Pour mon 3e portrait, j'ai choisi Terry Bogard l'un de mes personnages préférés! C’est aussi le plus célèbre des héros SNK. Terry et son frère Andy sont issus de l’orphelinat et ont été adopté par Jeff Bogard. Lorsque celui-ci est tué par l’immonde Geese Howard, Maître Tung Fu Rue décide de finir leur apprentissage en leur enseignant les techniques du Hakyokusaken. Seul Terry parvient à maîtriser cette technique de combat, et après de nombreux épisodes, il arrive enfin à tuer Geese. Pour en finir avec ces histoires de vengeance, Terry décide d’adopter le petit Rock Howard, fils de Geese. Depuis il participe chaque année au tournoi King of Fighters afin de se perfectionner et devenir le plus fort. Voilà, cette petite bio peut à être sujet à discussion, sachant que je me base sur la serie videoludique!
Carte d'identité:
Nom: Terry Bogard
Naissance: 15 Mars
Lieu de naissance: U.S.A.
Taille: 182 cm
Poid: 83 kg
Mensurations: Inconnue
Groupe sanguin: Type O
Armes: Aucune
Hobby: Jeux Video
Aime: Clubs sandwiches, Baseball
Liens avec... Andy, Mai, Rock et son fils
Un nouveau perso a été dévoilé par Dengeki Games du mois en cours! Il s'agit d'un perso d'un vieux de baston coréen sorti en 1994 sur Neo Geo: Fight Fever! Sachez que ce jeu etait relativement pourri mais le perso a l'air interressant puisqu'il s'agit de Chintao; un moine shaolin qui se bat notament avec ses cheveux (un peu comme moi quoi )! Vous l'aurez compri ce perso est exclusif à la future version PS2! Voilà!
La première mascotte de Sega...
... et la seule d'ailleurs selon moi. Ok, il y a ce virevoltant Sonic qui nous a envoyé notre brave Alex Kidd à la maison de retraite, mais bon sang ce Alex Kidd in Miracle World, quel jeu! Ce titre est tout simplement ma première acquisition videoludique. C'est simple, il était intégré à la Master System.
Bien que depuis passé aux oubliettes, aux cimetières des anciennes gloires du jeu video, je me devais de ressusciter ce jeu (contrairement à Sega) via ce test qui reviendra en long et en large sur l'un des coups de cœur de ma vie de joueur! Séquence nostalgie!
Déjà le titre en lui-même prête à sourire! Alex Kidd, avec 2d! Je veux bien croire que le japonais diffère très légèrement de notre écriture latine, mais là tout de même! Le titre en lui-même soulève des interrogations sur la technique commerciale de la firme d'Haneda. Et oui Sega savait faire de super jeux, mais ne savaient définitivement pas les vendre.
Bref, ceci est une autre histoire, entrons donc dans l'univers de Radaxian qui connaît une espèce de coup d'état mené par Janken Le Grand et ses potes! Alex Kidd qui est le prince de ce royaume, décide d'aller au charbon et de dégager la vermine de ses terres, personne ne semble être en mesure de le faire pour lui.
Armé de son super poing droit de la muerte qui déchire tout (et qui fait 2 fois sa tête) il parcourra une petite vingtaine de stages, tous plus ou moins longs, à casser sans cesse divers types de monstres tous loufoques (des choux, singes, scorpions, piranhas, oiseau reptile etc...), ainsi que des boss, comme l'Ours version Star Wars, ou bien le boeuf pour ne citer que ces 2-là.
Ce qui est plaisant dans ce jeu, c'est vraiment sa variété au niveau de l'action. Concurrent direct à Mario (le titre est sortit en 1986 tout de même), le titre de Sega se retrouve plus orienté aventure et action, plutôt que plateforme pure!
Une map est présente pour nous indiquer notre position (accessible en faisant pause), différents items sont mises à dispositions dans les boutiques, mais attention, il va falloir ramasser du dollar Radaxian pour pouvoir goûter aux joies de la moto ou de l'helico. Il y avait même un stage où l'on pilotait un bateau.
Ce jeu mêle donc très habilement plusieurs genres comme le shooting, le pilotage (course), l'action pure, la plateforme bien sûr, des éléments propres aux jeux d'aventure (discussion avec les villageois, achats d'item), et même de stratégie avec le fameux Jan-Ken-Pon (tient, çà vous dit quelque chose?), le fameux pierre-ciseaux-papier. Et oui 6 boss doivent être vaincu par ce jeu ancestral japonais, ainsi que le dernier gardien du jeu qui n'est autre que... Janken! Quel enfoiré celui-là, même en récupérant la pierre qui fait lire dans les pensées de son vis-à-vis, il vous sera très difficile de le battre, tellement le bougre change de combinaison au dernier moment!
