Un peu de cinéma pour une fois, mais en rapport avec le jeu video quand même ce premier trailer de la suite de Onechanbara The Movie qui se nommera Onechanbara The Movie Vortex.
L'action de ce second film reprend la trame du second opus. Au programme des seins, des mini-shorts, des zombies, du sang, bref tout ce qu'il faut pour faire un très bon film (en tout cas pour moi xD).
Ca sort le 3 Juillet au Japon en DVD.
Je vous mets des petites photos des actrices... quand même ^^.
Source: Kotaku

Je vous en parlé hier, j'ai fait ma petite recherche et voici donc la première video de gameplay de Chaos Code issu de la loke-test publique qui a lieu depuis aujourd'hui jusqu'au 26 avril à Matsudo, Chiba (Tokyo).
J'ai juste vu le premier round sur cette video, et pour l'instant çà ressemble pas mal à du Guilty Gear, Arcana Heart et à du Hokuto no Ken (air dash, reprise de garde (stance) aérienne) etc... Et aussi le petit côté spéctaculaire et péchu des DM qui me fait donc penser à du HNK. Le tout avec un visuel propre très manga. Très intéressant, à suivre.
Chapeau à cette jeune société australienne (FK Digital) qui pour son premier jeu de combat, nous gratifie d'un produit qui a l'air pas mal du tout. Seul hic, seulement 10 persos!
+ de vidéos ici!!

Codons nos armes les amis!
Le 1er Septembre 2005, comme pas mal de joueurs, je suis allé cherché ma PSP au Micromania du coin.
Je voulais absolument revenir chez moi avec la console et 2 jeux. Déjà le titre qui m'a fait acheté la portable de Sony, c'est Ridge Racer (fan de la série depuis le début), et, et, et... Je savais pas trop.
Parmi la poignée de titres disponibles, un a attiré mon attention, Coded Arms, un FPS signé Konami. Etant donné que j'aime les FPS et que j'étais curieux de voir ce que çà allait donner sur PSP, je l'ai donc pré-commandé, et suis allé le chercher une semaine plus tard, le 8 Septembre 2005.
Voici donc le verdict sur ce jeu, via ce test assez bref.

D'abord, on va parler rapidement du scénario et du background. En gros, le titre s'inspire à la fois de Matrix, T.R.O.N et plus globalement d'autres œuvres du même registre.
L'action prend place à la fin du XXe siècle, un gigantesque réseau informatique régit la vie des terriens puisque l'esprit humain peut directement entrer dans ce réseau.
Il se trouve que ce réseau a engendré un programme d'entraînement militaire conçu par l'A.I.D.A. Malheureusement ce programme se fait hacké par des petits malins dans le but d'organiser des joutes musclés qui altèrent la santé mentale des gens.
Le joueur est donc plongé dans ce monde virtuel pour nettoyer, éliminer les différents virus etc...
Bon bref, cela n'a pas une très grande importance dans le jeu, c'est juste un prétexte pour donner une personnalité cybernétique au jeu.
Déjà d'un point de vue gameplay, on dispose d'un très grand nombre d'armes comme le pistolet, le M-16, les grenades chaff (petits clins d'œil à MGS ^^), le bazooka, le fusil sniper etc... On en dénombre une trentaine, ce qui est conséquent.
Le but du jeu est simple, traverser 3 grands niveaux divisés en sous-zones, et nettoyer tout ce qui bouge. En finissant le jeu, on débloque 3 nouveaux chapitres, un peu plus court que les précédents.
Pour vous décrire grossièrement la progression dans ce jeu, on entre dans une salle, on nettoie la salle, on ouvre une porte, on traverse un minuscule couloir, on rentre dans une nouvelle salle, on re-nettoie une nouvelle fois la salle, etc... Passionnant hein? Voilà avec ce jeu, Konami prouve à la fois son expérience incroyable en matière de FPS (sic!), et nous offre un mets retro dans une console toute nouvelle (et de surcroît puissante). Effectivement avec Coded Arms on revient quelque peu aux origines du FPS, un soft ludiquement poussiéreux.

