans offres intermédiaires pour adoucir la note ou fractionner l'investissement. Et malheureusement, les trois premiers stages sont peut-être trop classiques dans leur déroulement pour donner envie de lâcher totalement la bride de la salopette.
On aime
La jouabilité de Mario remarquablement transposée
Techniquement limpide
Le 100% qui vous tient accroché
On n'aime pas
Pas assez de niveaux compte tenu du prix
Pas de vrai multi en direct
L'écran vite surchargé en mode Défis
Pas de date pour une version Android
Manuel Valls a promis que s'il était élu à l'élection présidentielle de 2017, il proposerait la suppression de l'article 49-3 de la Constitution, qui lui a permis d'imposer les deux lois les plus contestées de son bilan : la loi Macron et la loi Travail.
Manuel Valls :
"Je connais parfaitement les effets pervers du 49.3. Et j'ai appris : son utilisation est devenue dépassée, trop brutale (…) Hors texte budgétaire, je proposerai de supprimer purement et simplement le 49.3."
[...]un jeu avec un Mario samouraï voire un Super Mario Warriors ? A moins qu'il ne s'agisse de l'arrivée d'un super costume de samouraï dans Miitomo ?
J'étais noir, elle était blanche
Dans cette histoire, j'étais juste un pion, c'est très étrange
Mais j'la considérais comme ma reine
Tant que j'la voyais au loin, je restais zen
J'aurais aimé lui proposer des balades à pieds
Même si ce n'était pas très cavalier
J'aurais voulu l'emmener au sommet de la tour infernale
Passer de la verticale à l'horizontale
Cherchant l'extase dans ce monde carré
Soixante-quatre cases où nous rencontrer
Elle était mariée à un roi de l'arnaque
Dans ses poches : des pièces, des chèques en bois
Protectrice, elle ne voulait pas qu'on le mate
Il vivait caché, ne se déplaçait qu'à petits pas
Lui était tombé sous le charme d'une drag queen black
Et rêvait que celle-ci lui fasse le coup du berger allemand
Bref, des trucs hard, mais il gardait ses distances
Et n'en parlait pas à sa femme, évidemment
Cherchant l'extase dans ce monde carré
Soixante-quatre cases où nous rencontrer
On dit que les échecs se répètent mais ne se ressemblent pas
Je finirai par prendre cette reine, ou bien c'est elle qui me mangera
On dit que les échecs se répètent mais ne se ressemblent pas
Je finirai par prendre cette reine, ou bien c'est elle qui me mangera
Moi, en tant que pion
Je passais d'idées noires au blanc dans mes conversations
Mais j'avais de grandes ambitions
Côtoyer ma reine, pénétrer son royaume et me transformer pour de bon
Mais, ce jour-là, elle n'avait pas l'moral
Elle lisait le journal en diagonale
Elle n'avait pas vu venir ce sombre fou qui l'a capturée
Elle a fini couchée dans une boîte pâle
Personne n'a entendu son mari se plaindre
Ma dulcinée disparue, je n'la verrai plus poindre
Mais j'avance tête haute, je n'ai plus rien à craindre
Si j'quitte ce plateau, je pourrai la rejoindre
Cherchant l'extase dans ce monde carré
Soixante-quatre cases où nous rencontrer
On dit que les échecs se répètent mais ne se ressemblent pas
Je finirai par prendre cette reine, ou bien c'est elle qui me mangera
On dit que les échecs se répètent mais ne se ressemblent pas
Je finirai par prendre cette reine, j'espère qu'elle m'attendra
L'écriture et le son, j'aime, tout simplement.
D'autres titres sont tout aussi sympa.
Les premiers numéros étaient en noir et blanc.
Je savais comment était fait les effets spéciaux, mais une fois devant le film, la "magie" opérait quand même.
Les meilleurs effets spéciaux sont les plus subtile car comme en magie, il faut pas voir le "truc".
Un magazine ("culte" pour moi dans le genre) qui m'a marqué à vie.
"Personnellement, j’en avais marre de faire des jeux pour les hommes. Pour moi, une femme avec une arme dans chaque mains et un faux regard de vengeance n’est pas une femme. Si la femme moderne est une femme qui agit comme un homme, c’est très triste. Jade a un coté garçon manqué mais elle reste toujours féminine et pense aux autres façons de résoudre un problème au lieu d’utiliser la violence. Son arme, c’est son appareil photo. C’est le témoignage de sa vision du monde et les éléments qu’elle rapporte vont faire prendre conscience et faire réagir la population. La femme typiquement moderne est plus proche de celle qui porte deux armes que notre Jade, mais parfois il faut savoir nager à contre-courant."