Bref, sans dévoiler tout le jeu, Alex Kidd IMW est vraiment un titre bien riche, et pas vraiment classable en fait, comme un petit peu les GTA aujourd'hui, mais le ciment du jeu, reste quand même la plateforme.
Techniquement, que dire, si ce n'est que le titre est vieux (1986). Il est certain qu'aujourd'hui, en matière de 2D, il y a cent fois plus beau, mais bon, le charme agit toujours, et puis l'ensemble est très clair, ce qui facilite la progression. L'écran n'est jamais surchargé en éléments graphiques!
L'animation est aussi d'époque. Notre petit singe trace à toute vitesse! D'ailleurs les premières minutes sont assez délicates, il faut vraiment l'apprivoiser, mais bon, on prend le coup très rapidement, pas de soucis majeur à ce niveau-là. Pas de ralentissement à signaler, sauf dans les châteaux quand on change de pièces. Je déplore quand même des petits bugs d'affichage, et des rares problèmes de collisions de sprites, mais franchement pas de quoi gêner la progression tant ces problèmes sont marginaux.
Enfin, un mot sur l'aspect musical du soft. La première fois que l'on lance le jeu, on découvre un petit thème tonitruant qui aujourd'hui fait partie vraiment de la personnalité d'Alex Kidd. Un thème qui sera d'ailleurs repris dans l'épisode Megadrive. Mais en tout et pour tout on compte 4-5 pistes pour tout le jeu. Mention spéciale aussi pour les thèmes des châteaux, du très bon pour l'époque.
Enfin la durée de vie est courte, le jeu se termine en une après-midi (comme beaucoup de jeux de ce type à cette époque), mais ne vous réjouissez pas trop vite, la difficulté est au rendez-vous!
Finissons sur une note culturel. Alexkidd in Miracle World représente aujourd'hui sans aucun doute l'œuvre la plus marquante et intemporelle d'un certain Ossale Kohta, qui n'est autre que le pseudonyme de M. Kotaro Hayashida qui travaille aujourd'hui chez Game Arts (vous savez Grandia, Sylpheed, tout çà...). Il a travaillé sur de nombreux titres à l'époque des 8 bits/16 bits, notament sur le Alex Kidd Megadrive, Space Harrier 2, ainsi que Phantasy Star II pour ne citer que ces jeux. Et dire qu'il avait hésité au début entre Namco et Sega!
Pour finir, je dirais que pour le segamaniaque que je fus durant ma jeunesse, Alex Kidd fait figure de Mario. Le fait que cette licence (et cette mascotte) ait été abandonné par Sega depuis bientôt 15-16 ans me rend à la fois triste (à quand un Sega Ages 2500 de ce jeu?), mais aussi heureux. Heureux aussi de ne pas retrouver aujourd'hui un vieux monsieur, ne comprenant rien aux nouvelles technologies et au TOUT-3D d'aujourd'hui, et engendrant un soft complètement décalé ayant comme seul faire-valoir, l'aspect nostalgique/pigeon. Oui, heureux en fin de compte...
Fiche Technique: Titre: ALEX KIDD IN MIRACLE WORLD Développeur: SEGA Éditeur: SEGA Genre: PLATEFORME-AVENTURE Année: 1986 Autres suports: EXCLUSIF Nombre de joueur(s): 1 Localisation:
Bonus retro:
3 BONUS POUR UNE FOIS! Alors le premier, c'est un petit fichier audio à télécharger avec le thème d'Alex Kidd in Miracle World refait en Ukulélé. Marrant!
Le deuxième c'est ce croquis d'époque d'Alex Kidd, fait par Ossale Kohta himself, ainsi que le jeu de société Alex Kidd. Merci à 1up!
Enfin le troisième et le meilleur, la PUB JAP de Alexkidd in Miracle World!! Alors là enjoy grave... Voici donc le fichier audio en ddl!
