« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Je vais essayer de m'expliquer, car je pense que j'ai fait la même erreur, donc je vais pas faire le malin, en Septembre 2023, j'ai fait un article pour parler des 6,5 ans (78 mois) de la Switch, j'ai voulu compter le nombre de jeux sortie, mais un des membres de Gamekyo m'a reprit, je ne comprenais pas, il trouvait moitié moins, mais j'ai compté en fait les "logiciels" (c'est là qu'il y a un soucis, vu que "logiciel" ça veut dire aussi par exemple les "DLC" et autre "Bundle").
Donc "14.535 jeux sortis sur Steam en 2023" c'est vraiment de "jeu" que l'on parle ou de "logiciel" ?
Pour l'instant je n'ai plus de questionnaire rempli.
J'avais dit que j’arrêtais, mais je vais continuer exceptionnellement si :
-Certains qui ont le questionnaire veulent y répondre
-Je sais que certains ont eu des soucis pour me le transmettre, je conseille de passer par discord (Gamekyo/Nicolasgourry)
-S'il y en a qui veulent franchir le pas, je suis ok pour recevoir vos questionnaires remplis.
Le jour de diffusion sera Dimanche.
Pour l'instant mes deux regrets, je trouve que ça manque de joueuse et certains membres que l'on voit plus depuis un long moment (il y a les aléas de la vie, je reconnais) ça aurait été sympa qu'ils participent, mais dans les deux cas, ce n'est pas trop tard, comme toujours en MP.
Si jamais cette « aventure » s’arrêtait là, pour ce questionnaire, c'est déjà cool.
Merci de votre compréhension, de m'avoir fait confiance et de vous êtes livré ^^
PS : Ce qui serait intéressant c'est de reposer certaines questions dans 10 ans, mais je ne sais pas si je serais encore là.
Comme je disais l'année dernière, cette ambiance, il se dégage quelque chose de ce jeu, tu sens que tu va prendre une claque artistique plus d'une fois et que le scenario pourrait être intéressant
8 ) Hollow Knight: Silksong
Allez c'est la bonne cette fois-ci !
7 ) Prince of Persia The Lost Crown
Le reboot Prince of Persia qui me donne vraiment envie.
6 ) The Siege and the Sandfox
Déjà la D.A. est magnifique, le gameplay à l'air bon, si le reste est du même acabit, ça peut être un possible incontournable dans le genre Metroidvania.
5 ) Princess Peach: Showtime!
Une titre inédit avec Peach, de la nouveauté pour commencer l'année 2024 chez Nintendo, je suis curieux.
4 ) Senua’s Saga: Hellblade II
Le jeu qui pourrait démontrer le potentiel de la XSX, le genre « d'exclusivité » qui peut te faire acheter une console.
3 ) Rise of the Ronin
La team Ninja qui fait un jeu d'action avec un samourai, rien que ça, ça m'emballe.
2 ) Stellar Balde
Comme je disais déjà l'année dernière, parfois l'impression de voir un mélange entre Bayonetta et Nier Automata...rien que ça, ça me donne envie.
1 ) The Plucky Squire
C'est le jeu que j'attends le plus, c'est d'ailleurs le même que j'attendais le plus l'année dernière.
Et pour terminer, j'attends comme beaucoup la SWITCH 2.
C'est l’événement console de l'année, si elle sort, je pense que c'est la bonne année.
La console qui pourrait redonner un coup de boost sur cette génération.
Je sens que ça va être une belle année pour notre passion commune.
Bonne futur année du jeu vidéo à tous.
John Woo est un de mes réalisateurs préférés, Il a fait des films d'action Honkongais qui m'ont marqué à vie dans leur gunfight (par une chorégraphie incroyable), dont un des films est culte pour moi « A toute épreuve ».
J'attendais de voir ce que ce film aller donner, même si jusqu'à présent, ses films américains étaient pas aussi bon que les films de la période Honkongaise, hormis Volte-Face qui est peut-être le plus intéressant de tous.
Nous suivons un couple dont l'enfant à été tué par une balle perdu entre une guerre des gangs.
Le film se déroule en trois partie, la première qui explique ce qui c'est passé (avec la sidération et la détresse qui va avec), la deuxième qui sera la préparation de la vengeance et la troisième le plan a exécution de cette vengeance.
