Ok, juste cet article pour vous informer que le dernier épisode de la série très sympatique des Virtua Tennis, vient d'être testé sur le site de Neo-arcadia. Il s'agit bien sûr de la version arcade qui tourne sur Lindbergh.
La réponse de Sony à Sega.
La Sony PlayStation est sorti le 3 décembre 1994, une date à marquer en fer rouge dans l'Histoire des jeux vidéos. Après de nombreuses tractations avec Nintendo, Sony décida finalement de se lancer tout seul dans un marché du jeu vidéo console dominé à l'époque par le mastodonte Nintendo et le très agressif Sega.
Cependant, Sony allait réussir très vite à lever les doutes des quelques observateurs sceptiques quant à la réussite de leur machine 32 bits. Le constructeur exhibera à la presse du monde entier le gros potentiel technologique de celle que l'on appelait au début la PSX, ainsi que la liste colossale des éditeurs-tiers partenaires qui développeront sur cette nouvelle machine. Parmi ces derniers, citons Namco, Capcom, Electronic Arts, Psygnosis, Bandai ou encore Konami.
Cependant parmi les quelques titres du lancement de la PlayStation figurait un jeu développé par une société assez obscure, Takara, et qui pourtant avait fait grand bruit à l'époque tout en contribuant à l'immense succès planétaire de cette machine. Ce jeu, c'est Battle Arena Toshinden.
Sofia
Battle Arena Toshinden est le nom d'un tournoi se déroulant dans "l'underworld", organisé par un mystérieux groupe se nommant Secret Society. Huit combattants itinérants se retrouvent donc engager dans se tournoi, chacun pour ses propres raisons. Les uns cherchent la gloire tandis que d'autres sont là pour les gens qu'ils aiment, en tout cas tout le monde a rendez-vous avec son destin. Faisons un peu plus connaissance avec ces 8 personnages. Eiji Shinjo est plus ou moins le héros du jeu. Cet épéiste japonais recherche sans relâche son frère Sho, disparu depuis un long moment. Kayin Amoh est un jeune épéiste écossais qui entretien à la fois une amitié et une rivalité avec Eiji. C'est un peu le Ken (Street Fighter) du jeu. D'ailleurs lui aussi est blond. En participant au tournoi, il cherche à venger son père adoptif battu à mort par le champion de l'édition précédente. Sofia est une jeune et ô combien séduisante guerrière russe. Il exerce en réalité le métier de détective, elle participe au tournoi pour recouvrer la mémoire vu qu'elle est amnésique. Elle utilise pour se battre un fouet. Rungo Iron est un puissant et intimidant combattant américain. Cependant derrière ce physique de brute, se cache un homme bon et un bon père de famille. D'ailleurs il participe au tournoi pour récupérer sa femme et son fils enlevés tout deux par l'organisation Secret Society. Il utilise un gros gourdin pour se battre. Fo Fai est un vieux mage chinois particulièrement mauvais. C'est un assassin qui n'hésite pas à exécuter ses victimes de sang froid. Il se bat avec des griffes en métal dissimulées sous ses mages. Mondo est un ninja nippon peu commode envoyé par ses maîtres pour infiltrer le tournoi. Ses employeurs ne sont autres que le clan rival de Secret Society. Il utilise pour se battre une arme traditionelle japonaise, le naginata. Duke B. Rambert est un noble chevalier français, vêtu d'une imposante armure et disposant d'une longue épée. Il participe au tournoi pour prendre sa revanche sur Eiji qui l'avait battu par le passé. Ce n'est pas la seule raison de sa présence, sa petite-amie Uranus (qui n'est pas jouable dans cette version) l'a quitté pour rejoindre Secret Society. Ellis est une jeune danseuse japonaise qui sillonne le monde avec sa troupe de musiciens. Elle affirme avoir perdu ses 2 parents alors qu'elle n'était qu'un nourrisson. Cependant elle apprendra une rumeur qui la forcera à participer au tournoi, celle que son père est encore puisqu'il participe lui-même au tournoi. Ellis utilise 2 dagues pour se défendre.
