Le projet des anciens papas et mamans des Castlevania 2D, à savoir Bloodstained: Ritual of the Night continue de se montrer dans cet E3 2016. On avait eu des vidéos filmées au téléphone il y a quelques heures, là j'ai trouvé cette vidéo en HD svp, qui nous montre une démo qui tourne sur PC.
Le titre est aussi attendu sur PS4, Xbox One et Wii U.
Finalement, je trouve les lives des stands beaucoup plus intéressants et sympa que les conférences, mais c'est un autre débat...
Voici une vidéo de The King of Fighters XIV, en direct de Los Angeles, où le producteur du jeu, Yasuyuki Oda est actuellement en déplacement à l'occasion de l'E3.
Je vous laisse regarder cette petite interview, dans le balcon Playstation, le même où défilent depuis hier nombres de développeurs etc...
Et bien évidemment le dernier trailer en date de la Team Vilains, avec le fameux Xanadu... On aime ou on aime pas, çà me semble clair. En tout cas il m'a fait rire .
En cette mi-juin, SNK continue de lever le voile petit à petit sur l'un des boss de The King of Fighters XIV, à savoir Antonov.
Des scans ont circulé ces derniers jours l'illustrant, et voici que le Twitter de SNK lâche une nouvelle image du milliardaire russe, organisateur/sponsor de ce 14e tournoi de KOF. Source : G-Mantle
Petit up avec le trailer E3 qui vient de tomber.
Parce qu'il n'y a pas que l'E3 dans la vie, le channel Playstation a diffusé le premier épisode de KOF Station Channel, une émission web qui a pour but de présenter le jeu avec des guests (de gros joueurs entre autres), le tout avec des sous-titres en anglais qui nous présentent pêle-mêle le background des personnages ainsi que le game-system.
Je pense que tout est dit dans le titre, The King of Fighters XIV se dévoile encore un peu plus.
Cette fois, l'info vient du magazine Famitsu avec ce scan qui illustre le coéquipier de Shun'ei, Meitenkun mais surtout le mid-boss et organisateur du tournoi, Antonov. Source : Cyberfanatix
Zéro Fake, l'image provient du site officiel d'Atlus consacré à The King of Fighters XIV.
On y découvre le stage de la Women Fighters Team, mais aussi un perso inédit illustré ingame, à savoir Love Heart.
Un trailer (avec ce nouveau décor etc..) dans la conférence Sony semble vraisemblablement très probable. Source : Atlus (faites défiler les screenshots)
Outre la demo des 36 personnage qui sera jouable à l'E3, Hori profite de ce moment riche en actualité pour dévoiler le stick officiel de The King of Fighters XIV.
Il sera compatible PS4 et PC.
Ce stick sera lâché sur l'archipel nippon le 25 août, et coûtera 16.800 ¥ soit 140€ environ. Source : Twitter HORI
Annoncé il y a un peu plus d'un mois, New Interpretation Stranger of Sword City s'offre un second trailer.
Comme son nom l'indique, il s'agit d'une "réinterpretation" du Dungeon-RPG de Experience avec de nouveaux "events", de nouvelles classes (comme les Puppeteers) etc... Le jeu sortira le 21 juin au Japon sur PSVita (en boîte et en demat).
Petite info, The King of Fighters XIV sera bien à l'E3 2016. Le jeu fera aussi un passage le 15 juin au WNF (Wednesday Night Fight).
Toujours aux States, le titre ira à Orlando le 24 juin (si je dis pas de conneries) au tournoi CEO 2016. Enfin le jeu continue à se balader au Japon, j'ai trouvé des nouvelles vidéos, mais la flemme...
Sinon vous en pensez quoi de Gang-il (accessoirement le maître de Kim et le mari de Luong) ? Je le trouve réussi perso, j'ai trouvé qu'il avait des réminiscences de personnages comme Jhun, voire May Lee (mais vite fait).
Et en bonus pour les retardataires, je vous mets le trailer de la Art of Fighting Team avec une Yuri encore plus "fofolle" que jamais. ^^
Prévu pour cet automne au Japon, Demon Gaze 2 s'illustre un peu plus aujourd'hui sur le site de Famitsu.
