« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le titre d'un film résume l'esprit du film, dans le cas présent Babylon (Une ville antique qui est dans la bible, qui en fait le symbole de la corruption et de la décadence, vous avez juste a remplacer Babylon par Hollywood) ça donne déjà l'idée de ce que l'on nous allons voir, de plus le réalisateur et scénariste Damien Chazelle a les moyens d'être à la mesure de l'ambition du titre choisi. Nous sommes encore dans les premières décennies du cinéma, nous suivons plusieurs personnages, Manuel "Manny" Torres (Diego Calva, c'est la révélation du film) qui débute comme homme à toute affaire, Nellie LaRoy (Margot Robbie) qui est une star en devenir (elle dit elle même que l'on ne devient pas star, on né star), Lady Fay Zhu (Li Jun Li), une danseuse de cabaret sulfureuse (elle est homosexuelle) qui s'occupe aussi des intertitres (nous sommes à l'époque du muet, donc les dialogues apparaissaient à l'écran), Sidney Palmer (Jovan Adepo) un trompettiste noir (rappelez que la ségrégation est présente à cette époque) qui lui aussi le cinéma va changer sa vie et enfin Jack Conrad acteur-phare de ces années-là. L'histoire se déroule sur une période principalement de 10 ans (en gros), avec un événement qui va bousculer tout le monde du cinéma, l'arrivée du parlant.
Dès l'intro du film, le ton est donné, Manuel doit en emmener un éléphant en haut de la colline pour une fête (plutôt une orgie musical, sensuel, sexuel) , mais le souci il n'a qu'une voiture et un box pour cheveux pour l’emmener au sommet, il va en « chier » dans tous les sens du terme (rien est épargné). Une fois vu ça, nous savons que nous allons voir de la démesure et du trash, le tout avec humour (noir et absurde bien souvent). La mise en scène est énorme que ce soit dans les mouvements de caméra vu le nombre de personnes à l'écran (ça c'est du plan séquence) et le plus réussi pour moi, c'est les arrières plans (l'un des meilleurs c'est celui où Manuel doit fait face à des figurants en gréve, l'impression de voir les films ZAZ). Les acteurs se donnent à fond, ça se voit qu'ils prennent leur pied (avec en bonus des seconds rôles qui eux aussi s'en donnent a cœur joie, comme Spike Jonze ou encore Tobey Maguire), un film rythmé (en même temps quand tu as le mec qui a réalisé LaLaLand et Whisplah, tu n'es pas surpris), qui se paye par moment le luxe d'avoir des moments sans aucun son avec des passages "existentialistes" (nous voyons plutôt dans les films d'auteurs).
Le film a été un bidé au USA, ce n'est pas étonnant, déjà il dure 3 heures (ce qui pour le coup laisse le temps de développer les personnages et de suivre leur parcours entre gloire et chute), mais surtout interdit aux moins de 17 ans, donc tu te doutes bien que ce n'est pas tout public, plus d'une fois tu te dis, mais c'est qu'il ose, ça b... dans tous les sens, ça vomi, ça gicle du sang, ça se poudre a fond les ballons, ça se pisse dessus, ça se fait chier dessus ect (le tout sans nuance). Mon bémol vient du fait que par moments, il appuie beaucoup les effets, mais je sais déjà que certaines scènes vont devenir culte (la scène de la prise de son, ça fait longtemps que je n'ai pas rigolé de bons cœurs au cinéma), un dialogue entre Brad Pitt et une critique « people », le tournage du réalisateur Allemand ect Bref un film très généreux, peut-être trop pour le coup (j'ai trouvé ça long à un moment donné et parfois trop appuyé), je suis sortie, éreinté, mais j'en ai eu pour mon argent, car le réalisateur a tout donné et ça se voit.
(C'est la version PSVR "1", la version PSVR2 sera disponible le 22 Février 2023 au lancement de l'accessoire).
Le site realovirtual.com a eu la chance d’interviewer récemment le directeur du Design de chez Polyarc, Josh Stiksma au sujet de la version PSVR2 de Moss Book 2.
Realovirtual : À laquelle des versions précédentes Moss de PS VR2 ressemblera-t-il le plus ?
« En termes de textures, de résolution et de fonctionnalités, il ressemblera certainement davantage au jeu PC VR haut de gamme. Il va y avoir une grande différence entre les versions PSVR et PSVR2. Nous avons passé beaucoup de temps à optimiser et à améliorer le jeu pour nous assurer que c’est une très bonne expérience pour les nouveaux joueurs qui arrivent. »
Realovirtual : Est-il facile de porter un jeu d’une autre plate-forme vers le PSVR2 ?
