« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
JV
Pour résumer, Pikmin 4 plaira pour sûr aux fans de la licence. Il reprend en effet sa formule si particulière, à la fois tactique et accessible. Mais avec ses ajouts, il rompt avec son côté un peu passif qui pouvait rebuter certains joueurs et opte pour une formule encore plus accessible et addictive. Si on déplore l’absence du mode coop de Pikmin 3 et l’absence d’un lifting “moderne”, pour le reste Pikmin 4 signe pour l’instant un quasi sans-faute.
Gamergen
Une fois pris dans la dynamique de Pikmin 4, difficile de lâcher la Switch tant l'envie de compléter à 100 % une zone est présente, une véritable drogue garantie sans OGM ! Accessible aux néophytes tout en proposant déjà quelques situations un peu tendues qui raviront les fans de la première heure, ce nouvel épisode semble bien parti pour devenir un futur incontournable de la console, avec des nouveautés solides qui parviennent à nous convaincre. Et encore, Pikmin 4 a encore bien plus à offrir, dont des expéditions nocturnes...
Gameblog
Pikmin 4 sait parfaitement ce qu'il fait. Le jeu maîtrise totalement sa recette et le fait très vite comprendre. Après quelques heures seulement, les bases sont là, les premières nouveautés pointent le bout de leur nez et les joueurs, néophytes comme fans de la franchise, s'y retrouveront assurément. On attendra simplement d'en voir un peu plus avant de crier au génie, puisque dans les premiers instants, la sensation de débarquer sur un jeu totalement nouveau n'est pas totalement présente. En revanche, à l'horizon, on a pu voir quelques surprises se dessiner, et c'est certainement ici que le jeu va nous surprendre. En tout cas, on l’espère.
Gamespot
Le contraste entre les puzzles de la campagne, légers et détendus, et les batailles Dandori, frénétiques, peut être choquant, mais ils ne se sentent pas déconnectés l'un de l'autre. Le mode versus est juste beaucoup plus rapide, comme si vous jouiez le jeu normal en accéléré et que vous deviez jongler avec plus de tâches simultanément. De cette façon, le rythme accueillant et détendu de la campagne est particulièrement vital. Dans l'ensemble, Pikmin 4 est une expérience accueillante pour les nouveaux venus, tandis que les batailles Dandori montrent le plafond de compétences que vous pouvez atteindre si vous continuez à travailler pour perfectionner vos talents de Pikmin.
God is a Geek
D'emblée, on ressent la chaude magie de Nintendo, aidée par les effets sonores familiers et les visuels typiquement luxuriants à la "Chérie, j'ai rétréci les gosses". L'angle de la caméra est légèrement plus proche, ce qui fonctionne plutôt bien et rapproche les choses d'une sensation de troisième personne. Les différents mécanismes du jeu stratégique de puzzle et de collecte de ressources vous sont présentés au compte-gouttes, à un rythme qui convient parfaitement à tous les niveaux d'expérience
...
Otchin est adorable, amusant à utiliser et apporte beaucoup au jeu, notamment la possibilité d'améliorer ses statistiques et ses capacités et de lui apprendre de nouveaux tours. Il est facile de s'attacher à lui et j'ai ressenti un véritable sentiment de danger lorsque, par inadvertance, j'ai laissé mon chiot s'enflammer et se congeler au cours d'une même session de jeu. Il y a également de nouvelles variétés de Pikmin qui entrent en jeu et dont on peut tomber amoureux ou se sentir coupable lorsqu'ils meurent. Les Pikmin de glace peuvent être utilisés de diverses manières, notamment pour solidifier des blocs de gelée qu'Otchin peut écraser, et pour transformer les obstacles d'eau en un lac de glace traversable.
Polygon
Il est plus facile de cibler les ennemis. Vous pouvez déplacer votre Oignon - la base qui sert d'unité de stockage des Pikmin - dans les niveaux pour réduire les retours en arrière. Vous pouvez également remonter le temps si vous souhaitez retenter un défi (ou si trop de vos Pikmin sont morts). Dans l'ensemble, il y a moins de pression pour terminer vos expéditions sous les contraintes de temps des précédents jeux Pikmin.
