Alors qu'aucune information sur les possibles caractéristiques de la prochaine génération de console n'est disponible, les divers acteurs du milieu en profitent pour exprimer ce qu'ils désirent voir sur les prochaines consoles de Sony et Microsoft. C'est maintenant au tour d'Epic, créateur de l'Unreal Engine, ainsi que de la série Gears of War et Bulletstorm, de faire part de ses doléances.

"Je pense que notre plus grosse demande concernant une nouvelle console sera plus de RAM, ceci plus que tout." Pour rappel, la PS3 possède 256 Mo de DRAM et 256 Mo de mémoire vidéo GDDR3. La Xbox 360, quant à elle possède 512 Mo GDDR3 de mémoire partagée. Ces nombres paraissent en effet bien petits comparés à ceux des PC d'aujourd'hui qui offrent maintenant 4 Go de RAM en tant que standard et souvent plus que 512 Mo dédiés sur la carte graphique. Pour la petite histoire, certaines versions de Windows permettent même jusqu'à 192 Go de RAM.


Plus de RAM, serait donc une possibilité d'avoir une plus grande marge de manoeuvre. Epic l'a bien compris, et l'avait même demandé pour la Xbox360/PS3 dans le passé.

C'est quelque chose pour lequel nous avons milité avec la Xbox 360 et la PS3. On est venu leur parler et on leur a dit : ''Okay, voilà ce qu'on peut faire avec les moyens donnés. Avec plus de mémoire nous pourrons faire mieux".

Avec plus ou moins cinq ans au compteur pour les deux consoles, celles-ci n'ont pourtant pas à rougir de leurs performances au vu du hardware inchangé. Contrairement au PC qui atteint de nouveaux sommets tous les six mois en achetant à chaque fois du nouveau matériel, les consoles sont condamnées à stagner un moment ou un autre à cause de leur hardware fixe...

Toujours est-il que les prochaines caractéristiques de la next-gen seront probablement impressionnantes. En attendant, Wait and see.

Oui, nous parlons bien de ce RPG tout mignon qui fait fureur au pays du soleil levant et qui vient de recevoir la classification T pour "Teen" avant sa commercialisation cet automne.

Le titre contiendra en effet des combats avec des armes ou encore des pouvoirs magiques mais c'est surtout du côté des dialogues que rien ne va plus car l'organisme de classification a appris qu'il sera possible de lire certains mots comme drogue, m*rd* ou encore sal*p*, voire peut être même c*l.

Autant dire que le jeu est clairement destiné à un public averti...

Alors que nous attendons toujours l'annonce de nouveaux titres pour cette gamme de jeu, voici que Famitsu a décidé d'organiser un sondage auprès de ses lecteurs. Un sondage qui nous permet de découvrir quelles sont les principales attentes du peuple nippon vis-à-vis de la game PSP Remasters.

1- Kingdom Hearts: Birth by Sleep (Square Enix)
2- Crisis Core: Final Fantasy VII (Square Enix)
3- Dissidia Duodecim: Final Fantasy (Square Enix)
4- Gundam Next Plus (Namco Bandai)
5- God Eater Burst (Namco Bandai)

Apres Bullet Witch, Guilty Gear 2: Overture etait la seconde exclue mal aimée de la 360 que je voulais faire.

Et bien autant dire que meme si c'est pas un tres tres bon jeu, pour 9 euro c'est passé plutôt bien.

Avantages:

- L'univers/decors
- Les personnages charismatiques
- Les musiques
- Doublage anglais reussi
- Systeme de jeu stratégique intéressant
- Le boss de fin tres tres bon
- le systeme de rush et de dérapages a la Sonic, j'adore
- Mode multi


Inconvénients:

- Graphismes dignent de la Wii (en plus colorés et fins tout de meme)
- Doublage japonais qui tape sur les nerfs (et c'est moi qui dit sa )
- Histoire bordélique (j'ai presque rien capté)
- Le jeu se disperse trop dans different mode de jeu
- Tres tres court (5-6 heures)
- Ky a perdu en class




A vrai dire le problème de ce jeu est justement son système...
Il est présenté comme un melange de beat-them all et de strategie en temps reel ou on doit prend des spots, invoquer des sbires jusqu’à detruire le spot "coeur" ennemi, ce qui est assez sympa mais le probleme c'est que ces niveaux sont bien peu nombreux.