Ok tout le monde n'habite à Paris, et tout le monde n'a pas eu la chance de se rendre à la tête dans les nuages pour jouer au jeu! Donc cet article est destiné aux provinciaux (j'en suis un!) et aux retardataires! En tout cas çà me fait toujours plaisir de vous en parler, perso c'est le jeu que j'attends le plus! Je vous propose ici l'intro du jeu! Sachez qu'une conversion PS2 est envigeasable (rien de confirmer pour le moment). Voilà c'est mon seul article aujourd'hui, je suis trop fatigué, je pars me coucher dans 20 min! Ciao Introduction de Hokuto no Ken ATOMISWAVE
En 1997 en pleine mode du tout 3D, SNK sort l’Hyper NeoGeo 64, un tout nouveau système d’arcade censé remplacer a court terme le système MVS qui commencent a se faire vieux. Une version console est même évoquée, mais ne verra jamais le jour. Sortir un tel hardware était un pari très risqué pour une société spécialisée depuis près de 20 ans dans les jeux 2D sans aucune expérience dans le domaine de la 3D, et ce fut un échec cuisant. D’une part le système était des sa sortie techniquement bien trop faible et beaucoup trop cher pour les exploitants de salles pour venir concurrencer Sega sur son propre terrain. A cette époque, Sega cartonne avec son impressionnant système Model 3 (Sega Rally 2, Virtua Fighter 3) et SNK fait bien pale figure avec son hyper 64 techniquement a peine au niveau du système Model 2 qui date de 1994…
En 2 ans, seulement 5 jeux ont vu le jour sur hyper NeoGeo 64 : 2 Samurai Shodown en 3D assez moyen, Buriki One un étrange jeu de baston, Fatal Fury Wild Ambition complètement désastreux et un jeu de 4x4 complètement dépassé des sa sortie Road’s Edge. Samurai Shodown 64 et Fatal Fury Wild Ambition furent adaptés sur Playstation.
Fiche technique H-64
Général :
- Processeur : 64 bit RISC Chip 4 et 64 Mb.
- nombre de couleurs : 16.7 millones.
- nombrfe de couleurs affichables simultanement: 4,096.
Ok, le titre est ecrit dessus, mais moi je voudrais le nom de la version française du jeu! C'est un jeu genial qui m'avait bien plu à l'époque! Celui qui trouve, demain matin je lui apporte le petit déjeuner au lit ! Alors, c'est quoi??
P.S: SVP n'allez pas tapez le titre du jeu sur google, j'en appelle à votre culture! Merci de votre compréhension!
Bravo à Zaio qui a brillement remporté mon quizz ! Et bravo à Damaster aussi
Après l'annonce officielle de la complilation Metal Slug sur PSP, on pouvait craindre l'annulation du remake du premier épisode sur GBA. Il n'en rien, Metal Slug 1 est toujours prévu et est même daté car il sortira en Septembre aux States! Pour information, ce jeu s'arrache à 1500E du fait de sa rareté! Par contre, pour l'Europe et le Japon, pas de date!
+ d'infos: SNK PLAYMORE USA
S C R E E N S H O T S:
Quand même il y en a un peu marre de la politique actuelle de la conversion!
Ce débat ne porte pas sur Capcom mais sur une des ses licences. En effet, imaginez que l'editeur ramène dans ses valises à L.A, STREET FIGHTER 4!! Ce n'est qu'une simple hypothèse attention! Après la fausse rumeur d'un SF 4 qui circulait quelques temps avant le TGS 2005 (il s'agissait en fait du street psp), peut-on toujours attendre ce titre sachant que depuis 2001 environ Capcom ne developpe plus ou tres peu sur Arcade (des pachislots en fait). Selon les spécialistes nippons de l'Arcade (Arkadia entres autres), il semblerait que si Capcom décidait de faire un Street Fighter 4, ce serait un episode 3D! Ce serait un choix plus economique (meilleur adaptation sur next-gen) qu'autre chose! En tout cas moi je suis prêt à le croire voyant juste l'interêt de SNK PLAYMORE pour la 3D ( La grosse promotion autour de KOF Maximum Impact par exemple...). En outre il semblerait que Capcom ne soit pas interressé par l'Atomiswave. Dans tous les cas, j'estime à 0,1 pour cent de chances que Capcom ramène ce titre à L'E3! Et vous, qu'en pensez-vous? Laissez-moi vos commentaires, suggestions, hypothèses....en vous remerciant!
Game one qui est en règle general, une chaîne de merde, a décidé de diffuser un reportage d'Alex Pilot sur le shoot them up (et notament en Arcade). Un reportage qui s'annonce grandiose avec un historique sur le shoot'em up, ainsi que du shoot'em up moderne avec une visite chez Cave, Konami, G.rev, et des interview des meilleurs joueurs du Japon. Un reportage a ne pas manquer si vous êtes amateur (ou amatrice pour ces demoiselles) du genre! Il sera diffuser le lundi 3 avril a 21 heures, puis le vendredi 7 avril à 12h55, et enfin le dimanche 9 avril à 14h30. A bon entendeur .