L'originalité du film, c'est qu'il y a pratiquement pas de dialogue, nous entendons quelques voix en fond, mais le plus souvent les personnages principaux ne parlent pas, donc tout passe par la narration visuel (c'est l'une des choses les plus réussis), car il faut que dès la première scène nous comprenons que nous allons rester « sans voix » dans tout les sens du terme.
Joel Kinnaman est plutôt convainquant (même si je pense pas qu'en 6 mois tu peux faire devenir un simple individu en professionnel de l'armement et du combat), le temps passe vite (narration visuel le permettant), les scènes de poursuites sont pas mal...mais le reste, je trouves que c'est pas terrible, des méchants caricaturaux, des personnages secondaires peu exploité (la maman et le policier qui été en charge de l'affaire), certains effets numérique de sang qui font cheap, certaines scènes trop appuyé pour chercher l'émotion...mais surtout des gunfight sans aucune réelle ambition, nous sommes très loin de la période Honkongaise, qui avait un rapport à l'espace et à l'interaction avec le décors qui faisait toute la différence (exemple : la scène d'intro du restaurant dans A Toute épreuve)...
John Woo est-il sur la bonne voie....là est la question.
COCOON / American Arcadia / Laika Aged Through Blood / A Space for the Unbound / Pizza Tower / Cassette Beasts / DREDGE / Moonstone Island / Party Animals / Slay the Princess / Gravity Circuit / Lunacid / Plusieurs jeux français (The Last Spell / Astral Ascent / Tchia) / Shadow Gambit The Cursed Crew / Viewfinder / Sea of Stars.
+ Bonus : 15 jeux Français (il y a des "indés") qu'il ne fallait pas manquer en 2023 !
JUSANT / Assassin's Creed Mirage / The Crew Motorfest / Astral Ascent / Have a Nice Death / The Last Spell / Lakeburg Legacies / Endless Dungeon / Tchia / Harmony The Fall of Reverie / Roboquest / Dune Spice Wars / Decarnation / Wartales / En Garde ! / Dordogne / Chants of Sennaar
Hirokazu Kore-eda le réalisateur de :
Nobody Knows / Still Walking / I Wish / Tel père, tel fils / The Third Murder / Une affaire de famille / Les Bonnes étoiles.
La Voix du Nord 5/5
Le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda signe une œuvre forte, à la fois sophistiquée et bouleversante.
Les Inrockuptibles 5/5
Il faudra attendre la fin de "L’Innocence" et un troisième et magnifique segment dédié à ses deux jeunes protagonistes pour enfin accéder au secret du récit, et peut-être au secret d’une œuvre et d’un cinéaste qui n’a cessé d’être travaillé par la question de la marge et du rejet.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Dans un labyrinthe narratif truffé de fausses pistes et de faux-semblants, où il serait facile de se perdre et de se faire des nœuds au cerveau, Hirokazu Kore-eda, dont c’est le 16e long-métrage, tient fermement le cap d’un drame captivant sur l’enfance, remarquablement rigoureux.
Ecran Large 4/5
Quand Kore-Eda et Sakamoto s'emparent du fameux effet "Rashōmon", c'est pour raconter la désynchronisation de leurs personnages. Dit comme ça, c'est très technique mais "L'Innocence" est avant tout un précipité de sensibilité et d'empathie.
L'Humanité 4/5
Avec "l’Innocence", Hirokazu Kore-eda aborde les émois contrariés de deux garçons dans le Japon contemporain et poursuit d’une main de maître son exploration des récits à vérités multiples.
L'Obs 4/5
[...] une grâce et une émotion grandissant à mesure que les gamins s’emparent du récit et que la musique pointilliste de Ryuichi Sakamoto parle pour eux.
Le Figaro 4/5
Déroutant mais subtil.
Le Parisien 4/5
Une fois de plus, Kore-eda signe un film parfaitement maîtrisé et raconte une histoire d’amitié bouleversante entre deux enfants.
Le Point 4/5
Avec cette chronique où s'entremêlent le monde austère des adultes et celui imaginaire des enfants, Kore-eda nous entraîne avec beaucoup de naturel et de poésie dans une sorte d'ailleurs lumineux.
