« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Panzer Dragoon : Remake avait pour mission de faire (re)découvrir un Shoot’em Up emblématique de l’ère 32-bits à toute une génération de joueurs et c'est chose faite. Le Shooter profite de cette refonte pour corriger certains défauts du jeu d’origine et en peaufiner l’esthétique, ce qui fait de cette version un remaster par définition, et non un remake, qui plus est pauvre en contenu. Ce retour aux sources se destine principalement aux fans nostalgiques ayant fait leurs armes sur Sega Saturn. Les jours glorieux de la franchise Panzer Dragoon appartiennent définitivement au passé.
+Points positifs
Le retour d’un Shoot’em Up culte
Les nouveaux contrôles plus instinctifs
La bande-originale composée par Saori Kobayashi
-Points négatifs
Une caméra toujours aussi capricieuse
Une refonte visuelle superficielle
Une courte durée de vie (1-2 heures)
Un manque flagrant de contenu et de nouveautés
God is a Geek 9/10
Resident Evil 3 is a superb remake of the original, with Nemesis being the clear highlight. Although inventory management and aiming can be a problem, it's still a fantastic game.
Resident Evil 3 est un superbe remake de l'original, avec Nemesis étant clairement le point culminant. Bien que la gestion des stocks et la visée puissent être un problème, c'est toujours un jeu fantastique.
Hardcore Gamer 9/10
VideoGamer 8/10
Destructoid 8/10
The remake of Resident Evil 3 is going to be divisive, just as the original was.
Le remake de Resident Evil 3 va être source de division, tout comme l'original.
JeuxActu 16/20
À n’en pas douter, Resident Evil 3 est un survival-horror diablement bien maîtrisé dont la plastique absolument somptueuse, le rythme pêchu et le gameplay solide offrent une expérience délicieuse. Pour autant, son contenu s’avère particulièrement léger - son prédécesseur sorti l’année dernière le met sévèrement à l’amende - et force est de constater que son multijoueur inédit, malgré sa bonne volonté et une profondeur de jeu intéressante, est trop fragile pour servir de pleine compensation. Mais qu’importe, cette aventure domptée par un Nemesis brutal et réinterprété fait honneur à la version originale de 1999 avec, toutefois, pas mal de parties changeantes pour éviter la redite bête et méchante... au détriment de la fidélité. Et bien que l’on reste un poil sur notre faim après le brillant exploit de Resident Evil 2, cette refonte reste un exemple certain dans bien des domaines.
Millenium 77/100
Resident Evil 3 version 2020 fonctionne très bien. L'aventure, nuancée dans son approche, ravira les fans d'action sans sacrifier ce qui fait l'âme de la série, son côté survival horror. L'ambiance est tout simplement bluffante, oppressante et renforcée par la pression constante du Nemesis qui bénéficie d'une bien meilleure IA que Mr. X. Le RE Engine, plus précis que l'année dernière, et la musique, nous immergent dans un univers cauchemardesque à souhait et c'est tout ce que l'on espérait. L'aventure est toutefois assez simple dans ses affrontements, grâce à de nouvelles mécaniques de gameplay et ne mettra pas vos méninges à rudes épreuves, les quelques énigmes étant très basiques. Même en cherchant les armes et accessoires qui ne sont pas vraiment cachés, le solo se bouclera très rapidement. Malgré cela, on passe un très bon moment en compagnie de Jill et Carlos. Capcom prouve encore une fois qu'il possède l'une des meilleures licences du jeu vidéo malgré quelques petits loupés.
