« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le film est réalisé et scénarisé par Mamoru Hosoda.
Date de sortie en salle : 29 Décembre 2021
Réalisé par Mamoru Hosoda :
Le Garçon et la Bête / Les Enfants Loups, Ame & Yuki / Summer Wars / La Traversée du temps.
Synopsis : Dans la vie réelle, Suzu est une adolescente complexée, coincée dans sa petite ville de montagne avec son père. Mais dans le monde virtuel de U, Suzu devient Belle, une icône musicale suivie par plus de 5 milliards de followers. Une double vie difficile pour la timide Suzu, qui va prendre une envolée inattendue lorsque Belle rencontre la Bête, une créature aussi fascinante qu’effrayante. S’engage alors un chassé-croisé virtuel entre Belle et la Bête, au terme duquel Suzu va découvrir qui elle est.
PS : Je ne sais pas si il y a eu un article pour ce film d'animation.
Si l’on peut blâmer (à juste titre) ce "boycott" du travail des développeurs, cette pratique n’est pas pour autant endémique au studio de la péninsule ibérique. En effet, Rockstar Games est très souvent pointé du doigt sur sa politique de crédit qui consiste à mentionner uniquement les développeurs toujours présents dans les rangs du studio au moment la sortie du jeu.
De fait, plus d’un millier de développeurs n’ont par exemple pas été crédités pour le travail sur Red Dead Redemption 2 ( 2018 ) pour cette raison. Néanmoins Rosckar et MercurySteam ne sont pas des cas d’école puisque de nombreux studios accusent une politique similaire sur le sujet.
Des pratiques permises par le manque de législation concernant les crédits dans le secteur, contrairement aux industries du cinéma et de la télévision qui sont très fortement syndiquées et encadrées sur le sujet.
Un article intéressant sur ce sujet.
Dès le début de l'article, le ton est donné
"En l'absence de véritable réglementation au-delà des directives de l'International Game Developers Association (IDGA) - qui, surtout, ne sont pas applicables - les développeurs de jeux sont à la merci de leurs employeurs pour savoir comment, où ou même s'ils sont crédités pour leur travail. Aujourd'hui, que vous travailliez pour un studio à succès ou un chouchou indépendant, un crédit précis pour un jeu sur lequel vous avez travaillé est loin d'être garanti. Et si vous ennuyez votre patron, votre nom pourrait ne pas apparaître du tout." VGC (article en anglais)
Moins de 15€
Void Bastards 14,99€ au lieu de 29,99€
Rogue Heroes : Ruins of Tasos 11,99 € au lieu de 19,99€
Neon Abyss 11,99 € au lieu de 19,99€
Moins de 10€
Candleman 9,79€ au lieu de 13,99€
Children of Morta 8,57€ au lieu de 21,99€
Blasphemous 8,49€ au lieu de 24,99€
Fury Unleashed 7,99€ au lieu de 19,99€
Iconoclasts 7,99€ au lieu de 19,99€
SteamWorld Dig 2 7,99€ au lieu de 19,99€
Gorogoa 4,49€ au lieu de 14,99€
Hob : The Definitive Edition 2,99€ au lieu de 19,99€
Aggelos 2,09€ au lieu de 13,99€
Moins de 15€
Void Bastards 14,99€ au lieu de 29,99€
Owlboy 10,99€ au lieu de 21,99€
The Pedestrian 10,39€ au lieu de 15,99€
Moins de 10€
SteamWorld Dig 2 6,99€ au lieu de 19,99€
The Talos Principle 5,99€ au lieu de 39,99€
What Remains of Edith Finch 5,99€ au lieu de 19,99€
Pyre 5,99€ au lieu de 19,99€
Salt and Sanctuary 5,39€ au lieu de 17,99€
Celeste 4,99€ au lieu de 19,99€
Iconoclasts 4,99€ au lieu de 19,99€
Aggelos 4,49€ au lieu de 14,99€
Gorogoa 4,49€ au lieu de 14,99€
Transistor 4,74€ au lieu de 18,99€
Bastion 3,74€ au lieu de 14,99€
Dune de David Lynch est un film « culte », il sa propre patte, difficile de passer derrière (il me mettait mal à l'aise, comme souvent avec Lynch, mais ça faisait ça particularité) et de « deux », quand la version de Denis Villeneuve a été annoncé, je ne savais pas qu'il y aurait deux parties, ce qui fait que je me demandais à quel moment il allait « couper » l'histoire, évidemment, c'est aux meilleurs moments, quand les événements vont prendre une tout autre dimension...
