« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Après une annonce en forme de faux départ qui avait émoustillé un peu trop vite les chasseurs de prime de ce recoin de la galaxie, Nintendo annonçait tout penaud en janvier 2019 que le développement du très attendu Metroid Prime 4 reprenait à zéro du côté de chez Retro Studios, passés maître dans l'art du fameux "FPA" cher aux marketeux.
Et depuis, les texans n'ont de cesse de voir leurs rangs grossir, puisque de nombreux recrutements ont eu entre temps lieu. Le développement de ce quatrième épisode 3D des aventures de Samus Aran s'est en effet adjoint les services de Kyle Hefley, ancien designer sur la série Halo; Stephen Dupree, qui avait changé de crèmerie après Donkey Kong Country : Tropical Freeze; l'ex directeur artistique d'Electronic Arts Jhony Ljungstedt; et enfin Mark Capers et James Breech d'un coup d'un seul, ces derniers ayant respectivement oeuvré sur Super Lucky's Tale et Crysis 3.
La série (comme la vie) continue aujourd'hui, alors que trois VFX artists viennent grossir cet effectif, selon les informations de Video Game Chronicles. Le premier, Adad Morales vient de chez Visceral Games, et a donc roulé sa bosse sur le très annulé Star Wars Ragtag, le fameux projet d'Amy Hennig et Todd Stashwick qui fait encore couler des larmes chez le padawan Camille.
Le second spécialiste en effets spéciaux et autres explosions qui vont bien se nomme Bryan Erck, et a exercé son talent sur le dernier épisode des aventures de Lara Croft : Shadow of the Tomb Raider.
Enfin, le dernier des Trois Stooges se nomme Nicholas Wilson, et sort d'une décennie passée au sein du studio Gearbox. Il peut se gausser d'un supplément de classe, puisque ce dernier rejoint Retro Studios en tant que senior VFX artist.
En effet, exclusivement au Japon à partir du 18 mai à 12:00 jusqu'au 24 mai à 18:00, les abonnés au service Nintendo Switch Online pourront jouer entièrement à Celeste sur Switch gratuitement.
Il s'agira bien de la version complète du jeu, avec le contenu de la dernière mise à jour inclus, et il n'y aura donc aucune limite, ce qui permettra de finir totalement le jeu sans l'acheter pour autant, comme ce fut le cas pour Dead Cells et les autres jeux du programme qui avaient été proposés. Cette annonce coïncide avec le deuxième anniversaire de la sortie de Celeste au Japon, qui est disponible depuis le 10 mai 2018.
Nintendo ne prévoit pas de proposer la même offre pour Celeste en dehors du Japon (même si le précédent jeu du programme, ARMS, avait été proposé mondialement), mais il faut savoir que la version japonaise contient toutes les langues du jeu, ce qui permettra d'y jouer par exemple en français avec un compte Nintendo japonais.
Nos confrères d'ActuGaming rapportent que, selon leurs sources, un Diablo II Resurrected serait en développement pour une sortie entre octobre et décembre 2020. Vous l'aurez compris rien qu'à son nom, il s'agirait d'un remaster du hack'n'slash culte de 2000, pourquoi pas avec quelques petites modernisations. Le projet serait entre les mains de Vicarious Visions, déjà derrière Crash Bandicoot : N. Sane Trilogy. L'idée est loin d'être bête, surtout qu'elle colle aux propos d'Activision-Blizzard qui annonçait plusieurs remasters et remakes pour cette année : il semblerait que deux projets du genre sont prévus chez Activision, mais Blizzard pourrait aussi proposer les siens.
Si Diablo II Resurrected existe, difficile de savoir quand il sera révélé : son annonce pourrait survenir dès cette saison propice, ou plus tard, peut-être même uniquement aux abords de la BlizzCon de novembre pour un lancement rapide derrière. Diablo II fêtera ses 20 ans le 29 juin, alors une petite surprise d'anniversaire n'est pas non plus à exclure.
Kazuki Morishita, président et directeur général de GungHo :
"Ninjala est presque terminé, mais nous sommes très limités dans nos possibilités de boucler rapidement nos tests et pour finaliser les derniers détails du jeu quand tous les développeurs ne sont pas présent dans la même pièce. Bien que nous travaillions dur pour lancer Ninjala et le rendre accessible à nos fans, la santé et la sécurité de nos employés sont primordiales. Nous nous excusons auprès de nos fans de Ninjala qui attendaient avec impatience son lancement, et nous vous demandons votre compréhension alors que nous nous efforçons de vous apporter le meilleur jeu possible au cours de ce mois supplémentaire."