Otchin, qui fait office de tank/transport blindé pour l'infanterie des Pikmin, est une nouveauté importante et intrigante. Ce chiot de l'espace à deux pattes peut détruire des objets à l'aide d'un puissant mouvement de ruée, transporter une petite armée de Pikmins et sauter par-dessus de petites corniches que votre explorateur de l'espace ne peut pas franchir. Oatchi peut également être amélioré, afin de renforcer sa morsure, sa capacité de guérison et bien plus encore.
...
Pikmin 4 propose une plus large gamme d'outils qui vont au-delà des nouveaux types de Pikmin et d'Otchin en constante évolution. Au Labo, les joueurs peuvent fabriquer des objets et des équipements, comme un drone qui arpente les niveaux, à partir de matières premières que vous et vos Pikmin pouvez récolter.
Le Parisien 5/5
Harrison Ford, 80 ans, y joue délicieusement avec son âge et forme un duo épatant avec une Phoebe Waller-Bridge qui dynamite le récit grâce à une énergie inépuisable et un solide sens du second degré. Résultat : on se régale d’un bout à l’autre…
20 Minutes 4/5
Le réalisateur a su mêler action, humour et émotions autour d’une passionnante quête archéologique conçue pour satisfaire fans et néophytes.
Franceinfo Culture 5/5
Malgré le grand âge de l'aventurier, ce dernier volet reste fidèle aux codes de la saga : de l'action, de l'exploration, de l'humour et aussi des références qui raviront les fans de la première heure.
La Voix du Nord 4/5
Mais l’ensemble est un ravissement, entre morceaux de bravoure et touchante mélancolie d’un personnage qui a vu son monde s’effondrer (plus de Marion adorée ni de fiston).
Libération 4/5
Avec ce film, James Mangold n’accompagne pas seulement de la manière la plus digne et élégante possible le personnage d’Indiana Jones vers la sortie, il prend aussi le «grand film populaire américain» par les épaules, fermement mais sans agressivité, avec un doigt de tendresse même, pour lui dire qu’il serait peut-être enfin temps de passer à autre chose.
Paris Match 4/5
Dans un cinéma hollywoodien contemporain gangrené par le conformisme et les formules, la simplicité d’un film qui défend chaque seconde le plaisir du bon vieux cinoche, vient prouver que c’est toujours dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. Du cinéma avec un grand C, à consommer à volonté. Et surtout sans modération.
Rolling Stone 4/5
Rythme de dingue, courses-poursuites à n’en plus finir en voiture, en tuk-tuk ou à pied, seconds rôles plus parfaits les uns que les autres, destinations plus exotiques les unes que les autres, sans compter son lot de murènes et de scorpions pour compliquer les choses : ce cinquième volet remplit toutes les cases du cahier des charges (...).
IGNFrance 3/5
Nos espoirs d'une conclusion épique s'envolent définitivement avec Le Cadran de la Destinée. Reste un Indiana Jones sympa à suivre, complet mais un peu sage.
Les fiches du cinéma 3/5
Mangold succède à Spielberg pour conclure la franchise qui fit d’Harrison Ford une superstar et mène à bon port un récit longtemps mécanique jusqu’à un final chargé d’émotion.
Les Inrockuptibles 3/5
Mais Mangold cherche moins à transfigurer le personnage que la forme. D’où une sublimation de cinéma d’aventure, à la recherche d’un point de fusion dans plusieurs séquences de poursuite d’une beauté si éclatante qu’elles se déchaussent quelque peu du récit et suspendent le film dans une stase esthétique.
Première 3/5
Un vrai moment d'émerveillement, quasi enfantin, comme la franchise n'en avait jamais connu jusqu'ici. Et qui justifierait presque à lui seul l'existence de ce Cadran de la destinée.
