Aujourd’hui, on va discuter d’un sujet qui fait réagir pas mal de joueurs sur les forums et dans les commentaires : pourquoi est-il devenu presque obligatoire d’utiliser des technologies comme le DLSS (NVIDIA), le FSR (AMD) ou d’autres méthodes d’upscaling pour atteindre un framerate fluide de 60 fps, même sur des machines ultra-performantes ?
Il y a quelques années, avoir une « grosse config » signifiait jouer à des jeux en ultra à 60 fps ou plus sans trop de difficultés. Mais aujourd’hui, même avec une RTX 4090 et un processeur Ryzen 7 de dernière génération, atteindre les performances optimales peut sembler... frustrant. Les exemples abondent : Silent Hill 2 Remake ou encore S.T.A.L.K.E.R. 2 montrent des benchmarks où même les PC les plus musclés ont besoin d’un coup de pouce de l’upscaling.
Des moteurs comme l’Unreal Engine 5 repoussent les limites du possible avec des technologies comme Lumen (illumination globale en temps réel) et Nanite (détail des géométries). Si ces outils rendent les mondes plus immersifs que jamais, ils imposent également une charge énorme sur le GPU.
Est-ce que vous trouvez cela acceptable que des jeux modernes nécessitent autant d'astuces pour être jouables ? Ou pensez-vous que les développeurs devraient revenir à l’essentiel et travailler davantage sur l’optimisation ? Devrait-on plutôt encourager l'achat de PS5 Pro pour jouer dans de bonnes conditions, ou entrevoir l'optimisation de jeux pour la Xbox Series S comme une garantie d'avoir des jeux optimisés sur Series X ?
À l’heure actuelle, l’édition la plus récente de cette légendaire console est la PlayStation 5 Pro. Toutefois, cette prouesse technologique a un prix : celui de sa consommation énergétique. En effet, à raison de trois heures d’utilisation par jour en mode jeu, la PS5 Pro consomme environ 252 kilowattheures par an. Cela représente un coût annuel d’un peu plus de 60 euros, basé sur le tarif moyen de l’électricité en France au second semestre 2024.
Pour comparer, sa rivale, la Xbox Series X, est un peu moins gourmande, avec une consommation de 227 kWh/an dans les mêmes conditions.
Une console pas forcément adaptée pour les défenseurs de l'écologie, pour qui d'autres consoles, comme la Nintendo Switch ou la PS4 sur laquelle on retrouve la grande majorité de la ludothèque, semblent plus adaptées.
Et il n'y avait même pas de PS4 Pro ou de "ouin, c'est pas en 4K 120Hz Vrr RT". Vivement Intergalactic, je kiffe le Neo Retro ! Et cette musique... Future Masterclass, n'en déplaise aux rageux.
Et je pense que ces prochaines années vont être particulièrement intéressantes, avec des jeux jouissant d'une technique qu'on aura jamais vu !