N'ayant pas joué au premier, je ne pourrai guère vous parler du jeu, juste vous préciser que l'histoire se situe après le premier, que l'on retrouvera des personnages de ce même épisode comme Prometh et Cassel Glondike.
D'après ce que j'ai compris, le jeu se situera dans la ville d'Asteria, où un jeune homme, Signa, sera au centre du truc puisqu'il est le Demon Gazer. Encore une fois, tout cela est nébuleux pour moi... Source : Famitsu
Une petite info rapide, Devil's Third Online devient réalité au Japon. Le titre sortira le 8 juin via l'éditeur Nexon. Le titre sera un free to play comme cela avait été évoqué il y a quelques temps.
Rien n'est prévu pour l'instant pour l'occident. Source et + d'infos: Gamekult
Konami a dévoilé dans une vidéo assez classe Metal Gear Solid : Snake Eater, le prochain pachislot de la firme.
Et histoire de faire bien les choses, ils sont jusqu'à aller refaire les cinématiques du jeu comme vous pouvez le voir ci-dessous. La machine est prévue pour cet automne au Japon. Bref, circulez...
In the name of my Mother, I will defeat you again!!
Cette année, nous fêtons respectivement les 30 ans de la série Zelda, les 25 ans de Sonic mais aussi, et çà on l'oublie un peu, les 30 ans de Castlevania.
En effet, le premier épisode de cette mythique série est né sur les terres japonais le 26 septembre 1986.
Mais vu que l'on déjà parlé de cet épisode fondateur dans un précédent test, on va le fêter autrement cet anniversaire, plus dignement avec un jeu sorti le 20 mars 1997 sur Playstation. Un certain Akumajou Dracula X: Gekka no Yasoukyoku qui parut quelques mois plus tard en occident sous le nom de Castlevania: Symphony of the Night.
Avant d'aborder le jeu à proprement parlé, on ne va pas s’interroger comme on le fait d'habitude, sur sa qualité, savoir si il vaut le coup, si il a vieillit ou pas etc... Non, non, rien de tout çà. La seule question que je poserai dans ce test est la suivante : comment peut-on mesurer l'intensité de la claque que je me suis pris violemment dans la gueule ?
Maria Renard
Le jeu démarre par la toute fin de Dracula X: Chi no Rondo sorti quelques années plus tôt sur le support CD-ROM de la PC Engine.
Nous sommes en 1792 et les développeurs nous font d'entrée de jeu, rejouer ce combat final pas si dur, mais tellement épique.
Mais ce n'est qu'un habile flash-back puisqu'en réalité, le jeu démarre 5 ans après la défaite de Dracula face à Richter.
Le monde a retrouvé sa tranquillité, quand soudain, sorti de nulle part, le château de Dracula à savoir Castlevania réapparut, trônant sombrement au dessus des bois.
Impossible ? Le château du comte est censé n'apparaître qu'une fois par siècle. Intrigué, Richter armé de son Vampire Killer, part inspecter l'étrange bâtisse. Voyant que son ancien compagnon de chasse ne donne pas de signe de vie, Maria Renard, désormais adulte, part elle aussi à l’assaut du château. Mais dans cette aventure, un nouveau personnage leur volera la vedette : un certain Alucard.
Fils de Dracula, et d'une mère humaine du nom de Lisa, Sir Adrian Farenheights Tepes connu sous le nom de Alucard est l'opposé exacte de son père, en témoigne d'ailleurs son nom, l'anacyclique du mot Dracula.
Ce vampire de sang-mêlé, brave et compatissant ne comprend pas cette apparition et décide de se réveiller de son sommeil éternel pour faire de cette "enquête" une affaire personnelle.
Fini les Belmont, cette fois Dracula aura à faire à sa progéniture et autant dire que le contentieux est lourd...
Je pense que pas mal de joueurs le savent mais je juge bon de le rappeler, Alucard ne fait en aucun cas son apparition dans la série dans Castlevania: Symphony of the Night.
Il apparaît pour la première fois dans Castlevania III: Dracula's Curse sur NES. Et déjà à cette époque, sa nature était bonne. Certes, il s'agit d'un boss dans ce jeu, mais une fois vaincu, il avoue à Trevor Belmont qu'il se battait contre lui dans le but de le tester, tout en proposant par la suite de le rejoindre et de lui prêter main forte dans son combat contre Dracula. Le joueur ayant à ce moment-là le choix de le recruter, ou non.