Télérama 3/5
De courses-poursuites mémorables en multiples clins d’œil aux films précédents, Harrison Ford porte toujours aussi bien le chapeau, et le mythe prend un grand coup de fouet.
Cahier du cinéma 1/5
(...) à peine sorti d’un prologue (potable) qui ravive les traits de l’Indy quadragénaire au temps de sa course contre les nazis, on bascule dans le présent pour s’enliser dans des prouesses davantage à la portée d’un vieux monsieur [...] Mangold maintient finalement Ford dans la sénescence, peut-être conscient que les rajeunissements numériques ont déjà été ringardisés par FaceApp.
Fast and Furious X...que dire, le premier Fast and Furious, Vin Diesel sortait de Pitch Black (un bon film de science-fiction avec un budget de 25 Millions de dollars) ou il était parfait dans le rôle, Paul Walker obtenait un rôle principal et nous découvrions Michelle Rodriguez, bref, une nouvelle génération d'acteurs, le film n'était pas génial, mais c'était correct dans le genre, sachant que le budget était de 40 Millions de dollars, puis surtout il y avait un « semblant » de réalisme sur fond d’enquête policière.
Je suis passé du premier aux x, déjà plein de personnage que je connais pas, rien n'est expliqué, si tu n’as pas vu les films entre, tu comprends pas grand-chose, surtout que tu as des personnages (avec la majorité qui ont tous des bras gros comme des cuisses), c'est plus proche du « clin d'oeil » que vraiment utile à l'histoire, le comble une fois sur deux ils se tapent dessus (sans jamais réellement la moindre marque de coup....tu as même deux filles qui se battent, elles passent par une vitre en verre, une prend à pleine main le verre, pas une seule coupe ou goutte de sang et balance à l'autre, pareille, pas la moindre égratignure...tu as même le fils de Vin Diesel qui tue des gens et ça passe...je parle mêmes par des combats à 2 ou 3 contre 15...). Le film insiste sur « la famille », jusqu'à l’écœurement avec des dialogues d'une niaiserie. Le méchant du film, Jason Momoa est risible (je trouves même qu'il y a un un fond d'homophobie dans le traitement du personnage, le mec très costaud, qui met du vernis, fait des couettes ect mais qui se prends une branler en moins d'une minute par la caricature viriliste interprété par Vin Diesel pourtant tu sens qu'il est plus bouffi que costaud...). Enfin les cascades nanardesques (il y a une notamment une, ils ont trop joué à Rocket League), ça va être dure à battre, jamais j'ai cru une seule fois ce que je voyais à l'écran, combien de fois je me disais « ils vont pas faire ça...ah si...au secours ». J'ai jamais ressentie la moindre émotion, la moindre peur (pour les "héros"), rien est "palpable", tout sonne faux. Et évidement ça fini par un Clffhanger...Quand je pense que le film à coûtait 340 millions de dollars...les producteurs se sont foutu de moi (cynisme quand tu nous tiens), je serais à leur place, j'aurais honte.
Pour rester poli : L'essence même du film bidon.
PS : J'ai voulu accompagner des copines qui voulaient voir le film.
Le top comgnet pour la semaine est arrivé (mais pour avoir les chiffres exacts, il faudra attendre jeudi, le top Famitsu).
250 pt donc 250 000 (en gros) -fourchette entre 200 000 et 300 000-
Attention c'est une approximation des ventes, car je pars sur une "approximation" qui est que 100 pt = 100 000 ventes, c'est généralement dans ces eaux-là, l'ordre du classement n'est pas 100% pareils vu qu'il y a des écarts de "pt" (donc des chiffres approximatifs qui peuvent jouer sur le classement qui arrivera jeudi)
Nous allons avoir un deuxième semestre ou les "exclusivités" vont s'enchainer.