En plus de ces 8 personnages, le joueur pourra débloquer 2 autres personnages cachés. Gaia est le boss du jeu et accessoirement l'organisateur du tournoi. Nul ne sait pourquoi il organisa le tournoi, même pas l'organisation dont il dépend, Secret Society. Il est aussi connu pour être le père de Ellis. Gaia utilise une immense lame que lui-seul peut maîtriser. En Sho Shinjo, le frère de Eiji est LE personnage caché du jeu, accessoirement le véritable dernier boss. Sho a enseigné par le passé l'art du combat à l'épée à son petit frère Eiji et son ami Kayin avant de brusquement disparaître. Sho est l'archétype du personnage solitaire qui a plus ou moins sombré. De frère respecté, il est devenu un tueur absolument impitoyable, certains mettent même à son actif l'assassinat du père de Kayin. Il participe au tournoi pour rencontrer une femme de l'organisation, Cupido (jouable dans la version Saturn) dont il va d'ailleurs tomber amoureux. Comme son frère cadet, il utilise une épée.
Voilà pour les petites présentations, les personnages sont plutôt charismatiques bien qu'un peu stéréotypé mais dispose tous d'une particularité que vous aurez sans doute remarqué: ils disposent tous d'une arme blanche.
En effet, Toshinden se démarque de Virtua Fighter et de Tekken (fraîchement paru en arcade) en mettant en scène des personnages armés. Chaque arme a donc sa portée et sa spécificité.
Le jeu se joue à 6 boutons. Un bouton permet de mettre des coups de sabre faibles (Light Slash ou LS), un autre des coups de sabre forts (High Slash ou HS).
2 boutons permettent de donner des coups de pieds, là encore on a droit à un bouton pied faible (Light Kick ou LK) et un coup de pied fort (High Kick ou HK).
Enfin les boutons R1 et R2 permettent de faire des roulades en 3D, ce qui provoque un changement d'angle.
Contrairement à un Virtua Fighter qui cartonnait à l'époque, le jeu reprend un gameplay 2D malgré une représentation en trois dimensions. Pour sortir un coup spécial il faudra faire une manipulation vue dans les jeux de combat 2D comme le Hadoken de Ryu dans Street Fighter II par exemple. Il n'y a point de bouton de garde dans Toshinden comme dans les jeux de combat 3D traditionnels, le garde reprend elle-aussi le même système que les jeux 2D, il faut donc reculer pour garder. Ajoutons à cela qu'il est possible de courir en pressant 2 fois sur la direction avant du pavé directionnel.
Les personnages possèdent chacun en plus de leur coups de bases, environ une demi-dizaine de coups spéciaux, ce qui est peu, très peu même comparé à des titres sortis à la même époque comme Tekken ou Virtua Fighter.
En plus de ces quelques coups spéciaux ou special moves, chaque personnage possède une prise spéciale. Enfin tous les personnages du jeu disposent de 2 Desperate Moves, ou furies comme vous voulez.
Ces furies se déclenchent de la même manière que dans The King of Fighters '94. Dès que la barre de vie de notre avatar arrive à un point critique et se met à clignotement, le joueur pourra envoyer un DM en entrant une combinaison plus complexe qu'un coup spécial. Ce coup fait bien plus de dégâts que le reste.
Les combos sont aussi de la partie, mais s'avère malhereusement trop limiter pour offrir une réelle richesse technique. Chaque personnage possède donc quelques petits combos, qui sont tous des chain combos avec des possibilités de cancel par ci par là. Mais rien de bien profond.
Une des particularités de Toshinden par rapport à la concurrence, est donc son aspect fantaisiste et peu réaliste. Les boules d'énergie sont présentes par exemple. D'ailleurs certains coups n'ont pas le même impact selon la distance entre la distance entre 2 adversaires. Les coups spéciaux varient donc selon l'éloignement des acteurs sur le ring.