Les Echos 4/5
Le cinéaste, malgré une dernière partie où il cède malheureusement à son penchant coupable pour le sentimentalisme, nous surprend avec une « Innocence » synonyme de renouvellement.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Kore-eda se fait une nouvelle fois le porte-parole d’une enfance livrée à elle-même avec ce beau drame.
Marianne 4/5
Bien plus inspiré que dans sa dernière fiction tournée en Corée du Sud ("Les bonnes étoiles"), Kore-eda dresse un portrait incisif du Japon contemporain.
Première 4/5
Hirokazu Kore-Eda raconte les mystères de l'enfance comme un suspense policier, dans un film à la structure alambiquée, mais qui finit par bouleverser.
Rolling Stone 4/5
L’Innocence, bien nommé Monster en japonais, interroge la complexité de l’enfance comme le système social nippon avec une distante ironie, offrant également des respirations végétales d’une grande beauté visuelle.
Sud Ouest 4/5
Kore-eda multiplie les perspectives avec grâce et fluidité. Il saisit une clé de l’adolescence : elle reste un mystère indéchiffrable.
Le Monde 3/5
[...] le réalisateur brode autour de cette ligne centrale une mise en scène qui en opacifie le motif et qui fait se succéder une suite de récits qui se contredisent et s’enrichissent avant d’offrir une image plus pérenne de la réalité que nous dévoile le film.
Télérama 3/5
Ce n’est peut-être pas sa contribution la plus mémorable, ni le meilleur film de Hirokazu Kore-eda. Mais il y a, dans "L’Innocence", un élégant geste d’empathie et d’identification.
Cahiers du Cinéma 2/5
Le film ne lésine pas sur la prestidigitation : chaque recoin du décor, chaque accessoire, chaque réplique seront revisités, changeront de forme sous vos yeux ébahis. Le problème, c’est que depuis le début un bout du lapin dépasse.
Libération 2/5
Mais en maquillant son intrigue en labyrinthes, multipliant les allers-retours et fausses pistes superflues, Kore-eda finit par épuiser la croyance que l’on a bien voulu investir en son récit.
Allociné
PS : C'est l'un de mes réalisateurs préféré.
20 Minutes 4/5
S’il n’est pas certain que "Vermines" réconcilie les spectateurs avec ces petites bêtes, cet excellent film d’horreur fait découvrir un cinéaste très doué.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Une expérience cinématographique anxiogène méchamment amusante, dès lors que les araignées prolifèrent et attaquent. Bref, quand ça mord, ça pique fort.
Écran Large 4/5
Ça, c'est un film d'horreur, qui n'a pas besoin d'un point bonus de soutien (ou pitié) parce qu'il est français. "Vermines", ça démange, ça démonte, ça déchire. Et y'a intérêt que ça marche en salles, parce qu'on le mérite.
L’Écran Fantastique 4/5
Sébastien Vanicek prouve qu’il a un savoir-faire incontestable en matière d’horreur et d’épouvante. Et qu’il s’impose comme un auteur à suivre dans le septième art hexagonal.
L'Obs 4/5
Les comédiens sont tous parfaits, et la mise en scène de Sébastien Vaniček nous terrorise autant qu’elle nous éblouit.
La voix du Nord 4/5
Un thriller horrifique extraordinairement angoissant, parfois grand guignol, mais qui ose donner une portée sociale à son cauchemar intégral.
Le Dauphiné Libéré 4/5
En lisière de l’horreur et du fantastique, Sébastien Vanicek signe un survival en huis clos aussi suffocant que palpitant. Un premier long-métrage d’une grande maîtrise.
Le Parisien 4/5
Plus gros, plus fort, semble avoir constitué le leitmotiv du réalisateur, qui n’a jamais peur d’aller trop loin.
Les Echos 4/5
Une petite réussite qui vient aussi bien chatouiller le nerf optique que la plante de pieds.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Survival énervé et confiné, "Vermines" est un spectacle horrifique généreux, qui tire habilement profit de son environnent urbain, mais aussi de son cadre social. Une réussite.