Date : 30 Juin 2023
Date : 21 Juillet 2023
Date : 28 Juillet 2023
Date : 29 Aout 2023 (exclusif console, pas de date pour la version VR)
Date : 15 Septembre 2023
Date : 6 Octobre 2023
Date : 20 Octobre 2023
Date : 3 Novembre 2023
Date 16 Novembre 2023 (Japon uniquement)
Date : 17 Novembre 2023
Date : 1 Décembre 2023
2023 sans date
Certains pensaient que nous aurions la nouvelle console de Nintendo en fin d'année, au vu du planning, je pense que ça sera pas le cas. Je pensais pas que nous aurions un planning comme ça !
Et je pense qu'il y aura pas de nouvelle console avant la fin de l'année fiscal au Japon (Mars 2024), car il y a encore un nouveau Professeur Layton / un nouveau Princesse Peach / Otogi Katsugeki Mameda no Bakeru : Oracle Saitarou no Sainan!! / Natsu-Mon! 20th Century Summer Vacation / Luigi's mansion 2 remaster et à mon avis c'est pas fini...
La vraie guerre des consoles ne se jouerait pas entre Playstation et Xbox mais plutôt entre Playstation et Nintendo. Dans le cadre des auditions préliminaires liées à l’accord Activision Blizzard bloqué par la FTC (Commission fédérale du commerce des États-Unis), Microsoft déclare qu’Xbox « a perdu la guerre des consoles ».
The Verge a récemment partagé des extraits d’un document utilisé par Microsoft dans le cadre du procès qui oppose la FTC à Microsoft. La Commission a décidé de bloquer l’acquisition d’Activision Blizzard temporairement et un procès concernant une injonction préliminaire est en cours.
Dans le document rédigé par Microsoft, la compagnie reconnaît qu’Xbox a perdu la fameuse guerre des consoles, qui l’oppose constamment aux consoles Playstation, et dit même se trouver à la troisième place de la compétition des constructeurs de consoles modernes ; Nintendo aurait également une longueur d’avance sur Xbox.
Pour attirer la compassion de la FTC, Microsoft n’hésite pas à retracer son histoire dans le monde du jeu vidéo, une histoire peu fructueuse dès ses débuts selon la compagnie. « En 2001, Microsoft s’est placé sur le marché du jeu vidéo en lançant sa première console Xbox, qui est entrée en compétition avec les concurrents de Sony et Nintendo. Sur cette "génération", Sony et Nintendo ont largement vendu plus de consoles qu’Xbox », indique Microsoft dans le
« Dans les 20 années qui ont suivi, Sony, Nintendo et Xbox ont conservé leurs places de constructeurs majeurs et ont pris part à ce que l’industrie appelle "la guerre des consoles". […] Playstation, pendant plus de deux décennies et à travers cinq générations [de consoles], a été la marque dominante dans le monde et aux États-Unis », poursuit Microsoft.
La compagnie liste des données qui n’ont pas encore été rendues publiques concernant la taille de l’influence de Playstation comparé à Xbox, avant de poursuivre son admission de faiblesse. « Les consoles d’Xbox ont toujours été à la troisième place des ventes derrière celles de Playstation et de Nintendo », admet Microsoft. Selon la compagnie, seulement 16% de consoles vendues auraient été des consoles Xbox en 2021.
« Les consoles d’Xbox ont toujours été à la troisième place des ventes derrière celles de Playstation et de Nintendo »
Microsoft mise sur sa supposée « faiblesse » pour convaincre les autorités du commerce du monde entier d'autoriser la mise à exécution de son accord avec Activision Blizzard. La compagnie avait annoncé l'achat du développeur-éditeur en janvier 2022 ; la décision a très vite été contestée par Sony et les institutions économiques du monde, qui estiment que l'accord nuirait à la compétitivité dans le monde du jeu vidéo.
Hier, Jim Ryan, président de Sony Interactive Entertainment et de Playstation, témoignait à l’encontre de cet accord, qui impacterait négativement les relations entre Activision et Sony. Le constructeur ne serait pas enclin à fournir des informations à propos de ses futurs consoles au développeur si le rachat d’Activision Blizzard par Microsoft est finalement autorisé.