En parlant de ring, les combats se déroulent dans un ring assez grand, cependant le ring out est géré dans le jeu.
Ce n'était pas dans son gameplay que Toshinden avait impressionné, même si celui-ci s'avère distrayant malgré un cruel manque de profondeur. Ce qui est la différence est bien entendu l'aspect graphique absolument hallucinant à l'époque. Toshinden allait tout seulement donner un sacrée coup de vieux à Virtua Fighter et ses personnages anguleux non-texturés. Comment une société moyenne comme Takara avait-il réussi à produire un moteur graphique 3D aussi puissant, au point de remettre en question le grand Sega en le forçant à retravailler graphiquement son jeu de combat fétiche en 1995 dans une version qui se nommera Virtua Fighter Remix.
Concrètement, Toshinden proposait des personnages très bien modélisés pour l'époque, ainsi que des décors d'arrières plan plutôt soignés, tout en mettant le paquet sur les effets visuels plutôt réussis. Les personnages affichaient des textures fines et colorées avec même des effets de transparence comme la robe de Ellis. Le niveau de détail était juste incroyable, Toshiden exhiba à la face du monde l'énorme potentiel de la console de Sony en matière de 3D texturée.
Mis à part l'aspect graphique mémorable, Toshinden ne brillait pas particulièrement dans les autres points techniques comme l'animation, plus pauvres et moins bien travaillés que dans Virtua Fighter. Le gameplay est lui-aussi limité. Même si le jeu reste jouable il procure peu de sentations et s'avère un peu léger sur la durée, même en versus.
Enfin l'aspect sonore est plutôt correct, avec des thèmes plutôt sympathiques qui s'accordent bien aux personnages. Les bruitages et autres voix sont eux aussi soignés. La bande sonore est donc globalement de qualité.
Battle Arena Toshinden a surtout marqué les joueurs et la presse pour son aspect graphique tout simplement fabuleux en 1994, année où les 16 bits dominaient encore largement le marché! Le fait de penser qu'il était possible d'avoir un jeu d'une telle qualité graphique chez soi, faisait de la console de Sony l'objet de tous les fantasmes et de toutes les convoitises.
Il est tout de même dommage que le gameplay n'ait pas été plus travaillé, mais il restait à sa sortie un titre solide et amusant.
Par la suite la série des Toshinden continua son chemin, y compris chez la concurrence notamment sur Sega Saturn, avec des épisodes de qualité variable. La série finira lentement mais sûrement par sombrer au point d'être oublié des joueurs.
Néanmoins Takara sortira sa licence de son long sommeil en 2009, à l'occasion du 15e anniversaire de ce premier épisode. Le dernier épisode de Toshinden en date est donc sorti sur Wii, et confirmera le déclin certain de cette série...
Fiche technique: Titre: BATTLE ARENA TOSHINDEN Développeur: TAMSOFT Éditeur: TAKARA Genre: VERSUS FIGHTING Année: 1995 Autres supports: SATURN, GAME BOY Nombre de joueur(s): 2 Localisation:
NOTE PRESSE (Joypad 046 - Octobre 1995)
Screenshots:
Bonus retro:
En bonus, l'excellent spot nous rappelant le lancement de la Playstation en occident, avec le représentant du C.A.P
Selon le site Gamefront, Dragon Quest VIII se serait vendu à plus de 600 000 exemplaires sur le continent européen (dixit Square-enix). Mouais, ce titre méritait au moins un million de ventes, mais bon 600 000, c'est honorable pour un RPG quasi inconnu en Europe. On espère tous Dragon Quest IX, un jour en Europe.
Alors que le prochain Time Crisis 4 arrivera dans les semaines à venir dans les salles japonaises, on peut légitimement se poser la question sur une sortie éventuelle sur Wii.