+ d'infos: MAKING OF DU REPORTAGE
C'est le 21 Avril (drôle de date...) que sort Pink Sweets :Ibara Sorekara en Arcade, au Japon (bien evidement). Il s'agit d'un spin-off du premier episode mais version parodique! Pour l'instant, Cave n'a pas communiqué pour un portage de son shoot sur console mais çà ne saurait trop tarder! (Qui a dit E3?)
+d'infos: C' EST ICI
Ma nouvelle rubrique perso a subit un remaniement. En effet, j'ai decidé de mettre un joli portrait qui colle plus en fait, au sujet de la présente rubrique. Après Ukyo (qui ne vous a pas emballé) place maintenant à un personnage connu car on va parler de Gouki alias Akuma en-dehors du Japon. Contrairement à ce que l'on entend parfois, Gouki n'est pas le maître de Ryu et Ken mais le frère de Gouken. Gouken est le vrai maître de Ryu et Ken. Quant au maître de Gouki et de son frère (donc Gouken) il s'agit de Goutetsu. Jusque là, vous me suivez! Donc, un jour Gouki decide d'utiliser la technique du Hado à ses propres fins et tue son maître Goutetsu, et son frère par la même occasion. En effet, il n'acceptera jamais le fait que Gouken enseigne les dernières techniques secrètes du Hado à Ryu et Ken. Voilà donc le pourquoi du comment de la rancoeur qu' éprouve Gouki aux 2 jeunes Street Fighter et par là même sa précence dans la série de Capcom. Sachez que dans la majorité des jeux ou ce presonnage apparaît, sa doublure vocale est M. Tomomichi Nishimura (petite info pour vous la péter devant vos potes ).Merci de votre attention!
Malédiction... trop tard!
Si il y a un personnage que les fans de Sega n'ont pas oublié, c'est bien Wonderboy. Crée par la société Escape qui deviendra plus tard Westone, le premier épisode paru en 1986 sur la console de Sega SG-1000 et avait marqué les esprits de l'époque. Le personnage sera utilisé dans divers suites, sur des supports différents comme la NES, les consoles Sega ou la PC Engine. Seulement le nom "Wonderboy" restera la propriété intellectuelle de Sega, ce que créera une grosse confusion auprès des joueurs puisque selon les plateformes les titres des jeux changeaient.
Parallèlement à la série principale, Westone créera une série spin-off plus axée RPG dans un univers fantasy, la série des Monster World.
Cet épisode est donc le deuxième épisode de cette saga, Monster World II: Dragon no Wana appelé chez nous Wonder Boy III: The Dragon's Trap. Ce jeu est sortit en 1989 sur Master System et Game Gear, dans ce test nous nous intéresserons à la version portable.
Précisons tout de même que ce même jeu ressortit 2 ans plus tard sur PC Engine dans une version remaniée qui se nommera sobrement Dragon's Curse en occident, et Adventure of Island au Japon. Comme vous le constatez ce titre n'a aucun rapport avec les Adventure of Island que nous connaissons en occident, qui sont les versions "Nintendo" et "PC Engine" de Wonderboy série principale, ce même jeu s'appelant Takahashi Meijin au Japon, vous me suivez?
Au royaume de l'imbroglio Wonder Boy est roi...
Ce titre est la suite directe du premier Monster World. A la manière d'un Dracula X Symphony of the Night, on commence le jeu avec le dernier combat de l'épisode précédent, en l'occurrence contre le Meka Dragon.
Avant de s'éteindre, le Meka Dragon jettera une malédiction au personnage le transformant en dragon (Lizard-Man). Le but de notre ami sera donc de retrouver sa forme humaine, pour se faire il devra partir à l'aventure pour récupérer le Salamander Cross, seul objet qui lui permettra de redevenir un beau jeune homme.
Pour un titre aussi, on peut noter que le début est assez original puisque l'histoire commence d'emblée par un coup de théâtre qui en a étonné plus d'un!