Pour la fin de l'année nous avons le retour en force de deux mascottes qui sont encore aujoud'hui des références en 2D et qui pourrait même confirmer encore plus leur statut culte.
Que de chemins parcourus, qui aurait pu dire à l'époque de la guerre en entre Sega et Nintendo, que Nintendo mettrait en avant dans un Nintendo Direct un jeu Sonic plateforme en 2D.
Pour moi la différence durant des années entre Sonic et Mario, c'était que Sonic misait sur la vitesse, la ou Mario c'était plus à "tâtons" que tu abordais le monde, deux approches différentes de la plateforme 2D, mais là Mario a reprit une mécanique de Sonic dans le fait que l'on puisse "rider", ça donne un coté plus "dynamique" au gameplay et Sonic a reprit des petits chose de Mario comme le fait que Sonic peut remonter le ruisseau et le mode "joueurs"
Les deux jeux ont l'ait de tourner en 60FPS, ça permet d'avoir une meilleur lisibilité, Sonic y gagne en lisibilité et Mario y gagne en dynamisme.
Conclusion, c'est depuis longtemps une des premières fois que j'ai autant d'envie de jouer aux deux jeux !
La troisième chanson (Chasser le naturel, il revient écolo) est disponible maintenant sur You tube
Elle est aussi disponible en Streaming (Spotify, Deezer, Amazon Music, Apple Music, iTunes ect)
Titre : Chasser le Naturel, il revient écolo
Je me prélasse
Dans ce pré vert
Au fond de moi
J’ai le vers solitaire
Plante vivace
Mur couvert de lierre
Plus le temps passe
Reste un jardin dit vert
Refrain
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature humaine
Parque même les zoos
Chasser le naturel
Il revient écolo
La nature m’aime
L’homme est cabot
Des que l’été le permet
Je roule dès juin
A travers les bosquets
J’hume les parfums
Plante des pieds
Le long des chemins
La vigne a changé
L’eau en vain
Refrain
Je fonce tête bêchée
Je prends des râteaux
Une envie de draguer
Les plates bandes, du ruisseau
Plante là
Ta petite graine
Mère nature rage
Désirant que l’on sème
Refrain
Je remonte aux racines
Je descends d’une branche
Une quête infinie
Une genèse inconsciente
Plante ça
Au creux de mon hêtre
Des lettres gravées
D’un amour mutuel
Refrain
La deuxième chanson (L'air du temps) est disponible sur les plateformes Streaming et aussi sur Youtube
La première (Le gout des langues étrangères) est disponible sur les plateformes Streaming et aussi sur Youtube.
Toutes mes chansons sont écrites, composées, jouées et interprétées par moi ^^
Bonne écoute, si ça vous intéresse et bonne fête de la musique, enfin j'espère ^^
PS : La quatrième arrive normalement Août/Septembre (donc pas d'article avant Aout, je dis ça comme ça).
20 Minutes 4/5
Cette nouvelle production Pixar est aussi drôle que tendre.
La Voix du Nord 4/5
Voilà la grande qualité d’Élémentaire : une comédie romantique en bonne et due forme, visible dès 6 ans, mais qui parle de déterminisme, de tolérance, de différences culturelles et du besoin de les dépasser. L’amour est une réaction chimique. Élémentaire en est la parfaite illustration.
Le Figaro 4/5
Voilà un très bon Pixar, divertissant et profond.
Le Parisien 4/5
Mais c’est surtout par son graphisme qu’il sidère : le studio innove encore avec un procédé révolutionnaire qui fait s’animer des personnages de façon constante : bluffant, et tellement beau !
Les Echos 4/5
Un conte familial flamboyant sur fond d'humanisme et de déracinement.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Sans être un grand Pixar, Élémentaire, visuellement bluffant, distille sa petite magie et réussit à émouvoir avec une très belle histoire d’amour. Il manque toutefois un peu de l’audace à laquelle les studios d’Emeryville nous avaient habitués.
