description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
Predator, un chef-d'œuvre du cinéma d’action et de science-fiction, toujours aussi captivant qu’intense. Dans la jungle impitoyable, un groupe de commandos confronté à une créature extraterrestre terrifiante lutte pour sa survie, mêlant suspense et tension dans une guerre à mort.
Au casting : Arnold Schwarzenegger, Carl Weathers, et Jesse Ventura. La bande originale, percutante, est signée Alan Silvestri.
Dans Predator 2, l’action se déplace du cœur de la jungle au béton de la ville. Loin de l’environnement naturel de son prédécesseur, le chasseur extraterrestre se frotte désormais à la brutalité urbaine de Los Angeles. Une suite audacieuse et pleine de surprises, qui nous plonge dans une chasse effrénée avec des éléments qui préfigurent le futur crossover avec Alien. Un film qui, malgré sa réception mitigée, mérite d’être redécouvert. Au casting : Danny Glover, Bill Paxton et Gary Busey. La bande originale est composée par Alan Silvestri.
Alien vs. Predator et AVP: Requiem, deux films qui ont opposé deux des créatures les plus iconiques du cinéma. Si le premier a proposé une rencontre ambitieuse, le second a été largement critiqué pour son gore excessif et ses incohérences. Entre les faiblesses des Aliens, les erreurs des Predators et une mise en scène parfois maladroite, découvrez pourquoi ces films ont divisé les fans et marqué leur époque.
Dans cette vidéo un peu spéciale, je reviens sur l'évolution de jeuxvideo.com, un site iconique qui n'est plus que l'ombre de lui-même. L'occasion de raconter son histoire, sa chute, pourquoi c'est arrivé, et parler un peu du journalisme vidéoludique.
Et si on vous racontait l'histoire complète de The Walking Dead ? De la saison 1 de Frank Darabont jusqu'au spin off de Daryl en passant par Fear the Walking Dead, celui de Rick ou The Ones Who Live, on va tout explorer dans cette Chronique du Chaos. On parlera de l'histoire des saisons mais aussi de ce qui se passe derrière la caméra depuis le tout début.
Bonjour tout le monde. Eh oui, en 2025, cela va faire 10 ans déjà que le phénomène Undertale a pris internet de court. Entre une communauté des plus actives et souvent toxique et des détracteurs qui ne valaient souvent pas mieux, il était difficile d'avoir un discours un peu mesuré sur ce titre développé par Toby Fox. Mais 10 ans plus tard, il est l'heure de revenir sur Undertale et d'observer le phénomène et le jeu avec un peu de distance et voir ce que l'on peut en retenir. Parce que oui, il y a plein de choses à dire sur Undertale et son influence globale sur l'industrie du jeu vidéo. Alors asseyez vous confortablement et on espère que vous passerez un bon moment empreint d'une pointe de nostalgie.
En modernisant le voyage dans le temps, la trilogie culte de Robert Zemeckis a su résister à ses outrages. Les raisons du succès d’une saga à l’exubérance eighties.
C’est un des scénarios les plus refusés de Hollywood : plus de quarante fois ! Aucun producteur ne croyait à ce projet de Robert Zemeckis et Bob Gale, un tandem inventif surnommé "les deux Bob". Pas rancunier, Steven Spielberg, qui leur doit pourtant trois flops, impose le film auprès des studios Universal, Gale signant le script et Zemeckis assurant la réalisation. Le réalisateur des Dents de la mer ne le regrettera pas. En 1985, Retour vers le futur pulvérise le box-office et devient un succès planétaire, conforté par deux suites en 1989 et 1990. Décennie après décennie, la popularité de cette trilogie ne faiblit pas. Pourquoi cette longévité alors que tant de blockbusters sombrent dans l’oubli ? Il est vrai que Retour vers le futur a lifté le genre poussiéreux du voyage dans le temps, grâce à une panoplie aujourd’hui vénérée pour son kitsch eighties : walkman, skate ou voiture de sport trafiquée (la célèbre DeLorean qui slalome du passé au futur). Mixant comédie et science-fiction, le premier volet brasse des thèmes universels comme le rêve américain ou les relations familiales, et se donne pour cadre une banlieue ordinaire, ce qui le rend très accessible. Remplaçant au pied levé l’infortuné Eric Stoltz, pas assez drôle selon les producteurs, Michael J. Fox prête sa bouille clownesque à l’adolescent Marty McFly, propulsé par hasard en 1955. En modifiant le passé, cet antihéros attachant va s’efforcer d’améliorer le présent, à commencer par ses désastreux parents.
