« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Demain nous sommes le 1er Avril, je dis ça comme ça.
Attention car Sol Cresta avait été annoncé un 1 er Avril, c'était un poisson, mais le jeu est quand même sortie.
Switch OLED – 36,604
PS5 – 34,154
Switch – 10,880
Switch Lite – 7,169
PS5 Digital Edition – 4,810
PS4 – 1,531
Xbox Series X – 450
Xbox Series S – 133
New 2DS LL – 84
Sony s’apprêterait-il à commercialiser une PS5 Slim ? L’un des revendeurs les plus importants de l’Australie vient d’enflammer la Toile en ajoutant une nouvelle page faisant mention d’une Playstation 5 plus fine. Le site officiel de TheGoodGuys a en effet créé une page pour un nouveau modèle avec la description suivante : « La nouvelle PS5, plus fine, aux couleurs incroyablement vives et vibrantes, avec des visuels HDR et une immersion à couper le souffle, que vous jouiez ou regardiez des films et des émissions de télévision en streaming. » De manière générale, les sites marchands de cette envergure ne mettent à jour leur site avec de nouveaux produits que lorsque l'annonce est imminente, ce qui laisse penser que Sony s’apprêterait à révéler cette « PS5 Slim ».
D’après les sources de Tom Henderson, Sony avait dans ses cartons une nouvelle PS5 surprenante. Sa particularité, elle disposerait d’un lecteur de disque amovible à brancher à l’arrière de la console via USB-C et aurait un design sensiblement similaire à la PlayStation Digitale. Cette console aurait alors pour but de remplacer les châssis existants (A, B et C) et serait vendue sous l’appellation du châssis D. Selon le leaker, elle serait commercialisée d’ici septembre 2023. Est-ce ce modèle, qui n’est pas tant une PS5 Slim, dont le revendeur australien parle ? Le mystère reste pour le moment entier.
Sony n’avait en tout cas pas caché son intention de commercialiser un nouveau modèle de la PlayStation. Hideaki Nishino, vice-président de la branche Platform Experience, y était allé de son petit teasing en décembre dernier. « Je ne peux pas en parler spécifiquement (ndlr : PS5 Pro ou nouveau modèle) pour le moment, mais j’espère que vous attendrez avec impatience l'année prochaine », avait-il alors déclaré.
Nintendo nous a présenté du Gameplay de The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom.
Je sens déjà venir "c'est un Pro-N", je suis surtout un "Pro Gameplay interactif", pour une raison simple, pour rendre un environnement palpable il faut qu'il soit le plus interactif possible avec une physique qui fait que l'on y croit.
Beaucoup pensent que l'environnement réaliste suffit à rendre palpable l'expérience de jeu, bah non, quand tu as la manette en main, tu vois déjà les limites et surtout le coté irréaliste de la physique et de l’interaction, donc ça dénote, d'autant plus quand tu as des machines qui jouent la puissance (donc qui ont les possibilités pourtant d'allier les deux).
Je lis souvent "Nintendo à un totem d'immunité"...ce n'est pas une question de "totem d'immunité" mais de savoir ce que l'on recherche dans un jeu vidéo principalement, c'est avant tout du "Gameplay" bien avant un "scénario", il faut un "but" ça c'est clair, mais pas une histoire complexe.
Un gameplay réussi c'est à la fois une accessibilité immédiate dans la façon d'utiliser la manette (et donc l'agencement des boutons) et arriver à avoir moult possibilité sans avoir à regarder la manette (ça doit être comme une évidence, encore mieux INSTINCTIF), combien de fois des jeux ont réussis a avoir un gameplay riche et simple d'accès avec peu de bouton.
L'un des plus grand jeux vidéo reste : Tetris, aucun scénario, mais une mécanique redoutable.
Quand tu vois par exemple The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom, le champs des possibles s’ouvrent dans ta tête, c'est ça que recherche les joueurs.
Nous avons de plus en plus des séquences de Gameplay lors des différents événements des constructeurs, ils ont compris ce qui fait la force d'un jeu vidéo.
