Tout çà pour 10 petits cents....
Au début des années 90, Sega s'était forgé une solide réputation dans le domaine des adaptations des licences Disney en jeu vidéo. Mettant en scène le personnage de Donald, ce jeu de plateforme de Sega s'inscrit donc dans cette glorieuse lignée de jeux de plateforme.The Lucky Dime Caper Starring Donald Duck est paru dans la grande année 1991 (qui a vu l'arrivée de Sonic, entre autres). Un titre qui de mémoire avait reçu les faveurs de la presse, mais aussi des joueurs.


Le scénario de ce jeu est assez décalé! Donald, Rifi, Fifi, et Loulou, sans oublier Oncle Picsou, se retrouvent dans la pièce principale du château de ce dernier. En effet, le roi des radins tient à donner un présent aux petits neveux de Donald, une pièce de 10 cents pour chacun d'entre eux, ce qui est assez ridicule.
Il leur explique que sa fortune a été bâtit à partir d'une pièce de 10 cents qui garde précieusement comme porte-bohneur, et qu'il nomme amoureusement son Lucky Dime (Pièce de 10 Cents porte-bohneur).
Seulement, au même moment, Picsou ne se doutait pas qu'il était espionné par la sorcière Magica. Elle surgit et enlève les petits canards, et surtout le fameux Lucky Dime de Picsou. Elle espère, elle aussi, se servir de cette pièce porte-bohneur pour devenir riche.
Ni une ni deux, Donald embarque dans son jet pour aller secourir ses neveux, aller récupérer leurs 3 pièces de 10 cents et enfin ramener la fameuse lucky dime de son avare d'oncle.

Un petit scénario classique pour un jeu de plateforme haut en couleur. Donald devra traverser 7 niveaux qui le verront arriver jusqu'à l'antre de Magica.
Notre avatar utilise 2 armes dans sa progression. La première, un marteau surpuissant, la seconde, un frisbee. A noter que Donald peut aussi sauter sur ses ennemis pour les détruire.
Au niveau du HP, durant tout le jeu, notre héros ne dispose que de 2 points. La première fois que l'on se fait toucher on perd son arme, la deuxième, on perd une vie.
Différents bonus permettront au joueur de gagner des points, qui amélioreront le scoring, vu que l'on pouvait score dans Donald Master System. La boîte étoilée est aussi un bonus intéressant. Si on en collecte 3, la vitesse de notre augmentera. Par exemple la cadence de tir au frisbee sera plus rapide. Si on collecte 5 boîtes, on disposera d'un pouvoir d'invincibilité temporaire, chose classique dans tous les jeux de plateforme. Par contre une fois l'invincibilité terminé, il faudra à nouveau refaire ce travail de collecte.
Le level design est soigné avec un scrolling multi-differentiel, beaucoup de plateformes et une bonne dose d'action.
Comme tout jeu du genre, on traversera plusieurs stages qui vont de l'île paradisiaque, à des environnements neigeux ou encore les pyramides d'Egypte. Du très classique! A noter que comme dans Quackshot, on peut choisir son stage, ce qui constitue un point fort appréciable!

Techniquement, le titre est impressionnant pour de la Master System. Le jeu de Sega est un modèle graphique sur ce support, avec des sprites très fins, des décors détaillés avec une bonne variété. Du super boulot.
L'animation n'est pas en reste. La fluidité est de mise, la vitesse est bonne, et je signale très peu de bugs d'effacements de sprites ou autres. A noter le passage au Pérou, où on a droit à une pseudo 3D, qui impressionnait à cette époque. Là encore, du travail bien fait.
La jouabilité est nickel chrome, Donald se manie aisément; dès la première minute de jeu, on s'amuse. Une jouabilité instinctive couplée à une prise en main, immédiate, c'est ce qu'il fait la marque des jeux de plateforme de l'époque.
Enfin, la musique aujourd'hui désuette, reste quand même audible et plutôt sympathique même si certains geeks trouveront toujours un certain charme au son en PSG (Polyphonic Sound Generator).
Par contre là où je ne serais pas tendre, c'est au sujet de la durée de vie. La dernière fois que j'y ai joué, je l'ai terminé en 50 min, environ, sans forcer! Le jeu est un peu trop facile, et surtout super court. Dommage!

