Moyenne presse 3,1/5 (pour l’instant)
20 Minutes 4/5
Tout le monde peut se régaler avec ce divertissement réjouissant.
Écran Large 4/5
Alors qu'on n'attendait plus grand-chose du MCU, Doctor Strange in the Multiverse of Madness parvient à surprendre. Sam Raimi n'est pas en pleine possession de ses moyens, mais il résiste face à la machine, et signe le volet de la saga le plus fun et inspiré depuis très longtemps.
Le Figaro 4/5
Raimi offre au public un grand 8 vertigineux et pop, bardé d’action et gorgé d’effets numériques visuellement incroyables. Lui seul sans doute était capable de marier la magie avec la science-fiction dans un divertissement, parfois incompréhensible, mais tellement jubilatoire!
Le Point 3/5
Baptisée « In the Multiverse of Madness », cette suite laisse miraculeusement visible la patte du réalisateur culte, malgré un écrasant cahier des charges.
Première 3/5
Si la réalisation, comme l’animation, ne brillent pas par leur originalité, l’efficacité est indéniable.
La Voix du Nord 3/5
Discret depuis presque dix ans, le réalisateur d’une mémorable trilogie « Spider-Man » mais aussi d’une saga gore culte (« Evil Dead ») met son grain de folie dans le dernier-né de l’écurie Disney-Marvel. La suite de « Doctor Strange » trouve sa propre identité, surprenante. Plutôt bien vu !
Le Parisien 2/5
Le Multivers englobe tellement de dimensions, que les personnages traversent parfois à toute allure, que l’intrigue est difficile à suivre. Restent, dans ce déluge d’effets spéciaux, quelques moments où le réalisateur, le grand Sam Raimi, parvient à faire ressentir sa "patte", et la belle prestation d’Elizabeth Olsen, toujours inspirée dans le rôle de Wanda Maximoff.
Les Fiches du Cinéma 2/5
Après plusieurs films réussis, la franchise Marvel se prend les pieds dans la cape du Doctor Strange. Scénario sans enjeux, dialogues peu inspirés, personnages sans charisme, séquences trop longues, parfois carrément niaises... On s’ennuie ferme.
Libération 2/5
Sauf que : la fête ne prend jamais vraiment, et l’on garde en tête jusqu’à l’ultime image cette interprétation des rêves en fenêtres vers d’autres mondes, annulant en un claquement de doigts tout ce que laissait entrevoir la psychanalyse sur notre inconscient, océan déchaîné de pulsions qui en dit tant sur l’humain, sur l’imaginaire, le fantastique, même l’horreur et les super-héros.
Télérama 2/5
Tout enflé de références et de personnages empruntés à leur propre mythologie connexe, le film prend le même risque que Doctor Strange : à force d’empiler les univers, on risque de les écrabouiller.
Les Inrockuptibles 1/5
Boulimique d’univers parallèles, de prophéties ancestrales et de pouvoirs en tout genre, le nouveau Marvel est une invraisemblable bouillabaisse.
Allociné
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Moyenne presse 3,1/5 (pour l'instant)
20 Minutes 4/5
C’est un message universel que délivrent les cinéastes par le biais de séquences intensément esthétiques.
Ecran Large 4/5
Fort d'un univers aussi complexe que riche, Le Roi Cerf déploie un récit qui saura passionner les spectateurs désireux de s'immerger dans une mythologie singulière.
Le Parisien 4/5
Le film commence dans les ténèbres, avec des scènes très violentes, et s’illumine ensuite un peu, grâce notamment au personnage de l’adorable Yuna. À travers un scénario complexe et quelques longueurs, il embarque le spectateur dans un voyage épique, marqué par la folie guerrière des hommes et la dangerosité de la nature.
Première 4/5
« Puisse ce pays sourire aux orphelins », soupire un personnage qui, mis face aux calamités de son temps, se prend à espérer un avenir meilleur. Au sein du genre fantasy où c’est souvent la course à qui sera le plus cynique, ce discours optimiste contribue à rendre Le Roi Cerf encore plus précieux.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Cette réalisation de deux anciens membres de Ghibli, efficace et maîtrisée, trahit cependant ses inspirations en empruntant de trop nombreux motifs aux fameux studios. Il est également regrettable que l’histoire du roman original ait été excessivement simplifiée.
Télérama 3/5
Au centre du récit, la tendresse entre un combattant traumatisé et une fillette exubérante offre un contrepoint attachant à de multiples convulsions guerrières et surnaturelles. Qui, hélas, traînent un peu en longueur…
Le Journal du Dimanche 2/5
On se noie un peu dans les rebondissements, pas vraiment gais et souvent brutaux, voire même sanglants, de cette épopée médiévale qui mêle guerre, magie, résistance et amour.
Le Monde 2/5
Quelques belles scènes d’action où se mesure le savoir-faire de l’illustre studio Production I.G (Ghost in the Shell, L’Attaque des Titans) ne compensent pas une réalisation fonctionnelle, des situations convenues et des personnages sans relief.
Libération 2/5
L’adaptation élégante du roman éponyme et le savoir-faire de Masashi Ando et Masayuki Miyaji ne parviennent pas à dépasser le classicisme ronflant du merveilleux héroïque.
Allociné