Cette trilogie à double face épingle en passant racisme, sexisme, brimades entre lycéens et capitalisme carnassier. La saga, qui, dans son deuxième épisode, fait un bond en 2015, a eu plusieurs bonnes intuitions, en prédisant l’avènement d’un maire noir ou l’irrésistible ascension du brutal Biff, personnage proche d’un certain Donald Trump. En revanche l’"hoverboard", skate volant auquel de nombreux spectateurs ont cru au point de vouloir l’acheter, se fait attendre ! Rythme enlevé, effets spéciaux convaincants, candide esprit d’aventure, répliques cultes et casting inspiré achèvent de faire de l’œuvre un classique adulé. Retrouvant la plupart des acteurs et membres des tournages, notamment le scénariste Bob Gale et le rockeur Huey Lewis, heureux créateur du tube de la B.O. "The Power of Love", compilant extraits et archives, ce documentaire retrace l'aventure de cette exubérante saga, qui, à force de zigzags entre passé, présent et futur, s'est inscrite au patrimoine mondial de la pop culture.
En 1979, Ridley Scott rebat les cartes du film de genre avec "Alien". Retraçant sa genèse et les coulisses de son tournage, ce documentaire met en lumière les audaces artistiques qui en ont fait la matrice d’une franchise devenue culte.
À la fin des années 1970, encouragée par le succès des Dents de la mer et de La guerre des étoiles, 20th Century Fox produit Alien, le huitième passager. La réalisation est confiée à Ridley Scott, un Britannique venu de la publicité et auréolé à Cannes du prix de la première œuvre pour Les duellistes en 1977. Conjuguant science-fiction et horreur, le film met en scène l’équipage d’un cargo spatial aux prises avec une monstrueuse créature extraterrestre, conçue par le plasticien Hans Ruedi Giger. Plongés dans le huis clos du Nostromo, leur vaisseau sombre et suintant l’humidité, ses personnages – deux femmes, un Noir et quatre Blancs, dont un androïde – sont des gens ordinaires qui vont devoir mener un combat inégal pour survivre. Propulsée au premier plan, Sigourney Weaver, une débutante de 29 ans formée sur les planches à Broadway, devient la première figure féminine forte à redéfinir les conventions du genre, loin des clichés de l’époque. Sa performance et le succès mondial remporté par le film ouvriront la voie à plusieurs suites et préquels, dirigés successivement par James Cameron, David Fincher, Jean-Pierre Jeunet et Ridley Scott encore.
"Dans l’espace, personne ne vous entendra crier" : le slogan accrocheur qui accompagne la sortie en 1979 d’Alien, le huitième passager n’avait rien d’une promesse en l’air. Le film a depuis influencé toute la culture pop, du cinéma à de la BD ou aux jeux vidéo. Nourri d’archives, de séquences marquantes de la saga et de témoignages (les comédiens Veronica Cartwright et Tom Skerritt, le directeur artistique Roger Christian...), Alien – Terreur sur grand écran dévoile la genèse du projet et les coulisses de son tournage en mettant l’accent sur les audaces artistiques de Ridley Scott. Des spécialistes du cinéma de genre (critique et auteurs) apportent quant à eux un autre niveau de lecture en explorant les grands thèmes abordés par la mythique franchise, dont la survie et la déshumanisation, mais aussi la critique acerbe des excès du capitalisme.
On pense souvent que réussir dans un jeu est l’objectif ultime, mais en réalité, certains jeux sont bien plus intéressants quand on échoue ou quand on joue pas comme prévu.
Pourquoi ? Parce que parfois, jouer mal, c’est jouer mieux.
Tactical RPG, Action RPG, Light RPG, Tour par tour… On peut se perdre dans les styles différents que propose le JRPG. Aujourd'hui, je vous propose une sélection de gameplay originaux qui viennent à leur manière ajouter de nouveaux twists aux jeux de rôle.
C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures confitures, et Ninja Gaiden II Black, énième ressortie du jeu original sorti en 2008 confirme cette théorie.