Pour finir cette critique, mon avis sur cette production est aujourd'hui plus nuancé qu'à l'époque. Donald Duck sur Master System est un bon jeu, mais malheureusement beaucoup trop court, comme pas mal de productions du genre de l'époque. Cela plombe quelque peu son intérêt.
Pour résumer je dirais qu'il constitue un divertissement très agréable si vous avez une petite heure devant vous.

Fiche Technique:
Titre: THE LUCKY DIME CAPER STARRING DONALD DUCK
Développeur: SEGA (AM7)
Editeur: SEGA
Genre: PLATEFORME
Année: 1991
Autre support: GAME GEAR
Nombre de joueur(s): 1
Localisation:

NOTE PRESSE (Player One 016 - Janvier 1992)



RESSOURCE PRESSE



Screenshots:

Bonus retro:
Je vous propose le Tool Assisted Speedrun de ce jeu, réalisé par ShinyDoofy en 20:09 min.

C'est fou comme on parle du prochain Bomberman sur psp. Déjà disponible sur Wii et DS (en import), Bomberman Land débarquera le 21 Mars prochain sur le territoire japonais.
Ce jeu nous envoie donc, dans le grand parc d'attraction avec pas moins de 50 mini-jeux divers et variés (jeux de reflexes, jeux de casinos, bref un bon family game).
Les modes normal et battle sont aussi présent avec des batailles en ad-hoc qui pourront rassembler jusqu'à 4 joueurs en même temps.
Pour cloturer cette preview, comme d'habitude, screens+cover!

Allez, une petite dernière pour la route avant d'éteindre l'ordi, pour ceux à qui çà interresse, l'OST du dernier jeu de la team Yuki Ets, à savoir Arcana Heart, est disponible dans le commerce, au prix de 3,360¥.
Arcana Heart est je vous le rappelle un jeu de combat 2D très frais qui met en scène des jeunes filles. Le jeu a eu un bon accueil dans les game centers nippon depuis sa sortie.
Amazon japan

Allez une petite news signé Neo-Arcadia, pour vous informer que Dynamite Deka EX: Asian Dynamite sortira cet été dans les salles japonaises sur le système Naomi.
Ce sera probablement le dernier jeu à sortir sur ce système compatible Dreamcast (sniff).
Et la question est la suivante: aura t-on la chance de le voir débarquer un jour sur Dream? Je n'y crois pas vraiment personnellement.
Peut-être une conversion PS2, ce serait dans ce cas un des derniers jeux de la machine.
d'après ce que j'ai pu lire à droite à gauche, le titre ne semble pas être une production de poids.
En bonus, un flyer.

Je viens de trouver la pub japonaise de ce jeu, que j'avais traité ici même il y a un an maintenant.
Bien sûr je l'ai rajouté à mon vieil article, test retro que vous pouvez retrouvez ici même.

Le site Neo-arcadia a mis en ligne (il y a quelques jours maintenant) la cover de Guilty Gear XX Accent Core dernier rejeton de la serie d'Arc System, prévu sur Wii et PS2 donc.
Le jeu est attendu pour le 31 Mai sur PS2, au Japon. Ca fait loin quand même.

Il a dû grandir depuis! Qui sait...
Paru en 1991, Baby Jo est une production française d'un studio qui a fermé ces portes depuis, Loriciel.
L'éditeur français responsable en autres du fabuleux Val d'Isère Championship sur Super Nintendo, ou encore, de Panza Kick Boxing sur Micro et consoles.
Ah, il est loin le temps où on devait envoyer un petit coupon à cette société pour recevoir des disquettes démo gratuites...