JVC 15/20
Les S.T.A.R.S plient mais ne rompent pas sous les assauts de l’impressionnant Nemesis. Si à l’époque, Resident Evil 3 avait apporté de réelles nouveautés de gameplay par rapport au deuxième épisode, le RE3 de 2020 se préserve. Graphiquement splendide, fluide, et dopé par des séquences diablement réussies, le soft de Capcom jouit d’un rythme soutenu malgré une seconde moitié moins inspirée. Bien que l’aventure soit courte, le dernier-né de Capcom respecte le cahier des charges. Le virus prend donc une nouvelle fois, mais nos anticorps sont puissants. Après la première attaque du Mister X de 2019, ce Nemesis ne nous a pas provoqué la même tachycardie. Les fans risquent de ne pas pardonner certaines coupes faites à l’histoire de base, tandis que les néophytes apprécieront une épopée qui vaut le coup d’œil. Le mode multijoueur asymétrique, lui, peine à convaincre. En définitive, que vous ayez connu ou non la version originelle de Resident Evil 3, Jill saura vous mener une ultime fois, et avec panache, dans les rues infernales de Raccoon City.
Gamergen 15/20
Resident Evil 3 est un peu frustrant. Le jeu proposé par Capcom est intense, revisitant l’original avec intelligence, arborant des graphismes magnifiques, mais le titre est terriblement court. L’absence de lieux emblématiques fait grincer des dents, mais surtout, les développeurs ont supprimé les quelques choix qui étaient permis dans l’original, résultant certes de séquences scriptées très réussies, mais effaçant totalement la rejouabilité. Les fans peuvent quand même refaire le jeu dans un niveau de difficulté plus élevé pour atteindre le rang S ou encore débloquer des points pour récupérer des bonus (buffs de dégâts, résistance, armes à munitions illimitées), mais c’est bien maigre pour la plupart des joueurs. Comme il y a 20 ans sur PlayStation, Resident Evil 3 ne semble être là que pour surfer sur le succès de Resident Evil 2, il satisfera les joueurs passionnés par la licence, mais c’est tout.
Gameblog 7/10
Plus tôt cette année, une rumeur affirmait que Resident Evil 3 aurait initialement dû être proposé avec Resident Evil 2. Et après avoir joué à ce remake, il y a de quoi penser que cette rumeur disait vrai. Resident Evil 3 est au fond un bon jeu, mais il est globalement court et souffre clairement de la comparaison avec ce que Capcom a proposé l'année dernière. Mr. X a terrifié les joueurs du monde entier en mettant une pression constante à Leon et Claire. Il était donc logique d'en attendre au moins autant d'un Nemesis, créature plus "avancée." Mais dans les faits, le Nemesis tel qu'on l'imagine n'est présent que dans la première partie du jeu et ne pose jamais vraiment de problème pour un joueur qui a l'habitude de la série. Cela étant dit, l'aventure reste divertissante, complète habilement celle proposée dans Resident Evil 2 et il est toujours plaisant de parcourir les rues de Raccoon City. De son côté Resident Evil Resistance propose un concept intéressant et original qui n'est pas aidé par son système de microtransactions et des soucis d'équilibrage en faveur du Mastermind.
JVL 13/20
Comme quoi, de bonnes premières impressions ne se confirment pas toujours sur le long terme. Après l'extase du remake de Resident Evil 2, nous parlerons plutôt de douche froide pour ce Resident Evil 3. Ce n'est absolument pas un mauvais jeu, mais il tape simplement à côté sur des points pourtant essentiels. Plus beau que l'original certes et moins nanard en raison des moyens plus importants, mais le côté action encore plus renforcé avec une mise en scène à la Tomb Raider, pendant certaines cinématiques et séquences jouées, nous fait grandement regretter l'ambiance intimiste du commissariat et son Mr. X. Des bonnes choses, oui, mais ternies par des choix difficilement compréhensibles. Nous espérons qu'un retour aux fondamentaux est envisageable afin de ne pas repartir définitivement dans les travers de Resident Evil 4, 5 et 6 pour la suite.
L'Organisation Mondiale de la Santé avait reconnu la pratique du jeu vidéo comme une source potentielle d'addiction et de troubles mentaux, mais le problème semble mis de côté pendant la crise sanitaire.
En tant que joueur, vous le savez sûrement bien : le jeu vidéo est un excellent passe-temps en cette période de confinement. Et pour une fois, la pratique est recommandée par les plus grands professionnels du bien-être physique et mental : l'Organisation Mondiale de la Santé.