Pourquoi les jeux indés ont autant la côte ?
Car justement, ils compensent des graphismes moins "spectaculaire" au profit d'une expérience de jeu (avec plein d'idée de gameplay) innovante (c'est pas le cas de tout les jeux indés, mais combien de jeux indés ont réussis à être plus intéressant que nombre de AAA).
Quand le sage regarde les possibilités interactives du gameplay à la physique "réaliste", l’idiot regarde les environnements avec un faux-semblant de réalisme.
Si ça vous intéresse, un article très complet sur le jeu :
"il convient de rappeler que Master Detective Archives : RAIN CODE est le fruit d’une alliance entre Too Kyo Games et l’éditeur Spike Chunsoft, avec à sa tête l’équipe créative derrière la série Danganronpa.
Le scénario est écrit par Kazutaka Kodaka (qui a donc imaginé la saga des Danganronpa, mais aussi certaines histoires de Jake Hunter, le jeu en FMV Death Come True et l’anime Akudama Drive, et qui était également directeur créatif de World’s End Club)
Les musiques sont composées par Masafumi Takada (The Silver Case, Flower, Sun, and Rain, killer7, No More Heroes, Super Smash Bros. Brawl, for Wii U & 3DS et Ultimate, Kid Icarus : Uprising, Digimon Story Cyber Sleuth, Zangeki no Reginleiv, Project Zero : Le Masque de l’Éclipse Lunaire, Infinite Space, Vanquish, The Evil Within, Danganronpa, Earth Defense Force 5, Master Detective Archives : RAIN CODE…).
Rui Komatsuzaki s’occupe du character design (comme ce fut le cas pour Danganronpa, mais aussi Akudama Drive et Tribe Nine, ainsi que pour les personnages Edmond Dantès et Cleopatra dans Fate/Grand Order)." NintendoDiffrence
Yuma et Shinigami collaborent avec les Maîtres Détectives de l'Organisation Mondiale des Détectives, un groupe spécialisé dans la résolution d'affaires.
Chaque Maître Détective est doté d'un pouvoir surnaturel appelé Aptitude criminalistique. Grâce à ces facultés, ils sont capables de rassembler des faits et des indices hors de portée des personnes ordinaires.
Imiter l'apparence et la voix d'autrui avec Déguisement. Détecter les battements cardiaques et les murmures avec Ouïe fine. Être témoin de scènes de crime passées avec Rétrocognition.
Yuma peut bénéficier de ces effets lorsque les conditions sont réunies. Utilisez-les pour vous rapprocher de la vérité.
Amaterasu Corporation
Amaterasu Corporation est une corporation tentaculaire qui contrôle Kanai Ward. Pour elle, l'Organisation Mondiale des Détectives est une menace.
Fortement impliquée dans les affaires non élucidées, cette société joue de son influence énorme pour fabriquer des faits ou les dissimuler quand ils ne vont pas dans son sens. Elle érige des obstacles pour éviter que la vérité ne soit révélée.
Une nouvelle expérience de résolution de mystères : le Labyrinthe des mystères
À un certain stade de l'enquête, un passage s'ouvrira vers une autre dimension menant à la vérité : celle du Labyrinthe des mystères.
À l'intérieur, vous ferez face à divers pièges et énigmes. Progressez dans ce dédale en constante évolution pour venir à bout de l'affaire.
Les spectres des mystères essaieront de vous empêcher de découvrir la vérité. Esquivez leurs affirmations et tranchez leurs propos contradictoires à l'aide de la lame solution !
PS : Dans la journée nous devrions avoir le Trailer en "Français".