La force du film, il a sa propre identité, des costumes en passant par les décors (pour le coup, il y a une réelle cohérence, un petite coté monacale et militaire, "très pratique", pas de place aux superflus, facile à identifier, même traitement avec les différents moyens de locomotion, qui vont à l'essentiel), sa lumière (il y a un plan juste éclairé par une lumière « ronde » en fond -comme si c'était la lune-, que j'ai trouvé magnifique, l'un des plus beaux que j'ai vu de ma vie, qui d'une simplicité pourtant), son rythme (je me suis pas ennuyé, pourtant il y a pas de grosse scène d'action à proprement dite, mais il y a toujours quelque chose en « mouvement » pour ne pas ennuyer l’œil) et sa bande sonore (pas avec un thème précis, mais avec des « plages » musical qui renforce le coté « pesant » et « mystique »). Je retrouve l'approche de Villenneuve, un mélange de science-fiction (l'histoire est dans un lointain futur) et de rationnel, ce qui donne quelque chose qui impressionne (les attaques) mais avec une forte austérité (les lieux), comme pour Premier Contact et Blade Runner 2049.
Le film est proche du didacticiel (qui dure 2h30) qui explique tous les enjeux, parfois un peu trop explicites, mais ça a le mérite d'être clair (il permettra à beaucoup, je pense, de bien comprendre le roman et de le lire si vous l'avez jamais lu !)
Ce que je trouve « raté » ce sont les combats (entre humain), je comprends que le but était d'avoir un système de « combat » inédit, mais du coup je ne ressens aucune tension lors des affrontements, encore une fois le côté « austère » et « réaliste » donne quelque chose d'artificiel paradoxalement.
En fait, j'ai envie de voir la suite, mais j'espère que l'émotion sera plus présente (par exemple, je n'ai ressentie aucune émotion par rapport à ce qui arrive au père de "Paul" qui est pourtant un des événements les plus forts et intense émotionnellement "normalement"), car mon plus gros souci pour l'instant, j'ai vu les enjeux (avec « l'épice » qui est une sorte d'allégorie de la «pierre philosophale» et tout le coté "politique" qui va avec), mais je n'ai jamais cru réellement à ce que je voyais à l'écran, beaucoup trop premier degré (j'ai dû esquisser un sourire durant tout le film).
Synopsis : Au XIVe siècle dans le royaume de France, le chevalier Jean de Carrouges, de retour après une expédition militaire, retrouve son épouse, Marguerite de Thibouville. Celle-ci accuse l'écuyer Jacques Le Gris, vieil ami du chevalier, de l'avoir violée. L'homme se dit innocent. Un « procès par le combat » est décidé entre le chevalier et l'écuyer, pour déterminer la vérité. Si le mari perd le duel, la femme sera également brûlée vive pour fausse accusation.
Moyenne presse 3,9/5 (pour l'instant).
Le Figaro 5/5
Véritable tour de force, le film est à la fois épique et fin, d’une ampleur indiscutable tout en étant une expérience visuelle viscérale. Et, grâce au dispositif narratif en miroir, il remet l’histoire en perspective en y instillant un point de vue féminin, loin de toute misogynie. Il était temps.
Le parisien 5/5
Au final, on est subjugué par ce procédé aussi original que surprenant, ébloui par les scènes d’action, et secoué par la nature du drame qui se joue et par la manière dont Scott en tire un film militant, aux résonances très contemporaines. Du grand art.