L'aspect technique est globalement bon et exploitait bien la PSP. Même aujourd'hui le titre a encore de la gueule. Graphiquement, les décors sont réussis, les textures sont assez fines et travaillées. Le chara-design n'est pas mauvais. Seul ombre au tableau, un certain manque de variété au niveau des décors que l'on traversera durant tout le jeu.
L'animation est correct, même si j'ai déploré durant mes parties quelques ralentissements lorsque l'écran est chargé d'ennemis. L'IA des ennemis se résument à nous foncer dessus, ou bien à bouger sans aucune logique. Une IA à la ramasse.
On a beaucoup critiqué la maniabilité de ce FPS portable dans les magazines ou sur internet, mais moi je l'ai trouvé plutôt jouable après quelques minutes d'adaptation. Je signale que sur Dreamcast, il n'y avait qu'un stick analogique, sur N64 pareil, sur Saturn et PS1 (pad classic) il n'y avait pas de stcik, cela ne nous empêchait pas de jouer à des FPS...
La musique se déclenche pendant les phases d'actions, une techno plutôt entraînante, sans être inoubliable non plus. Les différents bruitages sont bien rendus, les quelques voix digits sont moyennes.
La durée de vie est normal, une dizaine d'heures pour boucler la campagne solo. On rajoute un mode multijoueur en ad-hoc à 4 joueurs qui nous propose le strict minimum. Rien d'inoubliable, au bout de 10 minutes on passe à autres choses.

Coded Arms est l'archétype même du jeu réussit techniquement, et bâclé ludiquement. La faute à un level-design merdique, et à une IA qui l'est tout autant.
Certes certains passages actions sont intenses, mais le rythme est bien trop haché, et finalement on n'est jamais surpris devant ce programme.
Je lui mets 4/10 car la technique est vraiment pas mal, et que çà peut défouler les moins exigeants d'entre vous après une dure journée d'usine. Pas de quoi marquer l'histoire, si ce n'est le fait d'avoir été le premier FPS sur PSP.

Fiche technique:
Titre: CODED ARMS
Editeur: KONAMI
Genre: FPS
Année: 2005
Autre support: EXCLUSIF
Nombre de joueur(s): 4
Localisation:

NOTE PRESSE (Joypad 156 - Octobre 2005)



Screenshots:

Bonus:
En bonus, un artwork.

Je l'avais complètement oublié celui-là, et pourtant il revient d'une manière très fracassante dans l'actu!! En effet Chaos Code qui à l'origine était un jeu de baston 2D bizarre prévu pour le PC avec des applications inédites (nous disait-on à l'époque), se dévoile dans sa version normalement définitive! Il s'agit d'un jeu de baston 2D de tout ce qu'il y a de plus classique, à priori.
Déjà le projet est toujours porté par les australiens de FK Digital, le jeu est prévu en arcade, à ce sujet le titre sera en loke-test publique du 24 au 26 avril à Matsudo, Chiba (Tokyo).
Et le luxe absolu, on a droit à des premières vraies images! C'est assez joli, çà fait penser à du Arcana Heart.
Source: Neo-arcadia
Site officiel du jeu

Parmi les 4 jeux présentés de SNK Playmore à la conférence 360 Japan, on a eu Samurai Spirits Sen, qui sortira en version boîte et apparement en exclusivité sur 360.
Dispo depuis 1 an en arcade au Japon, le titre avait été initialement annoncé au TGS 2007 sur PS2.
Voilà que Famitsu nous livre les premiers screens de la version Xbox 360. Vu la gueule du jeu, çà aurait été plus logique qui sorte sur PS2, ou sur Wii. Parce que là sur 360.... face à des Soul Calibur 4, Tekken 6 et même le vieillissant Virtua Fighter 5, ce jeu est presque indigne de la machine!
Le titre est prévu en 2009 au Japon, à priori à la fin de l'année.
Source: famitsu

Mauvaise nouvelle, Oboro Muramasa Youtouden vient de perdre son éditeur aux USA, à savoir XSEED.
En effet, la société américaine a confirmé ne plus vouloir éditer le jeu en amérique du nord, sans pour autant mettre un terme aux accords de co-édition avec Marvelous Entertainment aux USA.
Pour rassurer les joueurs ricians, XSEED confirme que des jeux comme Arc Rise Fantasia ou Little King's Story seront bel et bien distribués par cette société là-bas.
En espérant qu'Oboro Muramasa trouve un nouvel éditeur plus sérieux pour le coup!
Source: Ign