Eh bien, nous avons quelques avantages car nous utilisons Unreal Engine sur Moss, le moteur nous aide dans l’effort de portage du PSVR au PSVR2. Mais c’est certainement le port le plus cher que nous ayons jamais fait en termes de ressources pour s’assurer que de nouvelles fonctionnalités comme le suivi oculaire soient bien intégrés.
Le joueur peut-il saisir des objets et les ressentir physiquement avec les déclencheurs adaptatifs ?
Oui, mais quand nous avons commencé à utiliser cette fonctionnalité un peu trop de partout, cela ne nous a pas plu, et nous savions que nous devions voir où dans le jeu cela fonctionnait et où cela ne fonctionnait pas.
De même, en termes d’haptique, à la fois sur le contrôleur et sur le casque, nous avons dû nous pousser pour en faire une expérience vraiment solide.
Nous avons effectué une refonte complète du jeu pour nous assurer que les haptiques existantes fonctionnent bien avec les contrôleurs, et nous avons également ajouté des haptiques HMD tout au long du jeu.
Lorsqu’avant, par exemple, une créature géante se promenait dans l’espace, nous ne pouvions pas faire trembler l’écran, car cela donnerait le vertige aux joueurs. Mais si vous avez ces haptiques dans la visière elle-même, vous pouvez transmettre un peu la sensation de ces gros impacts physiques qui se produisent dans le monde, les ondes de choc ou l’énergie qui se produisent, et c’est vraiment incroyable.
Realovirtual : À part le fait que Quill nous regarde dans les yeux, pour quoi d’autre avez-vous utilisé l’eye tracking ?
De plus, nous avons utilisé le suivi oculaire pour le rendu foveal, cette technologie est un grand avantage pour les performances de jeu VR.
Le PSVR2 n’a pas de connexion sans fil, mais le seul câble dont il dispose est une énorme amélioration par rapport au casque précédent et garantit des expériences de haute qualité. Ne pas avoir besoin d’une caméra extérieure est également un grand changement.Mais les fonctionnalités intéressantes de ce PSVR2 sont celles dont nous avons déjà discuté : le suivi oculaire, les déclencheurs adaptatifs, le retour haptique sur les commandes et sur le casque lui-même.
Hier, une rumeur à fait parler d'elle, le remake de Baten Kaitos, licence devenu culte, certains doutent encore (ça peut se comprendre, en se disant "trop beau pour être vrai"), mais ça fait déjà un moment que des infos parlent de se "retour" en fait.
Voici par exemple un article de Juin 2021 qui donne des infos sur la possibilité d'un retour de la licence :
En effet, en 2018, le producteur de la licence Baten Kaitos expliquait qu’un troisième opus avait longtemps été envisagé, mais surtout qu’il aimerait beaucoup la faire revenir d’entre les morts sur des machines actuelles.
En effet, Bandai Namco, détenteur des droits de la licence, vient de redéposer le nom du premier des deux épisodes, Baten Kaitos : Les Ailes éternelles et l’Océan perdu. Bien sûr, cela ne veut pas dire grand chose en l’état. Néanmoins, il y a probablement une raison à cela, et elle pourrait bien être le développement d’une version remise aux goûts du jour de ce monument du RPG japonais.
Voici par exemple un article de Septembre 2018 qui donne des infos sur la possibilité d'un troisième Baten Kaitos :
Disponible depuis 2005 par chez nous, Baten Kaitos eut aussi droit à une suite (ou plutôt une préquelle), toujours sur Gamecube, sous-titrée Origins et malheureusement parue uniquement au Japon et en Amérique du Nord. Quoi qu’il en soit, les amateurs de RPG ayant eu l’occasion de toucher à l’un ou aux deux volets ont de grandes chances d’en garder un bon souvenir. Il faut dire qu’ils jouissent tous deux d’un gameplay léché, d’une trame captivante, et d’une réalisation graphique fort réussie pour l’époque.
Alors évidemment, ils sont encore nombreux à attendre, peut-être pour toujours, l’annonce d’une hypothétique suite. Et cela pourrait arriver un jour, à en croire les dires de Yasuyuki Honne, producteur du premier opus, et membre de Monolith Software.
Tandis que le studio nippon était une fois de plus questionné au sujet d’un éventuel avenir pour la licence...le bonhomme a répondu via son compte twitter. Il explique ainsi qu’un troisième volet a longtemps été en cours de pré-production avant d’être annulé, et que Bandai Namco possède encore tout le travail effectué à l’époque. Il ajoute par ailleurs que les joueurs intéressés par la reprise du projet doivent le lui faire savoir, ou bien contacter Monolith ou Bandai.
CinemaTeaser 5/5
Une fresque pleine de bruit, de fureur, de vomi, de sexe, de sang. Et au milieu, le cinéma. Épuisant, passionnant, radical. Magistral !