En effet le jeu se décompose en 20 "événements" mais dans ces 20 evenements on doit avoir 5-6 missions dans le genre, avec a coté des boss, du beat them all classique (jte défonce tout les ennemis du niveau comme dans un Dynasty Warrior), des recup d'objet en temps imparti et des evenement juste cinematique... bref un gros pot pourri avec un peu de tout
Puis dire que je m'attendais a au moins a une trentaine de mission j'en suis un peu deçu (même si a coté du mode story on a des mission indépendante et du multi m'enfin bon)

Bref un jeu que j'ai tout de même apprécié ne serait-ce que pour son univers particulier et son système de jeu tout de meme bien sympathique.

En espérant que ce Guilty Gear "2" revienne... en jeu de combat bien sur (et vu le flop de cet episode il n'y en a pas a en douter) car la fin du soft appel a un second épisode.

Alors qu'Ultimate Marvel vs Capcom 3 ne sort qu'en Novembre, Capcom a déjà des plans pour du contenu téléchargeable. Les joueurs seront en mesure d'acheter des costumes et obtenir de nouveaux modes à partir du PSN ou du Marketplace.

Selon Famitsu, un nouveau mode permettra de faire des Hyper Combo Illimité.
Le prix de ce mode n'a pas été encore annoncé.

Graphismes 16/20

Même s'ils perdent de leur finesse lorsqu'on zoome sur l'action, les environnements sont jolis et bénéficient d'une direction artistique très documentée, couplée à un moteur physique absolument fabuleux. On reprochera quand même à ce bel ensemble l'animation minimaliste des personnages, les bugs de collision, ainsi que l'absence d'un cycle jour/nuit et de conditions météo.


Jouabilité 13/20

Le gameplay quelque peu limité consiste pour l'essentiel à terraformer la carte en s'aidant de ses pouvoirs. Ce n'est pas gênant en soi, car c'était déjà le principe de Populous il y a 20 ans, sauf que From Dust ne propose aucun affrontement contre d'autres tribus. Il est surtout fâcheux que la lutte contre la nature passe par une lutte moins réjouissante contre la maniabilité.


Durée de vie 14/20

Avec sa campagne d'une douzaine de niveaux, son mode Défi et ses petits plus à débloquer, From Dust possède une durée de vie satisfaisante, voire même suffisante dans la mesure où le concept de base est sujet à un certain essoufflement sur le long terme.


Bande son 16/20

Très travaillée, la bande-son de From Dust s'accorde à merveille avec l'univers du jeu. Étouffés par le grondement assourdissant d'une éruption volcanique ou d'une lame de fond, les cris de détresse des hommes, prononcés dans un dialecte inconnu, en deviendraient presque touchants. Dommage que les jolis thèmes musicaux aient tendance à se répéter beaucoup trop.


Note Générale 14/20

From Dust est un concept réjouissant qui accuse vite ses limites. Vingt ans après Populous, son gamelay minimaliste passerait bien mieux si seulement la lutte contre les forces de la nature ne se couplait pas d'une lutte contre une jouabilité au pad trop approximative. Reste un jeu de toute beauté, doté d'un moteur physique impressionnant, susceptible de procurer le plaisir simple d'un enfant luttant pour protéger son château de sable du ressac. Et quoi qu'on en dise, ce n'est déjà pas si mal.

Arc System Works prevoit une mise à jour pour BlazBlue: Continuum Shift II qui permettra de selectionner Relius Clover personnage jouable. Comme son fils Carl, Relius contrôle également des marionnettes dans les combats.
Arc System Works a également l'intention de reéquilibrer avec cette mise à jour.

Les joueurs d'arcade peuvent s'attendre à une nouvelle version de BlazBlue: Continuum Shift II cet hiver. Les tests débuteront le 11 août à Hey à Akihabara.