Pas de flood les gars, après çà je libère le top des blogs mais il fallait quand même lui consacrer un article car il le mérite. Et oui, KOF 2002 UM sera accompagné d'un autre jeu de combat de SNK et quel jeu, Garou Mark of the Wolves.
Disponible sur Neo Geo, Dreamcast et PS2, voilà que l'un des derniers jeux signés SNK arrive sur Xbox Live Arcade.
Alors que je suis sceptique concernant l'annonce de KOF 2002 UM (qui peut passer aux oubliettes comme KOF 98 UM, je vous le rappelle), là je pense que çà va se faire.
Pas de date arrêté, mais le planning parle de l'été 2009.
KOF 2002 UM sur XBLA arrivera quant à lui courant 2010.
Source: xbox japon

La conférence de Microsoft a été l'occasion pour SNK Playmore d'annoncer des jeux pour le XBLA, et voilà que déboule The King of Fighters' 2002 Unlimited Match sur la dame blanche.
Une annonce qu'il faut quand mêm prendre avec des gants car je vous rappelle que KOF 98 UM avait été annoncé sur XBLA (on l'attend toujours) et que Samurai Spirits Sen avait été annoncé sur PS2 (on ne l'attend plus).
Bref si çà se réalise, çà serait une bonne nouvelle pour les fans de baston, prévoyez un stick quand même.
Source: xbox japon

Genèse.
Le test d'aujourd'hui revient avec cette fois-ci un article qui va revenir sur le tout premier épisode d'une série mythique dans l'histoire du jeu video: Akumajo Dracula (悪魔城ドラキュラ),ou Castlevania en occident.
Contrairement à ce qu'affirmaient les magazines d'époque, le tout premier Castlevania n'a pas vu le jour sur MSX, mais bel et bien sur Famicom, sur Famicom Disk System pour être très précis en 1986. Le titre arrivera 2 ans plus tard, en 1988 en Europe sur NES.
Nous allons donc essayer de parler de ce titre fondateur en revenant assez largement dessus, et en tentant de répondre à la question qui brûle toutes les lèvres: vaut-il encore quelque chose aujourd'hui? Effectivement, ce n'est pas parce que c'est un vieux jeu, que l'on peut pas le critiquer. Après tout nous sommes dans le jeu vidéo, et le principe du jeu vidéo c'est de jouer. Donc nous allons mettre de côté (comme d'habitude) le côté nostalgique (ou faussement nostalgique dans certains cas, si vous voyez ce que je veux dire...), et voir si ce titre peut procurer du plaisir en 2009.
Je précise que ce test a été réalisé sur une NES française.

Comme beaucoup d'entre vous le savent, la série Castlevania n'a pas été enfanté par Koji Igarashi arrivé sur la série très tard, en 1997 avec Symphony of the Night. Ayame Kojima n'est pas au design, et Michiru Yamane n'est pas à la musique. D'ailleurs à ce sujet, je ne sais absolument pas qui a réalisé ce jeu, aucune information concernant le nom du producteur de ce premier titre n'est vraiment connu. En même temps à cette époque, on ne signait pas systématiquement les jeux, rappelez-vous des premiers Mario.
Revenons à nos moutons, Castlevania est sans doute le premier jeu qui prend comme référence le mythe de Dracula. En effet, le jeu se réfère largement à l'oeuvre de Bram Stoker.
Au niveau scénaristique pur, dans le jeu, il n'y a aucune ligne de dialogue! On se tourne alors sur la notice PAL, là on trouve une chose bien censurée avec un Dracula nommé "Prince des Céans" ou "Prince du mal" à éliminer etc...
La vraie histoire provient de la version Japonaise. Nous sommes en 1691, un jeune homme nommé Simon Belmont, héritier de la famille Belmont est sur le point de se marier. Seulement le comte Dracula ré-apparaît la veille du mariage et enlève tout bonnement la jeune prétendante de blanc vêtue.
Le jeune Simon (19 ans) fou de rage part donc la récupérer dans le château du comte démoniaque, le Castlevania (sans doute mélange de Castle et Transylvania).
D'emblée, les bases de la série sont posées, avec un premier représentant de la famille Belmont (d'autres familles se grefferont par la suite dans la série), une action se déroulant au château de Dracula, et une ambiance horreur-gothique du jeu.
Par contre, contrairement à ce que l'on verra par la suite dans la série, le design du héros est assez spécial, il se rapproche vraiment d'un guerrier barbare bien musclé vêtu en peaux de bête, bandeau sur la tête, une espèce de Conan en somme.