Libération 4/5
Déconseillé aux arachnophobes, le premier long métrage du Français Sébastien Vanicek est un vrai film d’horreur, nerveux et souvent virtuose, servi par son sens du récit et son casting impeccable.
Mad Movies 4/5
POUR - Voilà un glorieux film de monstres, constamment préoccupé par l'appréhension de ses créatures, qui se pose les bonnes questions du point de vue du déploiement, du spectacle, de l'effroi et de son crescendo.
Télérama 4/5
Effets spéciaux qui n’ont rien à envier à leurs cousins hollywoodiens, grosses ficelles habilement évitées… Signé Sébastien Vanicek, ce premier film a tout d’une excellente toile d’araignées.
Cahier du cinéma 3/5
Si le climax ne contourne pas le passage obligé du recueillement face aux tragédies engendrées par les crises banlieusardes, ce voyage au cœur du béton slalome entre effroi, burlesque et rage juvénile au premier degré, loin des épopées obséquieuses et monolithiques à la Romain Gavras.
Le Figaro 3/4
Dans le genre Alien de banlieue, le film a de l'allure et peut faire faire des cauchemars à tout arachnophobe. La métaphore est claire mais pas trop appuyée : habitants des cités et araignées, même combat de paria.
Le Monde 3/5
Dans "Vermines", les araignées sont si petites qu’elles se glissent partout, faisant la marque d’un cinéaste, dont la sûreté du trait ne cède pas à une surenchère d’effets spéciaux mais joue sur quelque chose de plus invisible, au service d’un divertissement à émanation sociale et politique. chaque seconde.
Première 3/5
Sébastien Vaniček connaît ses classiques : dans "Vermines", il fait cohabiter l’"Arachnophobie" de Frank Marshall avec "Les Misérables" de Ladj Ly et signe un beau morceau d’horreur, multipliant les scènes d’anthologie en mettant à profit les espaces du bâtiment, passant avec brio d’une minuscule salle de bain à des souterrains crasseux où se joue l’hallucinant climax du film.
Rolling Stone 3/5
Pour son premier long-métrage, Sébastien Vaniček vise haut en signant un film d’horreur dont les ambitions dépassent largement celles des séries B, où le casting, le décor et les effets spéciaux sont à l’avenant.
Mad Movies 2/5
CONTRE - "Vermines" tente le pari louable d'un film plus fun et blockbusteresque, mais le résultat s'avère précautionneux et impersonnel.
On pourrait espérer que la tendance des vagues de licenciements dans l’industrie fasse une pause bien méritée durant les fêtes, mais c’est sans compter sur le cynisme de certains acteurs du marché. C’est une autre entreprise qui vient de fermer ses portes à quelques jours des festivités de Noël, puisque tinyBuild vient de couper l’herbe sous le pied à Versus Evil, l’un de ses éditeurs spécialisé dans la publication de jeux indépendants.
« Aujourd’hui est un triste jour. Après 10 merveilleuses années, Versus Evil ferme ses portes. Nous avons adoré vous proposer les meilleurs jeux indépendants que nous avons pu trouver et partager tant de bons souvenirs avec vous tous, notre incroyable communauté ! Du fond du cœur, MERCI pour tout ! » X / 22.12. 2023
Versus Evil se trouvait derrière la publication de jeux comme The Banner Saga, Pillars of Eternity II: Deadfire ou encore Faeria. Il avait été acquis il y a seulement deux ans par tinyBuild (éditeur : Hello Neighbor / Tinykin).
GamesIndustry.biz rappelle que Versus Evil et sa maison mère ont eu un différent important il y a quelques mois via l’intermédiaire de Steve Escalante (general manager) et James Lance (directeur de la production), tous les deux chez Versus Evil, accompagnés par Stall Proof LLC, ancien propriétaire de l’éditeur. Les trois concernés indiquaient que tinyBuild n’avait pas respecté certains de ses engagements suite au rachat, notamment en ce qui concerne le financement de Versus Evil. Un conflit qui s’est réglé via un accord dans lequel tinyBuild devait payer 3,5 millions de dollars (sans compter les frais juridiques) à l’entreprise. Quelques semaines après cet arrangement, tinyBuild ferme Versus Evil. Rappelons aussi qu’il y a deux jours, Atari a investi plus de 2 millions de dollars dans tinyBuild.
