« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
SOMA n'a pas l'enrobage visuel ni la consistance technique les plus soignés dans sa catégorie, ni la conclusion la plus surprenante en matière de science-fiction. Malgré des designs qui font froid dans le dos, il n'arrive pas non plus à rendre chacun de ses "monstres" assez unique pour éviter l'installation d'une routine sur la fin. Pourtant, le nouveau Frictional Games est si habilement construit, mûrement réfléchi et irrésistiblement perturbant que l'on y plonge la tête la première en faisant tout pour ne pas la perdre. Un voyage unique où presque rien n'est superflu et qui sait vous emmener bien au-delà de l'horreur de surface, c'est toujours difficile à refuser.
Les plus
Narration exemplaire
Sound design fabuleux
De vrais dilemmes moraux
Monstres flippants...
La cohérence forme/fond
Le petit robot serrurier
Les moins
Une fin un peu décevante
Réalisation très inégale
... mais pas toujours intéressants
17/20 JeuActu
Si vous attendez d'un jeu qu'il vous raconte une histoire passionnante et vous questionne sur des sujets prospectifs tels que le transhumanisme, alors SOMA est fait pour vous. Beau, angoissant et maîtrisé, il ne manque finalement au dernier bébé de Frictional Games qu'un gameplay un peu plus fouillé pour pouvoir devenir totalement culte. Mais on lui pardonnera sans peine cette petite faiblesse, tant le scénario est captivant, brillamment conté et toujours crédible. A l'heure où le virtuel prend de plus en plus le pas sur réel, il est temps de jeter un coup d’œil à notre probable futur.
Les plus
Scénario au top
Ambiance angoissante
Thématiques intéressantes
Direction artistique biomécanique
Les moins
Un ou deux passages barbants
Jeu de cache-cache perfectible
Choix sans conséquences
Prenant le contre-pied de Disneyland, ce parc, qui n’a ouvert que cinq semaines à Weston-super-Mare au Royaume-Uni, a rencontré un énorme succès, attirant plus de 150 000 personnes du monde entier. Selon The Independent, les dirigeants des entreprises locales ont estimé à 20 millions de livres (un peu plus de 27 millions d’euros) les retombées économiques pour cette petite ville balnéaire de 75 000 habitants, située près de Bristol dont l’artiste britannique est originaire.
PS : De temps en temps, je referais un article "d'une génération à l'autre", pour se rappeler des différences techniques entre chaque génération de console.
Martin confirme l’existence du mode Hero, qui a été conçu pour les joueurs expérimentés à la recherche de défis à relever. Dans ce mode, certaines règles sont modifiées : votre énergie de bouclier devient aussi votre énergie de boost afin d'éviter de foncer dans les murs et les autres pilotes trop souvent. De même, les circuits sont modifiés dans ce mode. Pour pouvoir maîtriser le défi, il faut également arriver en première position, ce qui relève de ce fait le challenge. Selon le directeur artistique de Shin'en, ce mode Hero et la difficulté qui lui est associée devraient satisfaire grandement les fans de challenge à la hauteur de F-Zero.
Le premier Prometheus était réalisé par Ridley Scott, le réalisateur du premier "Alien, le huitième passager". Des personnes se demandaient si il y a un réelle lien entre Prometheus et la saga Alien. Je pense que le nouveau titre de Prometheus 2 va être clair sur ce sujet : Alien : Paradise Lost
Plus fluide, plus fin, plus propre, plus détaillé (décors et vêtement), effet inédit ect ect
Quel est pour vous le jeu qui vous a fait comprendre que nous passiez réellement d'une génération à l'autre (si vous pouviez citer deux jeux sur deux support différent pour dire -avant/après- ça serait peut-être plus simple pour comparer) ?
Je parle pas juste de trois poiles en plus autour du museau d'un chien...
Pourquoi parler de "dématérialisation" (donc l'idée que des informations ne soit plus sur un support -un matériel physique-) alors que l'on utilise le disque dur ou autre support de stockage (un matériel physique) pour y mettre des information.
La réelle dématérialisation serait qu'il y aurait plus aucun support physique -matériel-...ou c'est moi