Le premier Castlevania est un jeu d'action-plateforme avec aucun élément RPG ou aventure. Simon se bat contre les ennemis avec son célèbre fouet, le Vampire Killer, et doit traverser 6 stages grouillant de sbires de Dracula.
Les différents levels représentent les différentes parties du château. Durant sa visite non-désirée, Simon pourra upgrader son fouet en 2 fois, trouver des armes de soutien que l'on pourra utiliser en pressant sur direction haut+bouton d'action. Pour utiliser ses armes secondaires, il faudra ramasser des cœurs (les grands cœurs équivalent à 5 petits). Parmi ces armes on retrouve la montre qui bloque le temps, la lance, la hache et la meilleure de toute, l'eau bénite.
Les escaliers qui font le charme de la série sont présents par contre comme je vous l'ai dit, il n'y a aucun chemin alternatif.

A l'époque de sa sortie, les magazines vantaient la qualité technique du jeu qui était vraiment au dessus de la moyenne sur NES.
Aujourd'hui, bien évidement, le titre a terriblement vieillit graphiquement. Notons quand même la variété des décors (le 2e stage dans la salle des tortures est sympathique), le bestiaire fourni, des boss bien différents et inspirés de la mythologie horrifique (chauve-souris vampire, Medusa, Death, etc...).
L'animation bien lente, ne souffre pas de défauts majeurs. Pas de clipping, ou d'effacement de sprites intempestifs (marque de fabrique des 8 bits), un scrolling qui tient la route, et surtout peu de bugs de collisions. Mais en contrepartie, c'est lent.
La musique réalisée par le groupe de musique de Konami, le Kukeiha Club est très bonne, encore aujourd'hui. Le thème d'ouverture Vampire Killer est bien évidement le plus mythique de tous! Mention spécial aussi au petit thème d'introduction du jeu où Simon observe au loin le Castlevania.
La jouabilité est délicate, notamment la gestion des sauts qui est laborieuse, un peu à l'instar du premier épisode Game Boy (Dracula Densetsu), mais en moins pire quand même.

La particularité de ce Castelvania NES est sa très très grande difficulté et je pèse mes mots. Pour vous dresser le tableau:
- Le premier level est facile.
- Le level 2 ne pose aucun problème.
- Le level 3 pose des touts petits soucis, mais là encore çà reste jouable.
- Avec le level 4, le jeu commence à se corser sérieusement. Un stage difficile mais pas insurmontable pour les plus chevronnés.
- Le level 5 est très très difficile, notamment le boss de fin, la Mort qui est d'une difficulté dantesque!
- Le dernier niveau finit en apothéose avec une profusion d'ennemis et une difficulté quasi-inhumaine.
Rajoutons que l'on dispose de 3 vies avec des continues infinis. Les poulets qui restaurent notre HP sont très rares (1 seul par niveau et bien caché en plus). Aussi dès lors que l'on se fait toucher par un ennemi, on recule, dans un saut vers une plateforme c'est perte d'une vie assurée. Le pire dans l'histoire, quand on perd une vie, on perd tous les power-up accumulés, ce qui peut être une catastrophe à l'approche d'un combat contre un boss.
Seul lot de consolation, les checkpoints symbolisés par les portes qu'on passe et qui permettent de ne pas se refaire tout le niveau après avoir perdu un up.
Avec toute cette difficulté, et les nombreuses crises de nerfs, la durée de vie du jeu ne peut sortir que grandie. Par contre contrairement à la version japonaise qui tourne sur Famicom Disk System, la version NES ne comporte pas de système de sauvegarde, donc il va falloir le finir en une traite. Bon courage.

Pour finir, nous dirons que ce premier Castlevania pose les bases de la série avec son atmosphère réussi malgré les faibles capacités de la NES.
Par contre la difficulté est telle qu'elle dégoutera pas mal de joueurs, et la jouabilité n'arrange pas trop ce constat.
Bref ce premier épisode est finalement très moyen mais un passage obligé si on aime un tant soit peu Castlevania.
Les épisodes suivants relèveront nettement le niveau que ce sur 8/16 ou 32 bits, avec l'apport du côté RPG, exploration à la Metroid, et aussi un chara-design plus soigné, et un background plus travaillé.
Cet épisode doit être considérer comme une antiquité, intéressant à visiter pour sa culture videoludique. A ce sujet ce titre fondateur aura droit aux égards d'une conversion en l'état sur GBA dans la prestigieuse gamme NES Classic, ainsi que d'un remake sur Playstation, Castlevania Chronicles, et aussi d'une réédition sur Famicom en 1993, avec un niveau de difficulté revu à la baisse.