... sur table

Lors du Comic-Con de San Diego, Kojima Productions a annoncé que Metal Gear Solid aura son propre Risk, le célèbre jeu de société de stratégie. Une première pour la série de Hideo Kojima, cependant il est clair que la toile de fond de Metal Gear Solid 4 s’y prête à merveille. Lors de son annonce, seules deux boites vides trônaient sur le stand du Comic-Con, soit l’édition classique illustrée par Yoji Shinkawa et l’édition collector. Deux prototypes décidément bien avides en informations. Mais aujourd’hui, Konami et USAopoly ont révélé plus de détails au site Kotaku, notamment sur la façon de jouer dans ce Risk un peu spécial.

Risk : Metal Gear Solid se joue sur une carte classique mais une nouvelle zone est également de la partie : je vous le donne dans le mille, Outer Haven, le fameux navire de guerre servant de base à Liquid Ocelot dans Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots. Les joueurs qui l’occuperont pourront se déplacer sur la carte et prendre des cibles plus éloignées comme le continent Australien. Les joueur de Risk : Metal Gear Solid auront également la possibilité de lancer une attaque nucléaire sur des territoires très éloignés, si bien sûr, ils arrivent à acquérir préalablement le Metal Gear Rex. Ainsi, une nouvelle tactique naît dans le jeu Risk.

Le joueur prend le contrôle d’une des cinq PMC’s (Raven Sword, Werewolf, Otselotovaya Khvatka, Pieuvre Armement et Praying Mantis) pour tenter de conquérir des territoires tout en accomplissant des objectifs. Ces cinq PMC’s seront véritablement représentées sur le plateau avec des pièces d’infanteries PMC et des Gekkos

Risk : Metal Gear Solid nous réserve de nombreuses surprises tels que Solid Snake qui pourra s’infiltrer dans des territoires déjà conquis. La Rat Patrol Team 01, menée par Meryl, boostera la puissance d’attaque d’un groupe d’unités. Roy Campbell offrira sa précieuse aide aux joueurs pour obtenir des Points Drebin pendant le jeu. Raiden, Liquid Ocelot, Big Mama et bien d’autres seront aussi de la partie. USAopoly annonce également 40 cartes Drebin qui ajoutent des attaques et des défenses spéciales comme le chantage ou encore le piratage de systèmes par exemple.

La date de sortie de Risk : Metal Gear Solid est prévue pour le mois de novembre (au pays de l'oncle Sam tout du moins) au prix de $40 environ (soit 28€) en deux éditions : en version limitée et en version standard.

Comme toujours dans ces cas-là, la découverte provient d'un CV un peu trop garni. En effet, un employé du studio souhaitant rester anonyme nous dévoile que Black Troll Studios développe actuellement un FPS exclusif à la PS3 pour le compte d'Electronic Arts.

La seule chose de concret que nous savons sur le titre, c'est que celui-ci est développé depuis septembre 2010 et qu'il a fait fort pour garder le secret jusqu'à aujourd'hui. Serait-ce dans le but de garder l'une des annonces de l'éditeur lors de la GamesCom ?

La conférence Phantasy Star Online 2 à Akihabara, Tokyo, mené par par Satoshi Sakai s'est conclue de bonne heure ce matin.

A cette occasion, le producteur de Sega Japon a détaillé pour la première fois plusieurs aspects de ce RPG en ligne. La création de son personnage a par exemple eut droit à un compte rendu détaillé et s'annonce vraiment très riche pour trouver son bonheur parmi les trois races (Human, Newman, Cast). Sega a également montré la partie action du jeu dont beaucoup d'éléments étaient déjà connus. Le groupe sera formé de 4 joueurs comme PSO. On pourra rencontrer à un point de passage d'autres teams, et partir ensuite en raid dans une nouvelle équipe de 12 membres maximum.

La principale info de la conférence est que l'alpha test aura lieu courant août, les inscriptions sont déjà bouclées. Le jeu se laissera ensuite approcher au TGS en version jouable. Et après, une bêta ouverte lancera la phase finale de lancement du jeu au Japon. De nouveaux médias ont été diffusés dont ce trailer qui a ouvert la conf'.