Techniquement, c'est possible puisque le titre shoot de Namco tourne sur le hardware System 256 (qui se rapproche d'une PS2, on va dire) et qui a accueuilli des jeux comme Tekken 5 ou dernièrement Soul Calibur III (le jeu est sorti en Arcade après la version PS2).
De plus, la jouabilité à la telecommande est idéale pour ce genre de titre, pour nous retransmettre fidèlement le gameplay Arcade, et surtout sans débourser des sous (pour ceux qui ne le veulent pas) dans un flingue à 50 Eur.
En tout cas, selon moi, Namco devrait sortir son jeu sur la console de Nintendo, et ne pas rester une exclu PS2. En tout cas je l'espère pour les gens qui acquiereront une Wii.
Le jeu est prévu sur PS2, à l'automne (si tout se passe bien) voire à la fin de l'année (plus probable déjà). Et en bonus, je vous propose cette video presenté il y a quelques temps à Chicago.
Voilà, un petit billet super speed, qui vous informe simplement que KOF Neowave arrivera en France cet été sur PS2. Peter Rollinson de chez Ignition Entertainment qui a annoncé la (mauvaise) nouvelle. Sachez que je possède le jeu sur Xbox, et qu'il est tout simplement décevant et n'apporte rien à la serie, je vous conseille de garder votre blé pour KOF XI.
KOF Neowave est selon moi qu'un objet de collectionneurs, je le conseille (à la limite pour les curieux) pour 15 Eur en occaz, il ne merite ses 30 ou 40 Eur. Pas de date pour l'instant. Si vous avez jamais vu ce jeu tourné, je vous mets une video pour vous faire votre idée dessus.
Sinon rien à voir avec l'article précédent, je viens de tomber sur une declaration de Itagaki, vous savez le sulfureux patron de la Team Ninja. Je voulais vous mettre son avis sur les next-gen.
Extrait:
[...]Enfin, et parce que la XBox 360 n'a que très peu fait parler d'elle au Japon, le magazine Famitsu a laissé le mot de la fin à Tomonobu Itagaki de la Team Ninja (Dead or Alive) qui a critiqué l'absence de vibrations du pad PS3 qui déplaira à tous les développeurs de jeux d'action.
Il a également critiqué la Wii car il ne voit pas comment il est possible de faire un bon jeu de combat sur une manette aussi peu pratique, avant d'avouer qu'il adorerait que le marché japonais se réveille et accueille la XBox 360 comme il se doit car la console de Microsoft a un très fort potentiel et est déjà next-gen vu les productions de qualité qu'elle propose.
Une petite info super rapide pour ceux qui ne sont pas encore au courant (çà existe, j'en connais...). Spectral Force III Innocent Rage, le prochain T-RPG de Idea Factory est prévu pour le 29 Juin prochain. C'est le site Play-asia, qui nous informe de cette date puisqu'il est en pré-commande sur le site. Sachez qu'il s'agit de la version japonaise et non d'une version us, les titres Idea Factory ont du mal à passer les frontières. Sympa que la Xbox 360 accueuille un Tactical, çà fait plaisir! Et en prime le trailer du jeu avec un joli artwork.
Sega, droit au but!!
Peu, très peu de jeux de sport traités ici-même. Je vais donc essayer de rectifier le tir avec ce jeu de football, Victory Goal World Wide Edition, 3e déclinaison de la série sur Saturn et rebaptisée en Europe Sega World Wide Soccer 97.
Une série qui a eu à son époque pas mal de succès, notamment en Europe. Bien sûr l'avènement de la 3D dans l'ère des 32 bits va redonner un nouveau souffle aux jeux de football, en apportant un gros plus au niveau du réalisme par rapport aux moutures 16 bits.
Dès que l'on allume la console, la première chose qui frappe, c'est la cinématique d'introduction qui était de fort belle qualité à l'époque sur Saturn. Une bonne entrée en matière qui laisse augurer que du bon à priori, pour la suite.