Fiche technique:
Titre: AKUMAJÔ DRACULA (CASTLEVANIA)
Développeur: KONAMI
Editeur: KONAMI
Genre: ACTION-PLATEFORME
Année: 1986 (1988 Europe)
Autres supports: Support testé NES, FAMICOM DISK SYSTEM, AMIGA, PC, COMMODORE 64, ARCADE (PLAYCHOICE-10), GAMEBOY ADVANCE
Nombre de joueur(s): 1
Localisation:

NOTE PRESSE (TILT 063 - Février 1989)



RESSOURCE PRESSE



Screenshots:

Bonus:
En bonus, je vous propose une rareté, le spot TV japonais.

Dispo au Japon Shin Megami Tensei: Devil Survivor se montre en version US via ce trailer.
Rappelons qu'il s'agit d'un spin-off de la série historique d'Atlus, et qu'il sera disponible en Amérique du Nord le 23 Juin 2009.

SNK Playmore balance les premières videos combo officielles de The King of Fighters XII.
Sur le site officiel du jeu, on peut voir 3 videos sur 3 perso, Kyo, Goro et Benimaru. Je vous balance la video de Kyo. Si vous voulez les videos des 2 autres, rdv en dessous:
Page combo video de Benimaru
Page combo video de Goro

Amis Otaku Namco pense à vous ^^! 『クイーンズブレイド スパイラルカオス』, ce qui donne en français Queen's Blade Spiral Chaos est le prochain RPG du papa de Tekken sur PSP.
Les plus avisés d'entre vous ont reconnu le nom d'un manga du même nom, qui conte l'histoire de jeunes guerrières qui doivent s'affronter dans le cadre d'un tournoi organisé dans un royaume Héroic-Fantasy. Le but de la manœuvre, devenir la future reine de ce royaume. La particularité de ce manga, c'est que pendant les combats, les jeunes femmes perdent petit à petit leurs armures pour se retrouver à la fin en petite culotte lol. Et bien cet aspect coquin semble être conservé dans ce RPG PSP, la preuve en images! Le titre sortira en hiver 2009 au Japon.
Un jeu que j'attends d'ores et déjà avec grande impatience quel que soit sa qualité *otaku inside*
Enormément d'images du jeu chez Dengeki!

J'ai vu juste en-dessous l'article de Solid Denton qui reprenait une info parlant de Sony, qui semble affirmait que l'E3 2009 sera l'un des plus gros depuis 11 ans, soit l'un des plus gros depuis 1998.
L'E3 1998 c'était quoi? J'ai fait des petites recherches dans mes archives persos et voilà le résultat.
Sur Playstation on retrouvait une rimbambelle de suite comme Twisted Metal 3, Crash Bandicoot 3,Tomb Raider III ou Tekken 3 (c'était la fête aux 3). 2 projets originaux sortaient du lot comme Spyro et Syphon Filter.
Par contre, on avait un Square très présent qui avait ramené son Final Fantasy VIII, mais aussi Parasite Eve, Xenogears et Brave Fencer Musashi entre autres. Mais sans doute le gros titre de cet E3 pour Sony est venu à mon sens de Konami qui ramena son Metal Gear Solid dans une version quasi-finalisé et qui rafla pas mal de prix à Atlanta. A noter la forte impression laissée par Silent Hill.

Mais bon, entre nous l'E3 1998, c'est aussi Half Life sur PC, la Gameboy Color, la Dreamcast, Zelda Ocarina Of Time jouable etc...

Donc bon, je ne comprends pas trop la "référence" à 1998, sauf sur un fait, c'est qu'à cette année la Playstation était vraiment à l'apogée de son règne, ce qui n'est pas le cas de la PS3 aujourd'hui...

Le personnage bonus pour la version PS3 de Tales of Vesperia revient sur le devant de la scène avec ces quelques captures.
Patty Fleur sera donc un personnage féminin de 14 ans, arborant un chapeau du genre pirate et qui est plutôt aventurière.
Je ne sais pas vous, mais je trouve que Fujishima Kousuke (le chara-designer du jeu) s'est énormément inspiré du personnage de Mary dans Dragooneer's Aria pour ceux qui ont déjà joué à ce jeu (testé sur ce blog), à la fois pour le design (jeune fille pirate etc...) ainsi que pour sa compétence de maniement des armes à feu!


Je vous balance quelques screens, le reste se trouve chez Dengeki.