Le jeu est disponible sur PC/Switch
-Le jeu est aussi en Français-
Il est en promo uniquement sur Switch : 11,75€ au lieu de 16,79€
-Il vient juste de sortir sur Switch-
Attention ! Des extraterrestres ont débarqué sur notre planète avec la promesse d'un nouvel avenir radieux pour les terriens. Mais cette collaboration intergalactique révèle rapidement sa part d'ombre. En effet, la VEGA CORPORATION, entreprise extraterrestre dirigée par l'affreux DIRECTEUR ZAROG, impose sa politique prédatrice à l'humanité. Face à une telle oppression, le groupe rebelle Squadron 51 se révolte contre les actes violents perpétrés par ces créatures inhumaines. Les courageux pilotes du Squadron 51 et leurs avions auront-ils une chance face à la diabolique flotte de soucoupes volantes de Zarog ?
Rejoignez la cause rebelle en incarnant le LIEUTENANT KAYA et affrontez des soucoupes volantes, des vaisseaux de combat extraterrestres et des monstres dans les cieux des années 1950 ! Ne l'oubliez pas : l'avenir de la Terre est entre vos mains !
Date de sortie : 30 Mars 2023 (PC/PS5/PS4/XSX/XOne/Switch)
Prenez le gouvernail de votre chalutier pour partir à la découverte d’une collection d’îles isolées, et des profondeurs avoisinantes, histoire de voir ce qui se cache sous la surface. Vendez votre prise aux gens du cru et accomplissez des quêtes pour en apprendre plus au sujet du passé troublé de chaque zone. Installez un meilleur équipement sur votre bateau pour pêcher en eaux profondes et atteindre des contrées éloignées, mais ne perdez jamais de vue l’heure. Mieux vaut ne pas se retrouver au milieu de l’océan à la nuit tombée...
GIAG 9/10
DREDGE blends relaxing fishing and Lovecraftian horror to create a compelling and truly unique game.
DREDGE mélange la pêche relaxante et l'horreur lovecraftienne pour créer un jeu captivant et vraiment unique.
ActuGaming 8,5/10
Parce qu’il est avant tout fondé sur une expérience narrative, DREDGE fait partie de ces jeux qu’il est difficile de présenter sans gâcher la découverte des futurs joueurs. Les développeurs de Black Salt Games ont vraiment réussi à créer une expérience délicatement mystérieuse grâce à un gameplay simple mais original, qui vient renforcer la narration. La direction artistique est tout simplement parfaite, à l’instar de la bande originale. Nous pouvons seulement regretter que la quête n’ait pas été un peu plus longue et que la fin n’ait pas été un peu plus travaillée.
GAC 7,5/10
DREDGE propose une aventure en solo originale et un tout nouveau concept des aventures de pêche que l’on a pu avoir. Si le scénario prendre une place importante, les développeurs laissent le joueur découvrir à son rythme. Le système de gestion et d’amélioration de notre chalutier fonctionne bien et ajoute un peu de défis à notre aventure. Le plus gros défaut demeure dans la répétition des tâches effectuée, j’aurai apprécié un peu plus de diversité dans l’activité de la pêche en elle-même. Néanmoins, le titre propose plusieurs heures de jeu et une histoire que l’on a hâte de découvrir.
Gamespot 7/10
Dredge's engrossing gameplay loop and dark, Lovecraftian themes elevate a simple fishing game into something far more intricate and engrossing than its cheerful veneer may suggest.
La mécanique de gameplay captivante de Dredge et les thèmes sombres et lovecraftiens élèvent un simple jeu de pêche en quelque chose de bien plus complexe et captivant que ne le suggère son apparence joyeuse.
PS : Une démo est disponible uniquement sur l'eShop.
1. [NSW] Kirby’s Return to Dream Land Deluxe – 25,201 / 308,945
2. [NSW] Pokemon Scarlet / Violet – 15,306 / 4,944,593
3. [NSW] Splatoon 3 – 12,100 / 3,946,727
4. [NSW] Mario Kart 8 Deluxe – 9,245 / 5,203,335
5. [NSW] Minecraft – 6,672 / 3,074,692 6. [NSW] Bayonetta Origins: Cereza and the Lost Demon – 6,474 / NEW
7. [PS5] Hogwarts Legacy – 5,622 / 154,174
8. [NSW] Nintendo Switch Sports – 5,507 / 1,030,666
9. [NSW] Bravely Default II – 4,707 / 80,526
10. [NSW] Super Smash Bros. Ultimate – 4,289 / 5,145,376
PS5 – 34,156
Switch OLED – 33,150
Switch – 9,798
Switch Lite – 6,637
PS5 Digital Edition – 6,255
PS4 – 1,115
Xbox Series X – 497
Xbox Series S – 58
New 2DS LL – 138
40 411 PS5 / 49 585 Switch / 555 XSXIS
PS : Après plusieurs semaines, la PS5 repasse derrière la Switch.