Prochaine sortie jeux exclusif Switch :
-Synaptic Drive / 28.05.2020 (exclusif console)
-Xenoblade Chronicles : Definitive Edition / 29.05.2020
-51 Worldwide Classics / 05.06.2020
-Ninjala / 24.06.2020
-Brigandine : The Legend of Runersia / 25.06.2020
-Deadly Premonition 2 : A Blessing in Disguise / 10.07.2020
-Bravely Default II / 2020
-No More Heroes 3 / 2020
Si je compare cette image
C'est les partenaires présent au début de la Switch
Voici les partenaires présent pour le début de la XSX
Aucun partenaire tiers éditeurs "indé" sur l'image de Nintendo (exemple : Devolver Digital, Curve Digital, TinyBuild ect) là ou Les éditeurs tiers "indé" sont présent sur l'image de Microsoft.
Et la meilleur preuve de l’intérêt pour les éditeurs tiers "indé", le dernier InsideXBox qui présentait quelques jeux pour la XSX, comme si le renouveau du jeux vidéo (avec l'arrivée de la nouvelle génération) passaient par les jeux "indés" en premier lieu.
The Medium / Éditeur : Bloober Team / Développeur : Bloober Team
Scorn / Éditeur : Ebb Software / Développeur : Ebb Software
Call of the Sea / Éditeur : Raw Fury / Développeur : Out of the Blue
The Ascent / Éditeur : Curve Digital / Développeur : Neon Giant
Chorus / Editeur : Deep Silver / Développeur : Deep Silver Fishlabs
Bonus : JVC / Preview
Ninjala devrait avoir de beaux jours devant lui. Déjà parce qu’il est gratuit et que par conséquent, beaucoup de personnes vont l’essayer. Ensuite, parce que la nervosité et la satisfaction produite par le contrôle de l’avatar à de quoi accrocher les joueurs et les joueuses. Enfin, les nombreux contenus à débloquer ainsi que les échelons à gravir donnent envie d'enchainer les parties. Le concept est encourageant, mais des interrogations demeurent.Combien de temps faut-il pour maîtriser toutes les actions proposées dans un combat ? La Switch en a-t-elle assez dans le ventre pour que le jeu reste fluide ? Que nous réserve le 4vs4 ?
JeuxActu 17/20
Sorti un peu de nulle part, Cloudpunk se dresse aujourd'hui comme une pépite indé que l'on attendait pas forcément. Subtil mélange d'influences cyberpunk (Blade Runner, Le 5ème Élément), le jeu d'ION LANDS brille par son écriture et son aventure à choix multiples qui implique incroyablement bien le joueur. C'est simple : le moindre PNJ qui nous parle est intéressant à écouter, et contribue à créer une ambiance unique au sein de la ville de Nivalis. Visuellement sublime, Cloudpunk nous offre des panoramas splendides qui se renouvellent sans cesse à chaque quartier que l'on découvre, ce qui rend l'exploration de cette cité particulièrement agréable. Et puis on ne va pas se mentir, un jeu où l'on peut piloter une voiture volante, c'est quand même sacrément cool. L'ambiance cyberpunk est hyper léchée, grâce notamment à sa patte estéhtique marquée, mélange subtile entre 3D, pixels et polygones affirmés, à laquelle vient se mélanger une BO synthwave de folie. Finalement, seuls quelques soucis techniques viennent ternir le tableau, avec une caméra pas terrible lorsqu'on se déplace à pied, et l'absence d'une carte qui nous aurait bien aidé à nous repérer entre les différents quartiers de la ville. Ceci dit, avec son prix quasi donné (19€), et une durée de vie de plus de 15h avec une petite replay-value (refaire le jeu en changeant de choix), on ne va pas vraiment se plaindre. On compte sur vous maintenant pour que le bouche-à-oreille lui permette d'obtenir les ventes qu'il mérite.
JVC 16/20
Si Cloudpunk est un peu maladroit au démarrage et qu'il peine parfois à se départir d'une récitation scolaire des codes inhérents à la culture cyberpunk, les quelques 8 heures passées au cœur de Nivalis seront envoûtantes pour les amateurs de jeux narratifs qui ne sont pas rebutés par un jeu qui place le verbe bien avant l'action, qui est elle quasi inexistante. En dépit de petits couacs techniques, d'une construction pas toujours très équilibrée, le titre de Ion Lands sait brosser des personnages touchants, immerger le joueur dans une ville d'une richesse abstraite séduisante et lui faire vivre une aventure solide dans 'univers au magnétisme certain. Une belle surprise.