Baby Jo est un petit jeu de plateforme comme on en voyait tant à cette époque. Comme le titre du soft l'indique, on dirige un bébé qui doit rentrer chez lui après s'être perdu.
Seulement jeu vidéo oblige, le chemin ne sera pas de tout repos et sera même semé d'embûches.
Comme tout jeux du genre, différents méchants tenteront de l'arrêter (on ne sait pas pourquoi d'ailleurs), et ce durant les 4 niveaux qui constituent l'aventure de ce soft.
Et oui, le jeu ne compte que 4 petits niveaux, mais pour contrebalancer ce désagrément le challenge est vraiment au rendez-vous surtout vers la fin du titre.
Notre bébé peut sauter, et frapper les ennemis avec des hochets en nombres limités, qu'il ramassera à l'intérieur des niveaux.
Comme dans tous jeux de plateforme classique, Baby Jo pourra récupérer tout un tas d'items en tout genre qui l'aideront dans son quête, comme les biberons, des bonbons ou encore des mallettes de soins qui lui permettront de récupérer de la santé matérialisée à l'écran par sa petite bouille.
Les niveaux sont grands et bien agencés, le jeu propose un bestiaire assez fourni qui va de sales bestioles, à des éléments naturels comme des nuages noirs lançant des éclairs par exemple. Comme tout jeu de plateforme qui se respecte, le titre de Loriciel dispose de plusieurs passages, à l'intérieur desquels notre ami pourra récupérer tout un d'items en tout genre.
Dans son aventure, Baby Jo pourra compter sur l'aide d'un canard noir particulièrement bizarre puisqu'il vit dans un terrier et est friand de carottes! Un canard à la personnalité bizarre puisqu'il ressemble comme à s'y méprendre à Daffy Duck tout en se prenant pour Bugs Bunny. Saluons le côté iconoclaste de la chose...
Le défilement de l'écran se fait via un scrolling multi-directionnel, mais malheureusement de nombreux bugs sont à signaler. Le scrolling est souvent heurté, et un délai de latence particulièrement désagréable est à signaler dans certaines phases de contrôle de Baby Jo. Néanmoins, ce soucis techniques n'empêchent pas le joueur de finir le titre, et ne sont jamais rédhibitoires, c'est juste désagréable.
Les différentes mimiques et attitudes du bébé sont rigolotes et tranchent un petit peu avec le sérieux de certains jeux du genre. Ce jeu au caractère enfantin affiche cependant un chara-design douteux notamment pour son personnage principal.
Graphiquement, le titre est correct sur ST, sans plus. Les décors sont variés, les ennemis plutôt bien dessinés, bref le strict minimum.
Les musiques sont plutôt sympathiques, mais ont tendance à devenir assez vite répétitives. Les bruitages sont moyens par contre.
Malgré le challenge proposé, Baby Jo n'en est pas moins un jeu de plateforme court, la faute là-encore à 4 petits niveaux.

Baby Jo est un petit jeu de plateforme assez correct, plutôt original puisqu'il nous invité à contrôler un nourrisson bien avant le Chuk Rock 2 de Core Design.
Un jeu de plateforme assez standard qui connût tout de même un certain succès à sa sortie.

Fiche Technique:
Titre: BABY JO GOING HOME
Editeur: LORICIEL
Genre: PLATEFORME
Année: 1991
Autres supports: AMIGA, AMSTRAD CPC, PC, NEC CD ROM
Nombre de joueur(s): 1
Localisation:

NOTE PRESSE (GENERATION 4 037 - Octobre 1991)



Screenshots:

Bonus retro:
Et pour clôturer ce petit dossier, une petite pub d'époque.
Si vous voulez plus d'informations sur la société Loriciel, rendez-vous sur ce site http://www.loriciel.org

Voici un nouveau trailer de Hokuto no Ken Fighting sur PS2.
Je viens à peine de l'uploader sur mon compte Dailymotion. La qualité est bof bof, mais je l'ai pris déjà comme çà, d'origine.
Bref, je n'en puis plus d'impatience....

