« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le vrai problème de Project Zero ne vient pas forcément de la jouabilité au GamePad, il est vrai pointilleuse, ni même de la rigidité affolante de ses trois gravures de mode. A trop recycler les mêmes environnements et les mêmes ennemis, à multiplier les parchemins qui disent à peu près tous la même chose, à contraindre systématiquement le joueur à un mini-jeu dès qu'il souhaite ramasser le moindre objet qui scintille, Project Zero pousse à son paroxysme le concept de répétition qui ternissait déjà un peu les expériences précédentes. Voilà pourquoi la peur des premiers chapitres se dissipe lentement mais sûrement à mesure que la brume s'empare du Mont Hikami, une randonnée mortelle qui s'étend sur une dizaine d'heures au minimum, alors que le jeu aurait pu être expédié en deux fois moins de temps sans toutes ces phases laborieuses. Dans La Prêtresse des Eaux Noires, Koei Tecmo a clairement tiré sur la corde. Et cette fois, il ne s'agit pas d'un rite sacrificiel.
Les plus
Un travail esthétique remarquable
L'ambiance toujours là
Doublages japonais inclus
Le mode Ayane sympa en bonus
Les moins
Une rigidité d'un autre âge
Des aller-retours interminables
Le manque de variété des ennemis
Des personnages sous-employés
Les fans auront du mal à sursauter
Rappel
Tests des autres Project Zero par Puyo
Project zero : 7/10
Project zero 2 : 7/10
Project zero 3 : 7/10
Dans les trois tests, dans les "moins", à chaque fois la notion de répétitivité (trop allers-retours) et la notion de "rigidité" dans les déplacements.
[...]il faudra peut-être patienter un peu plus longtemps puisque certains sites comme Amazon.fr ou encore Micromania listent désormais le jeu pour une sortie le 11 décembre de la même année.[...]
Une de mes séries animés préférés. Si vous aimez l'heroic fantasy (dans ce cas, nous pourrions parler d'héroïne fantasy) comique (parfois complètement délirant), ça devrait vous plaire. Nous sommes dans "l'esprit" de "Slayers". (que j'aime autant)
Nous suivons 3 héroïnes : Mirelle (Voleuse), Génie (Guerrière) et Mélissa (Prêtresse), elles voudraient former un groupe de quatre filles (une magicienne), mais une seule personne accepte de rejoindre leur groupe...c'est un homme Louie, elles se doutent pas sur quel personnage elles sont tombé...il est aussi courageux que débile, aussi maladroit que charmant...
Tout ça pour ça, c’est la première chose qui vient à l’esprit en repensant au drama de la sortie japonaise. Neuf mois plus tard, Tales of Zestiria se révèle être un JRPG solide, qui fera mouche auprès des fans comme des nostalgiques des années 90. Le mélange habile entre les thématiques classiques du genre et des personnages en phase avec les tendances actuelles de l’animation nippone crée un titre qui se laisse jouer sans peine. Pour autant, le bilan est malheureusement mi-figue mi-raisin ; pour chaque bonne idée, Bandai Namco commet des impairs avec une caméra désastreuse, un retard technique trop marqué et une ergonomie perfectible. Rien de rédhibitoire cependant tant les différents systèmes sont équilibrés pour cet épisode des vingt ans. On espère simplement que Bandai Namco aura la lucidité d'esquiver le bad buzz pour apprécier les qualités de son titre à leur juste valeur. Un volet qui prouve a minima que c’est bien dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.
Les plus
Un système de combat solide
Le casting sympathique
Une très bonne OST
Des bonnes surprises...
Les moins
... gâchées par des erreurs stupides
Une caméra atroce
L’ergonomie des menus moyenne
Un anachronisme technique
Durée de vie artificiellement gonflée
[...]Pour obtenir cette démo, il faut, comme prévu, d'abord espérer recevoir un courriel de Nintendo (ce qui est n'est possible que si vous êtes abbonésà la Newsletter du groupe) dans lequel vous obtiendrez trois codes, un pour vous et deux à "offrir", permettant de télécharger la précieuse démo sur l'eShop.[...]