On atterrit ensuite dans les menus, et là encore, c'est simple ,y naviguer est un bonheur, même pour les non-initiés aux jeux de foot. Tout est clair et nous avons toujours droit aux classiques mode, comme au World Cup Mode avec un an d'avance sur l'événement, un mode Tournament, et un mode Match Exibition pour les plus pressés d'entre vous. Sachez que le jeu dispose de 48 équipes nationales et qu'aucun club n'est présent. Cette option viendra dans l'épisode suivant.
Avant chaque match, on nous invite à faire nos réglages tactiques, que ce soit les remplacements de joueurs ou encore la formation de l'équipe ainsi que le placement de nos athlètes sur le terrain. Sur ce point-là, le titre de Sega n'avait pas à rougir du tout face au monstre de Konami, International Superstar Soccer Pro. Certes, on est face à un jeu de foot arcade (Sega oblige), mais le côté tactique n'a pas été occulté pour autant.
Ce mélange donne un côté hybride au jeu, ce qui est fort intéressant. A la fois on doit construire nos actions pour avancer et espérer marquer, mais dans le même temps le jeu conserve les bases de ces prédécesseurs plus orientés arcade donc. Dans Victory Goal World Wide Edition il n'est pas pas question de dribbler l'équipe adverse et marquer comme dans un FIFA d'époque. Le jeu conserve une prise en main intuitive et accessible pour un débutant (arcade oblige) tout ayant un aspect spectaculaire assumé. En effet, les retournés acrobatiques sont légions, tout comme les reprises de volée, les têtes plongeantes, les arrêts spectaculaires plus nombreux que dans un ISS par exemple.
Le soft ne tombe pas dans du foot champagne tout bête, mais lorsque l'on réussit une belle séquence collective, l'ordinateur, en quelques sortes, nous récompense en donnant à nos joueurs la capacité de faire une action d'éclat. Encore une fois, ce mélange subtil est fort agréable pour un joueur non-passionné en particulier, mais le fan s'y retrouve aussi.
Techniquement, le soft de Sega était vraiment béton. Graphiquement, le titre était très réussi, plus beau qu'un FIFA 97, ou qu'un ISS. De ce côté-là Sega avait super bien peaufiné son titre, même si la modelisation des personnages laissait vraiment à désirer. Les variations sont présentes et bien rendus à l'écran, avec une physique de la balle qui varie selon les conditions de jeu.
L'animation était super fluide même si les joueurs étaient un peu lent mais cela n'affecte en rien la fluidité du jeu cela rajoute ce cachet réaliste décrit plus haut. En effet nous n'avons pas à faire à des cyborgs courant à 200 km/h mais à des sportifs dotés d'une inertie plutôt réaliste. Le gameplay était super souple, un vrai régal.
On notera deux bémols qui viennent entacher ce tableau qui ressemble pour l'instant à un sans-faute. Les développeurs n'ont pas intégré l'angle de caméra TV comme dans un FIFA par exemple. L'angle de vue du côté est trop plongeante pour être spectaculaire, et on préfèrera l'angle du dessus bien meilleur et plus fun, mais un poil moins lisible.
L'absence de commentaires en français est préjudiciable pour l'immersion. On se souvient que Euro 96 sur la même machine avait lui comme commentateur notre Thierry Roland nationale. Les commentaires de ce jeu en anglais sont insipides, un vrai somnifère pour les oreilles. Aussi le public s'exprime peu, l'ambiance est assez raté ce qui gâche un peu le plaisir de jeu. .
Malgré le temps qui passe, ce Victory Goal WWE reste un titre agréable à jouer, surtout en multijoueur. Le fun est présent et le jeu était globalement une belle réussite sur Saturn. Son seul défaut notable est l'absence d'une vue réaliste pendant les matchs, mais aussi son cruel manque d'ambiance sonore.
A part çà, le jeu s'en sort avec les honneurs et s'impose facilement comme une référence du genre sur Saturn.