Paris Match 4/5
Le nouveau dessin animé des studios Pixar est dans la lignée de « Vice-versa », rencontre entre le feu et l’eau sur fond d’acceptation de la différence. Moins échevelé, plus tendre et toujours aussi novateur visuellement.
L'Obs 3/5
Il y a quinze ans, avec une idée comme celle d’« Elementaire », Pixar épatait tout le monde. Aujourd’hui, il impressionne les plus jeunes et les coachs en développement personnel.
La Croix 3/5
Si sympathique soit-il, Élémentaire n’est toutefois pas le feu d’artifice d’idées originales et de trouvailles visuelles auquel nous a habitués Pixar. Et son esthétique disgracieuse aux tonalités fluorescentes ne l’aide assurément pas !
Le Dauphiné Libéré 3/5
Ce que l’on retient le plus de ce long-métrage, ce sont ses effets visuels. Les artistes ont réussi à créer un univers cinétique où chaque élément trouve sa place et fait partie intégrante du décor.
Le Journal du Dimanche 3/5
Le récit minimaliste s’adresse à un public plus jeune et ne possède pas la puissance émotionnelle des précédents films d’animation de Pixar. Mais on est emporté par son romantisme, son imaginaire foisonnant et son graphisme singulier.
Le Monde 3/5
Les voilà jetés dans la grande ville, où, en dépit d’un univers visuel toujours créatif, ils rejoueront les grandes lignes d’une plate « rom com ».
Les Inrockuptibles 3/5
Le sortilège Pixar n’a pas disparu : il s’est réduit à l’état d’étincelle indicible. On sait, devant Élémentaire, qu’on est devant un Pixar, par l’empathie particulière que le film soulève en nous, par sa désobéissance aux formats de son temps, sa foi inébranlable en ses ressources figuratives, son absence d’ironie.
Première 3/5
Alors, oui, il y a des flottements. Certes, la rom com n’atteint pas toujours le rythme et la pureté des classiques dont ils s’inspirent (Indiscrétions de Cukor ou le New-York Miami de Capra). Mais pendant quelques instants, quelques scènes, on se dit que Pixar est revenu à son grand niveau. Et ça n’a pas de prix.
Télérama 3/5
Sans atteindre les sommets de “Vice-versa”, la production Pixar de saison est convaincante, avec une histoire sur l’immigration, le racisme et les joies du melting-pot à l’américaine.
Cahiers du Cinéma 2/5
Si le comique de la situation est le plus souvent exploité astucieusement [...], le film souffre d’un déséquilibre qui met à mal la générosité de ses intentions : l’impensable union de l’eau et du feu tient davantage à l’incompatibilité des deux éléments qu’à la réprobation sociétale.
Cahiers du Cinéma 5/5
Asteroid City est certainement l’un des films les plus émouvants de son auteur. Et c’est encore au principe de verticalité qui le gouverne qu’il doit ce sentiment diffus d’accablement qui semble étreindre tous ses personnages [...] Toujours mutique et contenue, cette émotion sourde se déploie dans un mouvement du haut vers le bas dont le film fait son axe unique.
20 Minutes 4/5
Explosions nucléaires, théâtre délirant, idylles naissantes et secrets d’État sont au menu d’une œuvre douce-amère sur laquelle le cinéaste a apposé sa patte inimitable.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
L'Obs 4/5
Allergiques à son style poupées russes, proche du cinéma d’animation, passez votre chemin. Les autres, ne ratez pas cette fantaisie triste, « pastellisée » : vous ne trouverez plus beau fantasme de confinement que les scènes de pudique séduction entre Steenbeck et sa voisine, star de ciné (Scarlett Johansson, divine).
Le Dauphiné Libéré 4/5
Avec Asteroid City, Wes Anderson signe une fantaisie vintage colorée sur la mort, l’amour, l’art, la science, le cosmos, dans un film gigogne où une émission de télévision ouvre sur une pièce de théâtre qui ouvre sur un film. Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Le Figaro 4/5
Avec une pléiade de stars, Wes Anderson réinvente un désert pour livrer une fantaisie rétro-futuriste. Un film similaire à ses précédents, mais en mieux.