Le jeu propose un village unique qui permettra à notre héros de s'équiper mais qui constituera le point de départ des différentes quêtes à accomplir. Le jeu n'est pas structuré en niveaux séparés, l'univers est donc assez ouvert. Pour accéder à nouveaux lieux, il faudra utiliser les différentes formes que notre avatar acquerra durant son périple. Car oui, Wonerboy ne restera pas tout le jeu Lizard-man, il pourra se transformer aussi en Mouse-man qui lui permettra entre autre, de franchir des passages étroits. Il pourra aussi se transformer en Piranha-man ce qui lui permettra de nager, ou encore en Hawk-man, forme qui permettra à héros de voler. C'est ainsi que l'on débloque les nouveaux lieux à visiter, ce qui est au demeurant fort original dans un jeu d'action-plateforme-RPG au scrolling latéral.
Wonderboy pourra tout au long de son aventure améliorer 3 caractéristiques, les Attack Points (AP), les Defense Points (DP), et les Charism Points (CP). Comme leurs noms l'indiquent, les AP et DP augmenteront respectivement la force et le boulier de notre personnage. Les CP augmenteront eux le charisme de notre avatar, concrètement cette caractéristique servira avec les marchands. En effet, certains marchands refuseront de nous vendre un item, malgré le fait que l'on dispose de la somme necessaire, prétextant le manque de charisme de Wonderboy, ce qui est un comble en matière de pratique commerciale. Il faudra donc charmer les marchands pour les décider à faire des affaires avec nous.
Techniquement, le titre est très propre sur Master System, et très joli sur Game Gear. L'ensemble est clair, les graphismes d'époque restent convaincants. En tout cas, à l'époque la réalisation technique était de très bonne facture.
L'animation est correct, on ne constate quasiment pas de bugs d'affichages ou autres. Enfin la bande sonore est vraiment sympathique s'inscrivant parfaitement dans l'esprit "heroic-fantasy naïf" du jeu. La qualité sonore 8 bits pourra cependant rebuter les joueurs habitués aux sons modernes, mais ceux-là s'intéressent-ils vraiment à ce genre de titre?
La jouablilité ne pose aucun problème aussi, l'interface des menus est claire et concise, on s'y retrouve facilement. Seul bémol, le jeu est en anglais, même en version PAL française. En même temps, à l'époque, peu de titres étaient traduit dans notre langue.
Enfin la durée de vie est malhereusement assez courte, surtout pour un titre du genre. Comptez grand maximum 5 voire 6 heures pour en venir à bout, ce qui est peu.
Cependant la progression est non-linéaire, et l'aspect aventure est suffisamment développé pour accrocher le joueur de bout en bout. Aussi un système de password (assez mal fait d'ailleurs) permet aux joueurs de reprendre leur parti quand bon leur semble. Les passwords sont à récupérer chez un marchands, vu qu'il n'y a pas de niveaux dans le jeu.
Monster World II faisait parti des must-have des 8 bits de Sega, que ce soit Master System ou Game Gear. Un succès amplement mérité tellement le titre de Westone était aboutit, tout en conservant l'esprit naïf de la série. Le jeu est agréable, jouable, et suffisamment intéressant pour accrocher le joueur. Son seul vrai défaut vient de sa faible durée de vie et de son manque de rejouabilité. Cependant la courte expérience reste des plus agréables.
Fiche Technique: Titre: MONSTER WORLD II: DRAGON NO WANA Développeur: WESTONE Editeur: SEGA Genre: ACTION-RPG Année: 1992 Autres supports: MARK III, PC ENGINE Nombre de joueur(s): 1 Localisation: Jeu testé en version européenne
NOTE PRESSE (Player One 023 - Septembre/Octobre 1992)
RESSOURCE PRESSE
Screenshots:
Bonus retro:
En bonus, Je vous propose aujourd'hui un TAS réalisé par un duo du joueur, AngerFist et OgreSlayeR en 30:08. Je précise que ce TAS est réalisé sur Master System et non sur Game Gear.
Pour la 3e fois, Virtua Fighter 5 aura droit à une location test (test en public) dans plusieurs salles Sega au Japon. Sortie prévue toujours pour l'été 2006 (en Arcade et Japon, precisons...)
C'est juste pour rappeler que Taiko No Tatsujin (le jeu musical de Namco) sort aujourd'hui sur PSP. Ce jeu utilise sur Arcade et PS2 des tambourins pour le gameplay, je me demande comment ils vont retransmettre cette façon de jouer sur PSP...Mais, bon...
Tarot Party III!
Aujourd'hui, on va traiter le cas du dernier né d'une série de jeux de reflexion, made in Data East, j'ai nommé Magical Drop III.
Cette série est sans doute née grâce à une autre série plus connu, et plus huppé à l'époque: Puzzle Bobble de Taito.