Rappel : Bayonetta 3 avait commencé avec 41 285 exemplaires.
L'Humanité 5/5
On déguste alors le film comme on jouit d’une comédie musicale, chaque coup marquant le rythme d’un frénétique opéra. Fait rare dans l’action contemporaine, c’est au tournage que se joue la réussite de l’entreprise et non au montage : on n’est jamais perdu, tout est lisible, les scènes s’allongent et s’étoffent.
Le journal du Dimanche 5/5
Un spectacle généreux, épique, résolument jouissif.
20 Minutes 5/5
Dans « John Wick : Chapitre 4 » de Chad Stahelski, Keanu Reeves pousse encore plus loin les limites du cinéma d’action.
Écran Large 4/5
En plus d'être plus grand et plus fou, John Wick 4 a la bonne idée de faire Table rase de sa mythologie, à laquelle il colle symboliquement une balle entre les deux yeux.
Film Actu 4/5
Une claque en pleine poire ! L'épisode le plus fou, le plus spectaculaire et le plus ambitieux de la saga. Avec près de 3 heures de folie furieuse, John Wick Chapitre 4 va faire date dans l'histoire du cinéma d'action. Jubilatoire et gourmand et dopé par un final parisien dantesque.
Le Figaro 4/5
En l'espace d'une dizaine d'années, Stahelski (ancien cascadeur hollywoodien passé à la réalisation et qui régla les cascades de Reeves sur Matrix), est parvenu à créer une nouvelle légende du cinéma d'action. Son nom est John Wick. On n'est pas près de l'oublier...
Le Monde 4/5
Le ressassement, l’essoufflement, l’inaboutissement deviennent les symptômes d’une douleur intime, sentiment secret d’une œuvre, faussement superficielle peut-être, pleine de bruit et fureur.
Le Parisien 4/5
Le film insiste encore davantage sur la dimension crépusculaire de son anti-héros. L’opus n’est pas exempt de défauts, mais il fournira sans problème leur dose d’adrénaline aux amateurs d’action.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Non sans quelques longueurs superflues, ce quatrième volet déroule un programme et une mise en scène toujours aussi inventifs et maîtrisés. Et s’il ne déroge pas aux codes établis par ses aînés, il surprend néanmoins en laissant poindre une émotion jusqu’ici prudente.
Les Inrockuptibles 4/5
Ce qui accroche dans John Wick, ce n’est pas l’action en tant que telle, mais l’effet paradoxal de stase qu’elle produit, l’espèce d’apothéose zen dans la violence.
Libération 4/5
Le spectacle qui se joue là est résolument l’un des plus originaux du cinéma contemporain, dernière étape avant quelque chose d’autre de la mutation de tout l’entertainment américain en spectacle d’action : le cinéma «CrossFit». Un cinéma qu’on pourrait juger vain si la question du corps ne faisait à ce point défaut partout ailleurs dans le blockbuster supervirtualisé ; et s’il ne réfléchissait pas aussi brillamment à son statut de cinéma monstre.
Première 4/5
La saga portée par Keanu Reeves, plus christique que jamais, arrive encore à se surpasser.
Sud Ouest 4/5
Un film virtuose qui va enchanter les fans, mais que les néophytes trouveront sans doute trop long (près de trois heures).
La voix du Nord 3/5
La saga John Wick n’a plus grand-chose à raconter. Mais… Deux éléments majeurs quand même. La présence de Donnie Yen (...). Une seconde partie parisienne proprement hallucinante.
