"@mercure7 Pas de souci :good: Oui je te rejoins sur le fait que FF Special était la réf jusqu'à FF3 qui a redonné un sacré coup de jeune à la série avec ses graphismes revus comme le mentionne @alexkidd. Pour ma part mon opus préféré reste Real Bout, je ne me lasse jamais d'y jouer. La direction artistique à partir de RB Special me parle moins même si je reconnais le taf de qualité. D'ailleurs tu sais peut être : quand tu débloques Ryo (de Art of Fighting) dans FF Special, est ce qu'on peut le sauvegarder sur carte mémoire ? Il fallait finir le jeu sans perdre un round (de mémoire) et j'avoue que j'étais pas un dieu du stick donc j'ai jamais réussi à le débloquer :D Art of Fighting 3 était magnifique (le traitement du rotoscoping était particulièrement réussi) mais sorti très tard donc jamais pu m'y mettre et j'ai jamais été fan de la Neo CD (ces loadings des enfers)."

"@epicurien Probablement parce que proportionnellement plus de gens ont une 5090 aujourd'hui qu'il n'y avait de gens qui possédaient une Neo Geo à l'époque (l'AES se serait écoulée à un peu moins de 400 000 exemplaire dans le monde, il n'existe pas de chiffres officiels) donc on avait peu l'occasion de voir de ses propres yeux un tel rendu (les médias globaux tels que Youtube n'existaient pas, au mieux t'avais Micro Kids ^^). Donc ça restait marquant pour la rétine. @mercure7 Oui j'ai écrit "[g]visuellement[/g]" je peux pas faire mieux. Il est évident qu'on ressort pas le même jeu pour changer 2-3 détails insignifiants pour la modique somme de 1500 francs de l'époque (soit ~385€ de nos jours d'après Boursorama) 1 an plus tard."

"@shirou Clairement, en plus là il y a de quoi rager qu'ils n'aient pas proposé plus de dates dans des villes françaises différentes !"

"@liberty Mets toi à la place des promoteurs : Paris est la ville la plus susceptible de mobiliser du monde en France. Même si je te rejoins sur le constat, c'est un choix logique. Même si perso j'aurai plutôt fait le concert en France qu'en Angleterre, qui est géographiquement trop excentrée pour toucher les fans espagnols, allemands, italiens, suisses, etc..."

"[i]Dies Irae [/i]comme musique de dernier boss, c'était la classe pour l'époque. Pour y avoir (beaucoup) joué à sa sortie c'était une sacrée claque."