D’autres studios pris dans la tourmente
Une situation déplorable pour tous les employés, qui met aussi en danger les studios qui comptaient sur l’aide de Versus Evil. On en voit déjà un exemple avec Jukai Studio, à qui l’on doit le récent Stray Souls. Un titre qui n’a pas du tout rencontré le succès espéré, et qui annonce la mort du studio, accélérée par la fermeture de son éditeur Versus Evil.
1. [NSW] Super Mario Bros. Wonder – 94,682 / 1,327,663
2. [NSW] Momotaro Dentetsu World: Chikyuu wa Kibou de Mawatteru! – 62,617 / 603,061
3. [NSW] Dragon Quest Monsters: The Dark Prince – 35,161 / 433,442
4. [NSW] Pikmin 4 – 34,876 / 1,040,438
5. [NSW] Super Mario RPG – 17,355 / 414,191
6. [NSW] Minecraft – 16,983 / 3,355,750
7. [NSW] WarioWare: Move It – 16,584 / 104,407
8. [NSW] Mario Kart 8 Deluxe – 16,405 / 5,585,146
9. [NSW] Super Smash Bros. Ultimate – 14,724 / 5,362,270
10. [NSW] Pokemon Scarlet / Violet + The Hidden Treasure of Area Zero – 13,516 / 41,222
Switch OLED – 62,868
PS5 – 34,468
Switch Lite – 15,948
Switch – 15,827
PS5 Digital Edition – 7,848
PS4 – 2,430
Xbox Series X – 1,239
Xbox Series S – 240
New 2DS LL – 19
Switch 94 643 / PS5 42 316 / XSX 1 479
PS : La semaine prochaine ça pourrait encore s'amplifier l'effet Noel-NIntendo.
Moins de 15€
Ghost Song 13,99€ au lieu de 19,99€
Dordogne 13,99€ au lieu de 19,99€
Cuphead 13,99€ au lieu de 19,99€
Eastward 12,49€ au lieu de 24,99€
The Wild at Heart 12,49€ au lieu de 24,99€
Hyper Light Drifter - Special Edition 11,99€ au lieu de 19,99€
Souldiers 11,99€ au lieu de 19,99€
Moins de 10€
Inscryption 9,99€ au lieu de 19,99€
Ori and the Will of the Wisps 9,89€ au lieu de 29,99€
Baba si you 8,74€ au lieu de 12,49€
Death's Door 7,99€ au lieu de 19,99€
Into the Breach 7,49€ au lieu de 14,99€
Trombone Champ 7,49€ au lieu de 12,49€
Indivisible 7,49€ au lieu de 24,99€
Ori and the Blind Forest: Definitive Edition 6,59€ au lieu de 19,99€
Star Renegades 6,24€ au lieu de 24,99€
CARRION 5,99€ au lieu de 19,99€
FAR : Changing Tides 5,99€ au lieu de 19,99€
Moins de 5€
Invisible Inc. 4,99€ au lieu de 19,99€
Arise : A simple story 2,99€ au lieu de 19,99€
FAR : Lone Sails 1,49€ au lieu de 14,99€
OpenCritic 92%
Les premières critiques sont très encourageante.
Le jeu est sortie uniquement pour l'instant sur PC (il est dans le Gamepass PC)
Vous incarnez un émissaire chargé par la Reine calcinée de reconquérir les terres sauvages et de mettre au jour des richesses perdues pour la Cité incandescente, dernier bastion de la civilisation contre le Cataclysme qui a détruit l'ancien monde. Contrairement à la plupart des jeux d'urbanisme et de survie dans lesquels vous jouez dans une seule ville, dans Against the Storm, vous devez construire un vaste réseau de colonies prospères, peuplées de différentes races fantastiques, chacune avec ses propres spécialisations et besoins.
La nature sauvage cache de nombreux dangers, et les tempêtes incessantes écraseront votre population. Si vos colonies venaient à tomber, l'expédition pourrait prendre fin... mais pas le jeu. Against the Storm est un jeu de construction de ville roguelite, ce qui signifie que vous conserverez les ressources, les améliorations et l'expérience de vos expéditions précédentes chaque fois que vous recommencerez.