Le Point 3/5
Dans John Wick : chapitre 4, tous les ingrédients sont bien là et la mayonnaise prend assurément, mais impossible d'ignorer ce je-ne-sais-quoi de légère déception. Pas grand-chose, mais tout de même…
Télérama 3/5
Avec cette chapelle Sixtine de la baston, le réalisateur et ex-cascadeur Chad Stahelski signe un solde de tout compte en forme d’apothéose.
L'Obs 1/5
Ce n’est même pas un nanar, c’est juste débile.
D'après la chaine you tube Nintendo Prime, le studio Next Level Games travaillait actuellement sur deux projets et l'un d'eux est le remaster de F-Zero GX.
Après Metroid Prime et Baten Kaitos I & II, FZero GX serait le prochain jeu Gamecube remasterisé sur Switch ?
Nous suivons l'histoire de Charlie (Brendan Fraser) qui incarne un professeur qui donne des cours en ligne (il ne se montre pas). Il est chez lui, il ne sort jamais, il ne voit quasiment personne. Il est dépressif depuis la mort de son amant, pour compenser son mal être, il mange énormément, il est énorme (telle une "baleine", d’où le titre du film "The Whale", de plus ça fait référence à Moby Dick dont le film se sert de métaphore pour expliquer la situation de Charlie, un autre livre est souvent présent, c'est la bible, l'un des personnages incarnent "la bonne paroles", mais est-ce que la bible -donc la religion- sont vraiment les meilleurs moyens de s'en sortir ou est-ce le contraire, le film pose aussi la question)
Nous sentons qu'un compte à rebours commence qui pourrait a terme nous montrer la mort de Charlie, il décide un jour d'appeler sa fille qu'il n'a pas vu depuis 8 ans, le moment ou il a quitté sa femme, qui depuis boit, pour aller vers son amant.
Tout le film se passe dans l'appartement de Charlie, durant plusieurs jours nous allons comprendre tout ses enjeux et savoir si la situation va encore plus sombrer ou au contraire s'éclaircir.
Brendan Fraser joue (en fait il ne joue pas, il est, il se met à nu, c'est fini les facéties/jeune premier, notamment avec la licence "La momie", tu sens qu'il y a du vécu qui est passé depuis) de manière sincère (qui est peut-être le thème le plus important du film, ne jamais se mentir à soi-même et aux autres), tu sens que sa vie personnelle est en osmose avec le personnage qu'il "incarne", je pense que c'est ça qui a fait qu'il a eu un oscar pour ce rôle (d'autres méritaient autant, mais quand tu connais la période de dépression qu'a connu Brendan Fraser, tu sens que c'est ça qui a fait basculer le vote, il y a comme dans le film, une sorte de rédemption dans ce choix).
Déjà le film est un format 4/3 (il y a une portée symbolique, le monde "carré" ou rien dépasse qui reste étroit pour des personnes qui rentrent plus "dans les cases"). La réalisation appuis parfois les effets, il y a un coté "théâtre" filmé qui peut pesé, le rythme est lent, tu arrives a deviner les dialogues (j'ai vu le film en VOST, donc j'ai encore plus fait attention aux dialogues et au phrasé de Branden Fraser), mais Branden Fraser joue le rôle de sa vie, je ne sais pas si il pourra donner plus, donc je comprends pourquoi il a eu l'Oscar, si il ne l'avait pas eu, il y aurait de quoi faire encore une dépression.
Je suis sortie éprouvé émotionnellement, comme étouffé, le cinéma c'est aussi de l'émotion, dire que j'ai rien ressentie serait faux, tu ne peux pas sortir léger avec un film pareil (comme souvent avec les films de Darren Aronofsky).
PS : Étrangement quand je voyais le personnage, je pensais au film "Seven" avec le personnage énorme que Kevin Spacey (John Doe) obligeait à manger pour ce tuer et dont le film est l'antithèse de la solution de John Doe.