"Fini la semaine dernière avec 80h au compteur dont 70-75h que je ne regrette pas du tout.
Ce jeu est la parfaite illustration du proverbe "le voyage est plus beau que la destination". Les dernières heures de DS2 sont un tunnel de vomi scénaristique avec twist, contre-twist, double contre-twist sortant de nul part et totalement insatisfaisant.
J'ai aimé l'aventure, les livraisons, les paysages mais ce n'est pas comme ça que l'on raconte une histoire: en rushant le scénar' sur les trois dernières heures parce que tu n'as rien raconté pendant les 70 heures de jeu."