L'organisme a en effet lancé une campagne avec de grands éditeurs internationaux pour encourager les confinés à jouer aux jeux vidéo pour s'occuper. L'initiative #PlayApartTogether vise à inciter les gens à rester chez eux, et ainsi à respecter la distanciation sociale prônée à travers le monde. 18 studios participent à l'opération, à savoir Activision Blizzard, Kabam, Snap Games, Amazon Appstore, Maysalward, Twitch, Big Fish Games, Playtika, Unity, Dirtybit, Pocket Gems, Wooga, Glu Smartphone, Riot Games, YouTube Gaming, Jam City, SciPlay et Zynga, qui vont tous intégrer des messages de prévention et des campagnes de sensibilisation dans les expériences qu'ils produisent.
L'ironie de tout cela, c'est que l'OMS a déclaré le jeu vidéo comme possible moteur d'addiction pouvant entraîner des troubles mentaux en 2018, ce qui avait alors fait grincer beaucoup de dents. Le communiqué n'y fait d'ailleurs référence à aucun moment, quand bien même il aurait pu prôner une consommation raisonnée. Entre la pandémie et l'addiction, l'organisation a tranché : vous pouvez vous lâcher sur les jeux vidéo pendant le confinement, tant pis pour votre santé mentale, et les malades sauvés ou évités vous en remercieront.
Le compte Twitter dédié au jeu nous informe qu'elle sera ajoutée dans un patch "dès que possible". Il sera alors possible de choisir entre les musiques d'origine de feu Yoshitaka Azuma, décédé en 2012, et celles réarrangées par Saori Kobayashi "dans le respect du style" de son confrère pour parcourir les sept niveaux du rail shooter emblématique de la Saturn. Cette bande-son flambant neuve sera par ailleurs intégrée d'office dans la version physique en précommande chez Limited Run Games.
Bioshock : The Collection : Le jeu sera livré sur une cartouche de 16 Go comprenant le premier acte de chaque jeu composant la collection. Pour la suite des aventures et les DLC accompagnant le tout, un téléchargement, dont la taille n'a pas encore été précisée, sera nécessaire.
Borderlands : The Legendary Collection : Le titre comprendra Borderlands, Borderlands 2 et Borderlands The Pre-Sequel !, ainsi que tous les DLC associés. Sur la cartouche, de 8 Go, les joueurs trouveront le premier opus, accompagné d'un téléchargement de 6,6 Go. Pour les deux autres titres, c'est un second téléchargement, de 35 Go qui attendra les joueurs, nécessitant évidemment une carte SD, la console ne disposant que de 32 Go de mémoire interne.
XCOM 2 Collection : Les deux premières missions de la campagne principale seront intégrées à la cartouche (de 8 Go), tandis que le reste du jeu et les extensions exigeront un téléchargement de 24 Go.
C’est officiel. Face à l’ampleur de la crise du coronavirus, le gouvernement a décidé de prolonger de deux semaines le confinement, à partir de mardi prochain, soit jusqu’au 15 avril, a annoncé le Premier ministre, Edouard Philippe, ce vendredi, à l’issue du Conseil des ministres.
« Cette période pourra être encore prolongée si la situation sanitaire l’exige. Je remercie les Français pour leur civisme, leur patience et leur solidarité », a ajouté le Premier ministre.
« Il est clair que nous n’en sommes qu’au début de la vague épidémique, elle a, c’est vrai, submergé le Grand Est depuis plusieurs jours, elle arrive en Ile-de-France et dans les Hauts de France », a-t-il déclaré, avant d’annoncer « le renouvellement de la période de confinement, pour deux semaines supplémentaires, à partir de mardi prochain. Soit jusqu’au mercredi 15 avril ».
Le conseil scientifique avait recommandé au gouvernement d’allonger la période de confinement, suggérant un total de six semaines, soit jusqu’à fin avril. Edouard Philippe a également annoncé qu’Olivier Véran, le ministre de la Santé, tiendra un point complet sur la situation sanitaire samedi.