Le Monde 4/5
Porté par un casting faramineux comprenant notamment Jason Schwartzman, Scarlett Johansson et Tom Hanks, le long-métrage de Wes Anderson, burlesque et rêveur, évoque le monde du théâtre, la question de l’acteur et de l’incarnation.
Le Parisien 4/5
Et puis il y a ces répliques très drôles, lancées par un ahurissant défilé de comédiens, si nombreux qu’on ne peut pas tous les citer : Tom Hanks, Adrien Brody, Margot Robbie, Jeffrey Wright, Bryan Cranston, Matt Dillon…
Le Point 4/5
Les idées fusent, les cocasseries aussi, et Anderson fait, encore une fois, des étincelles.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Wes Anderson en grande forme, très mélancolique, livre une réflexion puissante sur le pouvoir de l’artificialité et du jeu.
Télérama 4/5
POUR : Il y a toujours chez lui, derrière les afféteries et le mutisme, un projet tendre et moral : présumant que nous sommes tous déjà abîmés par les jours et les amours empêchées, et qu’après une parenthèse aux allures de petit théâtre nous disparaîtrons dans l’horizon, Wes Anderson nous encourage à faire société, avec, comme seul bagage, le sourire léger de l’alien coincé au creux des lèvres.
La Croix 3/5
Dans son dernier film, Asteroid City, présenté mercredi 24 mai en compétition officielle au Festival de Cannes, Wes Anderson emboîte ses histoires comme des poupées gigognes pour mieux brouiller la frontière entre réel et fiction et redire la nécessité de rêver sa vie afin d’en sublimer les drames.
La Voix du Nord 3/5
Tout a du sens, même si rien n’est supérieurement prégnant, c’est le hic. Et comme d’habitude chez Anderson, le casting est démentiel, avec des stars cantonnées au rang de figurants. Étonnant Anderson.
Le Journal du Dimanche 3/5
C’est un nouvel ovni cinématographique que concocte le réalisateur américain avec les mésaventures fantasques de personnages lunaires dans un univers (un peu trop) décalé.
Les Echos 3/5
Un film raffiné et amusant qui ne surprend ni ne déçoit.
Les Inrockuptibles 3/5
Par-delà la malice mi-mélancolique, mi-cruelle propre au cinéaste américain, s’installe, dans cette douloureuse interrogation, l’une des clés de voûte qui structurent et surplombent les personnages andersoniens : faire l’expérience d’un état d’abandon et tenter d’y survivre.
Paris Match 3/5
Chronique post-Covid ou pamphlet politique ou sociétal, difficile de voir où Wes Anderson veut en venir. Ou serait-ce alors un film sur l’incompréhension mutuelle ?
Ouest France 2/5
Une beauté un peu vaine.
Sud Ouest 2/5
Dans ce monde si magistralement agencé, l’émotion perce difficilement, comme si une forme de timidité retenait cet immense styliste d’aller au bout de sa mélancolie.
Télérama 2/5
CONTRE : Dans cette précieuse brocante (si peu) humaine, Wes Anderson a l’ambition de brasser de grandes questions métaphysiques — le deuil, la mort, l’infini… Pour finir par tout figer sous le glacis d’un perfectionnisme esthétique qui n’existe que pour se servir lui-même.
Marianne 1/5
Avec « Asteroid City », Wes Anderson, tel un marionnettiste auto-satisfait, manipule des personnages d’une vacuité abyssale et déploie une intrigue si dépourvue d’enjeux qu’un ennui profond nous engourdit après dix minutes de spectacle.
Première 1/5
Pire, en revisitant l'histoire du cinéma et du théâtre américain des années 50, Anderson s'enferme dans des références et des échos aussi obscures qu'indéchiffrables et laisse le spectateur définitivement sur le bord de la route.