« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Les Animaux fantastiques sont de retour pour un troisième opus qui a dévoilé son titre officiel avec une touche de Dumbledore.
Devenue extrêmement populaire, la saga Harry Potter suivant la scolarité bien compliquée du jeune sorcier, incarné par Daniel Radcliffe, est devenue pour toute une génération un objet de culte. Et après avoir rapporté beaucoup (beaucoup) d’argent, il était naïf de penser que l’adaptation de l’univers magique de J.K. Rowling s’arrêterait là. Pour continuer à faire tourner la machine à billets, Warner a donc succombé à une saga spin-off : Les Animaux Fantastiques.
Loin de convaincre l'ensemble des fans de la saga mère, Les Animaux Fantastiques et sa suite Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald n’ont pas fait sauter la banque. Qu’importe, le troisième volet des aventures de Norbert Dragonneau (Eddie Redmayne) a tout de même été commandé et donne enfin de ses nouvelles, près de trois ans après la sortie du deuxième volet.
Certes, le film a connu quelques rebondissements dont il se serait bien passé entre le le scandale autour de Johnny Depp et les frasques de J.K. Rowling en personne. C'est donc Mads Mikkelsen qui reprendra à Johnny Depp le rôle du vilain Grindelwald et si on ne sait pas quelle pirouette justifiera ce changement de visage (mais bon, avec la magie tout est possible), le long-métrage a donc bel et bien avancé puisque Warner a révélé son titre officiel.
Alors que le précèdent volet s’est conclu sur une série de révélations, surtout à propos du professeur Dumbledore (campé dans sa version jeune et fringante par Jude Law), le titre coulait presque de source et s’intitule sans une once de malice : Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore.
Le brevet déposé par Nintendo pour une éventuelle nouvelle manette Switch a été modifié. La confidentialité sera levée dans deux jours. Pour un Nintendo Direct ?
On vous en parlait il y a quelques jours, Nintendo vient de déposer une demande d'agrément au département américain des communications pour un nouveau périphérique, lié vraisemblablement à sa Nintendo Switch: le modèle HAC-043 qui devrait être une nouvelle manette. Si le dossier déposé sur le bureau fédéral était confidentiel pendant six mois lors de son dépôt, une mise à jour a été faite dans le registre du brevet.
Les paris sont ouverts, nous on maintient la manette N64.
JVLive
PS : L'article à été écrit à 11h15 ce matin avant l'annonce officiel du Nintendo Direct.
Culturebox - France Télévisions 5/5
L'immensité des paysages, la profondeur des crevasses, l'adrénaline du vide, tout y est. On se surprend à s'accrocher à son siège comme à une façade rocailleuse. Le dessin est fin, largement inspiré du style de Jirô Taniguchi, pour un rendu visuel sublime.
Les Inrockuptibles 5/5
Une passionnante quête métaphysique dans les hauteurs de l’Everest conduite par une animation en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération 5/5
Comme Taniguchi, mais de façon différente, Imbert voit au-delà des corps pour saisir des élans vitaux.
Telerama 5/5
Ce film d’animation adapté avec brio d’un manga célèbre atteint des sommets de grâce.
20 Minutes 4/5
Le spectateur oublie qu’il s’agit d’animation pour se retrouver pris de vertige face à un gouffre glacé.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma 4/5
Le pari formel, remarquable réussite, est celui d'une animation hybride, simplifiant et occidentalisant le trait de Jirô Taniguchi pour cheminer en sa compagnie vers la ligne claire et assurer la fluidité du film.
L'Humanité 4/5
Mais cette bouffée d’oxygène après le confinement, cette quête de l’Everest et d’identité, nous emporte sans effort vers le Toit du monde au rythme du vent, de la montagne, des éléments.
Le Figaro 4/5
Entre poésie, action et suspense, Le Sommet des dieux se fraye une voie entre deux abysses métaphysiques.
Le Monde 4/5
Ce film d'animation traduit magnifiquement l'univers de Jiro Taniguchi.
Première 4/5
Une sorte de version ligne claire de la BD d'origine, qui recherche moins la sensation du vertige que celle de la tension pure. Et en fin de compte, c'est très impressionnant.
Le Point 4/5
Une exploration fascinante et initiatique du monde de l'alpinisme.
La Voix du Nord 3/5
Au-delà d’une photo qui pourrait changer l’histoire, Le Sommet des dieux interroge l’obsession quasi sacrificielle de ceux qui gravissent les plus hauts sommets. Visuellement impressionnant.
Le Parisien 3/5
Adapté d’un manga renommé dans le monde entier, « le Sommet des Dieux » décline, dans son aspect graphique, des images réalistes de montagne et de tempêtes aussi somptueuses que grisantes. Sur le fond, cette belle épopée humaine passionnera surtout les mordus d’alpinisme.
Développeur : Moss
Genre : shoot'em up
Date de sortie : 22 Octobre 2021
Langues : Japonais / Anglais.
Prix : 34,99€ (mais pour l'instant il y a une remise, le jeu est à 27,99€)
- Une musique remixée produite par GAME CENTRE MIKADO exclusivement pour la Nintendo Switch™
- 16 musiques retravaillées avec des performances en live, ainsi que de nouveaux arrangements uniques.
