description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
Aujourd'hui on parle du jeu SCP : Containment Breach qui adapte l'univers bien connu de la fondation SCP en survival horror. Sous ses airs de bricolage indé tout pété, il y a en fait ici une proposition ludique exceptionnelle qui en fait un modèle autant d'adaptation que de jeu d'horreur.
Neon Genesis Evangelion (新世紀エヴァンゲリオン, Shin Seiki Evangerion, littéralement L'Évangile du Nouveau Siècle).
Hideaki Anno réalise cette série comme thérapie alors qu'il est en pleine dépression. Les trois protagonistes principaux représentent chacun l'un des aspects par lesquels le réalisateur se définit à cette période. Neon Genesis Evangelion est reconnu pour avoir plusieurs niveaux de lectures.
Mais l'anime reste une véritable critique du phénomène otaku auquel Anno s'identifie. D'ailleurs les Evas représentent le corps maternel où les enfants peuvent se réfugier et fuir la réalité du monde. C'est ce cheminement scénaristique et psychologique qui explique que de nombreux fans n'aient pas apprécié la fin originale...
(Source : Wikipédia)
Ahh, Dead Space. Comment l'éviter à l'approche d'Halloween ? Si le jeu vidéo est sortie à la sainte année 2007, son remake de 2023 promet d'être intéressant, autant que le très prometteur Callisto Protocol. Mais pour s'y préparer, chez Exitium Film, on vous a concocté une série de vidéos rétrospectives sur toute la saga Dead Space de chez Visceral Games et EA. De son histoire et son lore à son développement tumultueux, nous explorerons tout ce que nous propose le mastodonte du Survival Horror.
Histoire croisée de George Orwell et d'Aldous Huxley, les auteurs des deux grands romans d'anticipation, "1984" et "Le meilleur des mondes".
Ecrits il y a plus de 70 ans, ces deux romans trouvent un écho extraordinaire dans nos sociétés d'aujourd'hui : faits alternatifs, fake news, ultra-surveillance... Orwell et Huxley semblent avoir imaginé toutes les dérives de nos sociétés.
Avant l’ère de la surveillance généralisée, des fake news ou des bébés sur mesure, deux romans d’anticipation du XXe siècle ont alerté sur les dérives des sociétés démocratiques :
Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley et 1984 de George Orwell, parus respectivement en 1932 et 1949. Écrits par deux Anglais, qui se croisent en 1917 au chic collège d’Eton − le premier, professeur dandy, y enseignait le français au second, Eric Blair de son vrai nom, boursier égaré dans l’institution −, ces livres mettent en scène des dystopies également cauchemardesques mais foncièrement divergentes.
Quand Le meilleur des mondes annonce une aliénation consentie au travers d’une civilisation hédoniste, consumériste et eugéniste dans une Londres futuriste, 1984 dénonce la surveillance systématisée d’un régime totalitaire, sous l’œil terrifiant − et faussement rassurant − de "Big Brother"...
Et si Spider-Man était un film d'auteur ?
Redécouvrez le blockbuster de Sam Raimi à travers le prisme de son incroyable mise en scène :
symbolique des couleurs et du reflet, travail de la crise d'identité, questionnement de l'amérique triomphante, il y en a pour tous les goûts !
C'est le premier épisode d'une série de trois, qui vont chacun se centrer sur un opus de la trilogie.