description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
On peut faire l’expérience d’un sentiment étrange, déstabilisant, quand on fait face à quelque chose de très grand. Un mélange d’angoisse et d’émerveillement, l’impression d’être écrasé et transcendé à la fois.
Pour ces entités, on n’est rien. Pour nous, elles occupent incontestablement notre espace.
Est-ce que c’est ce déséquilibre qui inspire de l'effroi mêlé d'admiration ? Ou est-ce que ces entités nous renvoient à autre chose ?
Et puis tant qu’on y est, comment on les tue ?
Au fond c'est quoi Batman ? D'où vient-il et qu'est-ce qu'on peut bien encore en faire ? Une virée en Batmobile dans l'histoire du comic-book, d'un de ses plus célèbres représentants et de ce qu'il peut bien signifier à notre époque !
-Contient quelques spoilers sur "The Batman" de Matt Reeves (2022) et "Batman : White Knight" de Sean Murphy (2017)-
En 1995, sort Seven de David Fincher, un thriller qui marquera longtemps les esprits. Dans ce film, les agents Mills et Somerset tentent d'arrêter John Doe. L'Avocat a décidé de prendre sa défense !
Les Open world c’est un peu comme cette musique qu’on entend partout.
Elle rentre par l’oreille et te sort par le c*l
Au début tu kiffes, c’est le pied.
Puis au bout d’un moment tu peux plus l’entendre.
À la base un “monde ouvert” est censé être là pour offrir une certaine “liberté” au joueur de faire ce qu’il veut quand il veut, et de découvrir tout un univers qui s’offre à lui.
La réalité ?
C’est que c’est plutôt un énième argument marketing à écrire en gros sur la jaquette.
Mais surtout, un moyen de gonfler artificiellement la durée de vie grâce à ces fameuses QUETES SECONDAIRES et point d’interrogations qu’on va nous rajouter à droite à gauche.
Dans cette vidéo on va essayer de comprendre pourquoi les quêtes secondaires sont souvent inutiles, qu’est-ce qui fait un bon d’un mauvais open world, et comment venir à bout, de la frustration engendrée par ces derniers !
PS : Le texte sous la vidéo est issu du lien de la vidéo.
Avoir toute la musique du monde dans sa poche, c'est normal aujourd’hui, mais il a fallu plusieurs révolutions y arriver. Le mélomane Sophian Fanen raconte comment nous sommes passés des années CD au streaming, de la rareté à l’accès infini. À travers le mp3, le téléchargement sauvage, l’iPod, puis Deezer et Spotify, il retrace l’histoire de notre écoute au XXIe siècle.
De Louis Couperin à Chassol, de Sly Stone aux maâlemine (maîtres) gnaoua, disposer de toute la musique du monde sur son portable apparaît aujourd'hui comme une évidence. Mais cet accès illimité est pourtant le fruit de la plus grande révolution que le monde de la musique ait connue depuis la fin du XIXe siècle, époque des premiers enregistrements sur disque puis de la naissance de la radio. Depuis un peu plus de vingt ans, une succession d'avancées technologiques doublée de batailles culturelles et commerciales ont amené à la numérisation puis à la mise en ligne du quatrième art, bouleversant sa production, son écoute et sa circulation. En 1999, Napster, un logiciel pionnier, permet d'encoder les chansons et de les télécharger en fichiers sous un nouveau format, le MP3. Une rupture historique, qui ouvre la voie aux échanges informels entre internautes : toute la musique enregistrée devient bientôt disponible gratuitement pour tous, à tout moment, de n'importe où. Incapable de faire face à la déferlante, l'industrie du disque vole en éclats et décide de se retourner contre ses propres clients : devenus des "pirates", ils sont traqués, en France, par l'Hadopi, instance jugée liberticide par ses nombreux détracteurs. Il faudra attendre plus de dix ans et une seconde révolution pour que le paysage retrouve une certaine harmonie : avec les plates-formes Deezer, Spotify ou Soundcloud, le streaming change toute la donne. Désormais, nous louons les services d'un juke-box virtuel infini et ne possédons plus de supports physiques...
De l'illimité à l'insatiable
Ancien journaliste musical à Libération, Sophian Fanen a vécu aux premières loges la transformation numérique de la musique et les bouleversements qu'elle a occasionnés. C'est à la première personne qu'il retrace l'histoire de notre écoute au XXIe siècle, rappelant ainsi que la musique est avant tout affaire de subjectivité et de sensibilité. Entrelaçant son histoire personnelle de mélomane fou et ses analyses pertinentes aux grandes étapes des big bangs successifs, ce cofondateur du média Les jours brosse la peinture d'une époque que l'accès illimité a rendu insatiable. Il consigne plus particulièrement les avantages et les défauts des plates-formes de streaming, dont les playlists formatées par les machines et les algorithmes multiplient les incitations redoutables – quitte à orienter les goûts ? En contrepoint, les témoignages d'acteurs importants du milieu, comme Pascal Nègre, ancien PDG d'Universal Music France, Antoine Monin, directeur général de Spotify France, ou la chanteuse Amaarae, enrichissent un film qui balaie le passé, le présent et le futur – aux mutations imprévisibles – de la musique.
Catalogue. Location. Surconsommation. Blockbuster. Dématérialisé. Assassinat du jeu vidéo. J'ai pris deux années pour faire mon petit bilan de l'offre Game Pass et de ce qui l'entoure. C'est évidemment assez personnel et même si j'essaie d'être un minimum exhaustif, je ne peux pas couvrir tous les cas de figures possibles. Mais justement, vous avez l'espace commentaire pour partager vos expériences/craintes/réticences etc.
PS : Le texte sous la vidéo est issu du lien de la vidéo.