Alucard (à gauche) dans Castlevania III demandant de l'aide à Trevor Belmont.
Dans Symphony of the Night, il devient carrément le héros de l'aventure, ce qui change considérablement le propos du jeu qui en devient un peu plus profond. Il est d'ailleurs dommage que le jeu ne contienne pas plus de dialogues, et que les personnages ne soient pas davantage plus approfondi.
Mais on va cesser de parler de l'histoire pour se pencher sur le plat de résistance du jeu : le game-system.
Toru Hagihara, assisté (entre autres) de Koji Igarashi va tenter un coup avec ce jeu, et autant dire tout de suite qu'il s’avérera être un coup de génie.
Alucard dans cette histoire est très symbolique, car nous avons un nouvel héros n'ayant rien à voir avec les chasseurs de vampires, et aussi un nouveau gameplay lorgnant clairement du côté de Super Metroid.
Le tout en 2D (avec des effets en 3D, mais c'est tout) sur une console, et à une époque où le jeux 2D commençait à être qualifié par le grand public comme "désuet".
Mais ce n'est pas tout, les concepteurs ont inclus une dimension inexistante dans les anciens opus : la dimension RPG.
Fini, le jeu de plateforme clairement orienté action, disposant de stages distincts à la progression linéaire, ici on a droit qu'à un seul niveau, le château de Dracula. Et autant vous dire qu'il est juste immense.
A la manière donc d'un Metroid, on explore librement le château, qui est un monde ouvert jusqu'à tomber sur un endroit inaccessible. A partir de là on rebrousse chemin, tentant de trouver de nouvelles issues pour continuer la progression.
Pour ouvrir ces passages inaccessibles, il faudra mettre la main sur des compétences spéciales appelés dans le jeu reliques.
Outre les reliques, certains objets nous serviront à débloquer certaines zones comme par exemple l'armure "Protège-piques" qui permet comme son nom l'indique de traverser des zones bourrés de piques.
Bien évidemment, on retrouve des escaliers, qui font le charme des Castlevania même si ici, ils ne font office que d'élément esthétique.
Par contre les portes, elles, sont importantes car elles sectorisent le château.
En effet, le château est divisé en plusieurs zones, et pour changer de zone, il faut trouver et passer une porte. La variété est donc au rendez-vous, avec moult lieux variés que sont pêle-mêle le laboratoire d'alchimie, la bibliothèque, la tour de l'horloge ou encore les catacombes. Et j'en oublie...
Et si on parlait du level-design ? Et bien en vérité, je n'ai pas envie d'en parler plus que çà, 2 petits mots suffisent : à tomber !
Ce jeu (à ce niveau-là) est juste époustouflant, et je pèse mes mots. Très vite, on abandonne l'idée de juste finir le jeu vite fait, et on se prend au jeu de tout trouver, de tout découvrir, de compléter la carte, de voir jusqu'où va le génie des game-designer. Je m'arrête là, mais franchement jouez-y et vérifiez tout çà par vous-mêmes.
Mais contrairement à Super Metroid dont il s'inspire fortement dans son game-system, le titre de Konami dispose d'une valeur ajoutée qui lui est propre à savoir la dimension RPG.
A mes yeux, ce titre est clairement un Action-RPG. Alucard n'est pas un chasseur de vampire, ni un Belmont, il dispose d'un équipement propre qui est une véritable panoplie.
Comme on l'a abordé furtivement ci-dessus, il faudra l'équiper de la tête au pied, à grand renfort d'épées en tout genre, d'armes de jet, d'armures, boucliers, heaumes, bagues, gants, etc...
Un système d'expérience est bien présent dans le jeu, chaque ennemi donnant un nombre fixe de points d'EXP. Ce système d'EXP permet donc à Alucard de monter en niveau tout au long du jeu, ce qui fera le rendre de plus en plus fort. Cependant, comme dans un RPG classique, plus vous avancerez loin dans ce dédale de salles, plus les ennemis seront forts, et plus de points d'EXP ils lâcheront.