Les Fiches du Cinéma 5/5
À travers le récit du dernier duel judiciaire reconnu en France, Ridley Scott livre une impressionnante peinture du Moyen-Âge, aussi spectaculaire qu’intimiste, tout en étudiant les rouages d’une société ultra patriarcale et la place qu’elle pouvait accorder aux femmes.
20 Minutes 4/5
Une fresque médiévale passionnante sur la notion de consentement.
L'Humanité 4/5
Cet impressionnant film en costumes prend une ampleur inattendue en conjuguant la critique sociale d’une noblesse belliqueuse et avide à la dénonciation d’une glorification de la virilité. Et se mue en pamphlet féministe. Ridley Scott avait su renouveler le péplum avec son immense Gladiator. Le Dernier Duel régénère le drame historique par la grâce d’un personnage féminin d’avant-garde, puissant et déterminé.
Libération 4/5
Non seulement la mécanique fonctionne sans heurts mais elle souligne aussi deux des plus gros atouts de l’affaire : un crescendo dramatique parfait de tempo et surtout des nuances de ton et d’interprétation d’une étonnante finesse chez les trois protagonistes, là où l’on craignait une exécution en grande pompe de la Passion selon Saint-Pathos.
Première 4/5
Le Dernier duel a beau être classique, c'est un film au présent, dont l'explosion de violence finale n'exorcise rien, ne guérit rien, ne réjouit même pas. Seul reste le pouvoir des hommes. Et un film définitivement immense, qui semble contenir toute la violence du monde.
Télérama 4/5
S’inspirant d’une histoire vraie, le vétéran Ridley Scott signe un drame subtil à grand spectacle.
Cahiers du Cinéma 2/5
Les rares batailles et le duel final de ce film (teasé en ouverture en un flash-forward pataud) s'éclipsent derrière un versant presque montypythonesque qui semble amuser les scénaristes-acteurs.
Le Monde 2/5
Construit comme un récit fonctionnant à la Rashomon, qui ne s'avère pas franchement déterminant, le film, comme on dit, fait le travail, les acteurs non moins, mais rien n'y bouleverse pour autant.
Il y a peu de temps a été montré une bande-annonce (je profite de mettre le retour du trailer par un youtubeur, il dit "Est-ce que la direction artistique ne serait pas toute pourrave...c'est cheap, c'est trop fake...la photo à l'air dégueulasse, le chien à l'air dégueulasse, les zombies ont l'air dégueulasses...les costumes quand ils sont dégueulasses ont dit que ça fait cosplay, là c'est le décor qui fait cosplay"...oui, c'est plus fidèle, mais au niveau des ambitions, au niveau du budget, c'est plus étriqué...comme moi vous pensez que c'est la grosse honte et que ça à l'air bien pourrave...").
Quelques modification, dont des plans inédits et une lumière un peu retouché.
Super Mario Eclipse fait partie de la restauration bêta, de l'amélioration partielle, du mod d'origine du port et de tous les services de fans. Avec des dizaines et des dizaines de nouvelles missions, des mondes entièrement personnalisés, des parcours secrets stimulants et une île Delfino interconnectée pour démarrer, c'est l' expérience Super Mario Sunshine que vous avez toujours voulue - et plus encore ! Isle Delfino cache tous les nouveaux secrets qui ne demandent qu'à être découverts, et avec plusieurs personnages jouables à vos côtés, il n'y a rien que vous ne puissiez faire. Présentant une toute nouvelle histoire élargie, de nouveaux gadgets fous, de nouveaux mouvements et capacités passionnants et des références à vos jeux Mario préférés de l'ère Gamecube, préparez-vous aux efforts de collaboration de toute la communauté de modding Sunshine pour enfin se réunir et vous apporter quelque chose de spécial ! Le mod Super Mario Sunshine est sûr d' éclipser le reste !