Fiche Technique: Titre: VICTORY GOAL WORLD WIDE EDITION Développeur: SEGA Editeur: SEGA Genre: SPORT Année: 1996 Autre support: PC Nombre de joueur(s): 4 Localisation:
NOTE PRESSE (Player One 069 - Novembre 1996)
RESSOURCE PRESSE
Screenshots:
Bonus retro:
Et en bonus, je vous propose l'une des rares pub française de la Saturn.
A l'occasion de la sortie du dernier episode de Matrimelee sur PS2 qui se nomme Shin Gouketsuji Ichizoku: Bonnou Kaihou's, le dernier boss de ce jeu, à savoir Bobby Orogon, était présent physiquement au Japon pouer signer des autographes. Le monsieur qui est une star du K-1 a prêté son image pour ce jeu. Une initiative assez rare pour être souligner. Et en prime, comme je viens jamais les mains vides, je vous propose cette video où on voit le personnage en question, en action dans le jeu. Bonne video!
Tout d'abord, le prochain homebrew Last Hope (un shoot 2D) va bientôt sortir sur Neo Geo et coûtera la bagatelle de 550 Eur. Il n'y aura que 60 exemplaires du jeu!! Sinon, une version Neo Geo CD et Dreamcast sont aussi annoncés mais plus tard.
On enchaîne et cette fois-ci sur PSP, puisque je viens de trouver la jaquette de Spectral vs Generation, le prochain jeu de combat 2D de la PSP. Ce jeu opposera (comme vous le savez tous) les personnages des 2 grandes series de T-RPG de Idea Factory, à savoir Spectral Force et Generation of Chaos. Le jeu est disponible sur PS2, depuis quelques temps déjà, je le rappelle pour ceux qui n'aiment pas jouer avec la croix PSP.
Enfin, on va terminer avec ce jeu sympatique qui sortira le 10 Août prochain au Japon sur PS2. Pas mal de choses seront rajoutées pour cette version comme le mode survival, training, ainsi qu'un nouveau doublage pour les persos, et enfin une édition limitée de malade avec un manga offert avec le jeu. Pour terminer voici la jaquette du jeu, et une video pour ceux qui ne connaissent pas ce petit jeu.
Un petit billet super court pour vous donner tout simplement l'adresse du site officiel de Bleach Wii. Je sais que la majorité d'entre vous est enthousiasmé par la nouvelle console de Nintendo, donc j'ai pensé à vous. Mettez-le dans vos favoris et aller jeter un coup d'oeuil de temps en temps, d'autant que le site officiel de Sega Japon est l'un des meilleurs sites d'éditeurs-tiers avec des news au jour le jour, et surtout une partie des équipes de developpement participe au site. Sympa.
Génération écologie !
A sa grande époque, Capcom était un développeur très respecté dans le monde des Shoot Them Up. On leur doit de nombreux titres du genre comme 1942, Carrier Airwing, Forgotten Worlds ou encore l'inoubliable Area 88.
C'est en 1993 que paru en arcade et exclusivement en arcade un shoot them up de la firme, sorti de nulle part, Ultimate Ecology ou Eco Fighters en occident.
Dans un futur lointain, les différentes populations qui peuplent la galaxie ont élu domicile dans des stations spatiales situées en orbite. Les planètes telluriques servent uniquement pour l'exploitation de minerais, pour le bon fonctionnement de ces stations spatiales donc.
A l'instar du pétrole, de nouveaux "gisements" doivent être découvert de manière constante. C'est dans cet approche que la société de forage du vil Goyolk met son dévolu sur une planète verdoyante et intacte de nos héros. Bien sûr ces derniers empêcheront que ces entreprises pollueuses, voire destructrices d'environnement viennent défigurer leur si jolie planète.
Un professeur local, le Dr Mori, a conçu un modèle de vaisseau pour que nos amis aillent défendre leur habitat naturel.