La voix du Nord 5/5
Il faut voir comment Damien Chazelle utilise finalement tous les artifices du cinéma pour réussir une fresque de trois heures à la fois lumineuse, grotesque et tragique pour arriver à prouver, particulièrement dans son ultime chapitre, que le septième art se révélera éternellement plus grand que ceux qui le font.
Le Parisien 5/5
Aux manettes, le réalisateur Damien Chazelle fait merveille en jouant avec les méthodes utilisées à l’époque : peu d’effets spéciaux, beaucoup de figurants, un tournage en 35 mm et en Cinémascope, et de la déraison à revendre.
Les Echos 5/5
Cette fiction hors norme, incarnée par Brad Pitt et Margot Robbie, confirme le talent inclassable de son auteur.
SudOuest 5/5
Cette tragédie baroque est du début à la fin captivante, car le réalisateur de « Whiplash » et « La la land » est le maître du rythme. Damien Chazelle ne craint ni excès ni démesure, il affirme une folle liberté de cinéaste, jusqu’à une séquence finale époustouflante.
20 Minutes 4/5
Damien Chazelle offre un voyage dans le temps spectaculaire avec l’impressionnante fresque Babylon.
FranceInfo Culture 4/5
Une reconstitution au cordeau du Hollywood des années 1920, à la mise en scène ébouriffante, et où le réalisateur américain donne un de ses meilleurs rôles à Brad Pitt.
L'Obs 4/5
Pleine de musique et de fluides corporels, cette fresque too much – trop exaltée, trop démonstrative −, outrancière et documentée, inégale mais passionnante, trouve son sens dans ses moments de gueules de bois et ses petites épiphanies mélancoliques.
La Figaro 4/5
Avec son nouveau film, le réalisateur de La La Land reproduit toute la démesure du Hollywood des années 1920. Trois heures de montagnes russes dont on ressort KO, et ravi.
Le Point 4/5
Épuisant mais surtout réjouissant.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Pour parler de l’Histoire du cinéma, Damien Chazelle conjugue brillance et excès au sein d’une fresque ludique.
Paris Match 4/5
Au-delà d'une mise en scène folle d'inventivité, d'un casting aux petits oignons, voilà une œuvre manifeste qui revendique l'excès de sa narration, ses personnages empiriques et sa rythmique saccadée.
Télérama 4/5
Le cinéphile Damien Chazelle s’est judicieusement méfié de la mémoire des spécialistes, des noms qu’il faut connaître, des incontournables qu’il faut citer. C’est une histoire collective qu’il veut partager.
Le journal du Dimanche 3/5
Parfois la provocation sonne faux -n’est pas Gaspar Noé qui veut- et le récit choral se disperse. Reste que cet objet théorique désarçonnant, à travers la mise en abyme, décortique les fantasmes et la psychologie humaine avec une liberté et une indépendance remarquables.
Première 3/5
Difficile de bouder son plaisir devant ce geste d’amoureux éperdu mais lucide du septième art.
Le Monde 2/5
Babylon emboîte les séquences comme d’imposants tableaux que traversent des parades felliniennes. A chaque fois, le même principe : la situation pourrit lentement, court vers la gueule de bois, révélant peu à peu son envers cauchemardesque.
Les Inrockuptibles 2/5
Chazelle, on l’avait déjà identifié dans ses œuvres précédentes, est semblable à ses héros : travailleur acharné et technicien hors pair, il lui manque encore la finesse de trait.
Libération 2/5
Faire le procès en mauvais goût de Babylon justifierait sans mal de ne rien vouloir en sauver. Foutu pour foutu, on veut bien sauver le repoussant si c’est à ça que tient la part attendrissante du film, avec ses choix difformes qui lui font gagner en inquiétude, sa naïveté [...], son gigantisme ludique et enragé.
Cahier du cinéma 1/5
Toutes les scènes sont montées selon des effets de crescendo, voire d’orgasme, surlignés par l’insupportable mickeymousing du compositeur Justin Hurwitz, mais cette agitation tient du bouche-à-bouche désespéré, tout comme la surexpressivité du jeu d’acteur présentée comme un feu sacré.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Atsuko Ishizuka signe un récit initiatique empreint de tendresse et de mélancolie, servi par des images splendides.
L'Obs 3/5
La première partie s’embourbe dans un scénario entortillé et une impression de déjà-vu. L’épilogue (hélas trop bref) relève en revanche le niveau avec un coup de théâtre aussi inattendu que bouleversant.
Première 3/5
Goodbye rappelle avec une infinie délicatesse la douleur qui accompagne souvent la sortie de l'enfance.
Télérama 3/5
On pense à l’attachante petite bande du Stand by Me de Rob Reiner, jusqu’au bout, ou presque. Car la conclusion, fastidieux enchaînement de séquences mélo plutôt grandiloquentes, n’est pas vraiment à la hauteur du reste.