L'actualité de cette série culte est décidément très riche! Voilà que je viens de choper les premiers visuels du jeu sur Wii.
Je vous rappelle qu'il s'agit d'un jeu de type pachinko. C'est vraiment dommage pour les possesseurs Wii, mais bon...
Aussi, Gamekult nous rapporte que le jeu est compatible Wi-Fi et Mii aussi. Le titre est attendu pour le 24 Mai prochain au Japon. Voilà, vous savez tout!

Video déconseillée aux plus jeunes!
Bien, je tiens quand même à vous la mettre. Voici une video de Samurai Spirits V Special que je trouve superbe et qui montre toutes les fatalités du jeu (Zetsumi Shouri). Je ne la connaissais pas et je viens à peine de tomber dessus, en me promenant sur le forum de Neo-arcadia.
Sachez que c'est l'épisode le plus violent de la serie (SNK a même dû l'édulcorer), et que je vais bientôt le passer en review .
Merci à Captain Algeria (ex gamefan) pour le lien. Aligato!

LOL, toujours en direct de mon cours (de merde), voici les notes du magazine Famitsu du mois de mars.
A noter, (en ce qui me concerne), la bonne note de Sonic Wii. Le reste, je m'en fous un peu.

En direct live de mon cours sur les systèmes d'exploitations (lol), je vous propose de découvrir un nouveau trailer du dernier-né de la serie Muso, de Koei.
Muso Orôchi sortira le 21 Mars sur PS2 au Japon, et semble d'ores et déjà, l'épisode ultime pour les fans de cette serie.

Un petit Goku en salle, çà vous dit ?
Dragon Ball Z est l'une des licences d'anime à avoir produit un nombre de conversion absolument colossal. Aujourd'hui encore les titres à l'effigie de Son Goku et de ses amis continuent à sortir avec une cadence très régulière.
Tout le monde se souvient des épisodes Super Butoden sur Super Nintendo, ou encore de Dragon Ball Z Legend sur Saturn et Playstation, mais qui se souvient de Dragon Ball Z 2 Super Battle paru en 1994 en arcade et produit par Banpresto ?

