« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Hirokazu Kore-eda le réalisateur de :
Nobody Knows / Still Walking / I Wish / Tel père, tel fils / The Third Murder / Une affaire de famille / Les Bonnes étoiles.
La Voix du Nord 5/5
Le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda signe une œuvre forte, à la fois sophistiquée et bouleversante.
Les Inrockuptibles 5/5
Il faudra attendre la fin de "L’Innocence" et un troisième et magnifique segment dédié à ses deux jeunes protagonistes pour enfin accéder au secret du récit, et peut-être au secret d’une œuvre et d’un cinéaste qui n’a cessé d’être travaillé par la question de la marge et du rejet.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Dans un labyrinthe narratif truffé de fausses pistes et de faux-semblants, où il serait facile de se perdre et de se faire des nœuds au cerveau, Hirokazu Kore-eda, dont c’est le 16e long-métrage, tient fermement le cap d’un drame captivant sur l’enfance, remarquablement rigoureux.
Ecran Large 4/5
Quand Kore-Eda et Sakamoto s'emparent du fameux effet "Rashōmon", c'est pour raconter la désynchronisation de leurs personnages. Dit comme ça, c'est très technique mais "L'Innocence" est avant tout un précipité de sensibilité et d'empathie.
L'Humanité 4/5
Avec "l’Innocence", Hirokazu Kore-eda aborde les émois contrariés de deux garçons dans le Japon contemporain et poursuit d’une main de maître son exploration des récits à vérités multiples.
L'Obs 4/5
[...] une grâce et une émotion grandissant à mesure que les gamins s’emparent du récit et que la musique pointilliste de Ryuichi Sakamoto parle pour eux.
Le Figaro 4/5
Déroutant mais subtil.
Le Parisien 4/5
Une fois de plus, Kore-eda signe un film parfaitement maîtrisé et raconte une histoire d’amitié bouleversante entre deux enfants.
Le Point 4/5
Avec cette chronique où s'entremêlent le monde austère des adultes et celui imaginaire des enfants, Kore-eda nous entraîne avec beaucoup de naturel et de poésie dans une sorte d'ailleurs lumineux.
Les Echos 4/5
Le cinéaste, malgré une dernière partie où il cède malheureusement à son penchant coupable pour le sentimentalisme, nous surprend avec une « Innocence » synonyme de renouvellement.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Kore-eda se fait une nouvelle fois le porte-parole d’une enfance livrée à elle-même avec ce beau drame.
Marianne 4/5
Bien plus inspiré que dans sa dernière fiction tournée en Corée du Sud ("Les bonnes étoiles"), Kore-eda dresse un portrait incisif du Japon contemporain.
Première 4/5
Hirokazu Kore-Eda raconte les mystères de l'enfance comme un suspense policier, dans un film à la structure alambiquée, mais qui finit par bouleverser.
Rolling Stone 4/5
L’Innocence, bien nommé Monster en japonais, interroge la complexité de l’enfance comme le système social nippon avec une distante ironie, offrant également des respirations végétales d’une grande beauté visuelle.
Sud Ouest 4/5
Kore-eda multiplie les perspectives avec grâce et fluidité. Il saisit une clé de l’adolescence : elle reste un mystère indéchiffrable.
Le Monde 3/5
[...] le réalisateur brode autour de cette ligne centrale une mise en scène qui en opacifie le motif et qui fait se succéder une suite de récits qui se contredisent et s’enrichissent avant d’offrir une image plus pérenne de la réalité que nous dévoile le film.
Télérama 3/5
Ce n’est peut-être pas sa contribution la plus mémorable, ni le meilleur film de Hirokazu Kore-eda. Mais il y a, dans "L’Innocence", un élégant geste d’empathie et d’identification.
Cahiers du Cinéma 2/5
Le film ne lésine pas sur la prestidigitation : chaque recoin du décor, chaque accessoire, chaque réplique seront revisités, changeront de forme sous vos yeux ébahis. Le problème, c’est que depuis le début un bout du lapin dépasse.
Libération 2/5
Mais en maquillant son intrigue en labyrinthes, multipliant les allers-retours et fausses pistes superflues, Kore-eda finit par épuiser la croyance que l’on a bien voulu investir en son récit.
Allociné
PS : C'est l'un de mes réalisateurs préféré.