Le Journal du Dimanche 2/5
Une aventure introspective et mélancolique, un peu trop lacrymale.
-Un gameplay basé sur la distorsion du temps
-7 niveaux variés
-Plus de 50 combinaisons d'armes différentes avec des appareils manipulant le temps
-Une musique composée par Akira Yamaoka, compositeur de Silent Hill.
-Des boss conçus par Mahiro Maeda (Blue Submarine No. 6, The Animatrix - The Second Renaissance, Kill Bill: Vol. 1).
-Coopération en local pour 2 joueurs en mode Histoire
Gamesindustry.biz nous offre un bilan des ventes de jeux et de consoles pour l’année 2022 en Europe.
Jeux
Voici la liste des 20 jeux les plus vendus en Europe pour 2022 (aussi bien en physique qu’en dématérialisé) :
FIFA 23 (EA)
Call of Duty: Modern Warfare 2 (Activision Blizzard)
Elden Ring (Bandai Namco)
Grand Theft Auto 5 (Rockstar)
FIFA 22 (EA)
Légendes Pokémon Arceus (Nintendo)
God of War Ragnarok (Sony)
LEGO Star Wars: La Saga Skywalker (Warner Bros)
Horizon: Forbidden West (Sony)
Gran Turismo 7 (Sony)
Mario Kart 8: Deluxe (Nintendo)
Red Dead Redemption 2 (Rockstar)
Nintendo Switch Sports (Nintendo)
Pokémon Violet (Nintendo)
F1 22 (EA)
Pokémon Ecarlate (Nintendo)
Minecraft: Switch Edition (Nintendo/Mojang)
Assassin’s Creed Valhalla (Ubisoft)
Kirby et le Monde Oublié (Nintendo)
Mario Party Superstars (Nintendo)
Notez cependant que ce classement peut sembler incomplet, étant donné qu’Ubisoft et Nintendo n’ont pas communiqué leurs chiffres de ventes sur les jeux dématérialisés.
Le marché français est en effet le troisième marché le plus porteur en Europe, devancé uniquement par l’Allemagne et le Royaume-Uni, respectivement à la deuxième et première place.
Consoles
Du côté des consoles, 2022 est aussi une année plus faible que 2021. Si la Switch trône une nouvelle fois tout en haut du podium, elle affiche -15% de ventes d’une année à l’autre.
La chute est encore plus spectaculaire pour la PS5. Même avec des stocks en plus, la dernière console de Sony comptabilise -35% de consoles vendues, mais parvient tout de même à conserver sa deuxième place au classement. La Xbox Series n’est que troisième, mais Microsoft peut se vanter d’afficher les seuls chiffres en hausse, avec 4,4% de consoles vendues en plus par rapport à 2021.
Nouveautés :
3 Nouveaux pouvoirs : Sable / Festival / Méca (Donc maintenant 26 au total)
8 Nouveaux mini-jeux (Donc 10 maintenant au total, les deux déjà présents ont été modifiés)
(Le gameplay du mode : Puzzle Bobble Vs Space Invaders)
Images du mode : Puzzle Bobble Vs Space Invaders
Le jeu est prévu pour le Printemps 2023.
C'est une exclusivité Switch.
A savoir : pour la toute première fois dans l'histoire de la franchise :
-Un mode story jouable jusqu'à 4 joueurs
-Un mode battle coopératif 2 contre 2 !
ActuGaming 7,5/10
Sans être à la hauteur d’un Mega Man Zero ou d’un Shinobi 3, le soft de JoyMasher ne démérite clairement pas et propose une expérience de très bonne facture, bien calibrée, solide dans son gameplay et plaisant à parcourir. Vengeful Guardian : Moonrider se paye même le luxe de proposer une remarquable OST et un scénario avec un véritable fond, ce qui est assez rare dans le genre. Si ce n’est une dimension scoring importante pour le titre mais peu engageante, un level design trop basique, malgré une bonne diversité de lieux, et des boss dont les patterns restent relativement limités, peu de véritables reproches sont à faire si l’on sait où l’on met les pieds. Une bonne découverte à qui il ne manque vraiment pas grand-chose pour nous mettre une petite claque.
Gameblog 7/10
Avec Vengeful Guardian Moonrider, le studio brésilien JoyMaster fait ce qu’il sait faire le mieux : rendre un hommage aux vieux jeux d’action à une époque où l’on comptait plutôt les bits que les téraflops. Un bon trip rétro avec une splendide esthétique 90’s et des musiques d’enfer qui vous feront hocher la tête à coup sûr. Un jeu qui, même s’il oublie peut-être d’exister totalement par lui-même, réussit son contrat de procurer des sensations old-school. Imparfait, oui, mais suffisamment généreux pour que l’on passe un « court » moment vraiment pas désagréable.