Gameblog 7/10
Pour qui chérit le Cyberpunk, ses sonorités, ses tonalités, ses thématiques, Cloudpunk est une oeuvre à essayer absolument. En dépit de nombreux défauts qui le rendent assez laborieux, le jeu d'aventure d'ION LANDS parvient à captiver de bout en bout grâce, de toute évidence, à sa direction artistique et son ambiance sonore, mais aussi à une jolie poignée de personnages et d'histoires bien conçus. Le genre de projet qu'on a envie d'aimer et de ne pas voir disparaître comme des larmes dans la pluie.
Prévue initialement pour le 19 mai aux États-Unis et pour le 22 mai en Europe, la sortie de l'édition physique de The Wonderful 101 : Remastered sur Nintendo Switch et PlayStation 4 a été finalement repoussée au 30 juin aux États-Unis et au 3 juillet en Europe, en raison de la situation sanitaire mondiale liée au COVID-19. Pour rappel, en France, elle sera distribuée par Just For Games. L'expédition des récompenses Kickstarter est également impactée, et elles sont donc aussi repoussées.
Dans un message publié sur la page Kickstarter, PlatinumGames a tout d'abord expliqué que les contributeurs qui ont choisi des versions physiques risquent de les recevoir après la sortie générale de l'édition physique qui a été elle-même repoussée. Pour le moment, la société prévoit une expédition prévue pour fin juin. Pour s'excuser, PlatinumGames a donc décidé que tous les contributeurs de toutes les versions physiques recevront un code pour télécharger le jeu sur Steam.
Les codes pour les versions dématérialisées seront envoyés aux contributeurs à partir du 7 mai. Cependant, cela pourra prendre plus de temps que prévu, étant donné que le nombre de codes est limité. Dans tous les cas, PlatinumGames affirme que l'équipe fera en sorte d'envoyer tous les codes avant la sortie de l'édition physique.
Dans un mois (29 Mai), Xenoblade Chronicles : Definitive Edition nous proposera de découvrir ou savourer à nouveau cette fantastique aventure, le tout avec le choix entre les musiques d'origine et des morceaux remastérisés. Comme vous le savez sans doute, un épilogue inédit baptisé Un avenir commun a été ajouté, qui devrait à minima nous faire incarner Shulk et Melia, accompagnés de deux Nopons si nous en croyons l'illustration officielle.
Les cartes de téléchargement du jeu de Monolith Soft et Nintendo sont déjà disponibles en magasin dans l'Archipel et plusieurs clichés ont été partagés sur la Toile (Twitter), nous livrant quelques détails supplémentaires sur ce chapitre inédit qui révélera l'histoire de Melia après la fin du jeu. Ainsi, un nouveau système de combat y sera disponible, utilisant nos amis Nopons en renfort, et de nouvelles zones seront accessibles , comme le rapporte Gematsu.
Nous pourrons ainsi choisir entre les musiques classiques et modernisées indépendamment pour l'environnement et les affrontements. La langue devrait également pouvoir être interchangée, à voir avec si cela ne concerne que le Japon.
Blasphemous 14,99€ au lieu de 24,99€
Baba Is You 9,36 au lieu de 12,49€
Vaporum 8,74 € au lieu de 24,99€
RIVE : Ultimate Edition 1,49€ au lieu de 14,99€
Éditeur : Happinet Games
Développeur : Matrix Software
Genre : T-RPG
Date de sortie : 25 Juin 2020
Langues : Anglais / Japonais / Chinois.
C'est une licence qui a débuté sur PS1, cet opus est une exclusivité Switch.
Par le développeur de Alundra (PS1) et Final Fantasy : The 4 Heroes of Light (Nintendo DS)
6 forces règnent sur le continent Runersia, sur lequel sont dispersés quelques 100 guerriers, 50 types de monstres, et 40 bases.
Quel souverain deviendrez-vous ?
Quel groupe de guerriers et monstres formerez-vous ?
Quelles sera votre destination ?
La décision vous revient.
Mettez au point votre stratégie et guidez votre patrie vers la victoire.
God is a Geek 9,5/10
treets of Rage 4 is wonderful. Everything from the combat to the soundtrack is crafted with a great respect for the originals, providing a fresh take on the popular series.
Streets of Rage 4 est merveilleux. Tout, du combat à la bande originale, est conçu avec un grand respect de l'original, offrant une nouvelle vision de cette série populaire.
PC Games 9/10
PC Invasion 9/10
Destructoid 9/10
Streets of Rage 4 is an absolute triumph. It looks stunning, it sounds sublime, and it plays like a dream. SoR 4 delivers fistfuls of knock-down, drag-out action for fans old and new, all at a modest price. It's been a long wait for the Streets of Rage faithful, but comebacks rarely get much better than this. GRAND UPPAH!