Âpres Madworld et Vanquish, Sega continue de faire doubler les jeux Platinum Game dans la langue de Moliere (alors qu'on aimerait en voir d'autre au moins avoir au minimum les sous-titre français...hum... Yakuza ou Valkyria Chronicles au pif).

Chacun appréciera a sa manière ce nouveau trailer, mais saluons toute de même l’initiative:

L'OST de Tales of Xillia, qui est deja en pré-commande chez le magasin en ligne " Mu-Mo ", révèle qu'il y aura pas moins de 8 villes dans ce nouvel opus.

La bande sonore, qui contient 81 chansons sur trois disques, liste 8 noms de villes dans les titres des pistes.

Huit est un grand nombre, surtout lorsqu'on le compare à d'autres jeux de rôle de cette génération (Final Fantasy XIII....).
Toutefois, certains anciens opus en ont eu plus.
Une liste établie par Hachimaki révèle que les anciens Tales ont pu atteindre jusqu'à quatorze villes:

Tales of Symphonia - 14 villes
Tales of Rebirth - 14 villes
Tales of the Abyss - 14 villes
Tales of Innocence - 8 villes
Tales of Vesperia - 14 villes
Tales of Hearts - 9 villes
Tales of Graces - 12 villes

Nous pouvons en conclure:

1) que soit certaines piste ne sont pas assimiler a un nom de ville, et qu'il y en a bien plus

2) que soit l'échelle plus réalistes des bâtiments et des structures de Xillia ont abouti a de grandes villes, mais en plus petite quantité.

Miam meme si il n'est dispo qu'en SD pour l'heure



A noter que l'alpha test debutera en Aout

LittleBigPlanet, ce mot résonne aujourd'hui pour chaque joueur Playstation, mais aussi dans toute l'industrie vidéoludique. En effet, le titre de Media Molecule a su ouvrir une nouvelle orientation au jeu vidéo en devenant le pionnier de la créativité, mais aussi de l'aspect communautaire largement répandu dans les jeux aujourd'hui.

Toutefois, si Rome ne s'est pas faite en un jour, que dire de cette exclusivité Playstation qui est passée par bon nombre d'étapes avant de devenir ce qu'elle est aujourd'hui. Dans un long entretien avec notre confrère Eurogamer, Alex Evans, co-fondateur de Media Molecule et Phil Harrisson de Sony, nous délivrent tous les secrets du développement de la mascotte. Passionnant !

Ainsi, tout a commencé entre 2005 et 2006, presque un an avant la commercialisation de la Playstation 3. A cette époque, Phil Harrisson, grand ponte de Sony, donne à Media Molecule le chemin à prendre pour créer un nouveau type de jeu. "Nous avions rendez-vous avec Phil pendant 45 minutes, et ça s'est transformé en une réunion de 3 heures" déclare Alex Evans : "Durant le rendez-vous, Phil nous a sorti des mots que nous n'avions encore jamais imaginé. Il a parlé de jeu free-to-play, de nouveau modèle d'affaires, de contenu téléchargeable, de contenu généré par les utilisateurs."

Dès lors, Phil Harrisson donne de l'argent à Media Molecule (alors connu comme Brainbluff) pour faire un prototype de ce qu'il a dit en 6 mois. "Beaucoup de vidéos ont été faites durant cette période où Media Molecule a essayé d'expliquer à nous-mêmes et ensuite à Phil ce que nous faisions. Notre projet était alors appelé Vaisseau".

"C'était notre nom de code interne pour le jeu et pendant un temps assez long", a révélé M. Harrison. "Et puis, il y a eu le nom de LittleBigWorld. Toutefois, nous avons rapidement abandonné ce nom pour notre marque, car une autre entreprise aux Etats-Unis s'appelait déjà BigWorld. Ainsi, nous avons trouvé LittleBigPlanet seulement deux semaines avant la GDC 2007."

Sachez aussi que pour l'anecdote, le nom de LittleBigBang a même été envisagé à un certain stade. "Mais ensuite, nous avons découvert ce que signifiait gang bang aux Etats-Unis", a déclaré Alex Evans, non sans rire.