- Un ensemble de modes de jeu incluant les modes Arcade, Overkill et plus encore
- Recrée l'expérience d'arcade rétro grâce à l'écran pouvant se mettre en mode portrait
- Un classement global pour savoir qui sont les meilleurs du monde
- Se joue à 1 ou 2 joueurs (hors ligne)
Nous suivons l’enquête désespérée de Will Ren (Mason Lee) fraichement sortie de l’école de police et de son partenaire, le policier vétéran Cham Lau (Gordon Lam), centré sur tueur en série s’attaquant aux femmes. Pour attirer ce tueur « fétichiste des mains », ils utilisent comme appât la meurtrière Wong To (Yase Liu), qui doit expier pour avoir causé un accident impliquant la famille de Cham. Mais cette jeune femme est à la fois insoumise et imprévisible. Craignant de devenir la prochaine victime du tueur en série, elle va tenter de survivre par ses propres moyens dans le bidonville dans lequel elle est piégée.
Photographie de Siu-keung Cheng (Election 1 et 2 / PTU / Sparrow / Breaking news)
Musique de Kenji Kawai (Ghost in the Shell / Ring / Avalon)
PS : Le film n'a pas encore de date de sortie en France.
Annonce
-Destroy All Humans! 2 : Reprobed pour PS5/XSX/PC
-Outcast 2 : A New Beginning pour PS5/XSX/PC
-MX vs. ATV Legends pour PS5/PS4/XSX/XOne/PC
-SuperPower III pour PC
-Jagged Alliance 3 pour PC
-SpongeBob SquarePants : The Cosmic Shake PS4/XOne/PC/Switch
Édité par Ziggurat Interactive
Prévu sur PS4/XOne/Switch
-Résolutions d'affichage jusqu'à 4K / 3840 × 2160.
-Cinématiques améliorées.
-Améliorations de l'éclairage au niveau du moteur, ainsi que des données d'éclairage entièrement retraitées.
-Améliorations du moteur pour prendre en charge les textures originales non compressées.
-Améliorations des effets tels que les reflets, l'eau, le brouillard et les ombres.
BloodRayne : Voix audio et localisation en Anglais, Français, Itallien, Japonais, Russe, Espagnol.
BloodRayne 2 : Voix audio en Anglais et Russe. Localisation des textes en Anglais, Français, Alllemand, Italien, Russe, Espagnol.
CinemaTeaser 5/5
Dune, monumental d’ambition et d’ampleur, parvient alors à une illusion troublante d’intimité. Preuve, un an après Tenet, que le blockbuster peut rester un terrain fertile de propositions de cinéma évocatrices, humaines et spectaculaires.
Le Figaro 5/5
Même si sur son chemin, Villeneuve a vu se dresser de nombreux obstacles, il signe une majestueuse fresque d’anticipation écologique. Un tour de force. Et l’on comprend pourquoi l’affiche est verte.
Le parisien 5/5
Le film de Denis Villeneuve est un chef-d’œuvre de science-fiction futuriste, mais qui parle aussi du monde d’aujourd’hui.
20 Minutes 4/5
Denis Villeneuve, le réalisateur de Dune, possède à la fois le sens du grand spectacle et celui de l’intime. Il parvient à creuser la psychologie de ses personnages sans jamais lésiner sur les scènes d’action.
Écran Large 4/5
Dune n'est pas parfait et souffre notamment d'un trop-plein de rythme, mais c'est bien le grand spectacle précieux espéré, devenu si rare aujourd'hui. Une adaptation de l'épopée d'Herbert savamment conçue et pensée, à la densité impressionnante et folle visuellement.
L'humanité 4/5
Villeneuve colle globalement au texte de Frank Herbert, même si le cinéaste a décidé d’abandonner les joutes à la lisière du mentalisme, qui font la sève du livre, pour livrer un film assez peu bavard. C’est par la mise en scène qu’il restitue ce sentiment de tragédie souterraine qui pèse sur les héros, et menace de sourdre à tout instant.
Le point 4/5
Etourdissant d'ambition, Dune marque sans conteste une date dans l'histoire du space opera.
Ouest France 4/5
Une adaptation réussie du roman. Flamboyante, pas toujours émouvante.
Première 4/5
Dune : Part One est un manifeste, un pilote de franchise qui affirme que oui, Dune est aussi gros, aussi puissant sur grand écran que Star Wars. En attendant Dune : Part Two... En attendant Le Messie de Dune et ses suites... Il ne reste peut-être plus rien à écrire sur Dune, mais il reste encore beaucoup à voir.
Télérama 4/5
Le cinéaste québécois signe une adaptation personnelle et convaincante du roman-monde de Frank Herbert. Mêlant science-fiction à grand spectacle et conte philosophique.
Le monde 3/5
Quelques faiblesses affadissent sans doute le tableau - à commencer par la lisibilité de ce récit - mais il faudrait être mauvais coucheur pour ne pas souhaiter que Denis Villeneuve nous prouve le contraire dans le prochain opus.
Les Inrockuptibles 3/5
Il y a quelque chose de bouleversant à observer le poids que le film fait peser sur les frêles épaules de Tim/Paul. Cette incarnation rend passionnant ce premier blockbuster d’auteur du monde d’après.
Marianne 3/5
Les fans d’Herbert et de ce genre de production grandiloquente seront probablement ravis. Ceux qui sont insensibles à ce type de spectacle ne grinceront pas trop des dents malgré les longueurs de la chose et la musique assourdissante d’Hans Zimmer qui interdit toute sieste.
Libération 2/5
Villeneuve explique au spectateur ce qu’il doit savoir plutôt que de le laisser ressentir, douter, comprendre, se perdre. Quitte à l’enfermer dans une position de témoin oculaire. En guise de cinéma, il a le droit à un objet si soigneusement poli, si dénué d’aspérité, que tout glisse à sa surface. Dune est intouchable.