Streets of Rage 4 est un triomphe absolu. Le visuel est bluffant, le son sublime et il se joue comme un rêve. SoR 4 offre un concentré d'action à toute épreuve pour les anciens et nouveaux fans, le tout à un prix modeste. Cela a été une longue attente pour les fidèles de Streets of Rage, mais les retours sont rarement aussi réussi que celui-là. GRAND UPPAH!
JVC 17/20
Streets of Rage 4 est le digne héritier d’une franchise qui en son temps a marqué petits et grands sur Sega Mega Drive (ou Sega Genesis). Dotemu, en collaboration avec Lizarcube et Guard Crush Games, dépoussière non seulement la franchise, mais également le Beat’em All. La direction artistique, le fan service et le gameplay frappent avec précision et en rythme pour mettre KO les fans qui devant tant de maîtrise et d’amour pour la baston ne peuvent que s’incliner humblement avant de pénétrer fiévreusement sur le ring. Streets of Rage est bel et bien de retour… Il va y avoir du “Bloodsport” !
JeuxActu 17/20
Attendu par tout un parterre de fans, encore plus dans la conjoncture actuelle, Streets of Rage 4 fait mouche juste comme il faut, sans commettre d’impairs majeurs mais sans révolutionner le genre ni la saga non plus. C’était aussi le credo des différentes équipes de développement, qui avait à coeur de proposer un opus dans la lignée, mais avec le dosage de nouveautés nécessaire pour ne pas tomber dans le remake pur et dur. Et force est de constater que le dosage est réussi.
Gamergen 17/20
Streets of Rage 4 ne réinvente pas le beat'em up, et ne le fera donc probablement pas apprécier aux plus réfractaires. Il réussit néanmoins à moderniser complètement un genre ancien, grâce à une direction artistique remarquable et sans faute, des visuels aux compositions. Rien que pour ça, il mérite le détour, même pour les simples curieux. Mais il se paye surtout le luxe de proposer un gameplay qui, malgré son apparente rigidité et sa répétitivité, se montre vite plus poussé et malin qu'il n'y paraît, permettant à chacun de s'épanouir et de monter en compétences. Il faut cependant être préparé à jouer et rejouer les mêmes douze niveaux pour se perfectionner et progressivement faire monter la difficulté : le plaisir reste, mais s'essouffle forcément avec la multiplication et la durée des sessions, même pour les plus attachés au style. Qu'importe, Streets of Rage 4 est le genre de titre à ressortir pour un kiff de quelques niveaux, pour le faire découvrir à ses potes, ou à retourner dans tous les sens en solitaire pour viser les meilleurs scores.
Hardcore Gamer 8/10
USgamer 8/10
Streets of Rage 4 is a small, concentrated hit of beat 'em up excellence. While its length and lack of extra modes might make this offering seem slim, it makes up for it with brilliant fighting, effusive style, and another solid set of tunes. If beat 'em up games are seeing a revival, Streets of Rage 4 is leading the charge.
Streets of Rage 4 est un petit concentré d'excellent beat 'em up. Bien que sa longueur et son manque de modes supplémentaires puissent rendre cette offre mince, elle est compensée par des combats brillants, un style effusif et un ensemble solide de morceaux de musique. Si les jeux beat 'em up connaissent un renouveau, Streets of Rage 4 mène la charge.
Attack of the Fanboy 8/10
Gameblog 8/10
Vingt-cinq ans après le dernier épisode, Streets of Rage revient pour multiplier les pains comme jamais. Le pari de cette association franco-canadienne était un peu fou, mais parvient pourtant à se hisser à la hauteur du défi. Oui : Streets of Rage 4 est le digne héritier d'une trilogie restée dans la légende, et parvient à apporter une profondeur qui manquait aux originaux tout en se montrant respectueux de son patrimoine. Avec ses superbes et nombreux environnements qui assurent un rythme soutenu, ses emprunts au genre du versus fighting, ses modes de jeu variés et ses bonus de l'amour, ce quatrième opus s'assure une durée de vie aussi dure que le macadam contre lequel le visage de vos adversaires se fracasseront encore et encore. Mais pour en profiter, il faudra pour l'instant privilégier le multi local, en attendant une amélioration de l'expérience en ligne. Seul bémol : la bande-son ne parvient pas à tenir toutes ses promesses, malgré une pléthore de compositeurs de haut niveau. Inégale et généralement moins marquante que celles des épisodes précédents, ce n'est pour une fois pas en dansant que vous sauverez le monde des griffes d'un nouveau méchant quelconque, via une histoire dont on se fichera bien trop vite.