Pour ne pas se faire devancer dans ce marché des Puzzle Game, très en vogue au milieu des années 90, Data East crée donc une série qui s'inspira un peu des 2 dinosaures de Taito, tout en apportant un nouveau gameplay, nettement plus nerveux.
Nous allons plongé dans la troisième opus de cette série, que les fans de la Neo Geo n'ont pas oublié.
Le troisième épisode de Magical Drop se démarque de ces prédécesseurs, par son Stroy Mode, un peu plus étoffé, et plus scénarisé. En effet, des dialogues ponctuent ce mode à chaque début de confrontation.
On nous invite à incarner un des 16 personnages du jeu de cartes tarot (avec tous un design kawaï), avec en plus 7 personnages cachés à débloquer en finissant plusieurs fois le jeu. Chaque personnage définit une espèce de niveau de difficulté. Ainsi, un personnage comme World va être plus efficace qu'un Hierophant.
Concernant le gameplay, le jeu se joue seul, ou en versus face à un humain ou au CPU. Nous allons oublier le mode solo très classique au demeurant, pour passer sans transition au plat de résistance le jeu à 2 (quelque soit le mode).
Le principe est simple. On dirige un avatar en bas de l'écran qui doit attirer des boules de couleurs. Ensuite il doit renvoyer les boules vers le haut pour former au minimum une paire de 3 boules de même couleur. Une fois cette paire réussi, on élimine ces 3 boules, et on part en chasser d'autres et ainsi de suites.
Le plus intéressant dans le gameplay, c'est qu'au bout d'un certain temps, dès que l'on commence à avoir un minimum de skill, il est possible réaliser des combos, des enchaînements de coups.
Les parties deviennent folles, il n'est pas rare de voire des 6, 7, ou 8 hits! Ce qui inflige bien sûr de gros dégâts au joueur adverse, qui doit éviter côute que coûte, qu'une boule touche le bas de l'écran ce qui signifie la défaite!
Aussi durant le mode Story du mode Versus, si l'on réalise des parties parfaites avec des gains de points de bonus à chaque duel, on tombe sur notre ami le Fou. Le battre constitue un gros challenge pour les joueurs les plus chevronnés, puisque son avatar a la particularité de se téléporter. Ce n'est pas le seul "special guest" d'autres viendront aussi sur notre route, si elle est bien sûr parfaite.
Du côté de la technique maintenant, le jeu dispose de graphismes agréables. Les personnages choisis couvrent le fond de notre ère de jeu avec des animations typiquement japonaises, surtout lorsque l'on réalise des combos. Cela confère un petit côté "anime" au jeu fort sympathique.
Le chara-design est on ne peut plus nippon, on n'aime. L'ensemble est parfaitement lisible, même si les mauvaises langues diront que le titre de Data East ne tire pas partit des gigantesques capacités de la Neo Geo.
Du côté sonore, là aussi c'est du très bon boulot, avec des digitalisations vocales à foison, plus que dans les opus précédents. Les musiques collent parfaitement à l'ambiance du titre, les thèmes sont bien choisis, et suffisamment énergiques pour nous mettre dans l'ambiance.
Enfin et pour finir, la durée de vie du titre est quasi-infinie en mode versus 2 joueurs, un investissement très rentable pour votre Neo Geo si vous avez un ami fan du genre sous la main. Le fun est omniprésent durant les parties. En 2 mots la jouabilité et le gameplay sont justes excellents.
Pour conclure sur ce test, je dirais que Magical Drop III fait parti de ces titres marquants de la ludothèque de la Neo Geo. Beau, bien réalisé de manière générale, proposant plus de personnages que ces prédécesseurs, et surtout doté d'une ambiance en hausse, et d'un système de jeu toujours aussi fun et diabolique, ce troisième épisode est une franche réussite. Un seul petit reproche, dommage que l'on est pas eu droit à une autre suite sur la Rolls des consoles.
Un titre très addictif, un seul avertissement: gare aux ampoules aux doigts!
Fiche Technique: Titre: MAGICAL DROP III Développeur: DATA EAST Éditeur: SNK Genre: PUZZLE GAME Année:1997 Autres supports: ARCADE (MVS), PLAYSTATION, SATURN Nombre de joueur(s): 2 Localisation:
NOTE PRESSE (nintendolife.com - Décembre 2010)
Screenshots:
Bonus retro:
Et en bonus, une petite pub du jeu mais qui concerne la version PlayStation.