La date clé du destin de Media Molecule avec Sony a été le 25 mai 2006. A ce moment, les choses allaient tout sauf bien pour le studio comme le confie Alex Evans.

"Ce jour-là a été terrible, car nous avons présenté à Sony une démo pas très jouable. La partie Création était tout simplement nulle, c'était purement de la physique avec aucune sensation de plaisir."

Déçu par la démo, Sony envisageait déjà le pire, mais Media Molecule a eu un réveil.

"Nous nous sommes réunis et nous avons regardé cette démo pour voir ce qui n'allait pas. A partir de là, nous avons tout recommencé pour faire quelque chose de vraiment bon."

La pré-production a ainsi été prolongée jusqu'à une réunion critique qui a eu lieu le 17 août 2006. Phil Harrison décrit cette date comme "la réunion du quitte ou double".

"Il y avait tous les producteurs de l'équipe de Liverpool et Londres. Du côté de Sony, ils étaient 15, et il y avait je pense seulement quatre ou cinq personnes de Media Molecule."

Devant cette pression, l'idée de Media Molecule pour la réunion était de présenter une démo qui serait jouable dans la version finale de LittleBigPlanet. En réalité, cette démo s'est avérée être une version étendue de la démo présentée à la GDC en Mars 2007, lorsque LittleBigPlanet a officiellement été annoncé.

Vous le devinez, cette présentation a été à l'opposé de la réunion qui a eu lieu trois mois avant. Sony, cette fois, a été impressionné. Très impressionné.

"Je dois admettre que j'ai flotté une fois sorti de cette salle de réunion. J'ai tout de suite pensé que c'était juste l'occasion la plus fantastique qui était en face de nous." a déclaré Phil Harrison, ancien président de Sony Worldwide Studios.

Il ajoute : "Pour résumer ça dans toute ma carrière, je dirais que j'ai probablement vu près de 1000 démos de jeu. C'est la meilleure réunion que j'ai jamais eu. La présentation a été exécuté de manière parfaite, c'était fun, jouable, et surtout, on a tout de suite vu l'énorme potentiel du projet.

Dès lors, LittleBigPlanet est tout de suite devenu un talisman pour Sony et la PlayStation 3, tant et si bien que Harrison a pris la décision inhabituelle de dévoiler le jeu à la GDC 2007 plutôt qu'à l'E3. À ce jour, Media Molecule n'a jamais compris la raison d'un tel choix.

"Il y a deux raisons", explique Harrison. "Premièrement, soyons honnêtes, la PlayStation 3 avait besoin cette année d'un peu d'élan, un peu de boost, et je voulais montrer à l'industrie l'avenir vers lequel nous allions. La deuxième raison était de démontrer la puissance du contenu généré par l'utilisateur."

"LittleBigPlanet est un exemple parfait de cela", a déclaré M. Harrison. "Le Playstation Home a aussi été un exemple parfait de cela et je pense que SingStar est un bon exemple de cela aussi".

"Je voulais vraiment que cette GDC envoie un message puissant sur non seulement l'avenir de la PlayStation, mais surtout l'avenir de l'industrie en montrant où est-ce que nous allions."

Ainsi, cette euphorie s'est matérialisée par une une conférence très inspirée d'Harrison et de toute l'équipe de Sony. Pete Horley, directeur du développement externe chez Sony à l'époque (l'homme sans doute responsable de l'existence de Media Molecule et de LittleBigPlanet) a eu la clairvoyance de faire une recherche Google avant la conférence, et après.

"Pete a fait quelque chose de vraiment sérieux," a raconté Harrisson. "Il a fait une recherche Google pour LittleBigPlanet le jour avant la GDC ... et a obtenu précisément zéro résultats de recherche. Le lendemain de la GDC, il a recommencé et il y avait plus de 8 millions de résultats. Ça m'a marqué".

Après la conférence, Evans se souvient quant à lui être retourné à l'hôtel avec le reste de l'équipe de Media Molecule "et mangé beaucoup, beaucoup de pop-corn et bu beaucoup, beaucoup de champagne". Ce fut une très bonne journée", a-t-il dit.

Inutile de raconter la suite je pense...