Outre l'équipement, et les compétences d'Alucard, notre héros pourra s’approvisionner en consommables en tout genre. De la potion qui redonne des PV, à la potion de force qui nous renforce temporairement notre attaque, à la potion anti-poison, l'équipement ne fera que croître au fil des heures au point de passer finalement pas mal de temps dans les menus à jongler entre les objets.
Mais ce n'est pas tout, le vampire bienveillant dispose aussi d'une barre de mana. Cette barre servira pendant ses transformations car oui, en récupérant certaines reliques, Alucard qui dispose tout de même de pouvoirs vampiriques, pourra se transformer en chauve-souris, en loup, mais aussi en brume. Plus on restera transformer, et plus cette barre se consumera.
De plus, cette barre servira aussi pour les attaques spéciales appelés dans le jeu des sorts (ou Spells en anglais). Ces sorts sont en fait des coups spéciaux qui s’exécutent comme ceux d'un jeu de combat 2D, à la manière d'un Street Fighter par exemple.
Ces manipulations permettent de sortir des attaques vraiment puissantes mais consommeront de la barre de Mana.
Vous croyez que c'est fini ? Non ! Comme si tout cela ne suffisait pas, Alucard pourra récupérer au cours de sa promenade dans le Château de son père des familiers. Leurs nombres varient selon la version du jeu, mais dans la version PSP (celle contenue dans Dracula X Chronicles) elles y sont toutes.
Je pense que tout le monde sait ce qu'est un familier, une fois activé il nous suit et nous épaule. Ce qu'il faut savoir c'est que le familier, à l'instar du héros, gagnera aussi des points d'EXP et montera en niveau. Je pense que le plus sage est de n'utiliser un voire maximum 2 familiers pour tout le jeu.
Bien évidemment, l'ADN des Castlevania est bien présente, avec les armes de soutien qui consommeront des cœurs. On retrouve l'eau bénite, la croix, la montre, la hache etc... Du classique. A l'exception que le nombre de cœurs ainsi que les points de vie pourront être régulièrement augmenté à l'aide d'items. Précisons que les montées en niveau améliorent nos statistiques (force, initiative, chance etc..) tout en augmentant aussi nos PV.
Je ne vais pas aller plus loin dans le détail de ce game-system, mais comme vous le constatez, ce Castlevania est très dense.
Au niveau du bestiaire, qui représente la population des salles, il faut juste savoir qu'il est d'une richesse incroyable. Le gros des ennemis viennent des anciens épisodes, quelques uns sont inédits, mais ils ont été tous redesignés par la talentueuse Ayami Kojima et ses collègues.
Que serait un Castlevania sans ses boss ? L'équipe a mis le paquet en proposant un très grand nombre. Leurs sprites sont souvent immenses, et superbement animés, on remerciera évidemment les capacités des consoles 32 bits qui faisaient des merveilles à cette époque-là.
D'ailleurs au niveau technique, le jeu s'avère être une réussite. Le titre de KCET est très beau, les salles sont gigantesques, très bien décorés, les effets sont beaux, classes. Les personnages sont charismatiques à souhait, les ennemis et boss le sont tout autant.
La musique composée par Michiru Yamane, est juste splendide et elle signe là une bande-son extrêmement inspirée. Le thème The Tragic Prince en est le parfait reflet.
Artistiquement parlant, ce jeu est juste une gigantesque tuerie pour tout résumer.
Les contrôles sont justes excellents, certaines manipulations s'avèrent un peu complexe, mais c'est voulu par les concepteurs. Le jeu est beaucoup plus souple qu'avant, exit la rigidité des anciens épisodes.
Enfin la durée de vie est nettement revu à la hausse par rapport aux itérations 8/16 bits. Pour ma part, il m'a fallu 15 heures pour boucler le jeu en tuant Dracula et en ayant la "bonne fin" avec un taux de complètement à 199,2%.
Le jeu dispose de plusieurs fins, allant de la plus mauvaise, à la meilleure que je n'ai pas obtenu car il aurait fallu recommencer tout le jeu avec Richter Belmont et battre Dracula avec.
Oui, en terminant le jeu avec Alucard, il est possible de le recommencer avec Richter Belmont.