Sortit en 1994 dans les salles arcades sur le système de Konami, le Konami Xexex, Dragon Ball Z 2 Super Battle est une production du studio Banpresto, filiale de Bandai, très connu pour ses Gundam, ou sa série de T-RPG Super Robot Taisen.
Comme son nom l'indique, DBZ 2 est une suite d'un premier opus particulièrement mauvais, qui reprenait le début de l'anime, jusqu'au combat contre Freezer.
Ce second volet reprend le chapitre des cyborg, et notamment le combat contre Cell. Le roster du jeu est composé seulement de 10 protagonistes, à savoir Son Goku, Son Gohan, Vegeta, Piccolo, Trunks, C16, C18, C20, Cell et Mr Satan.
Le titre de Banpresto est comme son aîné un jeu de combat en versus qui s'inspire grossièrement de la série Super Butoden sur Super Famicom sans pour autant y intégrer un spli screen dès que les 2 personnages s'éloignent, ceux que certaines fans peuvent déplorer.
Au niveau du gameplay, le jeu se joue à 4 boutons, avec 2 boutons pour les poings (LP et HP) et 2 boutons pour les pieds (LK et HK). Les personnages disposent d'une demi-douzaine de coups spéciaux qui s'exécutent à la manière des jeux de combat classique, ainsi qu'une projection.
Le jeu intègre une barre de furie divisée en 3 niveaux. Il existe 2 types de furies, les Specials et les Super Specials. Les Specials sont des furies nécessitant un niveau de jauge, les Super Specials sont des furies plus dévastatrices qui nécessitent 2 niveaux de jauges.
Ce DBZ propose aussi 2 subtilités qui lui sont propres, le Charge qui comme son nom l'indique est une charge qui s'exécute en pressant sur les 4 boutons et le Melee Clash qui se déclenche dès que les 2 personnages portent en même une attaque. Comme dans la série, les 2 personnages s'envoient un nombre de coups très soutenu, le gagnant de ce duel est celui qui martèlera le plus vite sur les boutons. On retrouve d'ailleurs le même principe dans la série Dragon Ball Z Budokai.
Il est aussi possible d'envoyer de temps en temps un coup critique qui fera office de launcher (qui enverra le personnage dans les airs) ou au contraire qui l'enverra s'écraser au sol. Au niveau des combos, le jeu est très pauvre. Certes il est possible de faire des cross-up mais quasiment aucun combo derrière.
La faute principalement à une inertie des personnages totalement ratée. Les personnages sont en effet trop vifs, et leur déplacement et mouvement sont loin d'être fluide. Tout est heurté dans ce jeu, on est très loin de la fluidité d'un Street Fighter II. Les combats se résument souvent à un envoi de vagues d'énergie assez inintéressant.
Dommage car le titre avait tout de même des atouts, notamment visuels. Les sprites sont certes petits, mais ils sont fins et bien détaillés. Les décors reprennent les théâtres de combat vu dans la série (ring du Tenkaichi Budokai, île du combat Vegeta/Cell) et sont dans l'ensemble réussi avec même des arrières-plans de qualité, comme ce même Tenkaichi Budokai où l'on peut apercevoir Tortue Géniale, le commentateur, Krillin entre autres.
Les différents effets visuels comme les flammes ou les impacts sont assez plaisants aussi. Seul les thèmes musicaux sont d'un goût franchement discutable. Par contre, on retrouve les voix de la série pour ce qui est des cris ou des noms des attaques (notamment le Kamehameha de Son Goku).
Enfin la maniabilité est loin d'être instinctive et le jeu est finalement peu plaisant et peu intéressant à jouer. Même à 2 joueurs, on se lasse très vite, et on veut vite passer à un jeu de combat beaucoup plus sérieux.

Ce Dragon Ball Z 2 Super Battle avait un vrai potentiel pour faire un jeu de Versus FIghting sérieux avec la licence de Akira Toriyama. Malheuresement il échoue sur l'aspect le plus important, à savoir le gameplay qui s'avère brouillon et qui surtout ne procure aucune sensation.
Dommage, car le jeu de Banpresto disposait de graphismes loin d'être mauvais, ainsi que bonnes idées maladroitement exploités. A oublier.

Fiche Technique:
Titre: DRAGON BALL Z 2 SUPER BATTLE
Editeur: BANPRESTO
Arcade System: KONAMI XEXEX
Genre: VERSUS FIGHTING
Année: 1994
Autre support: MAME32 (je devrais pas, je sais, mais bon si vous arrivez à trouver la borne...)
Nombre de joueur(s): 2
Localisation:

NOTE PRESSE (EmuNova.net)



Screenshots:

Bonus retro:
Quelques combats japonais.

Voilà, je viens de créer une toute nouvelle rubrique, qui vous parlera de l'actualité de l'animation japonaise (pas de mangas papier, ou très peu alors).
Comme vous vous en doutez, il sera beaucoup question de Ken, mais pas seulement!
Je vous parlerais aussi d'autres DA, mais je vous préviens, je ne traiterais que l'actu des anime violent et gore même!!!!
Pas de Naruto, Bleach ou autres chez moi, donc.

On revient donc au sujet de la news, il y a 2 jours, est tombé un nouveau trailer du 2e film consacré à Raoh: Hokuto no Ken Raoh Gekitô Hen.
Et je peux vous dire vite fait, que les déçus de Yuria Den risque de retrouver espoir avec ce nouveau film, car çà a l'air de défoncer tout! Le design est très bon, bref, allez faire un tour chez Hokuto Legacy, pour mater çà!