description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
Prenant la forme d'une Société à responsabilité limitée, basée à Bordeaux dans le département de la Gironde en France, l'entreprise concentre son activité sur l'édition et le développement d'un projet de l'un de ses fondateurs, Boimp!, un portail de jeux en Flash qui propose en outre un classement entre les joueurs. Le site Boimp!, rebaptisé Frutiparc en 2002, sert également de vitrine aux créations de l'entreprise, puisque la société cherche avant tout à tirer des revenus de la vente de ses jeux à des sites plus importants.
En 2014, Motion Twin décide de se tourner vers le développement mobile afin de proposer des jeux cross-platform. Uppercup Football et Braziball voient d'abord le jour en tant qu'expérimentations. Hordes Zéro (Dead Cells), dévoilé lors de la Gamescom 2014, est révélé comme le premier jeu du studio Motion Twin jouable sur PC, mobile et tablette. Après les jeux Web, Flash puis mobile, Dead Cells marque le virement du modèle free-to-play à un modèle de vente standard, ayant pour conséquence financière de passer à un modèle étalant les recettes sur plusieurs années, à celui concentrant les recettes et le succès d'un jeu sur quelques semaines.
De ce fait, le 20 avril 2020, Motion Twin cède les droits de l'intégralité de ces jeux web sous la licence CC-BY-NC-SA 4.0
Le 9 août 2022, l'éditeur publie une partie du code source de ces jeux. De ce fait, toute copie (modifiée ou non) Open source des jeux est autorisée.
Après Dead Cells, la compagnie souhaite continuer à développer des jeux « classiques » sans pour autant surfer sur le succès de son premier jeu PC. Motion Twin ne fera vraisemblablement pas de suite à Dead Cells dans l'immédiat et préfère se concentrer sur de nouveaux projets comme ils l'ont toujours fait. L'exploitation commerciale de Dead Cells (mises à jour, contenus additionnels...) est confié à un studio créé par des anciens de Motion Twin, Evil Empire.
Au moment de son départ de Motion Twin, Sébastien Bénard, qui fut lead sur Dead Cells, dresse sur son blog un bilan de sa carrière au sein du studio. On y découvre notamment la difficulté de trouver le projet qui succéderait à Dead Cells, de nombreux prototypes ayant été élaborés sans qu'aucun ne soit retenu.
Selon lui cela vient du fait que pour la première fois dans l'histoire du studio, un projet ne part pas d'une ou deux personnes mais d'une équipe entière (8 à l'époque), et que la tâche est dure de mettre tout le monde d'accord sur une vision commune. Il aurait ainsi été poussé vers la sortie du fait de trop grands désaccords entre lui et le reste du studio...
Américains et soviétiques dans À LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE, vikings et arabes dans LE 13ÈME GUERRIER, pourquoi tout le monde parle anglais dans le cinéma hollywoodien?
Dans cet épisode, voyons comment John McTiernan détourne ces conventions !
Retour sur une saga qui aura marqué le cinéma d'épouvante dès ses débuts avec Conjuring, les dossiers Warren.
Avant de se concentrer sur sa poupée maléfique pour un film qui n'a d'horrifique que sa qualité...
Je parle bien évidemment de :
Annabelle
Aujourd'hui on parle du jeu SCP : Containment Breach qui adapte l'univers bien connu de la fondation SCP en survival horror. Sous ses airs de bricolage indé tout pété, il y a en fait ici une proposition ludique exceptionnelle qui en fait un modèle autant d'adaptation que de jeu d'horreur.
Neon Genesis Evangelion (新世紀エヴァンゲリオン, Shin Seiki Evangerion, littéralement L'Évangile du Nouveau Siècle).
Hideaki Anno réalise cette série comme thérapie alors qu'il est en pleine dépression. Les trois protagonistes principaux représentent chacun l'un des aspects par lesquels le réalisateur se définit à cette période. Neon Genesis Evangelion est reconnu pour avoir plusieurs niveaux de lectures.
Mais l'anime reste une véritable critique du phénomène otaku auquel Anno s'identifie. D'ailleurs les Evas représentent le corps maternel où les enfants peuvent se réfugier et fuir la réalité du monde. C'est ce cheminement scénaristique et psychologique qui explique que de nombreux fans n'aient pas apprécié la fin originale...
(Source : Wikipédia)
Ahh, Dead Space. Comment l'éviter à l'approche d'Halloween ? Si le jeu vidéo est sortie à la sainte année 2007, son remake de 2023 promet d'être intéressant, autant que le très prometteur Callisto Protocol. Mais pour s'y préparer, chez Exitium Film, on vous a concocté une série de vidéos rétrospectives sur toute la saga Dead Space de chez Visceral Games et EA. De son histoire et son lore à son développement tumultueux, nous explorerons tout ce que nous propose le mastodonte du Survival Horror.
Histoire croisée de George Orwell et d'Aldous Huxley, les auteurs des deux grands romans d'anticipation, "1984" et "Le meilleur des mondes".
Ecrits il y a plus de 70 ans, ces deux romans trouvent un écho extraordinaire dans nos sociétés d'aujourd'hui : faits alternatifs, fake news, ultra-surveillance... Orwell et Huxley semblent avoir imaginé toutes les dérives de nos sociétés.
Avant l’ère de la surveillance généralisée, des fake news ou des bébés sur mesure, deux romans d’anticipation du XXe siècle ont alerté sur les dérives des sociétés démocratiques :
Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley et 1984 de George Orwell, parus respectivement en 1932 et 1949. Écrits par deux Anglais, qui se croisent en 1917 au chic collège d’Eton − le premier, professeur dandy, y enseignait le français au second, Eric Blair de son vrai nom, boursier égaré dans l’institution −, ces livres mettent en scène des dystopies également cauchemardesques mais foncièrement divergentes.
Quand Le meilleur des mondes annonce une aliénation consentie au travers d’une civilisation hédoniste, consumériste et eugéniste dans une Londres futuriste, 1984 dénonce la surveillance systématisée d’un régime totalitaire, sous l’œil terrifiant − et faussement rassurant − de "Big Brother"...