Le 17/10/2015 de 9h à 14h59
Le 18/10/2015 de 12h à 15h59
Le 24/10/2015 de 9h à 14h59
[...]De plus, contrairement au Japon où les sessions quotidiennes ne durent qu'une heure, ici, les sessions sont suffisamment longues pour pouvoir découvrir le jeu même si elles se limitent à trois jours précis.[...]
[...]si vous téléchargez la démo de The Legend of Zelda : Tri Force Heroes vous bénéficierez d'un rabais de 10% sur l'achat du jeu complet sur l'eShop.[...]
C'est le site Nippon Connection qui raconte. A cette époque, les jeux étaient encore sur cartouches et elles avaient un défaut : elle ne pouvait créer des points de sauvegarde ou alors en nombre restreint. Dès lors qu'on éteignait sa console, il fallait vraiment être sûr que lorsqu'on la rallumerait, le jeu redémarrerait à ce point de sauvegarde et non au début de l'aventure, ce qui obligeait malheureusement à tout recommencer. Décembre 1994, un jeune japonais achète un jeu de plateforme : Umihara Kawase, qui va le rendre un brin méfiant.
Mais alors que la plupart des joueurs choisissaient de dire byebye au revoir à leur avancée en éteignant la console, ce joueur invétéré en a décidé autrement. Et comme il n’a pas voulu perdre son avancée dans le jeu, il a tout simplement laissé sa console branchée depuis décembre 1994, soit plus de 180.000 heures.
En définitive, ce cinquième épisode de Disgaea n’inclut que très peu de réelles nouveautés, tout au plus quelques ajustements qui vont heureusement dans le sens des joueurs. Et même si il s’agit probablement du volet le plus riche à ce jour, le manque de renouvellement se fait cruellement sentir, la faute à un scénario navrant, une technique d’un autre âge et une traduction française ratée. Dommage car Disgaea reste malgré tout un très bon TRPG avec un ensemble de systèmes et de règles toujours aussi profond et gratifiant, à condition bien sûr d’y consacrer un nombre conséquent d’heures. Si vous êtes prêts à signer ce pacte démoniaque, vous passerez un bon moment. Contrairement à d’autres, Nippon Ichi Software assume parfaitement son statut de niche, et ne montre avec Disgaea 5 aucun signe d’ouverture ou d’innovation profonde. En espérant que les joueurs initiés à la formule depuis déjà douze ans ne voient pas dans cette Alliance de Vengeance l’épisode de trop.
Les plus
C’est Disgaea !
Gestion des “sub classes”
Système de Maléfices enrichi
L’heure de jeu n’a jamais été aussi peu chère
Les moins
C’est Disgaea...
Scénario décevant
Traduction française ratée
Les visages caricaturés des dessinateurs Cabu et Wolinski, victimes de l'attentat contre «Charlie Hebdo» le 7 janvier, surplombent désormais l'entrée du Vieux Port de La Rochelle (Charente-Maritime). Tous deux ont désormais leur gargouille sur la tour de la Lanterne, récemment rénovée.
«Après l'attentat du 7 janvier, Philippe Villeneuve a eu l'idée de ces emblèmes sur ce bâtiment qui a autrefois servi de lieu de privation de liberté (les Quatre Sergents accusés de conspiration sous la Restauration y ont été enfermés avant d'être guillotinés en 1822, NDLR) pour leur rendre hommage, ainsi qu'à tous les artistes menacés dans le monde. Il n'en a parlé à personne mais une fois qu'il a les dévoilées, personne n'a été contre», explique Frédéric Henri. L'édifice s'appelle également tour des Quatre-Sergents.
Avec ces gargouilles frappantes, Philippe Villeneuve poursuit une tradition séculaire chez les tailleurs de pierre qui consiste à laisser une empreinte, souvent voilée mais parfois très explicite, de leur passage, à l'instar de la paire de fesses sculptée sur une frise décorant la cathédrale de Bourges.