A chaque début de mission, le Dr Mori nous briefera sur les différents objectifs à accomplir comme empêcher la pollution de la mer, ou encore empêcher un train de polluer l'atmosphère.
L'originalité de ce jeu vient de la trouvaille du docteur, qui a doté le vaisseau d'un bras mécanique. En effet, il sera possible de faire pivoter ce bras mécanique à 360° ce qui influera sur la façon de jouer de ce shooting game. Ce bras servira à la fois de bouclier, mais sera l'endroit où l'upgrade de l'armement se fera car au bout du bras on peut changer d'armes toujours en ramassant des items dans les niveaux. On retrouve les tirs classiques, comme les mitrailleuses, les lances-flammes ou encore les tirs en éventail (ou spread).
Eco Fighters est donc un shoot them up 2D en scrolling horizontal doté d'un level design classique et efficace. Malgré l'intégration de cette subtilité de gameplay qu'est le bras mécanique, les différents déplacements et pattern des ennemis sont plutôt classiques, et ne font qu'apparaitre la plupart du temps de la droite de l'écran.
Les combats contre les boss sont très intéressants, et ces derniers ont bénéficié d'un design vraiment réussi, et sont dotés de sprites absolument énormes.
D'ailleurs à ce sujet, la réalisation d'Eco Fighters en met plein la vue. Les décors sont très esthétiques et très variés, restent très colorés dans des tons presque enfantins. Les décors sont aussi riches en détails en tout genre, et affichent une 2D fine et agréable.
Les sprites sont assez mignons et réussis pour la plupart, mais ce sont surtout les boss qui impressionnent. Ils sont à la fois énormes et bien animés.
La musique n'est pas en reste avec des mélodies bien choisies qui collent très bien à l'action et au cadre du jeu. Le jeu dispose même de quelques synthèses vocales bienvenues (Nb: le briefing du Dr Mori). Les bruitages et autres effets sonores sont bien rendus.
En somme, que du bon pour ce shoot "Old School" qui profitait très correctement de l'apport technique du nouvel hardware de Capcom de l'époque, le CPS-2.
Pour conclure ce test, Eco Fighters est un bon petit shoot 2D signé Capcom, qui mérite franchement le coup d'oeil. Même si il n'est pas d'une difficulté incroyable, et même si il ne fait pas trébucher les cadors du genre, il mérite tout de même qu'on s'y intéresse, et procure un très bon moment de divertissement. A bon entendeur...
Fiche Technique: Titre: ULTIMATE ECOLOGY Editeur: CAPCOM Arcade System: CPS-2 Genre: SHOOT THEM UP Année: 1993 Autre support: EXCLUSIF Nombre de joueur(s): 1 Localisation:
NOTE PRESSE (Random.Access)
Screenshots:
Bonus retro:
Un longplay sur le jeu de près de 40 minutes.
Et on finit plus fort, puisque Out Run 2 revient en Arcade pour une troisième version: Out Run 2 SP SDX. Pour l'instant, le titre est en location test dans une salle de Tokyo, la Sega Joypolis, et on a pas trop d'info à lâcher. Est-ce juste un nouvel update, ou une petite vraie suite dans une nouvelle borne...? On ne sait pas. Plus d'info dans la semaine si tout se passe bien.
Source: Merci à Neo-arcadia
Voici 2 videos de gameplay du prochain RPG d'Atlus Persona 3. Sachez que ce titre est pas mal attendu dans l'archipel puisque les 2 premiers épisodes étaient sorti il y a un bon moment déjà sur Playstation la première du nom. Dans l'ambiance çà ressemble un peu à du Shin Megami Tensei (Atlus oblige) mais en plus enfantin, les héros sont des ados. Bref un titre à surveiller pour les RPGistes. Sachez enfin que le titre est prévu le 13 Juillet prochain au Japon, comme çà la boucle est bouclé. Video de combat de Koromaru le chien. Video de combat de Amada.