Dernier détail, on a parlé durant tout le test de "château de Dracula" mais dans les faits pour compléter le jeu, il faut boucler 2 châteaux : le normal, et le château inversé, plus ardu.
La version PSP.
Ce test a été effectué à partir de la version du jeu généreusement offerte dans le jeu PSP Castlevania: The Dracula X Chronicles.
Cette version est basée sur la version Playstation japonaise du jeu, mais avec des ajouts. Le jeu est intégralement (assez mal) traduit en français, avec l'option des voix japonaises. On aura droit à 2 familiers supplémentaires par rapport à la version originelle sur la 32 bits de Sony, et surtout à une Maria Renard jouable en terminant le jeu avec Alucard. La version Sega Saturn permettait aussi et d'emblée de jouer avec Maria, sauf que dans cette version sur PSP, Maria est nettement plus proche de sa version Super CD-ROM², à savoir Castlevania: Rondo of Blood.
Enfin, comme sur Saturn, Maria apparaît en mid-boss dans le jeu, ce qui n'était pas le cas de la version Playstation.
Pourtant malgré ce concert d'éloges, j'ai noté quelques petits défauts au jeu. Tout d'abord, la difficulté a été revu à la baisse, ce qui est un petit peu dommage. Encore une fois les dialogues auraient pu être plus riches, mais on en a déjà parlé plus haut.
Si la carte est parfaitement lisible et bien faite, ce n'est pas le cas du menu de l'équipement que j'ai trouvé fouillis et confus. Il devient vite bordélique, on passe parfois du temps à chercher par exemple un bouclier, qui est perdu dans une pléiade de potions, nourriture, armes etc... Les items auront dû être mieux compartimenté pour le confort des joueurs.
D'autant qu'au final, et bien on passe pas mal de temps dans les menus mine de rien. Cela hache quelque peu le rythme du jeu, mais cela est contrebalancé par le fait qu'il s'agit d'un élément central du gameplay. Le changement d'équipement à la volée est un parti-pris, on s'y fait sans soucis avec le temps, et les temps de chargements sont inexistants.
Autre petit défaut, on note par endroits de gros ralentissements, dus à un grand nombre de sprites affichés. Pas de panique, cela est rare. La version Saturn est bizarrement plus affecté par ce désagrément que la version Playstation.
Enfin, et on n'en a pas parlé, il existe dans le jeu un marchand. Il peut être utile au tout début, mais Alucard devient tellement puissant assez vite dans le jeu, que ce dernier devient pour le coup anecdotique.
D.É.M.E.N.T.I.E.L !!! Une authentique claque dans la figure, qui vous fera littéralement tomber de votre chaise. Même si à la toute fin de cette critique, j'aborde les petits défauts du jeu, n'ayez crainte ils ne pèsent vraiment rien face à l'immense génie que dégage constamment le hit de Konami.
Castlevania: Symphony of the Night s'avère être un titre extrêmement accrocheur, passionnant, riche, profond, tout en étant artistiquement splendide.
Ce titre a-t-il vieilli ? J'espère que c'est une blague, une mauvaise blague même. Il met encore en 2016 K.O debout tout un panel de AAA ronflant, sans les citer. Ce titre est une référence intemporelle, qui se place très haut dans la liste de jeux ayant marqué ma vie de joueur. Merci Konami, merci.
Fiche technique: Titre original: Akumajô Dracula X Gekka no Yasôkyoku Développeur: KCET Editeur: KONAMI Genre: ACTION-RPG Année: 1997 Autres supports: SATURN, XBLA, PSP (Dracula X Chronicles) Nombre de joueur(s): 1 Localisation:
NOTE PRESSE (Joypad 064 - Mai 1997)
RESSOURCE PRESSE
Screenshots:
Bonus retro:
En bonus, la pub US qui rend honneur au jeu, je trouve.
Je remercie le membre du site Dinourex qui m'a filé tout un tas de lien de la "location-test" de The King of Fighters XIV qui s'est déroulé hier au magasin Yodobashi Camera Multimedia Akiba, à Akihabara, Tokyo.
Dans cette nouvelle build, les joueurs ont pu (et pourront dans les autres villes) testé 36 personnages, dont Hein, Shun'ei, Ralf, Mui Mui, Kukri ou Chin et 3 décors en plus.